Auteur : francois

  • Pourquoi installer un adoucisseur d’eau?

    « Un adoucisseur d’eau, ça change la vie » : voilà une remarque que l’on entend régulièrement. Mais en quoi un adoucisseur d’eau peut-il bien changer notre quotidien ?

    Le calcaire, largement présent dans l’eau de ville, c’est un parasite qui vient nous gâcher le quotidien : parois de douches blanchies, robinets bloqués, canalisations bouchées, électroménager endommagé… Cet ennemi bien connu raccourcit non seulement la durée de vie des appareils, mais il nous empoisonne également dans nos tâches ménagères.

    L’adoucisseur d’eau, via un échange d’ions, va éliminer le calcaire présent dans l’eau. Les effets sont immédiats :

    • Durée de vie accrue de l’électroménager et de la plomberie
    • Produits d’entretien (savon, lessives…) plus efficaces
    • Peau et cheveux nettement plus doux…

    En outre, l’aspect économique n’est pas négligeable : l’adoucisseur est à ce titre, davantage à considérer comme un investissement que comme un bien de confort. En effet, il permet de réduire l’utilisation des produits d’entretien, de se passer des produits anticalcaires, de rallonger la durée de vie de l’électroménager et de chauffer l’eau plus rapidement.

  • 4 types de peinture pour sol de garage

    Quoi de plus frustrant que de devoir balayer régulièrement le sol de son garage car constamment jonché de poussière ? Si vous êtes à la recherche d’un revêtement de sol facile à nettoyer et résistant pour votre garage, la peinture pour sol de garage peut être une bonne solution !

    garage floor
    Tim Mossholder

    Actuellement, quatre types de peinture pour sol coexistent sur le marché.

    La peinture époxy, la plus performante.

    Composée de résines, d’un durcisseur, d’additifs colorés et de minéraux, cette peinture industrielle, une fois sèche, vous offre une surface à la fois saine et facile à nettoyer. Son excellent pouvoir couvrant permet en outre de masquer les petites irrégularités du sol. Si elle est 20 à 30 fois plus résistante qu’une peinture classique pour le sol, elle est aussi respectueuse de l’environnement et ne présente aucun danger pour la santé. Elle demande par contre une certaine expertise lorsqu’il s’agit de l’appliquer. Mieux vaut donc faire appel à un professionnel.

    La peinture polyuréthane

    Elle aussi résistante, celle-ci est recommandée pour les zones très fréquentées. Très proche de la peinture époxy, la variante polyuréthane offre néanmoins un rendu moins opaque et couvrant que cette dernière. Elle se caractérise aussi par un lustre plus prononcé, ce qui ravira les maniaques de la propreté !

    La peinture acrylique.

    Cette peinture est néanmoins nettement plus fragile et, s’il y a un fort passage, elle risque de rapidement s’user et s’écailler avec le temps. Elle est aussi peu résistante à l’abrasion provoquée par le passage des roues du véhicule. Celle-ci est donc plus à privilégier pour une cave ou une buanderie par exemple.

    La peinture alkyde-uréthane

    Cette catégorie se démarque par une palette de couleurs plus vaste que pour les autres peintures. Un avantage qui se conjugue au fait que celle-ci offre également une bonne résistance, proche de celle de la peinture époxy !

    De nombreux avantages

    Ceux qui possèdent un garage disposant d’un sol en béton le savent : la zone semble irrémédiablement attirer la poussière, d’autant que, laissé brut, le béton a tendance à s’user plus rapidement et à se désagréger en fines particules. En outre, poreux, il absorbe les taches de graisse et de liquides en tout genre, ce qui est tout sauf esthétique !

    Qu’il soit en béton brut ou recouvert de carrelage, choisir une peinture pour le sol de votre garage va vous permettre de contourner tous les écueils évoqués ci-dessus, mais aussi de combler les petites fissures et irrégularités tout en augmentant la résistance à l’usure. Cerise sur le gâteau : la peinture pour sol constitue un bon isolant thermique mais aussi phonique. De quoi la rendre idéal si, pour vous, le garage est une pièce de la maison comme une autre où l’on peut par exemple installer une buanderie ou un atelier.

  • Faire son compost : 5 erreurs à éviter au moment de le remplir !

    Faire son propre compost à la maison est pratique, bon marché, facile et respectueux de l’environnement. Mais avant d’avoir un compost prêt à l’emploi, mieux vaut respecter certaines règles et éviter les erreurs ci-dessous !

    1.    Des déchets trop grands

    Pour que le compost soit efficace, il faut que les résidus soient petits : broyez donc vos branches, vos coquilles d’œufs, vos épluchures…

    2.    Trop de déchets organiques

    Tout ce qui est épluchures d’agrumes, coquilles d’œufs et fruits exotiques est toléré, mais ne doit certainement pas constituer la majorité de votre compost. Pour que celui-ci fonctionne bien, il faut un équilibre, à savoir principalement des déchets bruns (feuilles mortes, brindilles, écorces) et des déchets verts (tonte de gazon, déchets de légumes et fruits…).

    3.    Les déchets alimentaires

    Vos restants de poisson ou de viande ne sont certainement pas les bienvenus ! Pourquoi ? Tout simplement car il pourrait attirer les nuisibles, comme les rats !

    4.    Les sacs biodégradables

    Oui, ils peuvent se composter, mais pas de manière domestique où ils perturberont le bon équilibre de votre compost !

    5.    Les cendres

    Les cendres sont-elles bonnes ou pas pour votre compost ? Certainement pas si vous en mettez trop. Une poignée est toutefois bénéfique si vous avez beaucoup de déchets acides…

  • Assurance tous risques chantier : voici tout ce qu’il faut savoir !

    On le sait, les coûts liés à la construction, à la transformation ou à la rénovation d’un bien peuvent rapidement augmenter. L’assurance tous risques chantier (TRC) permet de se prémunir des mauvaises surprises dans le cadre d’un projet de construction.

    Ce qu’on appelle dans le jargon la TRC, ou plus simplement l’assurance chantier, couvre les dégâts qui sont occasionnés à un chantier (mais également aux matériaux et aux ouvrages), survenus à l’occasion de la construction, de la transformation ou de la rénovation d’une habitation. Vu le nombre souvent important de prestataires amenés à prendre part au chantier, une erreur peut vite être commise et engendrer des dommages. Les incendies ainsi que les dégâts liés à des conditions climatiques défavorables sont également pris en compte.

    La police d’assurance TRC est contractée avant l’entame du chantier. Elle s’impose face aux assurances incendie et familiale qui n’offrent pas une couverture suffisante.

    Qu’est-ce qui est couvert ?

    Pratiquement, l’assurance TRC couvre tous les dommages matériels occasionnés au bâtiment à l’occasion de travaux ou de l’entretien (rejointoiement, sablage,…), les vols sur chantier (avec ou sans dommages à l’immeuble) ainsi que les accidents sur le chantier (cela comprend aussi les frais médicaux qui font suite à l’accident). En option, il est possible d’inclure dans la police la responsabilité civile pour tout dommage occasionné aux tiers, et de couvrir les dommages matériels causés à vos biens et matériaux de chantier ainsi qu’aux équipements et installations temporaires.

    Qui peut la souscrire ?

    L’assurance TRC peut être souscrite par le maître d’ouvrage ou par l’entrepreneur. L’un comme l’autre devront mentionner dans la police l’identité de toutes les personnes qui travaillent sur le chantier, en ce compris l’architecte, l’entrepreneur et le commanditaire des travaux. Tous les intervenants seront ainsi assurés dans une seule et même police. Vu la complexité de la plupart des dossiers, il est conseillé de se faire assister par un professionnel afin de préparer le contrat d’assurance au mieux !

  • Ce qu’il faut savoir avant d’équiper son garage d’une borne de recharge

    Avec les avantages fiscaux et exonérations qui concernent les véhicules électriques, nombreux sont ceux qui passent le cap de la mobilité verte et qui, tout logiquement, souhaitent équiper leur garage d’une borne de recharge.

    Au contraire d’une prise conventionnelle, la borne de recharge permet de recharger son véhicule électrique plus rapidement (généralement moins de 6 heures avec une borne contre plus de 10 heures avec une prise classique). Mais cela va de paire avec une puissance de raccordement de votre domicile qui est suffisante. Un impératif qu’il convient de vérifier avant d’entreprendre toute démarche.

    Une borne n’est pas une prise

    Les bornes domestiques sont donc conçues pour délivrer une puissance supérieure à celle d’une prise conventionnelle, en évitant tout risque d’échauffement. Cela est rendu possible par le fait que la borne de recharge est installée sur une ligne qui lui est propre, protégée par son propre disjoncteur, doublé d’un différentiel dédié. En outre, la borne peut être équipée de différentes fonctionnalités comme le lancement automatique de la recharge durant les heures creuses (si l’habitation est équipée d’un compteur bihoraire), ou la limitation de sa puissance lorsque d’autres appareils gourmands en énergie fonctionnent.

    Combien ça coûte ?

    Le coût d’installation d’une borne de recharge oscille entre 300 et plus de 1.000 € selon le type d’appareil et les caractéristiques du raccordement. Pour l’installation proprement dite, mieux vaut se diriger vers un électricien dont c’est la spécialité.

    Comment procéder ?

    Avant toute chose, renseignez-vous auprès de votre concessionnaire en ce qui concerne le(s) type(s) de recharge compatible(s) avec votre véhicule (recharge classique, semi-rapide ou rapide). Ensuite, convenez d’un rendez-vous avec un professionnel qui évaluera votre installation (230 ou 400 V, monophasée ou triphasée, puissance de votre raccordement, présence d’un neutre,…) et qui déterminera si celle-ci nécessite des modifications. Si un nouveau raccordement s’impose, afin de renforcer la puissance de l’installation existante, vous devrez introduire une demande auprès de Sibelga, en précisant bien que vous souhaitez installer une borne de recharge pour véhicule électrique.

  • Cuisiner est-il moins cher que d’aller au restaurant ?

    Tout le monde vous le dira : il est moins cher de cuisiner soi-même que d’aller manger au restaurant ou de commander à manger. Mais est-ce vraiment le cas ?

    Avec les confinements qui se sont succédés, nous sommes nombreux à avoir retrouvé le plaisir de cuisiner, de faire du pain ou encore de préparer des pâtisseries. De quoi soulager notre portefeuille ?

    “30 minutes au four à 200°C”, “plonger dans l’eau bouillante durant 10 minutes”, “6 minutes au micro-ondes à puissance maximale”, sont autant de gestes qui font partie du quotidien et qui ont un coût ! En effet, nos électroménagers consomment de l’énergie, souvent en quantité non négligeable.

    Gaz ou électricité, qui l’emporte ?

    En tant qu’énergie domestique, le gaz naturel est quatre fois moins cher que l’électricité. Il part donc avec un bel avantage lorsqu’on le sollicite dans la cuisine. En outre, une taque au gaz est généralement nettement moins chère qu’un équivalent à induction. On peut en effet trouver un réchaud pourvu de quatre becs pour environ 150 €. Il faut par contre compter 100 € de plus pour une plaque de cuisson à induction d’entrée de gamme.

    Mais tout cela est à relativiser. En effet, grâce à une rapidité de chauffe hors norme, l’induction sort gagnante pour ce qui est du rendement et de la consommation. Cette technologie assure en effet un transfert de 90 % de l’énergie à la casserole contre seulement 60 % pour le gaz. Enfin, l’induction permet de saisir à plus haute température que le gaz mais aussi de maintenir chaud sans cuire. Cette technologie nécessite néanmoins d’acquérir des casseroles compatibles.

    Comment calculer le coût d’une cuisson ?

    Vous désirez connaître le coût de la cuisson de votre poulet ou de votre pain ? Rien de plus simple ! Il suffit en effet de multiplier le temps de cuisson en heure(s) par la puissance de l’appareil en kW, puis par le tarif de l’électricité en €/kWh (soit 0,25 €).

    Exemple : votre four affiche une consommation de 2.400 W (2,4 kW) et la cuisson de votre poulet s’effectue en 45 minutes. Le calcul est alors le suivant : 2,4 kW x 0,75 h x 0,25 € = 0,45 €. Autre exemple : la cuisson de pâtes sur une plaque à induction de 2.000 W durant 10 minutes : 2 kW x 0,16 h x 0,25 € = 0,08 €.

    Gardez néanmoins à l’esprit qu’il s’agit ici de valeurs maximales. Dans les faits, nos électroménagers électriques ne fonctionnent à pleine puissance que durant une période limitée, à savoir le temps d’atteindre la température désirée. Ils se contentent ensuite de maintenir celle-ci.

  • Buanderie : 5 accessoires indispensables !

    Beaucoup pensent que la buanderie se limite à une machine à laver, un étendoir à linge et une planche à repasser. Trois “basiques” qui peuvent rapidement se révéler insuffisants, surtout pour une famille nombreuse !  Si vous avez le projet d’aménager une buanderie digne de ce nom, voici 5 éléments incontournables qui doivent impérativement s’y trouver !

    Dépassée la bonne vieille manne à linge en plastique ?

    Que nenni ! Placée sous le hublot de la lessiveuse, elle vous permettra de vider cette dernière plus facilement tout en évitant que le linge propre n’entre en contact avec le sol. La manne peut aussi servir à transporter le linge sec, en attente d’être repassé. Pour le linge sale, prévoyez plutôt un bac à linge qui ferme, afin de contenir les éventuelles mauvaises odeurs.

    Etagères ou boîtes ?

    Des rangements à proximité de votre machine à laver peuvent eux aussi se révéler indispensables. Pourquoi ? Tout simplement pour y disposer vos produits de lessive, tels les détergents, adoucissants et autres détachants. Le mieux est d’avoir tout ce petit monde sous la main. Mieux vaut donc qu’armoire ou étagère soit à proximité de votre machine à laver. Et si vous avez des enfants en bas âge, veillez à placer le tout en hauteur !

    Plan de travail

    Comme dans une cuisine, vous pouvez également prévoir un plan de travail. Très pratique, celui-ci vous permettra de plier le linge sec, sans avoir à le transporter jusqu’au living ou la chambre à coucher. Si vous optez pour cette solution, veillez à acheter des électroménagers pourvus d’une ouverture frontale. Les machines avec chargement par le haut vous empêcheront en effet d’installer tout plan de travail.

    Une machine à laver et un sèche-linge

    Si un couple peut se contenter d’un étendoir, les ménages avec enfants ne pourront pas se passer d’un séchoir électrique. Les modèles à condensation peuvent être posés sans travaux tandis que ceux à évacuation nécessiteront de percer un mur pour y passer une gaine de ventilation. Placez côte à côte la lessiveuse et le sèche-linge  afin de gagner du temps lors des transferts de linge de l’une vers l’autre. Vous pouvez également placer le séchoir sur la lessiveuse afin de gagner de la place dans la pièce.

    VMC

    Enfin, pour que votre buanderie remplisse parfaitement sa mission, veillez à équiper celle-ci d’une ventilation mécanique si la pièce est dépourvue de fenêtre. Cela permettra d’évacuer l’humidité et d’éviter la formation de condensation.

  • Enduire un mur : Voici le mode d’emploi !

    Si votre mur est fissuré ou rempli de trous, vous n’aurez guère le choix : il faudra l’enduire ! L’opération est moins complexe qu’elle n’en a l’air et, armé des bons matériaux, votre mur sera remis à neuf en un rien de temps. De quoi avez-vous besoin ? De papier de verre, d’un produit de nettoyage, d’enduit, d’une cale de ponçage et de spatules.

    Poncer le mur

    Si vous comptez enduire votre mur, la première chose à faire est de poncer complètement la surface autour du trou ou de la fissure. Pour cela, utilisez le papier de verre et la cale à poncer. Lorsque la surface de votre mur est plane et régulière, vous pouvez essuyer les résidus. Dernier conseil : travaillez toujours avec du matériel propre.

    Vous désirez tapisser

    Dans ce cas, vous n’avez généralement pas besoin d’aplanir toutes les irrégularités. Le papier peint, du moins si son épaisseur est suffisante, camouflera de nombreuses petites irrégularités. Ce n’est que si vous travaillez avec du fin papier peint qu’il est important de toutes les éliminer.

    Commencez par boucher les trous

    Avec une spatule, prenez votre enduit. Utilisez une deuxième spatule pour étaler l’enduit sur la surface endommagée. Veillez à ne remplir que les trous et à laisser le reste du mur en l’état. Si vous en mettez trop, enlevez-le dès que possible. Après avoir rempli le trou, vous devez laisser le mastic durcir. Il se peut que plusieurs couches soient nécessaires.

    La touche finale

    L’enduit est sec ? Poncez à nouveau la surface avec du fin papier de verre. Vous pouvez en trouver dans tous les magasins de bricolage. Lorsque votre mur est bien poncé, vous pouvez le tapisser ou lui donner un nouveau coup de peinture. Si vous comptez peindre, utilisez un apprêt avant d’appliquer la couche finale.

  • Ma RC familiale couvre-t-elle ma femme de ménage ?

    C’est une situation que bon nombre d’assureurs sont amenés à devoir gérer : en nettoyant les vitres, votre femme de ménage fait tomber un pot de fleurs sur la tête d’un passant. D’entrée de jeu, sachez que vous êtes responsable des dommages causés par la personne qui a été engagée à votre service…

    cleaning lady

    D’où l’importance d’être couvert par une RC familiale ! En effet, le dommage est causé à une personne qui ne fait pas partie de celles couvertes par le contrat et qui ne vit pas sous votre toit. Dans ce cas-ci, votre assurance familiale interviendra pour indemniser la personne lésée.

    Exception

    On vient de le voir, la RC familiale n’intervient que lorsqu’il s’agit d’indemniser une personne tierce. Par contre, si votre femme de ménage fait tomber un buste en marbre sur son pied et qu’elle est blessée, ce n’est pas votre assurance familiale qui interviendra mais l’assurance Accidents du travail/Gens de maison.

    Vous avez de plus, l’obligation de souscrire cette assurance quand vous engagez du personnel ou une personne à travailler pour vous, qu’il s’agisse d’un jardinier, d’une baby-sitter ou d’une femme d’ouvrage. Cette assurance couvrira toutes les blessures de votre employé. Notez que cette obligation vaut même si le travail est occasionnel, en ce compris s’il n’est pas déclaré !

    Enfin, sachez que ce n’est pas le cas s’il s’agit de prestations effectuées dans le cadre des Titres-Services. En effet, cette couverture est d’ores et déjà incluse dans la prestation que vous avez conclue avec votre intermédiaire !

  • Rénovation de salle de bains : 4 conseils

    Vous désirez rénover votre salle de bains ? Les possibilités en la matière sont vastes et il est important de bien réfléchir avant de décider quoique ce soit. La préparation est la moitié du travail !

    Un moodboard taillé sur la rénovation de salle de bain

    Vous voulez mettre de l’ordre dans vos idées et déterminer le style de votre salle de bains, une fois celle-ci rénovée ? Optez pour le « moodboard », soit le tableau d’humeur ! Vous pouvez le faire à l’ancienne, mais il existe quelques applications. Posez-vous les questions suivantes, afin de penser immédiatement de manière pratique :

    • Plutôt bain ou douche ?
    • Serez-vous à plusieurs en même temps dans la salle de bains ?
    • Y a-t-il des questions pratiques dont vous devez tenir compte ?
    • Quelle couleur (claire si possible) préférez-vous ?
    • Quels sont les accessoires et le mobilier que vous considérez comme essentiels ?
    • Avez-vous besoin de nombreux espaces de rangement ?

    Tenir compte de l’espace

    Lors de la rénovation d’une salle de bains, l’espace disponible va vous imposer certaines contraintes. Si vous avez une petite salle de bains, vous pouvez gagner de la place en installant un chauffage par le sol au lieu d’un grand radiateur. Il existe de nombreux outils en ligne qui peuvent vous aider à cet égard et si vous vous adressez à un spécialiste de la rénovation de salles de bains, il pourra sans doute vous aider via une image 3D de votre future salle de bains.

    Quid en cas de salle de bains compacte ?

    Si votre salle de bains n’est pas grande, ces conseils-ci peuvent vous aider :

    • Un meuble suspendu est moins encombrant et facilite le nettoyage.
    • Les couleurs claires vont agrandir votre salle de bains.
    • Les meubles faits sur mesure vous aident à gagner de l’espace. Pensez aussi à des meubles à la profondeur réduite.
    • Une porte coulissante vous fera gagner de la place
    • Comme matériaux, pensez à du verre et ne lésinez pas sur les miroirs !

    Demander conseil à un spécialiste en rénovation de salles de bains

    Un spécialiste en rénovation de salles de bains peut vous donner quelques conseils, à l’instar des nombreux détaillants de salles de bains. Lorsque vous rénovez votre salle de bains, veillez à comparer les prix. Assurez-vous de pouvoir visualiser votre salle de bains à l’avance, vous éviterez ainsi les déceptions.