Auteur : francois

  • Mastic ou silicone : que choisir ?

    Tant le mastic que le silicone sont utilisés pour réaliser des joints, en rénovation comme en construction. Si a priori ils se ressemblent, ces deux matériaux présentent tout de même quelques différences.

    Si passer par un professionnel s’impose dans bon nombre de situations, qu’il s’agisse du gros œuvre ou de métiers pointus comme celui d’électricien, de plus en plus de personnes préfèrent mettre la main à la pâte, surtout lorsqu’on aborde les phases de finition ou de petites réparations. Reste néanmoins à opter pour les bons outils ainsi que pour les produits adéquats. Et, en la matière, connaissez-vous la différence entre le silicone et le mastic ? Non ? Alors on vous dit tout !

    Polyvalents et à étaler

    L’un comme l’autre sont utilisés pour colmater des fuites ou pour réaliser des joints, que cela soit au bord d’un châssis ou le long d’un carrelage dans une salle de bain par exemple. Les deux produits s’étalent et sont relativement faciles à utiliser grâce, généralement, à un pistolet dédié qui permet de mieux doser la quantité nécessaire. Une spatule sera utilisée pour uniformiser l’application du produit.

    Tant le mastic que le silicone se présentent sous la forme d’une substance pâteuse, de couleur translucide lorsqu’elle est à l’état brut, à même d’adhérer à quasiment n’importe quelle surface. Les deux peuvent être utilisés à l’intérieur comme à l’extérieur (sauf indication contraire du fabricant) et, outre leur aspect physique relativement similaire, ils garantissent des réparations, des fixations et des finitions à la fois robustes et durables.

    Si différents que ça ?

    Malgré ces similitudes, le silicone et le mastic se distinguent l’un de l’autre sur certains points. Pour certains usages, il vaudra donc mieux privilégier le silicone tandis que pour d’autres ce sera le mastic qui sera le plus approprié.

    Le silicone peut être considéré comme “le roi du joint” car il reprend bon nombre de propriétés du plastique, dont sa souplesse et sa relative élasticité. Il est en outre disponible en un large éventail de coloris. Par contre, il ne peut pas être peint, au risque de détériorer son élasticité et ses qualités isolantes. Le silicone fera merveille à l’intérieur, notamment dans la salle de bain, la cuisine et les toilettes où il comblera tout interstice entre différents matériaux, tout en étant à même de colmater les petites fuites. Cerise sur le gâteau, le silicone est peu cher et offre un joli rendu esthétique.

    Le mastic de son côté est un “boucheur” né puisque grâce à lui on peut réparer et boucher les fissures en tout genre. Bien souvent, il est traité de manière à résister aux variations de température. On peut donc l’utiliser aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. En outre, gros avantage, le mastic peut être peint. De quoi pousser vos finitions jusque dans les moindres détails et optimiser ainsi l’esthétisme de votre chantier !

  • Batterie domestique : intéressant ou non ?

    Protection de l’environnement, écologie et énergie verte : ce sont des termes que l’on entend de plus en plus souvent et qui prennent de l’importance, surtout en cette période de flambée des prix de l’énergie ! Mais l’énergie durable n’est pas seulement meilleure pour notre planète, elle peut aussi réduire vos coûts. A ce titre, que peut vous apporter une batterie domestique ?

    Qu’est-ce qu’une batterie domestique ?

    Une batterie domestique permet de stocker le surplus de production de vos panneaux photovoltaïques. Cette batterie est également dotée d’une gestion qui contrôle votre consommation : lorsque l’énergie produite est supérieure à l’énergie utilisée, la batterie domestique stocke cette énergie pour plus tard. Lorsque la batterie est pleine, l’énergie est renvoyée sur le réseau de distribution. Si vous utilisez de l’énergie, la batterie est mise en marche en premier et ce n’est que lorsqu’elle est complètement vide que vous passez à l’électricité du secteur. Votre batterie domestique est donc un tampon qui réduit votre facture énergétique.

    Laquelle choisir ?

    De nombreux fabricants se sont lancés sur le marché des batteries domestiques. Généralement, il est question d’un investissement d’environ 7 000 euros. Si vous optez pour une batterie domestique, faites bien attention à la capacité annoncée. Enfin, sachez que certaines batteries sont uniquement destinées à un usage intérieur, tandis que d’autres peuvent également être placées à l’extérieur.

    Subventions?

    En Flandre, si vous achetez une batterie domestique avant le 31 décembre 2021, vous pouvez bénéficier d’une subvention. L’installation doit également avoir lieu avant cette date pour être éligible. Par kilowattheure de capacité, vous recevrez 250 euros, avec un plafond à 3 200 euros. La prime ne sera jamais supérieure à 35% des coûts d’investissement.

    En Wallonie, depuis l’introduction du tarif prosumer, la batterie peut être intéressante si elle est couplée à un compteur bidirectionnel et si vous optez pour un tarif proportionnel.

    A Bruxelles, l’électricité du réseau est plus chère que l’énergie produite par vos panneaux : la réinjecter dans le réseau vous fait donc perdre de l’argent. La batterie permet donc d’utiliser cette réserver sans revente à perte.

    Est-ce intéressant ?

    Tout dépend de la production de vos panneaux et de votre consommation en électricité. Il s’agit d’un calcul personnel… Ce qui est sûr, c’est qu’avec l’envolée des prix de l’énergie, les batteries domestiques deviendront toujours plus intéressantes…

  • Les 6 principaux avantages de l’écoconstruction ! Est-ce vraiment l’avenir ?

    Comment réduire l’impact environnemental du secteur de la construction ? Est-il possible d’ériger des bâtiments à la fois durables et économiques ? Le cluster écoconstruction wallon veut prouver que c’est possible.

    Facebook Cluster Eco Construction

    Selon ses propres termes, le cluster Eco-Construction a pour mission « de dynamiser le marché de l’éco-construction ». Ce réseau composé d’architectes, d’entrepreneurs, de bureaux d’étude… entend prouver qu’il est possible de concilier ce qui a longtemps été considéré comme inconciliable. En effet, le cluster s’est récemment installé dans ses nouveaux bureaux à Suarlée (province de Namur). Le bâtiment est entièrement biosourcé, avec du hêtre et de l’épicéa pour la structure et de la paille comme isolant. Véritable vitrine de l’écoconstruction, ce bâtiment aura été terminé en l’espace de 3 mois et demi et n’aura coûté que 635.000 euros HTVA, soit 1.150 euros du mètre carré, un tarif vraiment raisonnable !

    Quels sont les matériaux naturels ?

    Le bois, le chanvre, la laine, l’argile et la paille sont les cinq principaux matériaux naturels, même s’il en existe bien d’autres.

    Quels sont les avantages ?

    1. Economie circulaire

    Les éco-matériaux sont fournis, fabriqués et vendus par des entrepreneurs locaux.

    1. Environnement

    C’est évidemment tout l’intérêt : ces matériaux ne sont pas ou peu transformés et sont produits localement, ce qui entraine moins de transport. D’origine végétale, ces matériaux agissent donc comme des puits de carbone.

    1. Régulation de l’humidité

    Ces matériaux d’origine végétale (pour la plupart) peuvent absorber et restituer jusqu’à la moitié de leur poids en eau, tout en laissant passer l’excès de vapeur vers l’extérieur.

    1. Isolation

    Un bâtiment construit en écomatériaux se refroidit moins vite en hiver, mais reste frais plus longtemps en été.

    1. Sécurité

    La résistance aux incendies est généralement excellente. De plus, lorsqu’ils brûlent, ces matériaux ne laissent pas échapper de fumée toxique.

    1. Non-toxique

    L’absent de produit toxique rend également l’ambiance intérieure nettement plus saine.

  • 4 conseils lors de la pose d’un parquet !

    En principe, tout le monde peut poser un parquet. À condition d’être un brin bricoleur et de respecter quelques consignes. Voici quelques astuces pour bien poser votre parquet sans y passer trop de temps.  

    Informez-vous bien

    Vous n’avez jamais posé de parquet ? Alors, commencez par bien vous renseigner sur le sujet. Posez des questions, demandez des conseils et, si nécessaire, traitez préalablement vos lames de parquet. Avant de vous lancer, pensez que vous devrez peut-être acheter du matériel. Par exemple un découpeur de lames. Bien sûr, vous pouvez également emprunter certains outils à des amis. C’est plus écologique et… moins cher !

    Quel parquet choisir ?

    Parquet est un nom générique. Mais il englobe plusieurs types de matériaux très différents. Si le stratifié à clipser est assez facile à poser, pour le parquet en bois en massif, c’est une autre histoire. Si vous ne le sentez pas, faites-vous aider par un spécialiste, cela évitera bien du gâchis et des dégâts…

    Évitez de vous presser

    Pour bien poser votre parquet, il ne faut pas se presser. Prévoyez donc suffisamment de temps pour réaliser l’opération, afin d’éviter le stress. Gardez aussi à l’esprit qu’il est préférable de laisser votre parquet s’acclimater à la pièce après l’achat. Comptez quelques jours de stockage avant la pose. Le bois est une matière vivante.

    C’est posé ? Entretenez !

    Le parquet n’est pas bon marché et il serait donc dommage de ne pas bien l’entretenir. Pour cela, sachez que le parquet n’aime pas l’eau… Il réclame un produit d’entretien spécifique que vous appliquerez idéalement au minimum une fois par an.

    En résumé, pour obtenir un beau résultat, utilisez des matériaux de qualité, prenez du temps pour travailler et faites-vous aider par des spécialistes expérimentés si besoin.

  • Travaux de démolition : 4 erreurs courantes

    La phase de démolition est souvent inévitable lorsque vous rénovez une maison. Toutefois, ces travaux ne sont pas si simples : de nombreuses erreurs classiques sont régulièrement commises !

    demolition

    1 l Ne pas aller assez loin dans la démolition

    De nombreuses personnes ne vont pas assez loin dans la démolition et la rénovation. On pense par exemple à de vieux tuyaux de plomberie et de chauffage qui restent, alors qu’il y a de fortes chances qu’ils soient en fin de vie. Si ces derniers lâchent alors que vous venez de terminer vos finitions, vous regretterez sans doute de les avoir laissés… Dès lors, remplacez tout ce qui est susceptible de poser des problèmes à court et moyen terme, de manière à être tranquille pendant de nombreuses années.

    2 l S’attaquer aux murs porteurs

    Ne casser jamais un mur sans réfléchir. Vérifiez toujours s’il s’agit d’un mur porteur. Ce mur est tout à fait essentiel dans la structure et la stabilité de votre maison. Si cette étape est néanmoins incontournable dans votre plan de rénovation, sachez que vous devrez sans doute demander un permis et faire appel à un architecte. Il s’agit de votre sécurité !

    3 | Démolir une cheminée

    Supprimer une cheminée dans le salon et/ou la chambre à coucher est quelque chose de populaire lors des travaux de démolition. Faites toutefois attention, car de nombreuses cheminées servent également de support, ce qui les rend délicates à enlever. Si vous n’êtes pas sûr de vous et de ce que la cheminée supporte, demandez l’aide d’un professionnel. Si vous retirez une cheminée du mur, n’oubliez pas que cela peut provoquer des fissures.

    4 l Ne pas faire attentions aux gravats

    Manipulez les gravats avec précaution, car dans les vieilles maisons, il est très courant de retrouver de l’amiante. Ce matériau cancérigène peut être trouvé dans les ardoises, les isolants, etc.

  • 5 conseils pour bien acheter votre première maison

    L’achat d’une première maison fait bien sûr partie des étapes très importantes d’une vie. Pour ne pas se planter, il important d’être prudent et méthodique. Voici quelques conseils pour que l’achat de votre première maison soit un bonheur et pas une horreur.  

    Conseil n°1 l Déterminez bien votre budget à l’avance

    Les prix de l’immobilier montent en flèche dans certaines régions et les acheteurs peuvent parfois s’emballer. Il est pourtant sage de bien déterminer votre budget maximum à l’avance. De nos jours, vous devez apporter en fonds propres environ 20% du prix d’achat de la maison. Ne regardez pas uniquement le prix d’achat demandé, mais prenez aussi en compte tous les frais supplémentaires, comme les droits d’enregistrement, les frais de dossier, les frais de notaire, etc. Renseignez-vous bien à l’avance pour éviter les mauvaises surprises.

    Conseil n°2 l Déterminez ce que vous attendez de votre maison

    Il est bien sûr très difficile de trouver la maison parfaite, mais ne faites quand même pas trop de concessions lors de l’achat de votre première habitation. Assurez-vous que vos exigences minimales sont remplies, sauf si vous avez prévu à l’avance un montant destiné aux frais de rénovation.

    Conseil n°3 l Prenez le temps de bien visiter

    Le marché du logement est assez bouillonnant et vous risquez donc d’être amené à devoir vous décider rapidement. Ne vous laissez pas entraîner dans le flot de la surenchère. Prenez bien le temps de tout inspecter soigneusement lors de votre première visite et effectuez au minimum une deuxième visite, si possible avec quelqu’un qui connaît le domaine immobilier. Essayer de prendre votre temps afin que la décision soit bien réfléchie.

    Conseil n°4 l Faites une offre

    Le bien vous a convaincu ? Alors, faites une offre réaliste. L’idéal est de faire cette offre par écrit (e-mail). Vous pouvez déjà faire une offre même si vous n’avez pas encore reçu l’accord de votre banque concernant le prêt. Vous pouvez en effet inclure dans l’offre la condition suspensive d’octroi du prêt.

    Félicitations, vous avez acheté votre maison !

    Si vous arrivez à un accord avec le vendeur, un compromis de vente sera conclu. Attention : ce contrat d’achat préliminaire est contraignant. Vous obtiendrez alors :

    • Le certificat de conformité électrique
    • L’attestation d’étude du sol et le certificat PEB
    • Les renseignements urbanistiques 
    • Le dossier d’intervention ultérieure

    ll est tout à fait normal qu’à cette étape de l’achat, un acompte d’environ 10% soit demandé. La somme est bloquée sur un compte chez le notaire ou l’agent immobilier.

    Une fois le compromis de vente signé, vous disposez d’un délai de maximum 4 mois pour passer l’acte de vente. Prenez rendez-vous chez le notaire et informez votre banque de la date. La banque transférera alors le montant avant l’exécution de l’acte.

  • Rénovation avant mise en vente : 5 erreurs à éviter

    Avant de vous lancer tête baissée dans la rénovation de votre bien en vue de le vendre, voici quelques conseils bien utiles. En effet, ces erreurs sont archi répandues et n’auront pas une très bonne influence sur la valeur de votre maison…

    1.    Fusion des chambres

    Sacrifier des chambres pour en faire une king-size avec dressing, est peut-être pratique, mais cela n’augmentera pas la valeur de votre maison. Plus il y a de chambres, plus la valeur de la maison est élevée. Les personnes ayant des enfants, en particulier, sont toujours à la recherche de chambres supplémentaires.

    2.    Ne pas coordonner les éléments

    Une salle de bain ou une cuisine ultramoderne dans une villa classique ? C’est peut-être beau, mais la plupart des acheteurs préfèrent un ensemble harmonieux, où les différentes pièces sont en accord les unes avec les autres. N’oubliez pas que les goûts diffèrent : une décoration personnelle, même faite à grands frais, n’aura pas d’influence positive sur la valeur du bien.

    3.    Des solutions coûteuses dans une maison datée

    Si votre maison est ancienne, inutile de vous lancer dans la rénovation onéreuse de quelques pièces : vous récupérerez rarement les investissements réalisés lors de la vente. Il est préférable de rénover toutes les pièces de manière homogène si vous voulez récupérer votre investissement.

    4.    Investir dans le jardin  

    Un jardin bien entretenu est certainement un atout, mais si vous chargez un architecte paysagiste de l’aménager de A à Z, les chances de réaliser des bénéfices sont minces. En effet, les acquéreurs n’auront pas forcément envie de passer des heures dans le jardin….

    5.    Une piscine

    Bien que les piscines soient de plus en plus populaires, elles n’ajoutent généralement pas de valeur à votre maison. Les goûts diffèrent et tout le monde n’a pas forcément l’envie, ni les moyens d’assumer l’entretien d’une piscine.

    Besoin de conseils ?

    Bien sûr, nombreuses sont les erreurs possibles. Un agent immobilier expérimenté peut certainement vous conseiller et vous donner des indications quant aux investissements à réaliser et… à éviter. Dans certains cas, mieux vaut ne rien faire…

  • Colocation : une nouvelle assurance spécifique

    En Belgique comme dans de nombreux pays en Europe, le nombre de colocations est en pleine expansion. À Bruxelles, les derniers chiffres officiels indiquent que plus de 11 % des biens en location sont, dans les faits, des colocations. Et à en croire le nombre d’annonces sur les réseaux sociaux et les plateformes spécialisées, ce nouveau mode de vie fait de plus en plus d’adeptes.

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    Petit rappel : souscrire une assurance en tant que locataire d’un bien immobilier est une obligation légale en Wallonie et en Flandre. À Bruxelles, celle-ci est aussi de plus en plus souvent exigée même si ce n’est pas (encore) une obligation. On le sait, cette assurance a pour objectif de couvrir la responsabilité du locataire en cas de dommages causés à l’habitation du propriétaire ou aux habitations voisines, mais également à ses propres biens, à condition que la police couvre le contenu.

    Mais qu’en est-il de la colocation ?

    Dans les faits, l’assurance locataire se base sur une vision relativement traditionnelle de la cellule familiale, à savoir une personne seule ou un couple, avec ou sans enfants. Pour ce type de ménages, une assurance locataire couplée à une assurance familiale offre une protection optimale. Mais qu’en est-il des colocations ? Dans ce cas, on partage un même foyer sans pour autant être considéré comme un ménage au sens propre du terme. L’assureur belge Ethias y a vu là une opportunité et a donc lancé une assurance spécifique via son offre 100 % digitale baptisée Flora.

    De quoi s’agit-il ?

    Concrètement, l’assurance colocataire proposée par Ethias est une assurance sans franchise qui offre à tous les membres de la colocation une couverture en responsabilité civile pour les dommages qu’ils causeraient à l’habitation hébergeant la colocation ou aux habitations voisines. Cette protection est complétée par une assurance contenu qui intervient pour protéger ce dernier, par exemple à la suite d’un dégât des eaux ou d’un incendie. En option, il est aussi possible de se protéger contre le vol et le vandalisme. Enfin, les colocataires peuvent aussi s’assurer pour les dégâts corporels et matériels causés par un colocataire à un autre colocataire.

  • Alarme : 3 bonnes raisons d’en installer chez soi

    Malgré les cambriolages commis récemment dans votre quartier, vous hésitez à faire installer un système d’alarme chez vous. Voici trois raisons qui devraient vous convaincre !

    Pour votre sécurité et celle de vos proches

    Les cambriolages sont malheureusement monnaie courante dans notre pays. C’est un phénomène que l’on ne peut ignorer. Équiper son domicile d’un système performant permet de protéger votre famille ainsi que vos biens, mais également de vous sentir plus en sécurité dans vos murs. Et en la matière, mieux vaut prévenir que guérir. En effet, on ne décide pas de faire poser une alarme parce qu’on a été cambriolé ! Il est préférable d’y penser avant !

    On le sait, à la suite d’un cambriolage, on peut perdre des biens essentiels et des objets de valeur, mais ce n’est pas forcément le plus grave. Un vol peut laisser des séquelles, un certain stress et même des traumatismes lorsqu’on est agressé physiquement.

    En optant pour une alarme performante, vous mettez en sécurité les personnes qui comptent dans votre vie et ce même si vous n’êtes pas présent à votre domicile. C’est également une excellente option pour garder un œil sur votre résidence secondaire ou votre logement quand vous êtes en vacances. C’est une tranquillité d’esprit qui est irremplaçable, que vous soyez présent ou absent au moment de l’intrusion.

    Pour votre assurance

    La majorité des compagnies d’assurance tiennent compte du fait que l’habitation est équipée d’un système d’alarme. Dans la plupart des cas, le prix de la police varie alors à la baisse. En fait, mieux votre habitation ou vos locaux sont sécurisés avec des dispositifs adaptés, plus la compagnie d’assurance sera généreuse, sachant que vous avez moins de chance d’être cambriolé. L’économie que vous pourrez réaliser peut aller jusqu’à 20 %. Et, en la matière, tous les équipements dissuasifs, préventifs ou défensifs influent sur le prix de la police.

    Car les alarmes sont de moins en moins chères

    De nos jours, installer un système d’alarme ou de surveillance est à la portée de tous. En effet, les prix ont fortement diminué au cours des 10 dernières années. La concurrence est forte sur le marché et, surtout, l’installation d’un câblage coûteux n’est plus nécessaire car tout ou presque fonctionne sans fil !

    En outre, il est bien souvent possible d’installer le tout soi-même, sans faire appel à un prestataire extérieur. Tous les budgets peuvent donc choisir un système d’alarme à leur portée afin de se protéger efficacement.

    Enfin, bien souvent, le système d’alarme le plus basique suffit généralement à faire fuir les éventuels voleurs. Ceux-ci préfèrent en effet se diriger vers une habitation plus simple à cambrioler et dénuée de tout système de surveillance !

  • 7 façons d’économiser l’eau à la maison

    La plupart d’entre nous gaspillons de l’eau dans et autour de nos maisons. Ce qui signifie aussi que nous gaspillons de… l’argent. Mais avec un peu de technique, nous pouvons réduire considérablement le gaspillage d’eau et donc économiser beaucoup d’argent. Voici quelques conseils pour réduire notre consommation d’eau.

    1 l Un pommeau de douche économiseur

    Une douche consomme moins d’eau qu’un bain, surtout si vous disposez d’un pommeau économiseur d’eau. L’utilisation d’un pommeau à faible consommation d’eau vous fera économiser jusqu’à 40 % d’eau par rapport à un pommeau de douche standard. Un moyen bon marché et très efficace de réduire la consommation d’eau au quotidien.

    2 l Des électroménagers peu énergivores

    Les appareils électroménagers à eau chaude à faible consommation coûtent souvent un peu plus cher à l’achat, mais vous rentabiliserez rapidement l’investissement à l’usage. Privilégiez les lave-vaisselle, lave-linge et autres appareils dotés d’un label énergétique A.

    3 l Un chauffe-eau solaire

    Le chauffe-eau solaire permet de chauffer jusqu’à 60% de l’eau domestique à la seule force des rayons du soleil. Et des primes peuvent même être octroyées dans certains cas.

    4 l Une chasse d’eau économique

    Équipez vos toilettes d’une chasse d’eau économique, cela vous permettra d’économiser jusqu’à 8.000 litres d’eau par an. Ce qui fait beaucoup…

    5 l Ne laissez pas couler l’eau

    Pensez à fermer le robinet lorsque vous vous lavez, vous rasez ou vous brossez les dents. Cela vous fera économiser plusieurs litres d’eau. Pensez aussi à remplacer vos vieux robinets par des éléments modernes, qui sont plus économes.

    6 l Chassez les fuites

    Les fuites causent bien sûr du gaspillage. Vous pouvez économiser beaucoup d’eau en réparant ou remplaçant les robinets et les tuyaux qui fuient.

    7 l Profitez de l’eau de pluie

    En récoltant l’eau de pluie, vous pouvez récupérer beaucoup d’eau. Pensez à installer une citerne d’eau de pluie. Avec l’eau récoltée, vous pourrez arroser les plantes, tirer la chasse d’eau, nettoyer la voiture, etc. Dans les nouvelles constructions, l’installation d’une citerne est obligatoire, mais elle peut également être installée facilement dans une habitation existante.