Auteur : francois

  • 8 questions à se poser avant d’acheter votre prochaine maison

    Vous êtes à la recherche de la maison de vos rêves ? Encore faut-il savoir reconnaître les bonnes affaires et connaître vos possibilités de financement. Voici 8 questions à vous poser pour trouver la maison idéale.

    Belgian house

    A quoi ressemble le quartier ?

    Quand vous visitez une maison, demandez au propriétaire ou à l’agent immobilier ce qu’il pense du quartier. Prévoyez aussi un peu de temps pour vous balader aux alentours de la maison après la visite. Choisissez un quartier dans lequel vous vous sentez bien et où vous avez accès à tout ce dont vous avez besoin (magasins, écoles, …).

    Comment vais-je meubler et décorer ?

    Une fois que vous serez propriétaire de la maison, il faudra encore l’aménager. Les meubles et la décoration intérieure ont un coût et peuvent facilement venir ajouter plusieurs milliers d’euros à votre budget.

    Les frais liés à l’aménagement ne peuvent pas faire partie de votre prêt hypothécaire. Si vous souhaitez les financer avec un emprunt, vous pouvez contracter un prêt personnel. Le crédit à la consommation en Belgique peut servir pour n’importe quel achat : vous êtes libre de l’utiliser à votre guise.

    Pour quelles raisons le propriétaire vend-il sa maison ?

    Il est toujours intéressant de demander au propriétaire pourquoi il vend sa maison. Doit-il déménager pour son travail ? A-t-il besoin d’une maison plus grande ? C’est l’occasion de découvrir s’il déménage à cause d’un problème dans la maison ou dans le quartier. Si vous apprenez qu’il doit déménager rapidement, par exemple pour démarrer un nouvel emploi dans une autre ville, vous pouvez aussi négocier un meilleur prix de vente.

    De quand datent les dernières rénovations ?

    N’oubliez jamais de poser cette question quand vous visitez une maison, surtout si elle est ancienne. Remplacer le toit ou la plomberie peut vite coûter très cher. Si la maison a besoin de grosses rénovations, passez votre chemin. Si vous décidez tout de même de l’acheter, calculez le budget des rénovations et négociez un bon prix avec le vendeur. Demandez aussi à votre organisme de crédit si les rénovations peuvent être incluses dans votre prêt hypothécaire.

     Combien coûtent les maisons similaires ?

    Pour évaluer si le prix d’une maison est juste ou si vous devriez le négocier, regardez combien coûtent les maisons similaires (même taille, même environnement, même état). Un agent immobilier peut également vous aider à répondre à cette question.

    Quel est mon budget ?

    Connaître votre budget à l’avance vous permettra de mieux cadrer vos recherches et d’éviter le surendettement.

    Pour déterminer votre budget, commencez par évaluer votre capacité d’emprunt. Un simulateur de prêt hypothécaire peut vous aider à déterminer le montant que vous pouvez emprunter. Calculez ensuite quel apport personnel vous pouvez fournir, et vous connaîtrez votre budget pour l’achat de la maison.

     A combien doit s’élever mon apport personnel ?

    Si, comme beaucoup de futurs propriétaires, vous n’avez pas suffisamment d’économies pour financer votre maison par vous-même, vous aurez besoin d’un prêt hypothécaire pour réaliser votre achat. Plus votre apport personnel est élevé, et moins vous payerez de frais pour votre crédit hypothécaire. Réfléchissez au montant de votre apport personnel : combien pouvez-vous apporter sans mettre à mal votre vie quotidienne et en gardant une réserve en cas de besoin ?

    Si vous êtes primo-accédant (vous n’avez pas été propriétaire durant les deux dernières années), vous n’êtes pas obligé de fournir un apport personnel.

    “Le saviez-vous ? Depuis le 1er janvier 2020, l’apport personnel pour un prêt hypothécaire est en principe de 10% du prix du bien, le montant nécessaire pour financer les droits d’enregistrement pour l’achat et pour le prêt.“

    Quels sont les frais liés à l’achat d’une maison ?

    Une maison est un achat coûteux. Mais saviez-vous qu’en plus du prix de vente, vous devez aussi payer divers frais supplémentaires ? Pour que votre maison soit légalement enregistrée à votre nom, vous devrez payer :

    • L’enregistrement du bien
    • Les frais de notaire
    • Les frais d’hypothèque
    • Les taxes
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    N’oubliez pas d’inclure ces différents frais dans votre budget. Sauf dans certains cas très particuliers, vous ne pouvez pas les financer avec un emprunt.

    Attention, emprunter de l’argent coûte aussi de l’argent

  • 6 raisons qui poussent les jeunes Belges à acheter plus petit !

    Durant la période de confinement, nous étions nombreux à rêver d’une vaste villa à la campagne… Pourtant, dans les faits, les Belges n’achètent pas plus grand : ce serait même tout le contraire dans le cas des jeunes ! Voici les 6 raisons qui poussent la jeune génération à acheter petit…

    Entretien réduit !

    C’est forcément l’un des gros avantages : moins de surface, c’est un entretien réduit et donc du temps gagné ! Et puis, à l’heure du premier achat, on embarque rarement beaucoup de choses avec nous…

    Investir dans des matériaux de qualité

    Comme une petite maison coûte moins à l’achat, cela laisse parfois un budget pour investir dans des matériaux de qualité. Qu’il s’agisse d’une douche à l’italienne, d’un magnifique canapé ou d’une stéréo de rêve.

    De plus grandes économies

    Tout va de pair : une maison plus petite, c’est souvent moins cher à l’achat, moins cher à l’entretien, un cadastre plus raisonnable et surtout, nettement moins énergivore ! Tout cela permet de mettre davantage d’argent de côté !

    Esprit minimaliste

    Cette logique d’une vie encombrée d’un minimum d’objets s’inscrit parfaitement dans cette mouvance.

    Plus écologique

    Il va sans dire que votre empreinte écologique est plus faible si vous vivez dans un espace moins vaste.

    Vie sociale

    Un petit chez soi, mais un grand parc à proximité ? Voilà qui permet de troquer son sécateur et sa tondeuse contre une vraie vie sociale…

  • 4 conseils pour prévenir tout vol durant l’hiver

    Avec le passage à l’heure d’hiver, l’obscurité arrive beaucoup plus tôt. Des conditions parfaites pour un cambriolage qui s’effectuera ainsi plus discrètement !

    Ce n’est un secret pour personne, cette période de l’année est tout particulièrement propice aux cambrioleurs qui se glissent plus facilement à l’intérieur de nos maisons dans l’obscurité. L’occasion pour nous de revenir sur les bonnes habitudes à adopter afin que tout un chacun puisse passer l’hiver en toute sécurité !

    Eclairage

    Faites l’acquisition d’un ou deux timers auprès d’une enseigne de bricolage et laissez l’une ou l’autre lumière allumée lorsque vous vous absentez. Dans le même ordre d’idées, faites placer des éclairages munis d’un détecteur de mouvements tout autour de votre habitation, et plus particulièrement à proximité des portes d’entrée.

    Verrouillez tout !

    Veillez à toujours bien fermer vos portes et fenêtres lorsque vous quittez votre domicile, même si ce n’est que pour quelques minutes. Un vol est très vite arrivé !

    Quid de vos effets personnels ?

    Ne gardez jamais de grosses sommes d’argent en espèces ou de bijoux précieux à la maison et évitez les cachettes habituelles telles que le dessous d’un matelas ou l’arrière d’un tiroir. Prenez des photos de vos objets précieux et relevez puis notez le numéro de série de tous vos appareils électroniques et Hi-Fi.

    Vivons heureux, vivons cachés !

    Enfin, ne laissez pas en évidence (par exemple juste de l’autre côté d’une fenêtre) vos accessoires de valeurs tels un smartphone, une tablette, une montre ou encore un appareil photo.

    Pour toute recommandation complémentaire, n’hésitez pas à consulter le conseiller en prévention des vols de votre commune. Un service qui est généralement offert gratuitement par votre administration communale et qui est assuré en toute confidentialité.

  • 5 conseils pour choisir la couleur idéale pour votre salon

    Une envie de rafraîchir votre salon ? Voici nos conseils pour s’assurer de ne pas se tromper de couleur !

    living room
    Jon Nathon Stebbe

    Votre objectif ?

    Vous désirez agrandir visuellement votre salon, créer un côté « cocoon » ou qui sait, rétrécir la pièce ? Vous l’aurez compris, avant d’acheter des pinceaux, il faut d’abord savoir ce que vous voulez ! Les teintes plus claires agrandissent, tandis que celles qui sont plus sombres ont l’effet inverse. N’oubliez pas qu’une couleur peut fortement influencer l’atmosphère de votre maison !

    Tentez le coup !

    Qu’une couleur vous convienne ou non, vous ne le remarquez souvent qu’après avoir peint ou tapissé. Heureusement, il existe aujourd’hui des solutions à ce problème ! En effet, de nombreuses applications peuvent vous donner un avant-goût de la couleur choisie pour votre intérieur. Il existe également des bandelettes de test. Vous pouvez tout aussi bien peindre une petite bande et voir ce que ça donne… De nombreux fournisseurs de peinture proposent des mini pots que vous pouvez tester.

    Faites-vous confiance

    Internet et les magazines sont une excellente source d’inspiration, mais fiez-vous surtout et avant tout, à votre goût. Même si la tendance vous dicte le contraire ! Si vous n’avez pas vraiment de préférence pour une couleur particulière, un professionnel peut vous aider. Il peut s’agir d’un architecte d’intérieur ou d’un employé de l’atelier de peinture…

    Vous désirez deux teintes ?

    Ce n’est que notre conseil, mais si vous optez pour deux teintes, autant choisir des couleurs qui se démarquent l’une de l’autre ! Cela vous permettra de ressortir un mur et de donner un cachet supplémentaire à votre maison. Si vous préférez la sobriété, optez de préférence pour une teinte « pastel » et du blanc : impossible de se tromper en procédant de la sorte !

    L’erreur est humaine

    Si tout ne se passe pas comme vous l’aviez prévu, rassurez-vous, ce n’est pas une catastrophe ! Soit vous vous y remettez, soit vous décidez de vivre avec cette teinte pour quelques années. Peut-être vous y ferez-vous…

     

  • Une assurance « loyers impayés » ? Oui, ça existe !

    De nos jours, plusieurs types d’assurances permettent aux propriétaires de biens mis en location, de couvrir le risque de non-paiement des loyers. Des polices spécifiques qui éviteront les actions en justice, souvent longues et coûteuses, ou qui les faciliteront dans les cas les plus extrêmes.

    C’est légitime, les loyers impayés représentent une des principales craintes du bailleur. Un écueil à la fois financier mais aussi juridique, puisque lié à la procédure judiciaire qu’il entraîne. Aujourd’hui, il est néanmoins possible de se prémunir contre ce risque en ayant recours à des polices d’assurance ad hoc. De quoi mieux faire face à l’insolvabilité du locataire mais aussi aux actions en justice visant à récupérer les loyers dus.

    Plusieurs types de polices coexistent !

    On peut notamment citer l’assurance qui couvre les arriérés de loyers, que l’on peut bien entendu doubler d’une protection juridique. En fonction des conditions fixées par l’assureur, l’assurance rembourse généralement jusqu’à 12 mois de loyers non payés. Notez que la majorité des assureurs fixent un loyer mensuel maximal qui tient compte du type de bien ainsi que de sa localisation. Au-delà d’un certain montant, l’assurance n’offrira pas de garantie contre les loyers impayés.

    La protection juridique pour sa part, permet d’assister le bailleur lors des procédures de résolution du conflit. Une protection qui peut aller de la prise de contact avec des experts juridiques à une indemnisation de vos frais de justice.

    Les dégâts aussi !

    Il est aussi possible de se prémunir contre les dégâts locatifs (qui peuvent rapidement se chiffrer à plusieurs milliers d’euros) ou encore contre le départ anticipé de votre locataire. D’autres polices proposent aussi de mettre l’assuré en relation avec des hommes de métier en cas de besoin.

    De manière générale, on souscrira l’assurance loyers impayés en début de bail. De fait, les conditions générales de la majorité des contrats d’assurance ne permettent pas de souscrire une police du genre pour des baux déjà en cours.

    Enfin, pour ce qui est du coût d’une telle police, la prime varie généralement entre 3 et 5 % du loyer annuel, selon les options et le type de contrat d’assurance choisi.

  • Vos verres blanchissent au lave-vaisselle ? Voici notre astuce !

    Quoi de plus frustrant que de laver des verres flambant neufs au lave-vaisselle et de les voir ressortir avec des auréoles blanches dont il est ensuite impossible de se débarrasser ?

    Le “blanchiment des verres” peut survenir dans différents cas qu’il est bon d’identifier avant de commettre l’irréparable.

    Une des premières causes de blanchiment est tout simplement la qualité du verre. Les verres bas de gamme, lavés à une température trop élevée en machine, ont de fortes chances de blanchir, voire d’être rayés si vous recourez à des pastilles de lavage solides. Pour contourner cet écueil, privilégiez une température moyenne et un produit de lavage liquide. Si vous tenez à vos verres ou au service en cristal de tante Gertrude, lavez le tout à la main ! Vous éviterez ainsi tout risque de les iriser.

    Seconde cause : une eau trop riche en calcaire.

    Ne faites pas confiance aux produits soi-disant “tout-en-un” comprenant le détergent, le sel régénérant et le liquide de rinçage. Ne privez jamais votre lave-vaisselle de sel (qui va permettre d’adoucir l’eau, grâce à l’adoucisseur contenu dans la machine), ni de liquide de rinçage ! Votre vaisselle n’en sera que plus étincelante et la durée de vie de votre électroménager se verra prolongée !

    L’occasion de revenir sur le rôle du liquide de rinçage…

    En effet, si votre vaisselle est terne, n’hésitez pas à ajuster le réglage du distributeur de liquide afin d’augmenter la quantité qui sera libérée au terme de chaque lavage. Ce produit va tout simplement permettre à l’eau de s’écouler plus facilement et à votre vaisselle de sécher plus rapidement et sans laisser de trace !

     

  • Le bon plan de la semaine : une astuce anti-humidité, poussière et mites !

    L’arrivée de l’hiver implique souvent que l’on sorte les couettes et couvertures les plus chaudes et que le linge de lit estival file au placard. Il en va de même pour les vêtements, où l’on troque les tenues légères contre les cols roulés bien chauds.

     

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    Durant quelques mois, une partie de vos vêtements et de votre linge de maison ne sera donc ni portée, ni utilisée. Et, la moindre des choses, c’est de conserver tout ce petit monde à l’abri de la poussière, de l’humidité et des nuisibles comme les mites.

    La solution ? Les housses de rangement sous vide !

    Celles-ci, qui se présentent sous la forme de grands sacs, sont constituées d’une membrane en polyéthyléne, à la fois souple et imperméable. Concrètement, il suffit de plier vos vêtements et accessoires, de les disposer dans le sac puis de fermer ce dernier à l’aide d’une glissière intégrée. Ensuite, vous n’avez plus qu’à dégainer votre aspirateur afin de débarrasser la housse de l’air qu’elle contient, par l’intermédiaire d’un orifice dédié. La manœuvre va vous permettre de gagner jusqu’à 70 % de volume, le tout avec une protection optimale du contenu !

    Ces housses très pratiques se trouvent facilement dans le commerce ou sur les grands sites de vente en ligne. Des modèles compacts vous permettent même de faciliter l’agencement de vos valises lorsque vous partez en vacances !

  • Rénover avant la vente, une bonne idée ? Voici nos 5 conseils !

    Avant de vendre votre maison, vaut-il mieux la rénover pour en espérer un meilleur prix ou laisser l’acheteur s’en occuper ? Voici nos conseils…

    Si vous rénovez, respectez le budget !

    Si vous décidez de rénover votre bien avant de le vendre, fixez-vous un budget strict. Les frais de rénovation s’envolent rapidement et, avant même que vous ne vous en rendiez compte, vos dépenses dépasseront rapidement la plus-value espérée. De plus, toutes les rénovations ne sont pas aussi rentables les unes que les autres. Une règle à garder à l’esprit ? Il faut pouvoir récupérer au moins 3 fois chaque euro investi. Mais comment le savoir ? L’avis d’un professionnel est souvent votre meilleur allié…

    Consulter des spécialistes

    Comment déterminer les rénovations qui vous donneront le meilleur retour sur investissement ? Pour le savoir, nous vous conseillons de faire appel à un agent immobilier de votre région. Il connaît parfaitement la demande et connaît les besoins et les attentes de celle-ci. Il sera donc parfaitement à même de vous guider dans vos objectifs de rénovation.

    Salle de bain et cuisine

    Les deux pièces les plus importantes sont aujourd’hui, la cuisine et la salle de bains. Accordez-y une attention particulière mais ne dépensez pas non plus, plus que nécessaire.

    Restez aussi neutre que possible !

    En effet, vous désirez sans doute plaire au plus grand nombre, non ? Dans ce cas, oubliez tout style polarisant et optez pour des teintes neutres et classiques. Quitte à mettre vos propres envies de côté.

    N’allez pas trop loin !

    Bien entendu, votre propriété doit de préférence être en ordre et ne présenter aucun défaut. Sachez toutefois que les acheteurs auront sans doute envie d’y mettre leur touche personnelle et procéderont de toute manière, à quelques petites rénovations. Soignez donc d’abord les défauts de votre maison, avant de revoir la déco… Et surtout, demandez-vous toujours si vous pouvez tirer un profit de vos rénovations !

  • Le leasing immobilier : une nouvelle formule pour les classes moyennes ?

    Les jeunes et les classes moyennes sont souvent confrontés à un problème quasi insoluble : ils sont trop riches que pour accéder à un bien social et trop pauvres que pour acheter leur propre logement. Comment faire ? La formule du leasing pourrait séduire…

    Le leasing immobilier existe en Belgique, mais principalement sous forme B2B et ne s’adresse donc quasiment pas aux particuliers. En France, In’li, une filiale du groupe Action Logement, propose une formule innovante : le leasing immobilier. Le Figaro Immobilier relaye le modus operandi : les candidats louent le bien sur une période comprise entre 5 et 10 ans. En plus du loyer, ils payent un supplément de 100 à 200 euros par mois : ce montant constituera l’apport personnel. A en croire les premières estimations sur les projets pilotes, pour un même revenu, ce procédé permet d’accéder à un bien plus grand de 10 %.

    Benoist Apparu, président du directoire d’In’li et, accessoirement, ancien ministre délégué au Logement, explique son point de vue : « ce modèle d’accession à la propriété pour ces logements intermédiaires […] doit se faire sans réclamer un centime à l’État ». Notez qu’à l’instar de ce qui se fait dans le monde automobile, l’achat n’est jamais obligatoire.

  • Offrir plus que le prix demandé, est-ce vraiment une bonne idée ?

    Vous avez trouvé la maison de vos rêves ? Il y a de fortes chances que de nombreux acheteurs potentiels pensent comme vous. Proposer un prix supérieur à celui qui est affiché est quelque chose de courant de nos jours, mais est-ce vraiment la bonne solution pour s’assurer la maison ?

    Jusqu’à 20 % au-dessus du prix demandé

    Si l’on en croit le secteur, de nombreux acheteurs potentiels n’hésitent pas à offrir jusqu’à 20% en plus pour obtenir la propriété de leurs rêves. Offrir jusqu’à 20 % de plus que le prix demandé ne fait pas exception. Cependant, il y a de fortes chances que vous payiez votre propriété à un prix bien trop élevé…

    En cas de vente publique

    Lors d’une vente publique, il arrive régulièrement que les enchérisseurs dépassent l’estimation. Il s’agit du jeu de l’offre et de demande et le prix est souvent fixé juste en dessous de la valeur réelle pour susciter de l’intérêt.

    Si vous achetez via un agent immobilier, la situation est complètement différente : il est possible d’offrir un peu plus que le prix demandé, mais si vous allez bien au-delà, cela signifie généralement que vous vous laissez guider par vos émotions. Ce n’est évidemment pas une tragédie si vous pouvez le supporter financièrement et que vous comptez y habiter longtemps… Mais sans doute aurez-vous payé trop par rapport à la valeur du marché.

    Trop d’occasions manquées ?

    Il s’agit d’un processus émotionnel. Une personne qui aura raté de nombreuses occasions, parfois à cause d’offres trop basses, aura tendance à proposer un prix bien supérieur pour « sécuriser son bien ». Pourtant, la patience est une vertu. Il faut savoir garder la tête froide et regarder l’ensemble du marché, comme les propriétés similaires proposées dans le quartier. Peut-être pourrez-vous vous payer une maison encore plus belle, pour la même somme…