Auteur : francois

  • 5 Conseils | Comment remeubler une maison avec un budget limité ?

    Votre budget rénovation est limité mais votre intérieur a un besoin d’un grand coup de frais ? On vous rassure, il est possible de revoir votre décoration sans dépenser une fortune !

    Restaurez vos meubles

    Non, il ne faut pas nécessairement vous débarrasser de vos vieux meubles ! Via une bonne séance de ponçage, suivie d’une couche de peinture, il est souvent possible de remettre à neuf quelques vieilleries. De nouvelles poignées et de nouvelles charnières peuvent également faire des miracles !

    Vendez vos vieux meubles

    Vos meubles n’ont aucune valeur pour vous ? Cela ne veut pas dire que tout le monde est du même avis ! Plutôt que de vous en débarrasser, essayez d’abord de les vendre ! Le net et les brocantes sont vos nouveaux amis…

    Acheter d’occasion

    Acheter d’occasion, cela permet de soulager à la fois votre portefeuille et la planète. N’hésitez pas à vous inscrire aux systèmes d’alerte sur tous les sites de seconde main que vous fréquentez.

    Construisez vos propres meubles

    Construire ses propres meubles est, dans certains cas, techniquement accessible. Le budget pour quelques palettes et le matériel nécessaire est souvent bien inférieur à celui d’un mobilier neuf !

    Profiter des ristournes

    Inutile d’attendre la période des soldes pour profiter de ristournes importantes : la plupart des magasins et des sites de vente de mobilier proposent un « coin des bonnes affaires ». Allez y faire un tour !

     

  • Chauffage : Voici la première source d’énergie renouvelable utilisée par les Belges

    Le bois est la 1ère source d’énergie renouvelable utilisée en Belgique pour le chauffage domestique et ce combustible gagne chaque année du terrain sur le gaz ou le mazout.

    Comment a évolué le secteur du bois-énergie ? Comment est réglementé le chauffage au bois ? Pourquoi ce combustible est-il considéré comme renouvelable et neutre en CO2 ? Que peut-on faire, à son échelle, pour rendre cette source de chaleur encore plus efficace et durable ?

    Des appareils récents très performants

    Ces dernières années, le secteur du bois-énergie a fortement évolué. On trouve différents combustibles (bûches, pellets, plaquettes, etc.) et les avancées technologiques ont permis l’apparition de systèmes de chauffage performants, pratiques et faciles d’utilisation.

    Contrairement aux idées reçues, les poêles et inserts à bûches récents affichent des rendements impressionnants allant de 75 à 90 %, voire plus. Par ailleurs, ces appareils respectent des normes d’émissions plus strictes, contrairement aux anciens poêles qui ont généralement un rendement faible (moins de 50 %) dû notamment à l’absence d’une arrivée d’air secondaire et sont source de pollution.

    Une combustion réglementée et bien maitrisée

    Au niveau européen, les états membres ont mis sur pied une procédure de certification des installateurs d’énergies renouvelables. La certification est effective en Wallonie depuis plusieurs années de manière coordonnée avec les 3 régions. On parle du certificat Qualiwall, géré par le SPW Energie.

    Le bois, un combustible renouvelable et neutre en CO2

    C’est par le phénomène de combustion que le bois se transforme en énergie avec, si certaines conditions sont respectées, un bilan carbone neutre.

    Parmi les conditions :

    • le bois utilisé doit être issu de forêts gérées durablement, d’où l’intérêt d’utiliser du bois certifié ;
    • les émissions de CO2 liées aux opérations d’abattage, transport et transformation soient réduites au maximum, d’où l’intérêt d’utiliser du bois local.

    La combustion du bois est considérée comme neutre en CO2 car le CO2 émis durant la combustion correspond au CO2 capté par l’arbre lors de sa croissance.

    L’importance d’utiliser des bûches bien sèches

    Pour être utilisées efficacement, les bûches doivent impérativement avoir séché 2 ans, avec une humidité pouvant descendre jusqu’à 20 % et un PCI (contenu énergétique) pouvant monter jusqu’à 3,9 kWh/kg. En utilisant du bois bien sec, l’utilisateur y gagnera en consommation et il polluera nettement moins.

    Quelle taille pour les bûches ?

    Oui, la taille des bûches compte aussi ! Si votre appareil de chauffage est prévu pour des bûches de 60 cm, inutile de tenter d’y glisser une de 90 cm. Les dimensions standard varient de 25 à 50 cm, avec une longueur intermédiaire de 33 cm. A savoir que leur diamètre idéal doit être compris entre 10 et 15 cm.

    Source : VALBIOM.be

  • Tuiles en béton : le bon plan ?

    La tuile en béton a la cote ! Et pour cause puisqu’elle offre une solution de couverture de toiture économique et émettant peu de substances nocives lors de sa conception tout en ne nécessitant que peu d’énergie. Mais ces tuiles sont-elles vraiment la panacée ?

    Nettement moins connue que la tuile en terre cuite, son homologue en béton possède pourtant de nombreuses qualités. Concrètement, la tuile en béton est constituée d’un mélange de sable, d’eau, de ciment et de pigments minéraux. Au contraire de la tuile en terre cuite, celle en béton ne nécessite pas une cuisson à haute température puisqu’elle devient ferme grâce au durcissement du mélange.

    En outre, fabriquées sur base d’un moule, les tuiles en béton ont toutes la même forme et permettent une couverture parfaite de la toiture. Elles conviennent tant aux toits plats qu’à ceux en pente. Enfin, la tuile en béton est réputée pour son excellente résistance au gel.

    Les avantages

    Les points forts de la tuile en béton sont nombreux :

    • un prix moins élevé que celui des ardoises ou des tuiles en terre cuite ;
    • une large palette de couleurs grâce au recours à des pigments colorants ;
    • une étanchéité quasiment parfaite ;
    • une résistance aux très basses températures ;
    • un processus de fabrication écologique.

    Et les inconvénients ?

    Si la tuile en béton à tout pour rivaliser avec celles en terre cuite ainsi qu’avec les ardoises traditionnelles, elle souffre pourtant d’une mauvaise réputation. La faute à des préjugés qui n’ont aujourd’hui plus lieu d’être :

    • la tuile en béton ne se décolore pas au fil du temps ;
    • elle ne favorise pas la formation de mousse sur la toiture ;
    • elle n’est pas inesthétique ;
    • elle ne doit pas être remplacée après une vingtaine d’années.

    En fait, les vieux clichés qui collent à la peau de la tuile en béton sont tous obsolètes. Le processus de fabrication et le mélange utilisé de nos jours assurent une qualité et une durabilité sans faille. Cerise sur le gâteau, arrivée au terme de sa vie, la tuile en béton peut être entièrement recyclée pour faire des granulats !

  • Refinancer votre crédit hypothécaire : les points à tenir à l’oeil

    Le nombre d’emprunteurs qui renégocient leur emprunt hypothécaire auprès d’une banque concurrente part à nouveau à la hausse. Voici les points à prendre en compte avant de se lancer ! 

    Avant toute chose, il faut savoir que :

    • Pour qu’un refinancement d’emprunt hypothécaire soit intéressant, la durée de remboursement de votre crédit hypothécaire doit encore être d’au moins 10 ans. 
    • En outre, il faut aussi que la différence de taux annuel soit de minimum 1 % entre votre taux actuel et celui que vous pourriez obtenir. 
    • Enfin, il est capital de comparer des produits similaires et donc, par exemple, un taux variable avec un autre taux variable. 

    Taux variables

    À propos des taux variables justement, ne vous jetez pas trop vite sur cette possibilité car ceux-ci sont actuellement intéressants. En effet, choisir une formule à taux variable quand les taux sont au plus bas, c’est risquer de voir le montant de votre mensualité grimper en flèche lorsque les taux d’intérêt repartiront à la hausse. Il est important de garder ce facteur à l’esprit.

    Que dit votre banquier? 

    Autre conseil : avant de courir auprès de toutes les banques et de tous les courtiers, négociez d’abord avec votre banquier actuel ! Celui-ci fera peut-être un geste commercial en diminuant le taux de votre crédit. Sachez néanmoins que vous aurez très certainement des frais de dossier et une indemnité de remploi à régler (celle-ci se calcule sur base du solde qui reste à rembourser, que l’on multiplie par le taux d’intérêt puis par 3/12). 

    De multiples frais !

    Si votre banque actuelle ne fait aucun geste en votre faveur, vous pouvez alors prendre contact avec d’autres organismes financiers. Pour juger de l’intérêt de l’opération, il convient, ici aussi, de s’assurer qu’elle est financièrement intéressante, en sachant que les frais de refinancement d’un emprunt sont loin d’être négligeables ! Ceux-ci sont en effet multiples, allant de l’indemnité de remploi (cf. supra) aux frais de mainlevée en passant par des frais de dossier et le coût lié à l’adaptation de votre assurance solde restant dû. Si une nouvelle hypothèque est nécessaire, vous devrez également régler des frais de notaire.

    En moyenne, les frais de refinancement peuvent grimper à 9.000 € pour un emprunt de 200.000 € !

    François Piette

  • Portes coulissantes : 4 avantages !

    Doucement mais sûrement, les portes coulissantes reviennent à la mode dans nos maisons. On vous en donne les 4 raisons !

    Fusionner avec votre jardin 

    Une porte coulissante permet de fusionner l’intérieur et l’extérieur de manière quasi transparente. Vous avez une vue ouverte sur votre jardin et votre salon semble visuellement agrandi. 

    Espace mieux utilisé

    Contrairement aux portes normales, une porte coulissante ne prend pas de place une fois ouverte. Cela vous permet d’exploiter au maximum l’espace disponible. 

    Aération

    Une porte coulissante peut facilement être laissée entrouverte, ce qui permet une aération optimale des lieux.

    Tout est possible !

    Oubliez les modèles fragiles d’il y a une trentaine d’années. Aujourd’hui, en matière de finition et de matériaux, tout est possible ! Une porte coulissante de qualité peut d’ailleurs apporter une petite plus-value à un bien. 

  • Votre escalier grince ? Nos 5 conseils !

    Si certains trouvent cela charmant, il faut bien avouer que nous sommes une majorité à ne pas vraiment supporter un escalier qui grince ! Mais comment les supprimer ? Voici nos astuces !

    stairs
    Erda Estremera

    Pourquoi votre escalier grince-t-il ?

    Il existe plusieurs raisons :

    • Le bois réagit aux changements de température. Lorsque vous commencez à chauffer votre maison, des craquements peuvent se faire entendre. Le bois gonfle quand il est chaud et se contracte quand il est froid.
    • Le nombre de fissures est aussi important. Un vieil escalier grince davantage.
    • Plus votre maison est humide, plus le risque de craquement est élevé.
    • A force de marcher dessus, le bois de l’escalier peut se déformer. Il en va de même pour toutes les fixations.

    Comment atténuer les craquements ?

    • Localisez les marches (et contremarches) responsables des craquements. Si vous voyez des interstices, bouchez-les avec de la pâte à bois.
    • Cela peut sembler étrange, mais du… talc peut également atténuer le bruit. A disperser sur les fissures.
    • Les marches d’un escalier sont fixées à un limon. Il y a parfois du jeu entre les deux. Une cale peut supprimer ce jeu.
    • Repeindre toutes les marches à l’huile de lin est une bonne solution, très peu onéreuse.
    • Dernière solution : planter des clous en diagonale pour fixer la marche à la contremarche. Camouflez ensuite le tout avec de la pâte à bois.

     

  • Combien devez-vous gagner pour emprunter 250.000 euros?

    250.000 euros, c’est, à la grosse louche, le prix médian d’une maison en Belgique. Mais pour financer une maison à 250.000 euros, combien devez-vous gagner?

    Tout s’abord, sachez que les banques ne prêtent généralement plus à 100 %. Celles-ci proposent en effet des prêts hypothécaires à environ 80% du prix de la maison. Cela signifie que vous devrez non seulement financer les 20 % restants, mais aussi les frais d’acte d’achat. Selon la région, ces derniers vont s’élever entre 25.000 et 35.000 euros.

    Concrètement, combien devez-vous apporter?

    La somme des 20 % du prix de la maison et des frais d’acte d’achat s’élève donc à environ 80.000 euros. Une sacrée somme qui peut faire peur de prime abord, mais sachez que quelques banques acceptent encore de prêter jusqu’à 90%. De quoi réduire la note de 25.000 euros environ…

    Combien devez-vous gagner?

    Pour un prêt de 200.000 euros sur une durée classique de 20 ans, le remboursement mensuel tournera aux alentours de 1.000 euros par mois. Les banques conseillent généralement de disposer de revenus nets trois fois supérieurs à votre emprunt. Le ménage devra donc gagner environ 3.000 euros nets par mois. Notez que ce dernier chiffre peut fortement varier, notamment selon la composition du ménage.

  • Vous avez des enfants ? 4 accessoires indispensables dans votre maison !

    Quels sont les éléments indispensables à toute maison abritant des enfants ? Vaste question ! Nous en avons répertorié 4 !

    1.       Rangement multifonctionnel

    Un espace de rangement qui peut faire aussi fauteuil, c’est l’idéal ! Cela permet aux enfants de s’y détendre, de lire un livre et d’y ranger de nombreux jouets…

    2.       Accessoires pédagogiques

    Une carte du monde pour apprendre les pays, un calendrier ludique pour connaître les jours de la semaine, une petite maison à serrures pour la motricité fine… Voilà des accessoires aussi ludiques qu’indispensables.

    3.       Un tableau

    Les enfants ont souvent envie de faire comme leur maître(sse) d’école, en dessinant et écrivant sur un grand tableau noir et/ou magnétique. Voilà qui est parfait pour apprendre à écrire !

    4.       Tente de jeu

    Encombrantes, mais légères et facilement repliées, ces tentes permettent à vos enfants de jouer à l’abri des regards. La plupart des enfants désirent créer leur « propre chez eux » !

     

  • Achat immobilier : Les jeunes acheteurs semblent faire la même erreur…

    Les jeunes Belges désireux d’acheter leur propre logement ont du mal à estimer le coût financier total de leur achat. C’est ce qui ressort d’une enquête menée par Axa Banque auprès de 1.000 personnes âgées de 22 à 35 ans.

    Outre le prix d’achat d’une maison, l’acquéreur doit s’acquitter d’un certain nombre de coûts supplémentaires mais la moitié des jeunes propriétaires interrogés (50%) disent qu’ils n’avaient pas une idée claire de tous ces coûts.

    Voici ce que les jeunes acheteurs oublient le plus souvent :

    • le coût de l’assurance incendie,
    • les frais de dossier à la banque,
    • le coût de l’assurance solde restant dû,
    • les droits d’enregistrement,
    • les frais de notaire.

    Le montant total des coûts lors de l’achat d’une habitation existante se situe entre 10 et 20% du prix d’achat, avec des différences selon la région, la taille du bien, etc. Il ressort également de cette enquête que seul un jeune acheteur sur trois parvient à estimer correctement le coût total.

  • Îlot de cuisine : Les 3 raisons qui font encore hésiter certains Belges !

    Ouvrez la plupart des magazines de déco et lorsqu’il est question de cuisine, vous verrez forcément un îlot central. Elégant et ultra convivial, ce dernier semble avoir conquis toutes les maisons modernes. Vraiment ? Non, pas toutes. En voici 3 raisons !

    1.    Cuisine trop petite

    Dans une cuisine de moins de 10 ou 15 m², soyons honnêtes, l’îlot central est autant à sa place qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine : c’est gros, encombrant et vous aurez beaucoup de mal à tourner autour. Non, l’îlot central n’apporte pas un gain de place, car il vous faut un espace de circulation de grand minimum un mètre tout autour.

    2.    Les petits îlots ne sont d’une grande utilité…

    Il faut bien le reconnaître, si votre îlot doit voir ses mensurations réduites à un minimum absolu pour s’accommoder d’un manque de place, vous risquez d’être déçu à l’usage. En effet, s’il est dénué de fonctionnalités, l’îlot encombrera inutilement l’espace. Dans ce cas, autant opter pour une cuisine traditionnelle fixée au mur, infiniment plus adaptée aux petits espaces.

    3.    En cas de rénovation, c’est complexe…

    En effet, installer un îlot central dans une cuisine qui n’était à la base, pas prévue pour en être équipée peut vite devenir compliqué. Il vous faudra prévoir une arrivée d’électricité, mais aussi et surtout une arrivée et une évacuation d’eau si vous désirez y installer un évier et/ou un lave-vaisselle. Voilà qui peut engendrer un rehaussement du sol et, de manière générale, des coûts importants. Voilà pourquoi, dans le cadre d’une rénovation, les îlots ne disposent souvent que d’une arrivée d’électricité.