Auteur : francois

  • Crédence : Quel matériau pour ce mur anti-éclaboussures de votre cuisine ?

    La crédence, c’est la partie du mur située entre le plan de travail et les meubles hauts. Ce mur de protection n’est généralement pas une priorité. Néanmoins, si vous désirez donner à votre cuisine une touche unique, voici nos conseils !

    En pierre naturelle

     

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    Le granit, le marbre et la pierre bleue sont les matériaux les plus couramment utilisés dans les cuisines en raison de leur caractère non poreux. Ces matériaux sont résistants aux rayures et à la chaleur et sont faciles d’entretien. Matériau naturel oblige, chaque pierre est unique. Cela peut entraîner donc des différences de couleurs et de motifs… A voir si cela vous plaît…

    Inox

    Dans la plupart des intérieurs de type « industriel », on trouve une crédence en inox. Ce matériau est solide, hygiénique et facile à dégraisser. De plus, l’acier inoxydable a une longue durée de vie et est particulièrement abordable. Notez cependant qu’il se raye rapidement et que les taches sont vite visibles.

    Verre

     

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    Si vous désirez une harmonie entre votre plan de travail et votre crédence, le verre est une option incontournable. Ce matériau donne un aspect moderne à votre cuisine, mais il présente certains inconvénients : il se tache rapidement !

    Composite

    La popularité du composite ne cesse de croître. C’est un matériau très solide, durable, nécessitant peu d’entretien et qui peut être réparé. Attention toutefois aux zones trop chaudes et faites attention aux rayures.

    Carrelage

     

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    Nous terminons par un grand classique : le carrelage. Les possibilités en la matière sont énormes. C’est souvent la solution la moins chère, bien qu’il existe des carrelages hors de prix ! S’il est solide et résistant à l’humidité, le carrelage a pour inconvénient ses joints qui ramassent facilement la saleté et sa pose qui prend un certain temps.

     

  • Le crédit-pont : quels sont les pièges ?

    Si vous êtes sur le point d’acheter une maison, mais vous avez toujours le prêt de votre maison actuelle (encore invendue) sur le dos… Le crédit-pont peut être une solution ! Mais de quoi s’agit-il et quels sont les pièges?

    Qu’est-ce qu’un crédit-pont ?

    Un crédit-pont est un prêt qui vous permet de combler la période entre l’achat de votre future maison et la vente de votre maison actuelle. Une fois votre propriété vendue, vous devrez rembourser le crédit-pont en une seule traite, intérêts compris. Ce prêt est destiné aux personnes qui possèdent déjà une maison mais qui en cherchent une nouvelle. Il va sans dire que pour pouvoir bénéficier de ce prêt, vous devez être le propriétaire du bien à vendre. Un contrat de vente signé est également bienvenu.

    Combien coûte un crédit-pont ?

    Emprunter de l’argent n’est pas gratuit, il va donc sans dire que des intérêts devront être payés. De plus, il y a aussi des frais de dossier. Pour éviter de se retrouver dans l’impossibilité de rembourser le prêt après la vente de votre bien, un pourcentage du prix de vente de la maison (quotité) va déterminer le montant du prêt. Souvent, une garantie supplémentaire est requise. N’oubliez pas de calculer les frais de notaire, les droits d’enregistrement et autres frais administratifs !

    Les avantages d’un crédit-pont

    Cela permet de financer un nouveau bien sans avoir vendu l’actuel et donc, sans avoir encore réuni tous les fonds. Notez toutefois que la durée est calculée de manière assez large, souvent sur 12 mois. Vous n’avez pas vendu votre maison après 12 mois ? Une prolongation est possible.

    Comparer c’est gagner !

    Notez que les intérêts peuvent considérablement varier d’un organisme à l’autre. Notez également que vous êtes souvent obligé de contracter un crédit-pont auprès de la banque qui vous octroie un prêt sur votre nouvelle maison !

     

  • Installer une alarme : 5 erreurs classiques à éviter

    Sur le marché, il existe une quantité assez phénoménale de systèmes : comment faire le bon choix ? Quant à l’installation, est-elle à la portée d’un bricoleur du dimanche ou faut-il faire appel à un pro ? Voici quelques erreurs classiques à éviter…

    1.    Acheter un système proposé par un vendeur porte-à-porte !

    Si vous désirez installer une alarme par un professionnel, faites appel à un installateur agréé disposant d’un numéro de reconnaissance ainsi que d’une carte d’identification. Cela vous garantira un service professionnel, fiable et taillé sur mesure. Vous trouverez ici la liste de ces entreprises agréées. De plus, les ventes au porte-à-porte sont illégales si la valeur dépasse 250 euros.

    2.    Ne pas réfléchir comme un voleur !

    Oui, cela va sans doute vous rappeler quelques séries américaines composées de « profiler ». C’est d’un peu de cela qu’il s’agit : si vous étiez cambrioleur, quels seraient vos points d’accès à la maison ? Il ne s’agit pas forcément de la porte d’entrée ou du châssis du jardin ! Pensez donc aux fenêtres, au garage… Si cela vous paraît un peu trop flou, faites appel à un professionnel.

    3.    Installer les détecteurs au mauvais endroit

    Et c’est ici que ça se corse. Il existe deux types de détecteur : les détecteurs de mouvement qui font sonner l’alarme après quelques dizaines de secondes et les détecteurs d’ouverture qui enclenchent directement l’alarme. Si l’emplacement des seconds est assez évident (sur les châssis et portes des points d’accès) ; pour les premiers, c’est nettement moins facile : le détecteur doit avoir une vue globale sur toute la pièce, ne pas être bloqué par un meuble et ne pas sonner dès qu’un rideau remue par l’action d’une climatisation ou autre ! Notez au passage que les détecteurs devront être placés loin des appareils émettant des ondes (comme un Wifi, un four à micro-ondes)… Là encore, un professionnel peut vous aider.

    Dans le même ordre d’idée, éviter de positionner le clavier juste à côté de la porte d’entrée (partiellement vitrée) ou d’une fenêtre : les voleurs remarquent alors rapidement si l’alarme est branchée ou non !

    4.    S’en tenir à l’alarme

    Le meilleur ennemi des voleurs ? Le temps. Plus une porte est difficile à fracturer, moins elle sera susceptible à fracturer. Une alarme est dissuasive, mais un verrou manuel est lui aussi, très efficace. Pensez également à soigner l’éclairage extérieur (via un détecteur).

    5.    Ne pas avertir la police

    Depuis le 1er juillet 2010, il est obligatoire de déclarer son alarme auprès de la police. La police prévient : « Si votre système d’alarme n’a pas été déclaré, la police a le droit de neutraliser la sirène extérieure et le gyrophare, sans votre consentement ».

  • 5 isolants naturels aux propriétés remarquables

    Si Dame Nature fut le premier fournisseur de matériaux isolants durant des millénaires, elle a perdu du terrain au cours du XXe siècle avec l’arrivée des matériaux synthétiques et d’origine minérale. Mais la tendance s’inverse et les isolants naturels opèrent un important retour !

     

    Les isolants naturels sont généralement issus de la faune ou de la flore. Ils ont un impact quasiment nul sur l’environnement et leurs performances isolantes sont reconnues comme faisant partie des meilleures.

    Leurs inconvénients ?

    Au rayon des inconvénients, il faut relever un prix généralement supérieur à celui des isolants conventionnels ainsi que l’obligation de les traiter contre le feu, les moisissures et les rongeurs.

    La ouate de cellulose

    Ce premier matériau est fabriqué à partir de papier journal recyclé. Un isolant dont le tarif se démocratise de plus en plus et qui offre des performances en isolation remarquables. Il est généralement utilisé pour l’isolation de combles. De quoi assurer une bonne isolation du logement, été comme hiver.

    La fibre de bois

    Ici aussi ce matériau est issu du recyclage, en l’occurrence du bois recyclé de conifères. La fibre de bois possède d’excellentes caractéristiques isolantes, principalement en été. Grâce à elle, les locaux isolés resteront plus facilement au frais que ceux isolés à l’aide d’autres matériaux. En outre, c’est un matériau 100 % recyclable, dont le bilan carbone est très bon. On l’utilise principalement pour isoler des murs ou une toiture.

    La plume de canard

    Oui, vous avez bien lu ! La plume de canard est elle aussi utilisée dans l’isolation de logements. Pour ce faire, 70 % de plumes sont mélangées avec environ 20 % de polyester et 10 % de laine de mouton. Laine et polyester sont utilisés pour assurer une bonne tenue à l’ensemble, tout en assurant une résistance optimale face aux insectes et aux rongeurs. La plume de canard est aussi un très bon régulateur d’humidité, puisqu’elle peut absorber jusqu’à 70 % de sa masse en eau !

    La laine de lin

    Cultivé en Europe, le lin est utilisé dans de multiples filières, et notamment dans l’industrie textile. Comme aucun agent chimique n’est nécessaire pour le transformer, c’est un matériau particulièrement propre. En outre, ses fibres, relativement élastiques, en font un isolant acoustique performant. Et comme la plume de canard, le lin peut absorber bien plus d’eau qu’une laine minérale classique. Enfin, il est naturellement résistant aux insectes, aux champignons ainsi qu’aux bactéries. Un traitement anti-feu peut lui être appliqué. Il peut être utilisé partout dans la maison, à l’exception des sols.

    La laine de chanvre

    Ce matériau est élaboré à partir de la fibre de la plante du même nom. Une plante qui pousse rapidement, quasiment partout, et qui demande très peu d’entretien. C’est actuellement la solution écologique la plus performante du marché. Celle qui se présente sous la forme de panneaux, peut être utilisée pour isoler une toiture, le sol ou encore des murs. Complètement recyclable, et résistante aux moisissures comme aux rongeurs, on l’utilise tant pour l’isolation thermique qu’acoustique.

  • 5 bonnes raisons d’adopter ce nouveau type de chaudière !

    Vous envisagez de remplacer votre vieille chaudière au gaz et vous hésitez à opter pour un modèle à condensation ? Voici les 5 principaux avantages de ce type de chaudière.

     

    Les chaudières à condensation ont un mode de fonctionnement bien spécifique. Elles profitent en fait de la vapeur d’eau qui est générée par la combustion du gaz de ville. Une récupération de chaleur qui est ensuite renvoyée dans le circuit de chauffage.

    Ces appareils nécessitent 2 éléments importants, qui ne sont pas exigés par les chaudières conventionnelles : une évacuation vers le réseau des eaux usées, afin de pouvoir rejeter les résidus liquides générés durant la combustion, mais aussi une cheminée qui doit impérativement être tubée. Les fumées de combustion d’une chaudière à condensation sont en effet légèrement acides.

    Une foule d’avantages

    Les chaudières au gaz à condensation sont plus économiques que les chaudières conventionnelles, mais aussi que les chaudières “basse température”. Elles nécessitent par contre un raccordement au gaz de ville ou, à défaut, à une citerne. Ce type de chaudières exige également un entretien régulier (au minimum une fois tous les deux ans). Ces inconvénients mis à part, ces appareils n’ont que des avantages !

    À commencer par des économies de gaz qui peuvent s’élever à 30 % et ce grâce à la récupération de la chaleur latente présente dans les fumées de combustion. Réinjectée dans le  circuit de chauffage, cette énergie récupérée fait tout naturellement diminuer la consommation de l’appareil !

    Moins gourmandes en gaz, les chaudières à condensation sont aussi plus performantes. Elles atteignent en effet un rendement de plus de 100 %, toujours grâce à la récupération de la chaleur présente dans les fumées.

    Comme elles consomment moins de combustible qu’un appareil classique, la chaudière à condensation rejette moins de CO2 dans l’atmosphère, mais aussi moins d’oxyde d’azote. Elles sont donc plus respectueuses de l’environnement !

    En outre, si le prix du gaz de ville augmente chaque année, il demeure l’énergie la plus rentable. À ce jour, le gaz demeure la solution la plus économique en tenant compte de l’investissement initial (l’achat de la chaudière), de l’entretien ainsi que de la durée de vie de l’appareil.

    Enfin, l’achat d’une chaudière à condensation peut souvent être soutenu par différentes primes locales. En Wallonie, Ores vous offre une prime allant jusqu’à 400 € tandis que le raccordement au gaz naturel vous est offert. En Flandre, vous pouvez prétendre à une prime de rénovation si vous installez une chaudière à haut rendement pour chauffer votre habitation. La prime s’élève à 30 % des factures approuvées. À Bruxelles enfin, vous pouvez recevoir une prime d’installation allant jusqu’à 1.200 € !

  • Aménager votre grenier ? Voici nos 4 astuces !

    Vous comptez enfin faire quelque chose de votre grenier ? Parfait, voici nos 4 astuces pour vous aider à aménager cet espace souvent délaissé !

    attic
    Stephen Munley

    Pensez à isoler !

    L’isolation de votre toit est la première étape indispensable pour rendre votre grenier utilisable. Cela vous permet de profiter d’une température plus confortable, tout en réduisant les coûts énergétiques.

    Utilisez les murs en pente

    Les murs en pente ne sont pas toujours pratiques. Réfléchissez donc bien à l’utilisation de cet espace et tenez-en compte lorsque vous achetez vos meubles. Si des meubles bas sont une option bon marché, un mobilier sur-mesure est incontestablement la meilleure solution. Ce n’est pas bon marché, mais cela vous fait gagner beaucoup de place !

    Aménager en chambre ?

    Les pièces mansardées peuvent également de chambre à coucher, notamment pour les enfants. Pensez dès lors à des moyens d’assombrir la pièce, comme des stores ou des rideaux. Pensez-y avant de commander des fenêtres de toit !

    Agrandir visuellement ?

    Votre grenier vous paraît trop étroit ? Optez pour des couleurs claires qui vont agrandir votre grenier et lui donner un aspect douillet. Allez-y mollo avec la décoration et n’oubliez pas un grand miroir, pour une plus grande sensation d’espace !

  • Comment choisir et trouver le prêt au meilleur taux pour votre projet immobilier?

    Confinement oblige, nous remarquons plus facilement ces petits défauts à notre habitation qui mériteraient qu’on leur accorde du temps et, bien évidemment, des moyens. Et pour rencontrer ces derniers, il est intéressant de comparer ce qui est comparable. Aperçu des possibilités qui vous sont offertes.

    real estate credit

    Bien choisir son prêt pour effectuer des travaux de rénovation est souvent une question de taux. Pourtant, celui-ci n’est pas tout et sera également fonction du type de prêt envisagé. Retrouvez ci-après les différents types de prêts, leur raison d’être ainsi que leurs avantages et inconvénients.

    Le prêt personnel

    Ce prêt est très facile à souscrire, mais est assez limité dans les moyens mis à votre disposition. C’est donc naturellement pour de petits travaux qu’il sera le plus indiqué d’y faire appel.

    Les avantages du prêt personnel

    • Nombreuses offres en ligne avec gestion administrative simplifiée
    • Ne nécessite le plus souvent pas de dépôt de garantie
    • Ne nécessite pas d’acte notarié

    Les inconvénients du prêt personnel

    • Taux d’emprunt généralement plus élevé
    • Capacité d’emprunt limitée

    Le crédit hypothécaire

    Généralement octroyé pour l’achat d’un bien immobilier, le crédit hypothécaire peut aussi être demandé pour des travaux de rénovation, voire de reconstruction si ceux-ci sont plus importants.

    Les avantages du crédit hypothécaire

    • Permet un emprunt étalé à plus long terme
    • Offre des taux d’intérêt plus avantageux
    • Fait l’objet, sous condition, d’avantages fiscaux

    Les inconvénients du crédit hypothécaire

    • Nécessite la création d’un dossier hypothécaire entraînant des frais
    • Demande de prendre une hypothèque sur un bien immobilier existant.

    Le prêt travaux

    Comme son nom l’indique, le prêt travaux est parfaitement adapté à vos souhaits de rénovation et à votre désir d’en étaler les coûts dans le temps. Il offre généralement de meilleures conditions que le prêt personnel.

    Les avantages du prêt rénovation

    • Gestion simplifiée d’une addition de travaux de rénovation
    • Taux d’intérêt avantageux
    • Mensualité fixe

    Les inconvénients du prêt rénovation

    • Capacité d’emprunt limitée
    • Nécessité de pouvoir présenter des factures pour les travaux effectués

    La reprise d’encours

    Vous avez souscrit un crédit hypothécaire pour l’achat d’un bien immobilier et vous le remboursez depuis un certain temps. Vous pouvez alors effectuer une reprise d’encours du capital déjà remboursé pour financer votre projet.

    Les avantages de la reprise d’encours

    • Les conditions sont généralement avantageuses
    • Pas besoin de constituer une nouvelle hypothèque
    • Fait l’objet, sous condition, d’avantages fiscaux

    Les inconvénients de la reprise d’encours

    • Importants frais de dossier
    • Prêt soumis à inscription notariale

    Le prêt ‘vert’

    Lorsque vous envisagez d’effectuer des travaux de rénovation qui auront un impact sur le label énergétique de votre habitation, vous êtes en droit de souscrire un prêt ‘vert’ à des conditions avantageuses.

    Les avantages du prêt ‘vert’

    • Offre généralement faite à taux fixe et avantageux
    • Se combine aisément avec des primes et subsides liés à la rénovation
    • Capacité d’effectuer plus de travaux importants sur la facture énergétique

    Les inconvénients du prêt ‘vert’

    • Capacité d’emprunt souvent limitée
    • Obligation de fournir la preuve des travaux effectués

    Le prêt jardin

    Contre toute attente, de plus en plus de propriétaires voient dans leur jardin une pièce supplémentaire à vivre. Il n’entre toutefois pas dans les conditions, par exemple, d’un prêt rénovation. Le prêt jardin est alors indiqué.

    Les avantages du prêt jardin

    • Flexibilité quant à la capacité d’emprunt
    • Conditions avantageuses notamment quant au taux d’intérêt
    • Large spectre d’utilisation

    Les inconvénients du prêt jardin

    • Obligation de fournir des preuves de l’investissement effectué
    • Prêt limité aux seuls travaux dans le jardin

    Conseil : comparer pour emprunter gagnant

    Vous avez décidé du type de prêt dont vous aviez besoin. Ne faites pas comme une majorité des Belges : foncer tête baissée vers votre organisme financier habituel. Prenez le temps d’effectuer les comparaisons entre les différentes offres sur le marché et déterminer le rapport qualité/prix qui répond le plus à vos attentes. Il existe, pour cela, des sites comparateurs de taux d’intérêt.

    Fonds propres plutôt que prêt personnel ?

    Un adage populaire dit qu’une personne qui paie ses dettes s’enrichit. Cela signifie-t-il pour autant qu’il est préférable de puiser dans ses fonds propres pour effectuer ses travaux de rénovation plutôt que de souscrire un prêt personnel, un crédit hypothécaire ou toute autre formule évoquée ci-dessus ? Outre le fait que vos fonds propres ne sont peut-être pas suffisants pour couvrir les travaux de rénovation envisagés, trois inconvénients majeurs doivent être pris en compte :

    • Vous utilisez une épargne qui peut servir de bouée de sauvetage en cas de coup dur.
    • Vous limitez votre capacité de placement desdits fonds dans des solutions d’investissement au rendement supérieur.
    • Vous ne pouvez pas bénéficier des avantages fiscaux liés à différentes formules de prêt.
  • Sèche-linge : Les conseils d’un pro pour ne pas se tromper

    Le marché du sèche-linge se porte à merveille ! C’est en effet l’un des électroménagers les plus vendus aux côtés des machines à laver, avec une progression constante des ventes au fil des années. Un appareil de plus en plus indispensable pour les ménages qui, bien souvent, manquent de temps.

    Reste à choisir le modèle, les technologies se multipliant, tandis que la fourchette de tarifs s’étend, avec des entrées de gamme à 300 € et des Rolls du séchage à près de 2.000 € ! Nous avons donc demandé à Luc, un pro de l’électroménager, de donner ses bons plans. « Depuis quelques années, ce sont les modèles dotés de pompes à chaleur qui s’imposent, face aux modèles plus classiques, équipés d’une résistance, nettement plus énergivores. De même, les modèles à condensation, pourvus d’un réservoir, remportent eux aussi de plus en plus de succès face à leurs concurrents conventionnels qui exigent une évacuation pour fonctionner convenablement. », nous explique-t-il d’emblée.

    Quelques règles à suivre pour bien choisir

    Avant de jeter votre dévolu sur un appareil flambant neuf, assurez-vous de pouvoir l’accueillir dans des conditions optimales. À commencer par votre installation électrique : « disposez-vous d’une prise d’un ampérage de 16A, pourvue d’une mise à la terre, à l’endroit où vous comptez installer le sèche-linge ? Idéalement, cette prise ne doit pas être reliée au même circuit que la machine à laver » commente Luc.

    Mais il n’y a pas que l’équipement électrique, nous explique Luc : « il faut disposer d’un local pourvu d’un sol bien stable, idéalement constitué de carrelage ou de béton lissé. La pièce doit aussi être bien aérée, afin que le sèche-linge puisse “respirer” durant son fonctionnement. »

    À condensation ou à évacuation ?

    Au contraire des sèche-linge à évacuation, les appareils à condensation fonctionnent en circuit fermé. « L’appareil doit donc être placé dans une pièce d’une superficie d’au moins 8 à 10 m² tandis qu’il faut veiller durant la belle saison à ce que la température du local ne dépasse pas les 30°. En outre, il faut vider, après chaque séchage, l’eau qui s’accumule dans le bac de récupération. Des contraintes moins importantes pour les sèche-linge à évacuation qui, par définition, évacuent l’air humide grâce à un conduit qu’il convient de raccorder à une bouche donnant idéalement sur l’extérieur : soit par la fenêtre de la pièce où l’appareil est installé, soit en faisant sortir le bout de la gaine, soit encore en raccordant directement la gaine d’évacuation sur une bouche d’aération ». Si aucune évacuation n’est possible, il faudra alors opter pour un modèle à condensation.

    Enfin, si vous manquez d’espace, sachez que bon nombre de sèche-linge peuvent être placés sur une machine à laver. Si les deux appareils sont de la même marque, il existe des “kits de superposition” faciles à installer et qui assurent une parfaite stabilité à l’ensemble.

  • Feuilles mortes : 5 moyens de les « recycler » !

    Alors que le général hiver s’est installé dans ses quartiers, nous sommes encore nombreux à avoir des résidus de l’automne dans nos jardins : ces feuilles mortes aux couleurs contrastantes ! Vous ne savez qu’en faire ? Voici nos conseils !

    Ne laissez jamais ces feuilles au sol trop longtemps ! En effet, lorsque la saison est très pluvieuse, la couche de feuilles mortes va empêcher l’évaporation de l’eau, favoriser l’humidité et donc le développement de parasites et champignons, tout en empêchant votre gazon de profiter d’une lumière qui a tendance à se faire rare en cette saison.

    Pour ramasser ces feuilles, rien de tel qu’un bon râteau qui, en outre, vous permettra de supprimer la mousse qui se forme sur la pelouse. Procédez toujours dans le sens du vent afin d’éviter que ce dernier ne renvoie les feuilles mortes à l’opposé du tas vers lequel vous vous dirigez en ratissant.

    Une fois ramassées, que peut-on en faire ?

    1. Les feuilles mortes sont excellentes pour enrichir un compost ! Par contre, avant de les mélanger à celui-ci, mieux vaut les broyer à l’aide d’une machine ad-hoc. Elles favoriseront ainsi la création d’un terreau équilibré.
    2. Les feuilles peuvent également servir à pailler votre potager durant son repos hivernal. Composez une couche de 10 à 15 cm de feuilles afin de prévenir tout tassement tout en enrichissant la couche superficielle de votre jardin potager grâce à la décomposition progressive de ces feuilles. Veillez néanmoins à ne pas utiliser de feuilles de noyer ou issues d’un arbre malade.
    3. Elles peuvent également servir à protéger du froid de jeunes plantations. Il suffit pour cela de disposer une couche de feuilles autour du plant. Veillez cependant à aérer de temps en temps cet amas de feuilles, afin qu’il ne se charge pas en humidité.
    4. Votre terrain s’étend à perte de vue et certains coins ne sont pas visibles depuis la maison ? Vous pouvez alors laisser des tas de feuilles mortes à l’air libre. Ceux-ci constitueront un abri pour les petits animaux, comme les hérissons, les grenouilles et autres crapauds qui pourront s’y réfugier mais aussi y trouver de la nourriture !
    5. Enfin, vous pouvez également utiliser des feuilles mortes pour constituer des objets décoratifs ou des bricolages pour les enfants. Privilégiez bien entendu les feuilles propres et intactes. Vous pourrez alors constituer un herbier ou colorer et customiser les feuilles à l’aide de peinture de couleur vive.
  • Revêtement de sol en PVC : le bon plan ?

    Moins connus que les sols en vinyle, les sols en PVC sont encore relativement peu connus. Très proches des sols en vinyle, ils s’en distinguent par leur méthode de fabrication.

    Facile à entretenir

    L’un des plus gros avantages est sans aucun doute le fait qu’un sol en PVC est facile à entretenir. Passez la serpillière, l’aspirateur et c’est tout. De plus, ce type de sol est souvent à l’épreuve des rayures, ce qui est bon à savoir si vous avez des enfants ou des animaux de compagnie. Autres avantages : ils présentent une belle isolation acoustique et sont parfaitement compatibles avec un système de chauffage par le sol.

    Où le poser ?

    Résistant à l’eau et aux chocs, ce type de sol est naturellement parfaitement à sa place dans les cuisines et les salles de bains. Notez de plus que les hôpitaux, les restaurants et autres lieux publics en sont assez friands.

    Comme du vrai bois !

    Les modèles haut de gamme sont très difficiles à distinguer du vrai bois, certains proposant même du relief ! Jetez un coup d’œil aux derniers modèles, vous serez sans doute bluffés !

    Inconvénients ?

    Les gros chocs peuvent se marquer, le plancher doit être parfaitement droit, le prix est parfois dissuasif (et les modèles d’entrée de gamme sont à éviter) et enfin, ce matériau est peu respectueux de l’environnement.