Auteur : francois

  • Départ en vacances ? Faites surveiller votre habitation !

    La période estivale, et plus particulièrement les mois de juillet et août, sont une période d’intense activité pour les cambrioleurs. Pourtant, nombreux sont ceux qui prennent la route des vacances en laissant leur maison sans surveillance.

    C’est une grave erreur, d’autant que les services de police locaux offrent, pour la plupart, un service de surveillance durant votre absence. Pour le demander, il suffit de remplir un formulaire sur la plateforme de Police-on-web.

    L’occasion de rappeler une série de mesures qui dissuaderont les cambrioleurs de s’attaquer à votre habitation. À ce titre, faites preuve de discrétion, notamment lors de votre départ afin de ne pas attirer l’attention de cambrioleurs potentiels voire de voisins mal intentionnés. Évitez aussi de poster photos et commentaires sur les réseaux sociaux, particulièrement si votre profil est public !

    Ensuite, veillez à ce que quelqu’un vienne régulièrement vider votre boîte aux lettres. Protégez aussi vos biens et fermez toutes les portes, les fenêtres et les lucarnes.

    Ne laissez pas de clés dans vos différentes serrures et activez l’alarme quand vous partez. Prévenez aussi le central d’alarme de votre absence si vous disposez de ce service.

    Enfin, si vous prévenez la police locale de votre absence prolongée, celle-ci pourra garder un œil sur votre habitation. Vérifiez aussi avant votre départ que vos différentes polices d’assurance (incendie et vol notamment) sont bien en ordre !

  • Faites des économies d’énergie durant vos vacances !

    Voici une série d’astuces qui vous permettront de réaliser des économies d’énergie durant vos séjours loin de la maison.

    Si durant l’hiver on a tendance à adopter une série de mesures visant à limiter l’utilisation du chauffage, une fois les beaux jours revenus, on oublie vite toutes ces bonnes résolutions. Un départ en vacances est l’occasion idéale pour réaliser diverses économies d’énergie. En effet, n’oubliez pas que même durant votre absence, votre logement continue à consommer de l’énergie !

    Les bons réflexes

     

    Le premier conseil à suivre est d’éteindre tous les appareils thermiques de la maison. La chaudière ou la pompe à chaleur seront mises en mode “absence” s’il existe, voire éteinte si vous vous absentez durant plusieurs semaines. Si vous disposez d’un appareil doté d’un commutateur été/hiver, activez le mode “été”. Il ne sera du coup pas nécessaire de la remettre en marche en cas de baisse de température subite. N’oubliez pas d’ouvrir les vannes thermostatiques des radiateurs afin d’éviter tout blocage suite à une accumulation de calcaire dans le clapet.

     

    Pour ce qui est des chauffe-eau, il en existe différents types. Les ballons d’eau chaude disposent généralement d’une fonction qui consiste à maintenir l’eau du circuit à une température située entre 55 et 65°. L’appareil n’aura ainsi plus à réchauffer l’eau froide tout le temps, ce qui le rend plus économique. Cela veut dire qu’en cas d’absence de plusieurs jours, il vaut mieux l’éteindre afin d’éviter tout risque de gaspillage énergétique. Le chauffe-eau instantané se distingue du ballon d’eau chaude dans son fonctionnement. Il doit en effet chauffer l’eau du circuit à la demande. Si votre habitat est équipé d’un tel appareil, vous n’aurez pas besoin de l’éteindre.

    Dans le même ordre d’idée, n’oubliez pas les plus petits appareils comme vos téléviseurs, chaînes hi-fi, enceintes connectées, ordinateurs, chargeurs et autres accessoires d’éclairage. Dans ce cas, il suffit de retirer la prise pour que l’appareil ne consomme plus d’électricité. Malgré des modes “veille” souvent limités à un ou deux watts, l’addition de toutes ces faibles consommations peut rapidement atteindre une cinquantaine de watts !

    Et le frigo ?

    Débrancher son frigo pour éviter toute consommation inutile durant votre absence est un geste à la fois bon pour la planète ainsi que pour votre porte-monnaie. Par contre, il peut être compliqué d’organiser ses repas en amont pour vider entièrement son réfrigérateur et son congélateur avant de partir. Bien souvent, on est donc contraint de laisser réfrigérateur et congélateur allumés pendant notre absence pour ne pas gaspiller de nourriture.

    Heureusement, les frigos les plus récents sont désormais équipés d’un mode “vacances”. Celui-ci permet de minimiser la consommation énergétique tout en conservant les aliments de manière optimale. Disponible sur les réfrigérateurs combinés, ce mode va maintenir la température à -18° dans votre congélateur et va augmenter la température dans la partie réfrigérateur à 14°. Vous pourrez donc laisser votre congélateur tel quel et placer vos condiments dans la partie réfrigérateur.

    L’avantage ? À votre retour, la température du réfrigérateur redescendra plus rapidement, ce qui vous permettra de stocker vos courses normalement !

  • Inondations : avez-vous droit à un dédommagement ?

    Les inondations des dernières semaines ont touché de nombreuses communes en Wallonie et provoqué des dégâts importants. Selon Wauthier Robyns du groupe Assuralia, les indemnisations accordées par les assurances vont dépasser les 150 millions d’euros, un montant record en Belgique.

    Source : Creative Commons

    L’État a aussi mis en place des aides financières pour les sinistrés. Découvrez si vous avez droit à un dédommagement et comment introduire votre demande pour recevoir les fonds au plus vite.

    Faire appel à votre assurance incendie

    L’assurance incendie est obligatoire en Wallonie. Si votre maison a été endommagée par les inondations, votre assurance vous remboursera à hauteur des dégâts causés (ou selon les conditions prévues dans votre contrat).

    Si vous êtes propriétaire, contactez votre assureur le plus rapidement possible pour l’informer des dégâts. Notifiez aussi votre commune, qui vous indiquera les démarches à suivre et les aides complémentaires disponibles.

    Si vous êtes locataire, contactez votre propriétaire afin de l’informer des dégâts pour qu’il puisse faire les démarches auprès de son assurance (qui couvre le bâtiment). Si vous disposez aussi d’une assurance contactez ensuite votre propre assurance, qui couvre le contenu du logement.

    Une fois que l’assureur est prévenu, il vous enverra un expert pour constater l’ampleur des dégâts et enclencher la procédure de dédommagement.

    Quelques conseils avant de contacter votre assureur :

    ● Faites des photos de tous les objets, murs, meubles et endroits endommagés.
    ● Évitez de jeter les objets endommagés avant l’arrivée de l’expert. Il vous sera plus facile d’obtenir un remboursement si celui-ci peut constater les dégâts en personne. Attendez aussi la visite de l’expert avant de commencer les réparations.
    ● Ne trainez pas. Vous avez un délai maximal (généralement de 10 jours) pour déclarer les dégradations à votre assureur.
    ● Faites une liste détaillée de tous les dommages avec autant de preuves que
    possible.

    Votre maison est-elle devenue inhabitable ? Certaines polices d’assurances incluent un logement de remplacement le temps des réparations. Renseignez-vous auprès de votre assureur pour être relogé rapidement.

    Demander une indemnisation au Service Régional des Calamités.

    Si les inondations sont reconnues comme une calamité naturelle publique dans votre commune, vous pouvez recevoir des aides de l’État pour les dégâts qui ne sont pas couverts par votre assurance incendie. Il s’agit notamment des :

    ● Dommages extérieurs (abri de jardin, terrasse, mobilier extérieur…)
    ● Biens liés à une activité professionnelle
    ● Biens agricoles et horticoles
    ● Peuplements forestiers
    ● Véhicules âgés de 5 ans ou plus

    Vous percevez un revenu d’intégration sociale et vous n’avez pas d’assurance incendie ? Alors l’Etat pourra vous verser un dédommagement pour les dégâts causés au bâtiment et à son contenu.

    Faire une demande de prêt travaux

    Malheureusement, l’assurance incendie et les aides de l’État ne permettent pas de couvrir tous les types de dégâts et vous devrez peut-être financer une partie des rénovations vous-même. Pour retrouver un logement sain et fonctionnel rapidement sans épuiser toutes vos économies, vous avez alors la possibilité de demander en second recours un prêt travaux.

    Prenez le temps de comparer plusieurs organismes de crédit avant d’envoyer une demande : cela vous permettra de trouver le meilleur taux et de payer moins d’intérêts. Sur Simulationpret.be, vous trouverez des offres à partir de 1,69%.

    Attention, emprunter de l’argent coûte aussi de l’argent

  • 5 conseils pour préserver vos plantes en votre absence

    Vous ne trouvez personne pour venir arroser vos plantes en votre absence ? Pas de panique, voici quelques trucs qui devraient permettre à celles-ci de survivre durant une dizaine de jours.

    Pour les plantes extérieures en pot, qui sont donc à même d’être déplacées, placez celles-ci à l’ombre et à l’abri du vent. C’est là la manière la plus simple et la plus efficace de réduire leur besoin en eau puisque le substrat sèchera moins vite. S’il n’est pas possible de les déplacer, vous pouvez alors pailler la terre qui entoure le tronc de la plante voire, si vous êtes un peu bricoleur, installer une petite palissade qui permettra à la plante de rester à l’ombre.

    Quid pour les plantes intérieures ?

    Pour les plantes d’intérieur, vous pouvez opter pour la technique de la “laine imbibée”. Pour ce faire, il suffit de placer un récipient d’eau à un niveau plus élevé que celui du pot qui contient votre plante (un petit tabouret ou une table d’appoint fera parfaitement l’affaire). Ensuite, vous reliez un fil de laine qui trempe dans le récipient rempli d’eau vers le pot. Veillez à créer une spirale qui recouvre autant que possible le substrat puis enfoncez la laine dans la terre. Par effet de capillarité, les plantes recevront un apport régulier en eau, mais sans excès.

    Outre ces techniques faciles à mettre en place, vous pouvez également jeter votre dévolu sur des ustensiles disponibles dans le commerce, à l’image des kits de goutte à goutte (pour l’extérieur mais aussi pour l’intérieur) ou encore des pots pourvus d’une réserve en eau voire d’une lampe LED, qui va aider la plante à croître.

  • Isoler un sol ? Voici comment faire !

    Vous venez d’acheter une habitation mais n’êtes pas entièrement satisfait du sol existant ? Ou vous voulez carrément changer ce sol ? Profitez-en pour l’isoler ! Car, en plus de l’isolation du toit et des murs, vous pouvez améliorez le rendement énergétique de votre habitation en isolant le sol. Voici quelques conseils.

    Pouvez-vous isoler n’importe quel sol ?

     

    En principe, il est possible d’isoler n’importe quel sol, même si ce n’est pas toujours simple à réaliser. Il sera logiquement plus facile d’isoler le sol d’une nouvelle habitation en construction plutôt que celui d’une maison existante, avec ou sans cave. Et le type de matériau qui compose le sol joue bien sûr aussi un rôle important.

     

    Isoler le sol d’une nouvelle construction

     

    Si le nouveau bâtiment est toujours en construction, c’est le moment idéal pour isoler le sol. L’isoler après coup est toujours plus compliqué. Appliquez l’isolant avant de couler la chape. Il existe bien sûr une large variété de matériaux et certains isolent mieux que les autres. Mais les prix peuvent aussi varier fortement… Renseignez-vous bien avant d’entamer les travaux. Et sachez que même si vous optez pour un chauffage par le sol, il est important d’isoler votre plancher. Car l’isolation placée sous l’installation limite les déperditions énergétiques du chauffage par le sol.

     

    Isoler un plancher avec sous-sol

     

    Vous disposez d’une cave ? Vous pouvez alors isoler votre plancher par le bas. Cela évitera beaucoup de pertes de chaleur. Avec des panneaux isolants d’environ 3 centimètres (en PIR ou PUR), vous réaliserez de belles économies sur votre facture de chauffage. Concrètement, il faut donc placer les panneaux sur le plafond de votre cave ou sous-sol. Si vous avez des conduits qui passent, entourez-les de mousse isolante.

     

    Pas de sous-sol sous le plancher à isoler ?


    Vous ne disposez pas de cave sous votre plancher ? Dans ce cas, le travail d’isolation sera un peu plus compliqué à réaliser. Car il faudra ôter le revêtement de sol. La prudence s’impose pour ne rien détériorer, surtout si des conduits passent sous le plancher. En ce qui concerne les matériaux, il n’y a pas de grandes différences : vous aurez ici aussi un large choix d’isolants. Et si vous voulez isoler le sol sans faire sauter le revêtement existant ? Dans ce cas, vous pouvez poser une couche d’isolant sur le plancher existant et poser au-dessus un nouveau revêtement de sol. Il faudra juste tenir compte du niveau des seuils de portes, murs et escaliers.

  • Inondation : que faire « le jour d’après » ?

    Après la vision cataclysmique de sa maison sous eau, vient celle tout aussi désolante de sa maison envahie de boue…Comment procéder pour la sécher et la nettoyer efficacement ? Et, surtout, quelles sont les mesures de sécurité à suivre ?

    Après les inondations historiques qu’a connu le sud-est de la Belgique, l’eau s’évacue doucement. Pour des milliers de belges, l’heure est maintenant au nettoyage. Mais comment procéder ?

    Sécurité avant tout !

    Avant de pénétrer dans votre habitation, pensez avant tout à votre sécurité. Évitez par exemple de retourner seul dans votre maison. Faites-vous si possible accompagner d’un seconde personne qui vous attendra à l’extérieur et pourra appeler les secours en cas de problème. Avant de pénétrer à bord d’une maison qui a été inondée, veillez aussi à l’inspecter minutieusement depuis l’extérieur. Soyez surtout attentifs à la présence d’éventuelles fissures, d’une importante érosion du sol à proximité des fondations. Faites aussi attention à toute potentielle pollution, notamment des hydrocarbures. Avant de procéder au nettoyage, pensez aussi à vous équiper d’équipements de protection individuelle : gants, chaussures de sécurité, masque, etc.

    Coupez les arrivées d’énergie

    Si vous n’avez pas eu l’occasion de le faire avant l’évacuation, coupez en priorité les arrivées d’énergie à bord du bâtiment : électricité et gaz. Avant de les remettre en route, il faudra faire surveiller l’installation par un spécialiste. Pensez aussi à vérifier l’état des citernes de mazout ou de gaz. Ne consommez, en outre, pas l’eau de distribution sans avoir vérifié que l’eau était toujours potable dans votre commune.

    Photographiez

    Avant de commencer le nettoyage proprement dit, pensez à prendre contact avec votre assureur et à prendre un maximum de photos. Vous veillerez aussi à dresser un inventaire complet des dégâts afin d’étayer l’état des lieux après le sinistre.

    Évacuation de l’eau

    Avant de commencer à nettoyer, la priorité est d’évacuer la totalité de l’eau. Retirez tout ce qui pourrait gêner l’évacuation naturelle de l’eau et pompez/raclez/épongez les eaux stagnantes. Sachez qu’il existe des aspirateurs à eau très pratiques pour nettoyer les derniers centimètres d’eau difficilement évacuables avec une pompe… et fastidieux à éliminer manuellement.

    Ventilez et évacuez

    Ventilez également un maximum. Et évacuez le plus rapidement possible tous les meubles/machines/objets ayant été exposés à l’eau. Il faudra aussi penser à retirer certains matériaux (plaques de plâtre, matériaux isolants, etc.) qui ne peuvent être séchés et nettoyés à fond.

    Nettoyage complet

    Il faudra ensuite nettoyer intégralement la maison à l’aide d’une eau savonneuse. Il est primordial de n’oublier aucune zone pour ne pas laisser se développer des virus/bactéries amenées par l’eau insalubre. Il faudra donc impérativement déplacer tous les meubles.

    Asséchez

    En plus de ventiler abondamment votre habitation, chauffez là ensuite dès que possible, en toute sécurité, afin d’accélérer son séchage. Si possible, utilisez aussi un déshumidificateur pour évacuer plus rapidement l’humidité de votre habitation.

  • Optimisez l’espace en optant pour un bureau d’angle

    Vous souhaitez installer un bureau dans une petite pièce sans pour autant encombrer celle-ci ? Le bureau d’angle constitue une alternative pratique et fonctionnelle, trop souvent ignorée.

    Matelpro

    Le bureau d’angle, qu’il soit moderne ou caractérisé par des lignes et matériaux plus classiques, permet d’optimiser l’espace offert par une petite pièce, voire d’un couloir ou d’un hall d’entrée, en utilisant la surface perdue formée par deux murs qui se rejoignent. Mais outre cette optimisation bienvenue de l’espace, ce meuble va aussi vous permettre d’installer un nouvel espace de travail dans votre intérieur.

    Polyvalent !

    Que vous soyez seul à l’utiliser ou plusieurs, le bureau d’angle, plus qu’un bureau conventionnel, est à même de se transformer au gré de vos besoins et exigences. En effet, il vous permet de travailler aisément et en même temps à deux sans pour autant vous gêner. Deux chaises peuvent en effet être installées elles aussi en angle et accueillir ainsi deux personnes.

    Le bureau d’angle comblera aussi celles et ceux qui apprécient de travailler avec de l’espace à profusion, que cela soit pour disposer différents documents, installer une imprimante ou encore vous munir d’un second écran d’ordinateur. De quoi exécuter vos différentes tâches en toute sérénité, sans devoir vous étaler sur le sol ou sur une seconde voire une troisième chaise !

    Pour tous les goûts

    Des bureaux d’angle, vous en trouverez de tous les types chez les spécialistes du mobilier : contemporains, élégants, esthétiques, la plupart de ces bureaux se révèleront aussi très pratiques à l’usage. Ce large choix vous permettra de l’intégrer dans différentes pièces, quelle que soit la décoration. Le bureau d’angle vous gratifiera d’un sérieux gain de place, tout en mettant une petite pièce plus en valeur.

  • Construction modulaire : la nouvelle tendance du moment ?

    Avez-vous déjà entendu parler de « construction modulaire » ? Le principe va vous rappeler les blocs Lego de votre enfance : imaginez des modules préfabriqués en bois ou en acier, à assembler. Mais quels en sont les avantages ?

    Dans quels cas la construction modulaire est-elle appliquée?

    Généralement, ce type de construction est d’application pour les annexes ou les extensions, temporaires ou non. En principe, une maison toute entière, de la plus petite à la plus grande, peut être construite de manière modulaire. Notez que le cas est toutefois encore assez rare.

    Quels sont les avantages de la construction modulaire ?

    Un bâtiment modulaire offre de la flexibilité. Les modules peuvent encore être déplacés après la construction, de sorte que vous pouvez adapter le résultat en fonction de vos besoins. Des extensions sont faciles à ajouter. En outre, la construction modulaire est bien plus rapide que la construction traditionnelle : les conditions météorologiques, par exemple, n’ont que très peu d’influence car tout est préfabriqué en usine. Concrètement, cela devrait vous permettre de déménager plus rapidement, ce qui permet une économie. Les modules sont livrés en atelier et assemblés en quelques jours. La finition ne prend que quelques semaines.

    Un bâtiment de qualité

    La qualité d’un bâtiment modulaire n’a rien à envier aux autres types de construction. Ces maisons sont taillées pour durer des décennies et sont particulièrement résistantes. En outre, presque tous les styles sont possibles.

    Une façon durable et économique de construire

    Si vous optez pour une ossature en bois et une construction modulaire, sachez que le processus de construction est extrêmement durable. En outre, ces maisons peuvent profiter du même degré d’isolation que les bâtiments traditionnels, ce qui est parfait pour votre empreinte écologique et votre facture énergétique. Enfin, sachez que le coût de construction est souvent inférieur…

  • Sécurité : barillet qui dépasse, attention danger !

    Le saviez-vous ? Un cylindre qui dépasse de la porte pourra facilement être arraché en quelques secondes par un cambrioleur. En la matière, mieux vaut prévenir que guérir !

    Un cylindre de serrure qui dépasse attire les cambrioleurs. En effet, il est alors plus facile pour eux de forcer la porte puisque le dépassement du barillet le rend plus vulnérable. Concrètement, le cambrioleur, à l’aide d’un outil adapté, attrape le cylindre qui est ensuite soit tourné jusqu’à ce qu’il casse, soit carrément arraché de la porte. Il ne reste plus qu’à glisser un crochet et la serrure est ouverte !

    Vous ne pouvez pas remplacer le cylindre

    Plusieurs solutions s’offrent à vous si vous n’êtes pas en mesure de remplacer le cylindre. Si la porte est munie d’une rosace extérieure, vous pouvez alors opter pour une rosace de protection blindée. Celle-ci améliorera la sécurité de la porte d’entrée, d’autant plus lorsqu’elle est doublée de vis traversantes.

    Autre option : une poignée de porte blindée. Ici, vous installez des garnitures blindées directement sur plaques. Il faut néanmoins que votre porte soit pourvue d’une poignée sur plaque pour pouvoir installer ce type de dispositifs.

    Vous pouvez remplacer le cylindre

    Si vous pouvez remplacer le cylindre existant, optez alors pour un barillet anti arrachage et anti casse. Ici, la barre est visible de l’extérieur mais inattaquable par les cambrioleurs. Ces cylindres sont dotés de barres de renfort au niveau du stator. Il est donc particulièrement compliqué de la casser ou de l’arracher.

    Dernière option, la plus démocratique : remplacer le cylindre existant par un cylindre plus court. Pour choisir la bonne taille de cylindre, celui-ci doit être mesuré sans la plaque décorative. Le cylindre doit affleurer la porte voire, encore mieux, être légèrement en retrait. En cas de doute, n’hésitez pas à consulter un serrurier professionnel !

     

  • Un faux plafond ? Non, ce n’est pas si compliqué à installer !

    Installer un nouveau plafond demande souvent de faire appel à un professionnel… A une exception près : un faux plafond avec des dalles.

    Un faux plafond pour tous

    Installer un faux plafond et des dalles de plafond sont des choses réalisables par tout le monde. Notez que même si vous avez des exigences élevées en matière d’isolation thermique et/ou acoustique, il existe des dalles de plafond taillées pour répondre à ces exigences. Les dalles de plafond standard que vous pouvez trouver dans les magasins de bricolage sont généralement excellentes pour réaliser un faux plafond.

    Quelles dalles installer ?

    Tout dépend de votre pièce ! Si vous optez pour un plafond en porte-à-faux, il peut être installé à n’importe quelle hauteur indépendamment du plafond existant. Il existe également des systèmes qui doivent être placés contre des poutres en bois ou une structure en béton. Si vous n’êtes pas sûr, un vendeur spécialisé peut vous aider.

    Choisissez soigneusement votre faux plafond

    Un certain nombre d’éléments sont essentiels lors du choix des panneaux pour votre faux plafond. Si vous placez un faux plafond dans une pièce humide, il existe des dalles spécifiques résistant à l’humidité. Vous pouvez les reconnaître à leur couleur verte. Il existe même des dalles de plafond qui éliminent les substances nocives et améliorent la qualité de l’air intérieur. Il est important que vous soyez bien informé au moment de choisir votre faux plafond et les dalles de plafond.

    Finition de votre faux plafond

    Après l’installation des dalles de plafond, n’oubliez pas de terminer votre faux plafond. Les dalles peuvent être jointoyées. Ensuite, vous pourrez peindre votre faux plafond.

    Tout le monde peut le faire !

    Si vous êtes un peu bricoleur, c’est une opération assez facile. Vous n’êtes pas sûr de vous ? De nombreux professionnels peuvent s’en charger pour vous. Un faux plafond peut complètement transformer votre intérieur !