Auteur : francois

  • Double douche : cette tendance qui séduit de plus en plus de Belges

    Chaque matin, c’est l’embouteillage dans la salle de bain ? Pourquoi dès lors, ne pas investir dans une double douche ? Il s’agit d’une solution élégante, confortable et nettement plus économique que l’aménagement d’une pièce d’eau !

    Assurez-vous d’avoir suffisamment d’espace

    Pour préserver votre confort, vous devez évidemment vous assurer de disposer de suffisamment d’espace. Si vous désirez vous douchez dans le même espace (plutôt que d’installer une seconde douche), il vous faudra disposer de 150×100 cm, un minimum pour votre confort. Les colonnes de douche sont alors doublées, alors que le receveur se doit d’être le plus grand possible. Veillez à ce que les colonnes de douche soient distantes d’au moins 60 cm si vous vous douchez l’un à côté de l’autre. L’autre solution étant évidemment de se doucher l’un en face de l’autre… Notez que cette solution n’est certainement pas pour tout le monde, notamment pour des raisons d’intimité.

    Une double douche ? Doublez tout ! Ou pas…

    Les deux personnes doivent pouvoir contrôler leur propre température. Il faudra donc doubler la colonne. Si vous optez pour deux douches séparées, il faudra forcément tout doubler. Pour un aspect plus moderne, privilégiez la symétrie et optez donc à chaque fois pour le même matériel. L’évacuation ayant deux fois plus d’eau à gérer, il n’est peut-être pas inutile de revoir vos tuyaux : un seul siphon est sans doute un peu mince pour digérer le volume d’eau.

    Vous avez besoin d’une nouvelle chaudière de chauffage central ?

    Dans le cas d’une double douche, il faut que tout suive ! En effet, il faut que les deux personnes profitent d’une eau à bonne pression et à la bonne température ! Une chaudière traditionnelle peut être insuffisante pour assumer deux douches. Il existe des solutions adaptées, mais à ce sujet, nous vous conseillons de vous tourner vers un installateur qui saura vous guider en fonction de vos besoins et de votre installation actuelle.

  • 5 conseils déco pour un kot d’étudiant «à petit budget»

    L’aménagement d’un kot d’étudiant est un vrai travail qui implique souvent de renouveler le matériel. Et s’il y a quelque chose que vous n’avez pas souvent en tant qu’étudiant, c’est de l’argent.

    Voici 5 conseils déco qui ne coûtent pas cher, mais qui permettent de transformer le kot en une chambre confortable.

    1.    Tapis fleuri fait maison

    Achetez un tapis en osier rond bon marché. Prenez des fleurs ornementales et cousez-les sur le tapis. Accrochez-le au mur ou comme tête de lit. Peu importe l’utilisation, l’originalité est garantie.

    2.    Table de chevet originale

    Oubliez les tables de chevet standardisées et optez pour un bac en acier ou en osier. Souvent, ceux-ci ont un couvercle où vous pouvez déposer des choses. A l’intérieur du bac, vous pouvez entasser quelques couvertures, toujours bien utiles pour recevoir les amis !

    3.    Ne jetez pas les ampoules cassées !

    Les vieilles ampoules qui ne fonctionnent plus peuvent être toujours utilisées. Vous pouvez les transformer en vases pour les fleurs que vous trouvez sur le marché. Si vous les suspendez à différentes hauteurs, vous êtes certain d’attirer l’attention !

    4.    Recyclage des bouteilles de vin !

    Les bouteilles de vin vides? Ne les jetez pas : rincez-les, retirez l’étiquette et remplissez-les de petites lampes LED. De cette façon, vos bouteilles constitueront un éclairage parfait pour votre kot. Vous pouvez également les utiliser comme veilleuses.

    5.    Le miroir !

    Par définition, un kot étudiant est rarement une grande pièce. Pour lui donner une belle sensation d’espace, nous vous conseillons d’installer un grand miroir et de lui faire refléter la lumière naturelle.

    Vous cherchez des idées pour aménager la chambre de votre kot étudiant ? Profitez ici des offres de Dema !

  • Rentrée des classes : 5 erreurs à éviter lors de l’aménagement de la chambre !

    L’année 2020 l’aura prouvé : aujourd’hui, la chambre d’un enfant est non seulement un lieu de repos et de jeu, mais aussi de travail et de rendez-vous, que ces derniers soient digitaux ou non. Voici 5 erreurs à éviter lors de l’aménagement de la chambre de votre enfant, pour préserver sa polyvalence.

    1.    Un bureau, ça ne sert qu’à travailler

    Un enfant aura peut-être aussi envie de jouer sur son bureau, que ce soit pour des bricolages, des dessins ou encore pour toute autre activité. Il est dès lors important de prévoir un bureau suffisamment grand et doté de nombreux rangements. Terminez le tout avec quelques accessoires ludiques !

    2.    Trop peu de rangements

    Il est non seulement important que l’enfant puisse lui-même facilement ranger ses affaires de classe et ses jouets mais de plus, il est tout aussi crucial de lui laisser suffisamment de place pour le jeu et la créativité ! Les rangements sont donc un aspect à ne surtout pas négliger. A ce titre, n’hésitez pas à opter pour des meubles flexibles comme des lits-tiroirs ou en mezzanine !

    3.    Une chambre trop neutre

    Il s’agit de la chambre d’un enfant et non d’un espace d’appoint pour les amis qui viennent dormir ! Profitez de sa créativité, demandez-lui ce qu’il aime et voyez comment il aimerait lui aménager sa chambre. Cadrez le tout, sortez l’un ou l’autre thème et à vos pinceaux !

    4.    Des meubles ouverts

    Des meubles ouverts peuvent vite donner un aspect négligé à la chambre. Pour assurer ordre et structure, mieux vaut opter pour des rangements fermés qui finiront mieux la chambre.

    5.    Ne pas assez insister sur l’éclairage

    C’est primordial pour préserver sa vue ! Evitez tout de même la lumière trop crue et privilégiez les nombreux points lumineux : veilleuse, lampe de table, de chevet, guirlande…

    Vous cherchez des idées pour aménager la chambre de votre enfant ? Profitez ici des offres de Dema !

  • Quelle table gigogne choisir pour son salon ?

    Ingénieuse et élégante, la table gigogne fait son grand retour dans le salon… ce qui n’est finalement que très logique : toutes les études prouvent que le logement moyen est de plus en plus étroit. Il s’agit donc de trouver des solutions aussi pratiques qu’élégantes pour pallier au manque d’espace !

    Matelpro

    Facilement empilables, les tables gigogne permettent un beau gain de place tout en gardant une grande fonctionnalité lorsque vous recevez des invités. De plus, les divers modèles disponibles aujourd’hui sur le marché apporteront sans nul doute une touche de raffinement à votre intérieur. Notez que le salon n’est pas leur seule et unique destination : on peut parfaitement imaginer ces tables dans le hall d’entrée, dans une salle à manger, voire dans une chambre !

    Rondes ou carrées ?

    En ce moment, ce sont clairement les tables gigognes rondes qui ont la cote. Ce sont d’ailleurs les plus courantes sur le marché. L’avantage des modèles arrondis, c’est qu’ils cassent les angles nets généralement omniprésents dans le salon et apportent un peu de douceur, voire de chaleur à cet environnement souvent fort « clinique ». Toutefois, les modèles carrés gardent une certaine cote d’amour, notamment auprès de ceux qui font la chasse aux centimètres carrés perdus !

    Quel style pour votre table gigogne ?

    • Le verre apporte une touche de modernité et s’adapte à tous les styles d’intérieur. Si vous avez des enfants et êtes du genre maniaque, attention toutefois aux traces de doigt !
    • La table gigogne métallique conviendra parfaitement à un intérieur au style industriel ou contemporain. A vous de voir si vous préférez un modèle peint ou laissant le matériau brut.
    • Le modèle scandinave est généralement en bois et présente un style à la fois épuré et vintage. Facile à intégrer, ce modèle repose généralement sur des pieds fins écartés.
    • Le modèle industriel, pour sa part, marie une structure métallique avec un plateau en bois brut. Dans ce cas-ci, on préférera un modèle carré, voire rectangulaire, pour renforcer le côté industriel.

    Notez qu’il existe pléthore de matériaux pour le plateau : outre le bois et le métal, on pense notamment au marbre et au béton ! Même refrain pour la forme et les pieds : certaines tables sont triangulaires, ovales, voire arborent des styles et des formes complètement fantaisistes ! Quant aux pieds, fins et écartés ou massifs et droits, tout est possible.

    Enfin, si une alliance de styles est possible, surtout dans le cadre d’un intérieur de type « boho », mieux vaut garder à l’esprit l’aspect fonctionnel. Vérifiez donc bien que tous les éléments s’intègrent facilement les uns aux autres.

  • Piscine ou bassin naturel : quelle est la meilleure solution pour vous ?

    Si cet été ne fut pas exactement caniculaire, il se pourrait que cela soit le cas dans les années à venir. Dès lors, l’investissement dans une piscine semble relativement pertinent… Mais est-ce vraiment un choix pertinent ? En effet, les bassins naturels sont de plus en plus demandés, aspect écologique oblige…

    natural pool
    Nataliya Smirnova

    Pourquoi choisir une piscine plutôt qu’un bassin naturel ?

    Si vous n’êtes pas fan des poissons et des plantes qui vous entourent, alors une piscine est indéniablement la meilleure solution. En outre, vous profiterez dans tous les cas d’une eau d’un bleu parfait ! De plus, facile à chauffer et à installer, la piscine agit comme un aimant sur votre famille et vos amis. Vous ne serez jamais seul ! Enfin, une piscine peut disposer de tout le luxe possible imaginable (éclairage, escaliers…).

    Une piscine, est-ce vraiment le bon plan ?

    Vous n’avez pas beaucoup de temps ? Sachez que l’entretien d’une piscine en prend pas mal… Et coûte cher ! Déconseillée aux personnes qui n’aiment pas le chlore, la piscine n’est de plus, utilisée généralement que la moitié de l’année…

    Pourquoi opter pour un bassin naturel ?

    Un bassin naturel se nettoie tout seul et ne nécessite donc pas de chlore. Voilà qui est pleinement positif pour l’environnement ! De plus, ce type de point d’eau nécessite également moins d’entretien… Esthétique, un bassin naturel n’est pas plus cher à installer qu’une piscine, mais ajoute un cachet très naturel et parfaitement dans l’ère du temps. Ce qui est évidemment positif pour la valeur de votre maison !

    Quels sont les freins à l’installation d’un bassin naturel ?

    Une partie de votre bassin sert à filtrer l’eau et n’est pas adaptée à la baignade. Vous perdez donc en place… De plus, le chauffage de l’eau risque de mettre la faune et la flore dans une position délicate ! En apparence, l’eau semble également moins propre, ce qui peut freiner certaines personnes.

     

  • Photovoltaïque : en dépit de la météo pourrie, est-ce toujours rentable ?

    Le ciel gris n’est pas une bonne nouvelle pour les propriétaires de maisons dotées de panneaux photovoltaïques. L’opération est-elle toujours rentable, en dépit de ce temps pourri ?

    L’Association pour la promotion des énergies renouvelables, l’Apere, confirme que la production des panneaux photovoltaïques a bien chuté au mois de juillet « de 10 à 20 % ». Cette baisse de production peut toutefois grandement varier d’un coin à l’autre de la Belgique : «à Saint-Hubert, par exemple, il y a eu beaucoup de nébulosité en juillet et on se retrouve du coup avec une baisse de 20 % par rapport à une année normale », explique Benjamin Wilkin à Sudpresse. « Du côté de la Campine flamande, on est a contrario dans des statistiques plus proches d’une année normale ».

    Les panneaux, toujours rentables ?

    Oui et ce, pour plusieurs raisons :

    • Les productions moyennes « sont assez stables d’une année à l’autre», sachant qu’un été ensoleillé pour engendrer une hausse de production de 30 % !
    • Le « matériel s’est fortement démocratisé. En quinze ans, le prix a été divisé par six. L’autre élément, c’est que la productivité des panneaux a également augmenté » détaille Benjamin Wilkin à Sudpresse. La productivité des panneaux serait grimpée de 16 à près de 20 % en 15 ans.
    • Le prix du kWh (ou plutôt, de sa distribution) ne fait que grimper et tout kWh fourni par vos panneaux n’est pas consommé sur le réseau !
    • L’investissement (entre 5.000 et 6.500 euros selon Benjamin Wiklin) est à amortir sur une durée de vie de 25, voire 30 ans ! Faites le calcul : vous aurez amorti votre installation en 10 ans seulement… Mieux que la banque ?
  • Quelle garantie sur un produit neuf ?

    Vous venez d’acheter un nouvel électroménager mais nulle part il n’est mentionné combien de temps il est couvert par une garantie. Voici ce que la loi dit !

    Vous achetez un produit auprès d’un commerçant belge (ou européen) et vous destinez celui-ci à des fins privées et non professionnelles ? Alors vous avez droit à une garantie légale de deux ans comme l’impose la législation européenne. Ce délai peut néanmoins être réduit à un an pour les biens de seconde main. Cette garantie entraîne uniquement la responsabilité du vendeur qui ne peut se contenter de vous renvoyer vers le fabricant.

    Quels produits sont couverts par cette garantie ?

    La garantie légale de deux ans est valable pour tous les biens matériels (électroménager, voiture, accessoire Hi-FI, smartphone, vêtement,…) que vous achetez en tant que particulier (donc pas dans le cadre de votre activité professionnelle) auprès d’un commerçant.

    Quels défauts sont couverts par la garantie ?

    Cette garantie légale de deux ans s’applique à tout défaut de conformité du bien que vous avez acheté, c’est-à-dire lorsque :

    • les caractéristiques de votre achat ne correspondent pas à celles du modèle présenté (vous avez commandé un véhicule bleu mais l’avez reçu en blanc, par exemple),
    • la qualité et les prestations ne répondent pas aux attentes que vous aviez et que le vendeur ou le fabricant a promises (vous avez acheté une hotte annoncée comme silencieuse mais celle livrée s’avère très bruyante),
    • vous ne pouvez pas utiliser le produit pour l’usage normalement prévu ou pour les fonctions spécifiques que vous aviez demandées et que le vendeur avait acceptées (vous avez acheté un réfrigérateur dont la température ne descend pas en dessous de zéro).

    Qui doit prouver le défaut ?

    La loi fait une différence selon que le défaut apparaît durant les 6 premiers mois suivant l’achat ou après. Si le défaut apparaît durant les six premiers mois, le vendeur est automatiquement responsable. Il doit alors appliquer la garantie légale de deux ans sauf s’il prouve que vous êtes à l’origine du défaut.

    Par contre, si le défaut apparaît après les 6 premiers mois, le vendeur peut alors vous demander de prouver qu’il s’agit bien d’un défaut de fabrication. Vous devez à ce moment-là faire appel à un expert. Mais cela coûte souvent cher ! Demandez-vous donc si cela en vaut vraiment la peine.

    Quid des frais ?

    La garantie légale est sans frais pour l’acheteur. Le vendeur est tenu de prendre en charge tous les frais liés à la réparation ou à l’échange du produit défectueux ainsi que les frais de livraison et de renvoi.

    Vous avez fait votre achat sur une boutique en ligne européenne ? Soit vous renvoyez le colis à vos propres frais et demandez ensuite le remboursement de vos frais de renvoi au vendeur sur base d’un justificatif. Soit le vendeur organise lui-même le retour en contactant un transporteur. Convenez des modalités de retour avec le vendeur pour éviter une mauvaise surprise !

    Notez enfin que la garantie légale de deux ans est valable dans toute l’Union européenne mais aussi en Norvège, en Islande et au Royaume-Uni.

    François Piette

  • Faux plafond : 4 avantages

    Vous n’avez pas encore découvert la facilité et la flexibilité d’un faux plafond ? Dommage, car il peut franchement vous faciliter la vie… On vous présente ici les principaux avantages d’un faux plafond. 

    Avantage n°1 : un travail propre

    Câblages, tuyaux, spots, etc. Vous pouvez installer proprement de nombreux éléments dans un faux plafond. Le matériel sera soigneusement dissimulé dans l’espace créé entre le plafond principal et le faux plafond. Et en intégrant des spots dans le faux plafond, vous alliez esthétique et utilité.

    Avantage n°2 : une meilleure isolation

    Un faux plafond permet d’installer une couche d’isolants supplémentaire. Les panneaux vous offriront une meilleure isolation thermique et acoustique, sans gâcher l’aspect esthétique de votre intérieur. Cela permettra aussi de réduire votre facture de chauffage, grâce à de meilleures performances énergétiques. D’autant que le faux plafond réduit la hauteur de la pièce, ce qui la rend plus facile à chauffer.

    Avantage n°3 : un meilleur accès au grenier

    Si vous disposez d’un grenier, vous pouvez aménager un accès dans le faux plafond, au moyen d’une échelle escamotable. Celle-ci s’intègre dans le faux plafond, pour vous offrir un accès aisé sans rogner sur l’espace utile des pièces.

    Avantage n°4 : des options créatives

    Les cloisons en plâtre offrent de nombreuses possibilités créatives. Vous pouvez jouer sur les hauteurs, accentuer certaines zones et créer du relief dans le plafond. Ou vous pouvez au contraire favoriser un aspect très lisse.

    Comme vous pouvez le constater, un faux plafond offre de nombreuses possibilités. Si vous êtes un peu bricoleur, vous pourrez installer le faux plafond vous-même. Il est bien sûr également possible de confier le travail à un professionnel. Un faux plafond est abordable et peut être placé très rapidement.

  • Inondations : Voici comment faire valoir vos droits !

    Les inondations sans précédent de la mi-juillet ont fait des milliers de victimes. Celles-ci, selon le SPF Economie, sont « souvent démunies face aux démarches à effectuer pour faire valoir leurs droits en matière d’assurance« . Petit rappel des mesures à prendre…

    Chris

    Assurance, la première étape

    L’administration invite les sinistrés, tout d’abord, à déclarer leur sinistre le plus vite possible à leur assureur contre l’incendie car c’est lui qui les indemnisera. L’assureur ouvrira un dossier de sinistre et se rendra lui-même sur place pour apporter de l’aide ou enverra le cas échéant un expert.

    Fournir les preuves !

    Les victimes des inondations sont également invitées à demander conseil et assistance à leur intermédiaire d’assurances afin de constituer leur dossier, principalement afin de fournir la preuve du sinistre. « Vous êtes tenu de prendre toutes les mesures raisonnables pour prévenir et atténuer les conséquences du sinistre« , rappelle le SPF Économie.

    « Toute assurance incendie indemnise les dommages matériels causés notamment par les inondations. Vérifiez dans votre contrat l’étendue de la couverture: les assureurs proposent généralement des extensions de garantie. Vérifiez aussi si vous ne bénéficiez pas d’une couverture d’assistance. Dans ce cas, des corps de métiers professionnels seront dépêchés sur les lieux« , conseille encore l’administration.

    Votre assureur ne veut rien entendre ? Vous n’êtes pas assuré ?

    En cas de difficultés avec l’assureur, « n’hésitez pas à contacter votre intermédiaire d’assurance, le service plaintes de votre assureur et, le cas échéant, l’Ombudsman des assurances« , recommande-t-on encore. Enfin, pour les sinistrés qui ne sont pas assurés, il est conseillé de vérifier auprès du Fonds des calamités si une intervention financière est possible.

  • Entretenir votre système de ventilation ? Voici comment faire !

    Pour maintenir votre système de ventilation en parfait état de fonctionnement, il faut l’entretenir régulièrement. Comment faire ? Voici quelques conseils pour bien faire fonctionner et préserver votre système de ventilation.

    Système A, B, C ou D ?

    Les systèmes de ventilation sont classés en catégories. Il y a d’abord les catégories A, B (peu utilisé en Belgique) ou C. Si vous disposez d’un système A, l’entretien se limite à maintenir propres et fonctionnelles les grilles réglables d’entrée et de sortie d’air.

    Avec une ventilation de type C, il y a un peu plus de travail : il faut aussi nettoyer ou faire nettoyer le conduit d’air, le ou les ventilateur(s) d’extraction et les valves. Et il y a aussi une différence entre les systèmes de ventilation manuels et mécaniques. Il est donc conseillé de vérifier de quel système vous disposez. Si vous optez pour un nouveau système de ventilation, vous en serez informé.

    Le système « D » demande le plus d’entretien

    Dans le cas d’un système de catégorie D, vous disposez à la fois d’une entrée et d’une extraction d’air mécaniques. Ce système impose de changer les filtres et d’entretenir les ventilateurs et conduits d’air. Dans le cas contraire, de l’air pollué entrera dans vos pièces. Un nettoyage régulier de l’installation est donc indispensable. Vérifiez également que certaines pièces ne doivent pas être remplacées. Un installateur pourra vous indiquer à quelle fréquence les pièces doivent être changées.

    Demandez le plan de maintenance

    Chaque système de ventilation nécessite un certain entretien. Celui-ci est la plupart du temps détaillé dans un plan de maintenance. Vous aurez sans doute besoin d’un professionnel pour les plus gros travaux, mais vous pouvez cependant parfaitement réaliser vous-même de petites opérations d’entretien. Renseignez-vous d’abord sur la fréquence des entretiens à réaliser, pour ne pas avoir de mauvaises surprises dues à un entretien tardif. Vous pouvez facilement nettoyer vous-même les grilles d’entrée et d’extraction d’air. Il est également facile de remplacer des filtres. Par contre, pour le nettoyage des ventilateurs ou de l’échangeur de chaleur, mieux vaut laisser faire un professionnel.

    Quand entretenir un système de ventilation ?  

    Attendez-vous à devoir effectuer une petite opération d’entretien tous les 3 mois. Celle-ci impliquera le nettoyage ou le remplacement d’un composant spécifique. Et attendez-vous à devoir faire appel à un professionnel environ tous les 2 ans.