La voiture électrique est sur toutes les lèvres. Cette solution, présentée comme celle de l’avenir, va sans doute chambouler notre quotidien par ses spécificités. Mais avant de signer le bon de commande, pensez d’abord à la manière dont vous allez la recharger. Vous comptez recharger chez vous ? Dans ce cas, ce qui suit va vous intéresser…
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Monophasé ou triphasé ?
Un raccordement monophasé 230 volts ne donne pas la même puissance qu’une installation triphasée moderne (3×400 volts + N). Notez, de plus, que certaines installations électriques plus anciennes en Belgique fonctionnent avec un courant triphasé sans neutre, ce qui pourrait compliquer l’installation d’une wallbox.
Quel ampérage ?
Il vous faut également connaître l’ampérage maximal dont vous disposez. Si votre compteur peut fournir 40A, utiliser jusqu’à 32A rien que pour la recharge de son véhicule électrique ne laissera en effet plus beaucoup de marge pour les autres consommateurs électriques du domicile. Sachez que renforcer son compteur coûte très cher, mais n’est pas impossible !
Toutefois, si votre ampérage est limité, nous vous conseillons d’opter pour une borne intelligente : celle-ci pourra module la puissance de charge en fonction de la consommation en temps réel d’électricité de l’ensemble du bâtiment.
C’est la question que nombre de personnes qui désirent vendre leur maison se posent : un coup de peinture est-il suffisant ou faut-il aller plus loin dans la rénovation ? Voici nos conseils concernant la salle de bains. En effet, la salle de bains est une clé importante pour bien vendre et augmenter la valeur de votre maison.
1. Un simple rafraichissement peut faire des merveilles
Un nouveau robinet, une paroi de douche propre et quelques fissures et trous rebouchés : ces petites interventions ne nécessitent pas d’investissements majeurs, mais elles peuvent faire une grande différence.
2. Restez neutre
Si vous souhaitez aller plus loin dans la rénovation de votre salle de bains, évitez de rendre la décoration trop personnelle et favorisez un traitement neutre. Le blanc et le beige sont largement appréciés ! Une salle de bains récente est toujours vue comme une grosse plus-value…
3. L’éclairage fait la différence
Une bonne lumière peut agrandir visuellement la pièce. Bien entendu, favorisez la lumière naturelle autant que possible. Il n’y a pas de fenêtres ? Avec un miroir LED et/ou quelques luminaires supplémentaires, vous pouvez créer une belle atmosphère.
4. Quelques détails qui attirent l’attention
Quelques serviettes colorées, un luxueux savon ou de jolis accessoires : ces détails peuvent faire une grosse différence. Limitez le nombre d’articles, mais faites-les ressortir. Une plante ou un vase peuvent apporter un peu de couleur pour briser la monotonie des murs…
Pour le reste, débarrassez-vous du maximum d’éléments superflus afin que les acheteurs potentiels puissent imaginer leur aménagement à eux.
5. Des toilettes dans la salle de bain ?
Cela semble évident, mais si vous avez des toilettes dans la salle de bains, rendez-les aussi propres que possible. Fermez également la lunette si vous attendez des acheteurs potentiels.
6. Ajouter un parfum
Les odeurs sont généralement à éviter, mais dans ce cas-ci, nous vous conseillons malgré tout une bougie parfumée, des bâtonnets d’huile essentielle ou un diffuseur, soit de quoi créer une atmosphère. Optez pour des senteurs relaxantes comme l’eucalyptus, la lavande ou la cardamome.
Entre novembre et mars, il y a toujours des tâches à effectuer pour entretenir et aménager son jardin, d’autant que les derniers mois ont été particulièrement humides.
Ramassez régulièrement les feuilles mortes
Depuis quelques semaines, les arbres se dénudent. Leurs feuilles tombent petit à petit et recouvrent pelouses et parterres. Il convient de ramasser celles-ci régulièrement afin de vous assurer d’avoir un jardin bien propre tout en évitant que les matières organiques ne s’accumulent. Compostez le tout ou utilisez-le comme paillage, en ne retenant que les feuilles qui ne sont pas trop gorgées d’eau. Le paillage protège le sol tout en l’enrichissant. Profitez-en aussi pour nettoyer les massifs, les éventuels bassins d’ornement ainsi que vos accessoires de jardinage.
Mettez les plantes les plus fragiles à l’abri
Vous le savez, il est indispensable de rentrer à l’intérieur les plantes les plus fragiles ainsi que les espèces exotiques. Vous pouvez par contre laisser les plus robustes profiter de la météo, à condition que celle-ci soit clémente. Pour prévenir tout dégât, préparez néanmoins des voiles d’hivernage et d’éventuelles protections afin de pouvoir couvrir les plantes extérieures dès que les températures chuteront.
Peut-on tailler en hiver ?
De façon générale, les professionnels vous diront qu’il est impératif de tailler en dehors des périodes de gel. Au tout début de la saison, il est parfois encore possible d’éclaircir les plantes les plus vigoureuses, à l’image des grimpantes mais aussi des rosiers et des vivaces qui, généralement, ont encore un peu de prestance au début de l’automne. En revanche, la majorité des plantes à floraison estivale ont besoin de garder “une petite couche” pour résister au froid. On ne touchera donc pas aux plantes à fleurs, comme les hortensias, ni aux graminées. Il faudra attendre la sortie de l’hiver pour tailler ceux-ci. Pour ce qui est des arbres fruitiers, ceux à noyau se taillent quand ils sont encore verts tandis que ceux à pépins se taillent quand ils n’ont plus de feuilles.
On prend soin des oiseaux !
Durant les mois les plus froids de l’année, on veillera à la bonne santé de nos amis les oiseaux, ainsi que des autres petits habitants du jardin en mettant à leur disposition une nourriture adaptée ainsi que de l’eau. On peut également installer un abri qui leur permettra de passer les nuits les plus froides. Tout ce petit monde vous sera reconnaissant en restant à vos côtés tout au long de l’hiver !
Vous êtes nombreux à ne jurer que par les carreaux de céramique. Si vous voulez tirer le meilleur parti de vos carreaux de céramique, une installation correcte est extrêmement importante, mais l’entretien ne doit pas être négligé non plus !
Nos conseils pour la pose de vos carreaux de céramique
1. Donnez à la chape suffisamment de temps pour sécher
Si vous voulez éviter que vos carreaux de céramique ne se détachent, votre chape a besoin de temps pour sécher. Laissez sécher la chape pendant au moins 4 semaines. Si la zone où vous désirez poser vos carreaux de céramique n’est pas encore à l’abri du vent ? Alors attendez un peu plus longtemps ! Une fois que les carreaux de céramique ont été posés, il est également préférable d’attendre environ 36 heures avant de commencer le jointoiement.
2. Une surface plane est essentielle
Les carreaux de céramique doivent être posés sur une surface plane. S’il y a des irrégularités, lissez-les avec du mortier de nivellement.
3. Travailler sur une surface dégraissée
Si vous posez vos carreaux de céramique sur une autre surface, veillez à la dégraisser correctement au préalable. Si vous travaillez sur des carreaux de ciment ou des pierres naturelles, utilisez la colle flexible au lieu de la colle traditionnelle. Après avoir posé les carreaux, attendez environ 48 heures avant de les jointoyer.
Nos conseils pour l’entretien des carreaux de céramique
Pour en profiter pendant longtemps, il faut également entretenir correctement vos carreaux de céramique. Voici les points les plus importants.
1. Attention à l’entretien initial
Vous vous occupez de vos carreaux de céramique pour la première fois ? Procédez avec prudence. Laissez sécher les joints pendant trois semaines, puis enlevez les résidus. Vous pouvez le faire à l’aide d’un dissolvant adapté disponible dans les magasins de bricolage. Vos carreaux garderont leur éclat plus longtemps. Vous pouvez ensuite passer la serpillière avec de l’eau chaude.
2. Ne pas trop nettoyer
Un coup d’aspirateur ou de serpillière une fois par semaine suffit. Pour les sols de couleur claire, vous pouvez même le faire tous les quinze jours, car les taches risquent moins d’apparaître. Utilisez des produits de nettoyage sans huile, afin que la saleté ne « colle » pas.
3. Entretien majeur tous les 3 mois
Une fois par trimestre, vos carreaux de céramique ont besoin d’un nettoyage en profondeur. Vous pouvez utiliser un produit de nettoyage plus puissant pour cela. Veillez à bien rincer à l’eau claire.
C’est un véritable fléau qui frappe bon nombre de cuisines et de locaux où l’on conserve des denrées alimentaires. Des petits papillons dont les larves se nourrissent d’aliments variés et dont il est très difficile de se débarrasser. Voici nos astuces pour en venir à bout une bonne fois pour toute !
Emiko Peterson
Farine, biscuits, pâtes, céréales, fruits secs ou encore croquettes pour animaux domestiques : les mites se délectent d’un peu de tout. Ces petits papillons proviennent généralement des produits que l’on achète dans le commerce et plus particulièrement de ceux qui sont vendus en vrac. Ils ont une nette préférence pour les produitsbio, ceux-ci étant généralement dépourvus de tout pesticide.
Tenace… comme une mite
Une fois chez vous, les mites s’installent dans les armoires et les placards, avec des nids qui sont parfois difficiles à dénicher. Boîtes de biscuits et de pâtes, paquets de farine ou de céréales, mais aussi plinthes, faux plafonds, alvéoles des cartons d’emballage voire entre deux livres, rien ne les arrête !
Si vous êtes à la recherche de la “source” des mites qui volent dans votre séjour, soyez particulièrement attentifs à ces endroits, mais également aux jonctions entre le sol et les murs, aux interstices entre les lames du plancher et à la partie arrière de vos armoires. Une fois le cocon repéré, il faut le décoller minutieusement et vous en débarrasser, tout en désinfectant la zone concernée.
Des petits filaments blancs dans vos armoires et dans les aliments peuvent également être le signe de la présence de mites. Vous devrez coûte que coûte repérer le ou les nids et les détruire afin de prévenir toute prolifération !
1. Un récipient hermétique
Première astuce à observer pour prévenir toute apparition de ces insupportables bestioles : stockez vos denrées alimentaires dans des récipients bien hermétiques, comme des bocaux en verre ou des boîtes en plastique qui ferment. Si mites il y a, vous limiterez ainsi leur prolifération tout en maintenant les aliments sains à l’écart de ceux qui sont infestés.
2. Répulsif naturel
Seconde astuce pour les éloigner de vos armoires : disposez-y des clous de girofle ou des feuilles de laurier. Ces deux répulsifs 100 % naturels peuvent être placés directement dans les placards voire dans les boîtes et sachets qui contiennent des aliments. L’huile essentielle de cèdre peut également être d’un grand secours, mais celle-ci ne doit pas être mise en contact avec des aliments.
3. Installer des moustiquaires
En effet, les mites peuvent aussi provenir de l’extérieur, particulièrement en ville où elles raffolent des fientes de pigeons ! À la campagne, la présence d’un poulailler peut favoriser leur apparition.
4. Jetez ce qui est infesté !
Enfin, quatrième truc : soyez radical si vous remarquez la présence de ces nuisibles. Jetez tous les aliments infestés ainsi que ceux qui sont entamés et qui partagent la même armoire. Placez le tout dans un sac poubelle et fermez-le hermétiquement. Vous devrez ensuite procéder à un nettoyage complet et minutieux des placards impactés, à l’aide d’un détergent multi-usage ou d’un mélange d’eau tiède et de vinaigre blanc. Le moindre recoin doit être traité !
Les machines à laver “top” font merveille dans les petits espaces et en appartement, grâce à un volume réduit. Ont-elles d’autres avantages ? On vous dit tout !
Contrairement aux machines à laver pourvues d’un hublot, les modèles “top” se chargent par le haut grâce à un hayon qui donne accès au tambour de la machine. Le chargement du linge se fait donc par le haut de la machine.
Quelques inconvénients…
Il est impossible de poser un sèche-linge par-dessus la lessiveuse, ce qui constitue un petit inconvénient surtout si vous manquez d’espace dans votre buanderie ou votre salle de bain.
En outre, ce type de lave-linge n’est pas encastrable.
Enfin, ces modèles présentent généralement de plus petites capacités de chargement (7 à 8 kg maximum).
Par rapport aux machines à laver à hublot, le principal avantage du lave-linge “top” demeure indéniablement son confort d’utilisation. Charger le linge par le dessus vous évite premièrement de vous accroupir.
En outre, le linge ne risque pas de tomber au fur et à mesure du chargement, celui-ci étant bien coincé dans le tambour de la machine.
Et puisque vous pouvez remplir facilement la machine à laver, vous pouvez tirer parti de l’intégralité de la capacité du tambour de votre appareil.
Enfin, bien que les machines à laver “top” ne soient pas encastrables, leurs petites dimensions en font un appareil idéal pour les petits espaces. En moyenne, ce type d’appareil fait 45 cm de largeur contre 60 cm pour les modèles à hublot ! Un sacré gain de place !
Hublot ou top : le dilemme
Le mode d’ouverture de l’appareil vous permet donc de choisir entre une machine à laver hublot et un lave-linge “top”. Un choix qui influe sur les dimensions et la capacité de l’appareil mais aussi sur la possibilité d’une deuxième fonctionnalité de séchage (inexistante sur les machines “top”) et d’une installation encastrée pour le modèle hublot.
Il existe en outre d’autres paramètres à prendre en compte, que ce soit pour le lave-linge frontal ou “top”, comme la capacité d’essorage. Exprimée en tours/minute, celle-ci, si elle est élevée, permet de sécher le linge plus rapidement. Lors de votre choix, tenez également compte des différents programmes disponibles, surtout si vous disposez d’une garde-robe constituée de vêtements fragiles !
Avec un mercure qui chute et un prix des énergies traditionnelles qui s’envole, la tentation de s’équiper d’un chauffage alternatif est grande. Et pourquoi ne pas craquer, après tout ?
Que ce soit pour chauffer une zone précise de son habitation ; pour « casser le cru » ou tout simplement pour assister son chauffage principal afin de diminuer sa facture énergétique, l’usage d’un chauffage alternatif présente de nombreux avantages.
Bois
Dans cette catégorie, le poêle à bois reste un grand classique. En plus d’offrir une ambiance cosy et réconfortante, il permet aussi de jouir d’une source de chaleur efficace pour un prix compétitif à l’usage. Si l’on dispose d’une cheminée au bon tirage et d’une zone pour stocker des bûches, difficile de résister à l’envie de s’installer à côté d’une bonne flambée crépitante…
Pellets
Le poêle à pellets peut également se poser en alternative intéressante. Son allumage automatique, souvent programmable, apporte un grand confort d’usage. Sans oublier que stocker des sacs de pellets se montre aussi plus « propre » et pratique en fonction de la configuration de son habitation.
Gaz ou pétrole
Parallèlement aux poêles à bois et à pellets, on retrouve dorénavant aussi une belle offre de poêles à gaz ou à pétrole sur le marché. Ces derniers peuvent aussi séduire comme appoint de chaleur dans nos domiciles quand le mercure chute. D’autant plus qu’il sont généralement économiques à l’achat et qu’ils peuvent aussi offrir une fonction d’allumage électronique confortable à l’usage.
Electrique
Ne nécessitant pas l’évacuation de fumées, le chauffage d’appoint électrique se profile, de son côté, comme la solution la plus souple à installer. En outre, une grande variété de solutions existent en fonction du type d’usage envisagé. Depuis le radiateur soufflant, plutôt destiné à la salle de bain, aux radiateurs à bain d’huile offrant une chaleur résiduelle confortable dans des pièces de vie.
Vous pouvez confier la rénovation d’un toit plat à un spécialiste, mais vous pouvez parfaitement faire un certain nombre de choses par vous-même. On vous dresse ici la liste des points d’attention !
Isolation supplémentaire ?
Saviez-vous qu’environ un quart de la chaleur disparaît par le toit s’il n’est pas correctement isolé ? Si vous rénovez votre toit, veillez à ce qu’il soit bien isolé. Cela n’a rien de compliqué et un bon informant d’un magasin spécialisé peut vous conseiller selon votre cas précis.
Réparer efficacement son toit
La réparation d’une toiture plate ne se limite pas à la seule étanchéité de cette dernière. Voici quelques points d’attention supplémentaires :
Structure
Si votre structure est en bois, les champignons et les insectes peuvent l’attaquer. Avec le béton, il y a un risque de pourriture. Soyez donc attentifs !
Pente et drainage
Un blocage ou un affaissement peut entraîner la formation de flaques d’eau sur le toit. Cela fait peser une masse supplémentaire sur la structure du toit et met l’étanchéité en péril. Il y a également un risque d’infiltration d’eau.
Etanchéité et raccordements de la toiture
En cas de pluie abondante, vous avez constaté de l’humidité sur les murs extérieurs ou le plafond ? Alors, il y a probablement un problème avec l’étanchéité de votre toit. Si ce dernier est récent, il peut avoir été mal installé. Vous feriez mieux de demander à un spécialiste d’y jeter rapidement un coup d’œil.
Condensation
La pluie peut être à l’origine de l’humidité, mais parfois l’humidité qui tombe du plafond ou qui s’accumule au sommet des murs, est due à la condensation. Cela entraine donc un vrai risque de moisissure.
Remplacement de la membrane d’étanchéité du toit
Lors de la rénovation d’un toit plat, il suffit généralement de remplacer l’étanchéité du toit. Il existe 3 types de matériaux d’étanchéité différents à cet effet :
Roofing
Fabriquées à partir de pétrole, ces membranes repoussent l’eau. Les formes les plus connues sont les plastomères et les élastomères. Les élastomères sont flexibles et collent très bien, tandis que les plastomères sont résistants aux UV. Ce matériau est déroulé sur le toit et collé, chauffé ou fixé mécaniquement. Deux couches sont généralement appliquées.
Membrane synthétique
Il s’agit du PVC et de l’EPDM. Ces matériaux sont élastiques et légers. L’EPDM est livré sur un rouleau et est collé ou fixé mécaniquement. Le PVD est disponible en plusieurs couleurs et peut également être fixé mécaniquement, bien que le collage soit également possible. Ces membranes sont également insensibles au soleil
Résine liquide
Cette résine peut être appliquée directement sur le béton ou la membrane déjà présente. L’application se fait au rouleau ou au pinceau. Notez que deux couches sont généralement nécessaires.
La chaudière, c’est l’élément qui transforme votre maison en cocon douillet durant les saisons froides. Autant la chouchouter ! A partir de quel moment vaut-il mieux remplacer sa chaudière ? Leur durée de vie est-elle limitée ?
Généralement, les experts s’accordent à dire qu’une chaudière de plus de 13 ans est en fin de vie, car c’est à partir de cet âge que les pannes apparaissent à un rythme plus soutenu. La remplacer et faire installer une nouvelle chaudière à ce moment-là (surtout si c’est une chaudière atmosphérique) a donc du sens et ce, pour plusieurs raisons :
Une chaudière neuve consomme moins, ce qui vous permettra d’économiser sur votre facture d’énergie ;
C’est aussi un gage de sécurité et de fiabilité;
Les normes écologiques seront mieux respectées ;
En cas de panne de l’ancienne chaudière, il y a un risque de pénurie de pièces détachées…
Quelles économies d’énergie allez-vous réaliser ?
Tout dépend de votre chaudière actuelle. S’il s’agit d’un modèle atmosphérique, le gain peut aller jusqu’à 30 % ! Dans le cas d’une chaudière à condensation actuelle, le gain varie entre 5 et 10 %, que ce soit pour le carburant (et donc les émissions), ou pour les besoins en électricité.
Quelle chaudière choisir ?
Il n’y a plus vraiment de mauvaises chaudières sur le marché aujourd’hui. Les marques Junkers, Bosch et, pour les grandes habitations, Buderus, profitent d’une belle réputation. Il faut toutefois qu’elle soit installée correctement !
Concernant la puissance, multipliez votre surface à chauffer par 1,75 et vous aurez une idée, en kW, de la puissance requise. Notez que cela peut varier fortement en fonction de l’isolation, du nombre de salles de bains, du type de chauffe-eau… Demandez donc à un expert de calculer la bonne puissance : si elle est trop puissante ou pas assez, une chaudière ne fonctionnera pas correctement !
Avant de procéder à l’installation d’une nouvelle chaudière, renseignez-vous sur les primes chaudière et aides des différentes régions dont vous pourriez bénéficier. Cela peut être très intéressant !
Le changement climatique est une réalité qui ne peut plus être niée. Aujourd’hui, l’architecture bioclimatique tend à prendre avantage d’un site et de son environnement pour rendre l’habitat aussi agréable que possible et ce, toute l’année. Concrètement, que vous partiez sur du neuf ou vers une rénovation, que faut-il prendre en compte pour adapter votre maison au climat du futur ?
1. Apporter du soleil en hiver, protéger de la chaleur en été
Seule une façade orientée au sud, accompagnée de larges baies vitrées offre des possibilités de chauffage passif de votre maison en hiver. Pour enrayer tout risque de surchauffe en été, les volets et autres auvents sont conseillés. Mais pas seulement : les arbres, les buissons et les haies peuvent également constituer une barrière naturelle contre le soleil. Une maison très bien isolée protège non seulement la maison du froid, mais aussi de la chaleur !
2. Répartir judicieusement la chaleur
Vous voulez éviter la surchauffe ? Optez pour un système de ventilation double flux. Ce système garantit un équilibre thermique entre les différentes pièces. Vous créez ainsi une circulation d’air naturelle. Notez que lors des canicules, ce système peut atteindre ses limites : c’est pourquoi il existe un bypass pour les échangeurs de chaleur. Ce système, mesurant les températures extérieure et intérieure, adapte la ventilation et le bypass en fonction de la température de consigne.
3. Stocker la chaleur et la fraîcheur
En hiver, vous voulez emmagasiner le plus de soleil possible à l’intérieur, tandis qu’en été, vous voulez capter et emmagasiner la fraîcheur de la nuit, afin de contrecarrer la surchauffe pendant la journée. Comment faire ? En profitant de l’inertie thermique de votre maison et des matériaux qui la composent. Ici encore, l’isolation est déterminante. Prenez conseil auprès d’un spécialiste !
4. Rafraichir la nuit
Une fois votre maison surchauffée par le soleil, comment la rafraichir ? La clé, c’est la ventilation ! La fraîcheur de la nuit peut être d’un grand secours : si vous ventilez intensivement la nuit, la fraîcheur est stockée dans vos matériaux, ce qui signifie que votre maison se réchauffera moins le lendemain. Privilégiez donc les murs à bonne inertie et assurez-vous de pouvoir facilement et intensivement ventiler la nuit.