Auteur : francois

  • Rafraichir sa maison durant la canicule : 5 erreurs classiques à éviter !

    Avec les températures très estivales que l’on nous annonce et que nous avons déjà connues, nous avons tous nos petites recettes pour rafraîchir sa maison. Hors, certaines sont nettement plus efficaces que d’autres !

    1. Ouvrir les fenêtres

    C’est l’un des premiers réflexes que l’on peut avoir lorsque le thermomètre grimpe et pourtant, il fait généralement tout l’effet inverse ! En effet, l’air extérieur est généralement plus frais que l’air intérieur. Ouvrir vos fenêtres aurait donc comme conséquence de réchauffer votre foyer. Gardez également vos volets et stores bien fermés. En revanche, ouvrez vos fenêtres, la nuit ! En effet, à ce moment, les températures sont généralement plus basses et cela permet donc de rafraichir votre habitation !

    2. Utiliser son électro-ménager le jour !

    Certes, nous sommes peu nombreux à aimer un bon gratin au beau milieu de la canicule, mais il est tout de même bon de rappeler que l’utilisation du four est à éviter le jour, de même que les plaques de cuisson, le lave-vaisselle, voire le sèche-linge ! Tous ces appareils sont des sources de chaleur non négligeables et si vous devez absolument vous en servir, faites-le, dans la mesure du possible la nuit tombée !

    3. Allumer toutes les lampes

    Les ampoules, tout comme votre électro-ménager, est également source de chaleur. Mieux vaut donc les utiliser avec parcimonie ou passer à un éclairage LED, moins énergivore et dégageant nettement moins de chaleur.

    4. Faire sécher son linge dehors

    Le linge, en séchant, rafraîchit l’atmosphère. Evidemment, il sèchera nettement plus vite dehors, mais dans votre maison, il permettra de limiter la hausse de la température !

    5. Rester dans le ventilateur ou la climatisation

    Vous avez intelligemment investi dans une climatisation ? C’est un bon choix ! Mais éviter de la régler sur la température la plus basse : une trop grande différence de température avec l’atmosphère extérieure (on parle de 5 à 6 degrés) peut vous rendre malade ! Même refrain avec le ventilateur : mieux vaut ne pas rester devant pour éviter tout refroidissement… Ce qui serait un comble, nous sommes bien d’accord.

  • 5 travaux à envisager chez vous cet été!

    L’été est l’occasion pour bon nombre d’entre nous de profiter d’un peu de temps libre que l’on peut mettre à profit pour entreprendre des travaux nécessaires à l’entretien de la maison. Nous en avons retenu cinq !

    Réviser son système de chauffage central

    Avec la chaleur qui règne en été, on a bien souvent tendance à couper le chauffage afin de réaliser des économies. Bon réflexe ! L’occasion parfaite pour faire réviser celui-ci par un professionnel. De votre côté, profitez-en pour dépoussiérer vos radiateurs, pour purger ceux-ci, pour changer les vannes thermostatiques qui ne fonctionnent plus ou, pourquoi pas, pour passer à des vannes intelligentes.

    Remplacer portes et châssis

    L’été, on en profite pour aérer la maison. Fenêtres et portes sont du coup généralement grandes ouvertes. C’est donc la meilleure période pour envisager de les changer. Et c’est un des actes indispensables qui va vous permettre d’augmenter le rendement énergétique de la maison !

    Nettoyer votre façade

    La belle saison est également le moment idéal pour procéder au nettoyage de votre façade. De quoi donner un bon coup de jeune à votre maison. Pour ce faire, munissez-vous d’un nettoyeur à haute pression qui vous permettra de supprimer les différentes traces et poussières qui dégradent l’esthétique extérieur de votre façade. C’est une tâche relativement simple qui donnera une véritable plus-value à votre habitation !

    Améliorer l’isolation de votre maison

    Quand les températures grimpent, on a tendance à vite oublier l’hiver, cette période de l’année où le chauffage tourne à plein régime pour chauffer la maison. Il convient de garder en tête que l’été est la période la plus propice à la mise en œuvre de travaux d’isolation. Ceux-ci vous assureront de passer un hiver plus serein et plus économique que le précédent. À cette occasion, profitez-en pour vous renseigner auprès de votre commune et de votre région quant aux primes dont vous pouvez bénéficier. De quoi vous aider à financer des travaux d’isolation qui, souvent, représentent un coût important.

    Aménager votre terrasse

    Pour profiter des belles soirées d’été comme il se doit, vous devez disposer d’une terrasse confortable et fonctionnelle. Si vous avez la chance d’avoir une maison avec piscine ou même un appartement avec terrasse, pourquoi ne pas profiter des prochaines semaines pour engager des travaux d’aménagement de votre terrasse ? Vous pouvez par exemple installer une pergola afin de bénéficier d’un peu d’ombre au cours de la journée, ou encore revoir la décoration du lieu afin d’en faire un espace plus convivial. Et si le carrelage de la terrasse a pris un coup de vieux, c’est le moment de le recouvrir avec des lames en bois afin de relooker totalement celle-ci !

  • Orages : la foudre peut-elle endommager votre PC ? Comment éviter les dégâts ?

    Les risques liés à la foudre ne sont pas à traiter à la légère. Et si les orages sont relativement rares, ils présentent néanmoins un risque non prévisible qui peut être très destructeur pour votre matériel informatique !

    Les ordinateurs sont devenus des outils indispensables pour de nombreux professionnels mais aussi pour les particuliers. Si pour certains leur fonction se limite au stockage de données, ils constituent de véritables “bras droits” pour les télétravailleurs. Et, mauvaise nouvelle, les installations réseaux comme les installations électriques sont sensibles à la foudre. Celles-ci peuvent donc être mises hors d’usage à l’occasion d’un violent orage. Il est donc capital de recourir à des équipements qui permettent de les protéger de la foudre !

    Installer un paratonnerre

    L’installation d’un paratonnerre permet de protéger efficacement les installations électriques ainsi que le réseau informatique de votre maison. Il s’agit d’une protection placée à l’extérieur du bâtiment. Ce dispositif aura pour rôle de capturer puis de canaliser sur un seul point la foudre et par la suite de la conduire dans le terrain avoisinant sans qu’elle ne pénètre dans le bâtiment.

    Outre le paratonnerre, on peut aussi opter pour des prises pourvues d’une protection contre la foudre. Celles-ci ont pour rôle de protéger les alimentations électriques contre les surtensions occasionnées par la foudre. Il y a d’un côté les parafoudres centraux qui s’installent dans le tableau électrique à côté du disjoncteur, et de l’autre les parafoudres locaux qui se placent entre les appareils et les prises de courant. Alimenter vos appareils, en ce compris les routeurs et les modems, avec une multiprise parafoudre permet de protéger l’ensemble de votre installation informatique.

    Compatibilité

    Notez cependant que toutes les multiprises parafoudres ne sont pas compatibles avec tous les équipements ! C’est pourquoi il est important de consciencieusement sélectionner votre prise parafoudre afin qu’elle protège au mieux votre matériel. À titre d’exemple, les prises des boîtiers CPL ne sont pas compatibles avec ce type de prises. En effet, les prises CPL fonctionnent avec des bandes de fréquences qui sont filtrées par le parafoudre.

    Avant d’acheter une prise parafoudre, il convient donc de faire la liste des appareils ayant besoin d’une protection et de consulter un vendeur afin de vous assurer de la compatibilité du modèle que vous comptez acheter.

  • Pourquoi choisir une plaque de cuisson vitrocéramique ?

    La cuisson sur une plaque vitrocéramique présente de nombreux avantages. Si votre plaque de cuisson doit être remplacée, il faut absolument considérer ce matériel dont voici quelques détails importants.

    Quels sont les avantages d’une plaque vitrocéramique ?

    Lorsque vous choisissez une plaque vitrocéramique, vous optez pour un équipement qui va durer dans le temps et qui est donc durable. La vie d’une plaque vitrocéramique peut en effet dépasser 20 ans et ce, même en cas d’utilisation intensive. La céramique est en outre un choix élégant, car son aspect est moderne et épuré. Le fait qu’il n’y a pas de parties saillantes est d’ailleurs très apprécié, car l’intégration dans les meubles de cuisine est parfaite. Une plaque vitrocéramique est aussi facile à entretenir et à nettoyer grâce à sa surface est lisse.

    À quoi faut-il faire attention ?

    Comme pour toutes choses, la qualité a un prix et une plaque vitrocéramique ne semble a priori pas l’achat le meilleur marché dans la gamme des plaques de cuisson. Cela dit, si on met en perspective la durée de vie de cet équipement, on constate que, par rapport au prix d’achat, ce type de plaque de cuisson est loin d’être le plus cher. On notera également que la montée en température des différents éléments de la plaque peut prendre un peu plus de temps qu’avec une taque au gaz par exemple. Et il faut souligner qu’il est nécessaire de faire preuve de prudence avec les jeunes enfants, car ce type de plaque laisse avec des foyers de chaleur résiduelle qui ne sont pas nécessairement visibles, donc détectables par les bambins. À ce sujet, certains modèles sont équipés de témoins de chaleur résiduelle, ce qui est un avantage.

    L’entretien, un jeu d’enfant

    La surface parfaitement lisse et plane d’une plaque vitrocéramique est très facile à nettoyer. Un chiffon microfibres permet de nettoyer la plaque refroidie en quelques secondes. Souvent, l’action de polissage n’est même pas nécessaire. Soyez toutefois prudent lorsque vous utilisez des savons, car l’acide citrique n’est pas le meilleur ami des plaques en vitrocéramique.

    Choisir la bonne taille

    Si vous faites l’acquisition d’une plaque vitrocéramique pour une cuisine déjà existante, il est nécessaire de relever les bonnes mesures, car il faut que la plaque achetée puisse être parfaitement intégrée dans l’ouverture prévue à cet effet dans le plan de travail. La niche doit donc correspondre parfaitement aux dimensions de la plaque.

    Vous n’êtes pas un bricoleur expérimenté ? Adressez-vous alors à un technicien expérimenté qui installera votre nouvelle plaque de cuisson.

    Combien coûte une plaque vitrocéramique ?

    Les prix des plaques de cuisson varient considérablement. Les tarifs démarrent autour de 500 euros, mais peuvent grimper jusque 1.000 euros, selon la marque retenue et les fonctionnalités de la plaque. Certes, ce n’est pas bon marché, mais cela reste parfaitement acceptable dans le cadre d’une utilisation qui atteindra au moins 20 ans…

  • Internet : les avantages et les inconvénients de la fibre

    La fibre optique est un fil en verre ou en plastique dans lequel passe internet. Elle permet une connexion plus rapide que le réseau classique en cuivre. Dans cet article, nous faisons un point sur ses différents avantages et inconvénients.

    Les avantages de la fibre par rapport à une connexion traditionnelle en cuivre sont nombreux.

    • Elle offre une plus grande bande passante et donc une vitesse de transfert plus élevée, jusqu’à 10 Gbps !
    • Avec le prix du cuivre qui s’est envolé, la fibre optique est considérée aujourd’hui comme bon marché.
    • Toujours comparée à ce dernier, la fibre est aussi plus légère et plus mince ce qui permet de regrouper davantage de fibres dans un câble de même diamètre.
    • La fibre optique offre aussi moins de dégradation du signal que le cuivre, tout en n’étant pas sujette aux interférences, de quoi assurer une meilleure qualité de connexion et des conversations téléphoniques plus claires.
    • Enfin, la fibre optique ne s’oxyde pas et jouit donc d’une durée de vie plus longue (on parle de près de 50 ans voire plus, tant que les revêtements restent bien hermétiques). Elle ne craint pas non plus l’humidité. De quoi encourager les fournisseurs en télécommunication à investir massivement dans cette technologie.

     

    Pour ce qui est des inconvénients, si la fibre optique est moins sensible à l’humidité que le cuivre, elle est par contre plus vulnérable lors de traction, de torsion ou encore de flexion. Elle peut en effet casser. En revanche, les câbles qui la contiennent ont été conçus en conséquence et offrent un degré de solidité élevé. En outre, la distance entre l’émetteur et le récepteur doit rester raisonnable. Pour de grandes longueurs de câblage, il est nécessaire d’installer des répéteurs le long du parcours.

     

    En tant que consommateur, faut-il y passer ?

     

    À condition d’être éligible à la fibre (tous les quartiers ne sont pas encore équipés), si vous êtes sujet à des ralentissements de connexion voire à des coupures et si vous êtes un grand consommateur de données (car vous jouez à des jeux en lignes ou que, pour vous, le streaming est une seconde nature), il peut être intéressant de passer à la fibre optique. Techniquement, le débit de l’ADSL (le type de connexion dont la majorité des Belges dispose actuellement) tourne autour de 1 à 100 Mb/s tandis qu’avec la fibre, celui-ci peut grimper jusqu’à 1 Gb/s (soit 1.000 Mb/s) en fonction du forfait retenu.

     

    Plus le débit sera important, plus vous pourrez profiter simultanément de différents services et appareils connectés. Vous gagnerez également en stabilité lorsque vous faites un appel en vidéo. Un bon argument pour celles et ceux qui télétravaillent!

  • Connaissez-vous cette astuce pour éloigner les guêpes de la table ?

    On ne compte plus les astuces de grand-mère pour repousser les guêpes durant l’été, phénomène désagréable surtout lorsqu’on passe à table. Certains vous diront que l’huile essentielle de lavande est imparable, d’autres ne jurent que par le bon vieux piège à bière.

    wasps
    Svetozar Cenisev

    Il y a pourtant plus simple et moins cher ! En effet, sachez que l’odeur du café moulu insupporte au plus haut point ces insectes hyménoptères !

     

    Comment procéder ?

     

    Concrètement, pour chasser les guêpes de la table, il suffit de récupérer du café moulu qui n’a  pas encore été utilisé (on ne parle donc pas ici de marc de café !) et de le faire brûler. Pour ce faire, placez le café en poudre dans une petite coupelle et brûlez-le à l’aide d’une allumette ou d’un briquet. La fumée qui se dégagera de la coupelle éloignera les nuisibles, dont les guêpes, sans les blesser ni les empoisonner !

  • 5 étapes incontournables pour réussir la rénovation de votre maison

    C’est bien souvent le chantier d’une vie, qui va nécessiter d’importants moyens financiers mais également beaucoup de temps. Mieux vaut donc se préparer convenablement avant de se lancer dans la rénovation d’une maison !

    La rénovation d’un bien existant, avec pour but de l’occuper ou de le mettre en location, est une opération courante. On peut aussi rénover afin d’améliorer le confort de son bien ou encore pour le rendre plus performant d’un point de vue énergétique. Mais avant toute chose, il convient de définir clairement son projet, tout en établissant un cahier des charges.

     

    1. C’est ce qu’on appelle l’étude de faisabilité. Tout projet étant un investissement sur le moyen voire le long terme, il convient de déterminer avec précision quel est le but de la rénovation. Entre changer des châssis, installer une pompe à chaleur ou isoler une toiture, les desiderata sont tout à fait différents. Définir son projet facilitera la tâche à votre architecte et votre entrepreneur. Cela permettra aussi de savoir si vous pouvez bénéficier de primes ou d’aides mais aussi si vous êtes dans les clous vis-à-vis de la législation locale. En matière d’urbanisme, on ne peut en effet pas faire n’importe quoi !

     

    1. Dans un second temps, il s’agit de définir le budget dont on dispose et si celui-ci est suffisant au regard du projet convoité. En effet, si vous ne disposez que de 25.000 € pour la rénovation totale d’une maison, cela risque de se révéler compliqué… On ne peut donc que vous recommander d’établir votre enveloppe budgétaire en toute connaissance de cause, tout en gardant une petite marge de manœuvre en cas d’aléas de chantier, ce qui est malheureusement bien souvent monnaie courante lors d’une rénovation. N’hésitez pas à consulter un architecte, il vous aidera à définir le budget dont vous aurez besoin.

     

    1. Avant de choisir avec qui vous allez collaborer, qu’il s’agisse de l’architecte ou de l’entrepreneur, vous pouvez lui demander de consulter des exemples et des références de réalisations passées. N’hésitez pas à aller à la rencontre de leurs anciens maîtres d’ouvrage pour pouvoir juger sur pièce. Vous pourrez ainsi en apprendre plus sur le sérieux du prestataire mais aussi éventuellement valider un style ou des finitions.

     

    1. Le choix des matériaux utilisés est aussi une étape cruciale. Pourquoi ? Tout simplement car les matériaux retenus dans une rénovation ont un fort impact sur le budget, ceux-ci représentant quelque 40 % du prix total, d’autant que leurs tarifs grimpent en flèche depuis plusieurs mois… Entre des matériaux “premier prix” et d’autres haut de gamme, la facture peut donc doubler voire tripler ! Notez qu’en la matière, opter pour des matériaux bas de gamme est souvent un mauvais calcul, ceux-ci ayant tendance à se dégrader plus rapidement.

     

    1. Enfin, au terme du chantier, ne négligez pas la réception de celui-ci ! Reprenez votre devis et le cahier des charges et parcourez le tout minutieusement lors de la réception du chantier avec l’entrepreneur. C’est le moment de vous assurez que tout a bien été exécuté ! En cas de non concordance avec l’offre initiale et de refus d’intervention de l’entrepreneur, vous pouvez faire appel à un médiateur qui interviendra auprès du corps de métier concerné. Cela vous évitera d’aller en justice avec tous les frais que ce type de procédure peut engendrer.
  • Parcourez cette check-list avant de vous lancer dans des travaux de peinture

    Vous vous apprêtez à vous lancer dans des travaux de peinture afin de donner un petit coup de jeune à une pièce de la maison ? Avant de passer à l’action, faites le point sur ce dont vous allez avoir besoin !

    Quel matériel ?

    Des travaux de peinture nécessitent bien entendu un matériel spécifique. En fonction du type de mur à peindre, prévoyez des rouleaux et des pinceaux mais également une bâche de protection ou des vieux journaux, du ruban de masquage ainsi qu’un escabeau. Pour ce qui est de la peinture en elle-même, optez pour une finition mate ou velours pour les pièces de vie mais, par contre, pour une peinture satinée pour les pièces humides comme la salle de bain. Veillez à disposer d’une quantité suffisante de peinture en déterminant les surfaces à peindre. Une fois que c’est fait, vous pourrez calculer la quantité nécessaire en tenant compte du nombre de couches à appliquer et du pouvoir couvrant de la peinture choisie.

     

    Préparez murs et plafonds

    Avant de passer à la mise en peinture à proprement parler, il est impératif de bien préparer la surface que vous allez peindre. Pour ce faire, il faut veiller à corriger les imperfections des murs à l’aide d’un enduit ad-hoc, à reboucher les trous (s’il y en a), à poncer afin de rendre la surface la plus lisse possible et, enfin, à lessiver le support à l’aide d’une grosse éponge et d’eau tiède rehaussée d’un peu de liquide vaisselle. N’oubliez pas de rincer à l’eau claire et de bien laisser sécher ! Toutes ces étapes vous permettront d’obtenir une finition impeccable.

     

    Protégez le chantier

    Autre étape importante, qui vous évitera de perdre du temps à gratter des coulures de peinture séchée : la protection des éléments que vous ne pouvez déplacer dans la pièce. Recouvrez les meubles mais aussi le sol à l’aide d’une bâche protectrice et apposez du ruban de masquage afin de protéger les zones qui ne doivent pas être peintes.

     

    Une fois que tout cela est fait, vous pouvez alors commencer à peindre ! Veillez durant l’opération à bien croiser vos passages de rouleau, tout en finissant de haut en bas pour un meilleur rendu.

  • Plantes grimpantes : lesquelles privilégier pour habiller un mur ?

    Quoi de plus beau qu’une plante grimpante qui part à l’assaut d’un mur, d’une clôture ou encore d’une pergola ? Reste à choisir la bonne variété, ce qui n’est pas chose aisée tant le choix est vaste…

    Il convient tout d’abord de distinguer les plantes à même de s’agripper par elles-mêmes et les autres. Les premières disposent de crampons (des petites racines) qui vont leur permettre de s’accrocher à la majorité des matériaux. C’est le cas de l’hortensia grimpant et du lierre, les plus connues, mais aussi du fusain rampant et de la bignone. La vigne, qui dispose pour sa part de petites ventouses, est aussi à considérer dans cette catégorie.

     

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    Il y a ensuite les plantes dites volubiles qui, elles, vont enrouler leurs tiges autour d’un câble métallique, d’un tuteur, d’un poteau ou encore d’un tronc d’arbre. Parmi celles-ci on peut citer le chèvrefeuille, la clématite, la glycine, le houblon, l’ipomée, le jasmin, l’akébia ou encore l’actinidia.

    Enfin, il y a les espèces qui enroulent leurs vrilles entre les mailles d’un treillis ou d’un grillage. La clématite fait partie de celles-ci, tout comme la passiflore, le pois de senteur et la cobée.

    Que privilégier pour habiller un mur ?

    Pour habiller une façade ou un mur latéral, faites grimper une plante parfumée comme le chèvrefeuille, la clématite armandii, le jasmin, la passiflore ou l’akébia. L’une comme l’autre sont parfaites pour camoufler un mur disgracieux mais, en la matière, le lierre demeure la star incontestée. Notez cependant que ses crampons peuvent abîmer les maçonneries les plus fragiles.

     

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    Dans nos contrées, il est fondamental de prendre en considération la résistance au gel de la plante choisie. Parmi les plus costaudes on retiendra le chèvrefeuille, la clématite, la glycine, l’hortensia grimpant, le lierre et le rosier. L’hortensia grimpant et le jasmin d’hiver se plairont sous une exposition ombragée (et donc sur un mur exposé au nord), tandis que les fleurs foisonnantes du bougainvillier, du faux jasmin, de la glycine ou de la passiflore auront besoin du soleil pour s’épanouir.

    Enfin, ne passons pas à côté des avantages procurés par les plantes grimpantes ! En effet, celles-ci vont améliorer l’isolation thermique du mur mais aussi minimiser le phénomène de résonance, pour des rues plus calmes. Les plantes grimpantes protègent également des intempéries, améliorent la qualité des eaux de ruissellement et font office de filtres qui retiennent bon nombre de particules de poussière.

  • Peut-on arroser ses plantes avec de l’eau adoucie ?

    Leau est indispensable pour vos plantes car, sans eau, elles ne peuvent ni se développer, ni fleurir. Mais, certaines dentre elles ne supportent pas le sodium, utilisé pour adoucir leau, tandis que dautres sont tout bonnement allergiques au calcaire.

    A priori, l’eau adoucie ne devrait pas poser de problème pour les plantes vertes. Néanmoins, pour plusieurs raisons, il est déconseillé dutiliser l’eau du robinet pour arroser les plantes si elle est adoucie par un appareil, et ce pour plusieurs raisons : l’eau adoucie est généralement nettement plus riche en sodium (principal constituant du sel utilisé pour adoucir l’eau), si les entretiens ne sont pas assez réguliers et rigoureux, les bactéries risquent de proliférer dans le filtre à résine et de contaminer l’eau et, dans le cas de canalisations anciennes, l’eau adoucie peut dissoudre le plomb et le zinc contenus dans les vieilles tuyauteries et passer dans l’eau qui sort du robinet.

    Par contre, si vos plantes tolèrent bien le sodium et si l’adoucisseur est bien réglé et correctement entretenu, l’eau adoucie ne posera aucun problème. Les autres systèmes (à CO2, magnétiques…) ne présentent pas les mêmes inconvénients. Ils n’ajoutent en effet pas de sel mais rendent le calcaire (tartre) plus facile à enlever ou le transforment.

    Leau de pluie reste la meilleure

    Plus que l’eau adoucie ou l’eau de ville conventionnelle, cest leau de pluie qui convient le mieux pour larrosage des plantes. En effet, celle-ci contient moins de calcaire et de chlore mais davantage de minéraux et d’oligo-éléments. Les plantes acidophiles (azalée, bruyère, rhododendron, magnolia ou encore skimmia japonica) ont une nette préférence pour l’eau de pluie. Heureusement, il s’agit de plantes de jardin qui ne reçoivent souvent que l’eau… tombée du ciel.

    Tenez-en compte en cas de période de sécheresse, et arrosez-les de préférence avec l’eau de la citerne ou du puits et non à l’aide d’eau de ville. Enfin, autre avantage, et non des moindres, l’eau de pluie est toujours à la bonne température et peut aussitôt être utilisée pour l’arrosage des plantes, alors que l’eau de ville, souvent plus froide, risque de causer un choc thermique à nos amis les végétaux !