Auteur : francois

  • Plantes carnivores : l’arme secrète pour se débarrasser des moustiques !

    Les plantes carnivores font peut-être peur, mais elles sont surtout et avant tout, extrêmement efficaces pour se débarrasser des moustiques, mouches et autres moucherons !

    sarracénie
    Rapha Wilde

    Avec des noms évocateurs comme la dionée attrape-mouche ou la népenthès, ces plantes intrigantes capturent et digèrent les insectes grâce à des mécanismes naturels pour le moins impressionnants ! Elles sont idéales pour un jardin ou une terrasse où les nuisibles ont l’habitude de s’inviter.

    Choisir la bonne plante carnivore

    Chaque plante carnivore a ses spécialités. Par exemple, la sarracénie attire les moustiques grâce à son nectar avant de les piéger dans ses feuilles en forme de tube. De son côté, la dionée se referme rapidement sur les insectes imprudents, tandis que les népenthès les attirent avec des urnes remplies de liquide digestif. En plus de leur efficacité redoutable, ces plantes ajoutent une touche exotique à n’importe quel espace vert.

    sarracénie
    Job Vermeulen

    Un entretien facile pour un effet maximum

    Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les plantes carnivores sont relativement faciles à entretenir. Elles nécessitent simplement une exposition lumineuse adaptée et une eau non calcaire pour rester en bonne santé. En échange, elles veilleront à réduire la population d’insectes dans votre maison ou votre jardin. N’allez toutefois pas laisser vos enfants les tripoter dans tous les sens…

  • Paris : la grille des loyers, trop facile à contourner ?

    La grille des loyers : une arlésienne voulue par les partis de gauche en Belgique… Mais une réalité chez nos voisins, notamment à Paris ! Toutefois, le système compte des failles exploitables.

    Paris
    Alexander Kagan

    À Paris, l’encadrement des loyers, introduit par la loi Elan en 2018, vise à protéger le pouvoir d’achat des locataires dans les zones tendues. Les propriétaires ne doivent pas dépasser un plafond fixé par mètre carré, ajusté selon divers critères comme l’année de construction ou le nombre de pièces. Techniquement parlant, on parle d’une marge de 20% maximum au-dessus d’un loyer de référence.

    Les failles du système

    Malgré de bonnes intentions, des failles subsistent. Aziliz Gautier-Guegan, experte en droit immobilier, souligne dans le Figaro que le système permet parfois d’ajouter des compléments de loyer (notamment si le bien dispose d’une caractéristique remarquable, comme une piscine, une vue extraordinaire, des finitions fabuleuses…) à justifier. « C’est la faille de cette loi« , déplore-t-elle, en mentionnant que cela permet à certains propriétaires de revenir au montant du loyer avant la réforme.

    Droits des locataires et recours légaux

    Les locataires peuvent demander le remboursement du trop-versé si le loyer dépasse le plafond légal. Cela commence par une tentative à l’amiable, suivie par une démarche auprès de la Commission de conciliation et potentiellement, un tribunal. Aziliz conseille de prendre un avocat dès le début en raison des subtilités, notamment des délais.

  • Explosion du nombre d’araignées : « Ne les tuez pas, elles ne vous mordront pas ! »

    Comme chaque année à la fin de l’été, période de reproduction oblige, les araignées semblent se multiplier dans nos habitations, envahissant les coins et recoins de nos maisons. Sont-elles réellement dangereuses pour nous ? Faut-il s’en débarrasser à tout prix ? Ou au contraire, faut-il faire preuve d’un brin de tolérance ?

    common house spider on a smooth tile floor seen from ground level in a kitchen in a residential home

    Nous avons décidé de poser ces questions à Nicolas, un spécialiste reconnu dans le domaine, afin de démystifier ces petites créatures souvent mal comprises.

    « Évitez autant que possible de les tuer », commence d’emblée Nicolas, avec un ton résolument rassurant. « En effet, contrairement à ce que véhiculent certaines légendes populaires tenaces, les araignées ne mordent et n’injectent leur venin que très rarement, généralement uniquement lorsqu’elles se sentent en danger et qu’elles sont provoquées. » Pour Nicolas, ces petites habitantes à huit pattes sont loin d’être des ennemies dans nos foyers : « Elles jouent un rôle essentiel dans l’écosystème de la maison. Elles régulent naturellement la population d’indésirables et contribuent ainsi à maintenir un environnement intérieur sain. Tout ce qui est moucherons, moustiques, cloportes, punaises ou encore puces fait partie de leur menu quotidien, ce qui en fait des alliées précieuses. »

    Comment s’en débarrasser ?

    Face à leur présence, il peut être tentant de vouloir les éliminer rapidement, que ce soit avec un coup de pantoufle ou en les déplaçant à l’extérieur pour les plus respectueux ! Pourtant, même cette seconde option n’est pas la meilleure solution. « Les araignées ont très peu de chances de survivre dans un environnement extérieur, surtout si elles y sont déplacées brusquement », explique Nicolas. Il préconise plutôt de les « déménager dans une cave ou un garage », un lieu où elles peuvent continuer leur cycle de vie en toute tranquillité.

  • La villa 4 façades : un fardeau pour la collectivité ? Quel sursis ?

    Les temps changent pour la villa 4 façades : entre coûts exorbitants et impacts environnementaux, quel est le sursis pour ce type de maison ?

    villa
    Max Vakhtbovycn

    Pendant des décennies, la villa 4 façades a incarné le rêve belge : un jardin, une maison spacieuse sans voisins immédiats et un certain sentiment de liberté. Mais aujourd’hui, ce rêve semble s’éloigner. Autrefois prisée, cette forme d’habitat perd progressivement de son attrait. La Flandre et la Wallonie voient les nouvelles générations se détourner de ce modèle, jugé trop coûteux et peu durable. Et le couperet légal viendra de toute façon y mettre un terme…

    Le coût d’un rêve devenu impayable

    La flambée des prix de l’immobilier et de l’énergie rend la construction ou l’achat d’une villa 4 façades, inaccessible pour beaucoup. Au premier trimestre de l’année 2024, le prix médian d’achat d’une telle maison atteignait 372.000 euros ! Autant dire une somme inatteignable pour les jeunes ménages, qui se tournent désormais vers des logements plus abordables, souvent en zones urbaines ou périurbaines. , privilégiant les maisons mitoyennes ou les appartements. Un nombre croissant de promoteurs préfèrent d’ailleurs se détourner de ce modèle. D’autant qu’à l’usage, une maison 4 façades se révèle bien plus onéreuse : il n’y a pas les voisins pour vous maintenir au chaud ! Toutes les façades sont en effet exposées aux éléments naturels !

    Un modèle écologiquement insoutenable ?

    Outre son coût, la villa 4 façades est critiquée pour son impact environnemental. L’étalement urbain qu’elle génère nécessite des infrastructures coûteuses (pour amener l’électricité, l’eau et évacuer cette dernière, notamment) et engendre des problèmes de mobilité (construction de routes, problématique des transports en commun souvent désertés) De plus, ce type de logement consomme davantage de ressources, tant en termes de foncier que d’énergie. Plus d’espace bâti, c’est moins d’espace agricole ainsi qu’un risque accru d’inondations.

    Quel avenir pour ce modèle?

    Face à ces défis, les gouvernements régionaux de Flandre et de Wallonie ont pris des mesures pour freiner l’artificialisation des sols. D’ici 2040 en Flandre et 2050 en Wallonie, il ne sera plus possible de construire sur des terrains vierges. Cela laisse évidemment encore un peu de marge, la villa 4 façades ne va donc pas disparaître subitement de tous les catalogues des constructeurs. En effet, ce type de maison reste toujours fort recherché, mais les contraintes légales et techniques risquent fort de réserver ce type de constructeur à une clientèle plutôt aisée.

  • Bons d’Etat : des taux ridicules qui rendent l’immobilier toujours plus intéressant !

    Vous vous souvenez de l’incroyable succès du bon d’Etat de 2023 ? Il y a fort à parier que celui de la rentrée 2024 ne rencontre pas un succès massif… D’abord parce que le taux est risible et ensuite, parce qu’il existe des alternatives nettement plus fructueuses !

    Tierra Mallorca

    A la manière d’un vendeur ambulant vantant les mérites de son poisson frais mais qui n’a plus vu la mer depuis belle lurette, l’Agence de la Dette a annoncé une nouvelle émission de bons d’Etat, avec un taux brut à la clé de 2,75% pour un an. Allez, dans un geste d’une formidable générosité, ils ont poussé le taux à 2,8% pour 10 ans. Formidable. Cela nous fait un misérable 1,925% net pour une année et à peine 1,96% net pour 10 ans. On ne va pas dire qu’il vaut mieux tout laisser dans le cochon rose ou sous le matelas, mais il existe d’autres alternatives !

    Et les comptes d’épargne ?

    A côté de ça, même les banques avec leurs classiques taux d’épargne (qui, aujourd’hui, frôlent, voire dépassent les 3% en comptant le taux de base et le taux de fidélité) font figure d’alchimistes qui transforment le plomb en or ! Bref, à moins d’avoir la conscience de Caius Maecenas, pourquoi s’embêter ?

    Et la brique ?

    En matière de rendement sûr et solide pour vos économies, la brique reste incontournable : un rendement locatif classique tourne aujourd’hui entre 3 et 5 %, auquel il faut rajouter la plus-value du bien au fil des années, ce qui fait un total compris entre 6 et 10 %, voire plus. Alors, certes, il y a les contraintes de la location et des éventuelles remises à niveau, mais cela reste, et de très loin, l’investissement solide le plus rentable !

    Alors ?

    Si la dernière mouture des bons d’État ressemble davantage à un test de fidélité patriotique qu’une réelle opportunité financière, la sagesse populaire et l’analyse économique suggèrent, encore et toujours, de vous retourner vers l’immobilier. Une vieille recette, certes, mais c’est dans les vieilles marmites que l’on fait les meilleures soupes !

  • Rénovation des escaliers : que faut-il savoir ? Quel budget prévoir ?

    L’escalier, c’est souvent la colonne vertébrale d’une maison. Autant dire que l’on peut comprendre si vous vous sentez agacé par son aspect vieillot ! Mais est-ce possible de le remettre à jour en peu de temps et avec un budget réduit ?

    Stairs
    Clay Banks

    Oui ! Donner un gros coup de frais à son escalier à moindre coût, c’est possible ! Une rénovation d’un escalier est souvent réalisable en une seule journée, avec un budget généralement raisonnable. Nous vous en disons plus !

    Rénover votre escalier, une question esthétique, mais aussi sécuritaire !

    Dans la majorité des cas, c’est l’esthétique qui motive une rénovation d’escalier. Cependant, pour un escalier ancien, des raisons de sécurité peuvent également justifier une intervention.

    • Modernisation rapide et économique : Pour un investissement limité en temps et en argent, vous pouvez donner un coup de neuf à votre maison.
    • Coût réduit par rapport à un escalier neuf : Rénover un escalier existant coûte souvent bien moins cher que de le remplacer par un modèle entièrement neuf.
    • Sécurité renforcée : Une rénovation peut améliorer la stabilité de votre escalier ou permettre l’ajout d’équipements comme une rampe ou un éclairage intégré.
    • Valorisation de votre bien immobilier : Un escalier usé peut sérieusement compromettre une vente immobilière. Investir dans une rénovation avant de mettre votre maison sur le marché peut être un choix judicieux.

    Quelles sont les options ?

    Lors de la rénovation de votre escalier, de nombreuses options s’offrent à vous, selon vos besoins et votre budget.

    • Revêtement : vous pouvez parfaitement vous limiter à poser un tapis. Evidemment, dans le cas d’un escalier aéré, c’est plus compliqué…
    • Coffrage : le coffrage est une autre solution, particulièrement adaptée si votre escalier est en béton ou carrelé. Vous pouvez le réaliser vous-même en utilisant des lattes de bois ou du parquet, mais cela nécessite des compétences en bricolage et du matériel spécifique. Faire appel à un professionnel est une alternative, bien que plus coûteuse.
    • Peinture et finition : Pour un escalier en bois, une nouvelle couche de peinture ou de vernis peut suffire à transformer l’apparence. Vous pouvez aussi opter pour une couleur contrastée sur les contremarches. Attention cependant à bien poncer avant d’appliquer la peinture, et à peindre une marche sur deux pour permettre le séchage sans bloquer la circulation. Optez pour des peintures résistantes et évitez les teintes trop vives qui s’usent et se démodent plus rapidement.

    Quel budget prévoir ?

    Le budget pour la rénovation d’un escalier peut varier considérablement. Il peut commencer à partir d’une centaine d’euros pour un simple ponçage et vernissage fait maison, et monter à plusieurs milliers d’euros pour un travail sur-mesure réalisé par un professionnel. Plus l’escalier est complexe ou long, plus le coût sera élevé. Les escaliers fermés ou avec un tournant nécessitent généralement un investissement plus important.

  • Incendie : 5 plantes qui empêchent la progression du feu

    Un feu, c’est vite parti, mais très compliqué à arrêter. Autant dire qu’en la matière, la prévention est essentielle ! Voici 5 plantes parfaites pour ralentir la propagation du feu.

    La “coupure agricole” est le terme utilisé pour désigner une zone qui isole la forêt d’un champ cultivé ou d’un jardin. Une bonne solution dans bon nombre de configurations qui nécessite la plantation d’espèces à même de ralentir voire de stopper les flammes dans leur progression.

    1.   La vigne

    vigne
    Howard Bouchervereau

    En la matière, la vigne constitue un coupe-feu d’une efficacité redoutable. En outre, avec le réchauffement climatique, celle-ci est désormais à même de s’épanouir sous nos latitudes. En s’attaquant à la vigne, le feu cause des dégâts importants aux vignes plantées sur la ligne de front, mais le feu ne pourra pas progresser plus loin et s’attaquer aux plants suivants. La disposition des vignes a donc ici toute son importance pour limiter la propagation d’un incendie. L’idéal c’est de les avoir à au moins 10 mètres des bois ou des bâtiments pour qu’elles soient vraiment efficaces.

    2.   L’olivier

    olivier
    Pille R Priske

    Cet arbre constitue lui aussi une bonne coupure en termes de combustible d’autant qu’il assurera un excellent rôle de coupe-vent, dès qu’il aura atteint l’âge adulte. De quoi ici aussi freiner efficacement la progression de tout feu.

    3.   Le châtaignier

    chataignier
    Tom Morel

    Son bois se consumant difficilement, le châtaignier est lui aussi connu pour limiter la propagation du feu. Aussi, le tapis de feuilles dont il recouvre le sol freinera également l’avancée des flammes.

    4.   Le ginko biloba

    Ginko Biloba
    Marilu Pereyra

    Cette espèce originaire d’Asie est probablement l’une des plus costaudes du règne végétal. En effet, c’est le seul arbre à avoir résisté aux radiations après l’explosion de la bombe nucléaire à Hiroshima et à s’être régénéré le printemps suivant !

    5.   Les cactus et autres agaves

    Cactus
    Thomas Verbruggen

    Ces plantes, gonflées en eau et en gel, sont toutes indiquées pour créer des “ceintures de sécurité” pour retarder la propagation des flammes. Elles peuvent donc être plantées en rangées afin de constituer une barrière coupe-feu, qui retardera la propagation des flammes.

    De manière générale, on bannira tous les résineux dont les essences de térébenthines les rendent hautement inflammables !

  • Des jeunes Britanniques prêts à tout pour un prêt immobilier, même à renoncer au sexe !

    Renoncer à une année entière de relations sexuelles pour obtenir un acompte sur une maison. Un sacrifice absurde? Pas pour une grande partie de la génération Z, en Grande-Bretagne . Selon un sondage réalisé par Bloom Stories, une plateforme britannique qui diffuse des musiques érotiques, la moitié des jeunes Britanniques nés après 1997 seraient prêts à faire ce sacrifice en échange d’un prêt immobilier.

    youn couple buy house

    Pour comprendre cette surprenante réponse, il faut se pencher sur la situation immobilière britannique. Avec des prix de l’immobilier qui montent en flèche et des taux de crédit qui grimpent, accéder à la propriété est devenu un véritable parcours du combattant pour les jeunes générations. En moyenne, il faudrait plus de 37 ans à un Londonien pour épargner de quoi constituer un acompte de 10 % sur une maison ! Face à ce mur financier, la génération Z semble prête à envisager l’impensable.

    Un choix générationnel

    L’enquête révèle une différence marquée entre les générations. Tandis que près de la moitié des jeunes de la génération Z se dit prête à renoncer au sexe pour un an si cela leur permettait de devenir propriétaires, les générations plus âgées, notamment les 45 ans et plus, privilégient encore la sexualité. Peut-être ont-ils déjà leur toit ou une épargne plus confortable, les mettant à l’abri de ce genre de compromis ! Ou alors, un divorce déjà lointain et une certaine disette intime ?

    Un acte de désespoir?

    Même si cette enquête est à prendre avec humour et recul, elle met tout de même en lumière une réalité inquiétante : l’accès à la propriété est devenu si difficile que certains jeunes seraient prêts à tout, même à renoncer à une partie essentielle de leur vie. Un choix qui en dit long sur les sacrifices que cette génération est prête à faire pour un rêve qui, autrefois, semblait bien plus accessible.

  • Royaume-Uni : 320.000 nouveaux pauvres à cause de la flambée des taux

    La hausse fulgurante des taux d’emprunt immobilier a poussé des centaines de milliers de Britanniques dans la pauvreté, révèle une étude.

    London real estate

    Le Royaume-Uni fait face à une crise immobilière sans précédent. Depuis décembre 2021, les taux d’intérêt ont explosé, passant de 0,1 % à 5,25 %, un niveau jamais vu depuis la crise financière de 2008. Cette situation a lourdement impacté les ménages britanniques qui ont renouvelé ou contracté des prêts immobiliers depuis 2022. Selon une étude de l’Institute for Fiscal Studies (IFS), environ 320.000 personnes sont tombées sous le seuil de pauvreté à la fin 2023 à cause de cette hausse.

    Des statistiques trompeuses ?

    L’IFS pointe également du doigt les statistiques officielles qui, en se basant sur un taux d’emprunt moyen, n’évalueraient l’impact de la crise que sur 230 000 personnes. Pourtant, beaucoup de ménages, notamment ceux qui ont refinancé leur prêt en 2022, sont particulièrement vulnérables. Ces dernières sont donc plus susceptibles d’être en retard sur leurs remboursements d’emprunt. Il reste à savoir comment le Parti travailliste, désormais au pouvoir, redressera la situation économique.

  • Les logements du village olympique de Paris : un bon plan investissement ?

    Les logements du village olympiques commencent à être vendus. Et si certaines langues anticipaient de vraies difficultés à cet égard, il semble que ces appartements s’écoulent à un rythme plutôt rapide !

    Dans le Figaro Immobilier, Florence Chahid-Nourai, directrice des grands projets Île-de-France pour Icade, rapporte que les logements du Village olympique commencent à trouver preneur, même si l’effet JO reste difficile à mesurer. Sur les 88 appartements mis en vente par Icade, près des deux tiers seraient déjà réservés à l’heure d’écrire ces lignes !

    Un engouement post-JO

    Après un début de commercialisation difficile en raison de la hausse des taux d’intérêt, la situation s’est améliorée ces derniers mois. Florence Chahid-Nourai ajoute que l’intérêt des acheteurs a débuté en février, principalement chez des primo-accédants et jeunes familles. Fait notable : « un athlète a même acheté un appartement », révèle-t-elle.

    Prix attractifs et futurs lancements

    Alors, un bon plan ces appartements ? Sans doute pour les primo-accédants qui désirent y résider et qui profitent d’une TVA réduite à 5,5%, avec des prix avoisinant les 6200 euros/m². Pour les investisseurs, le calcul est très différent, car les revenus locatifs sont soumis à l’impôt sur le revenu. Enfin, bon à savoir, après les Jeux paralympiques, de nombreux autres logements seront mis sur le marché.