Auteur : francois

  • Immeubles : à quoi servent les “colonnes sèches” ?

    Bon nombre d’immeubles récents disposent d’une “colonne sèche”. Quel est son rôle et c’est équipement est-il obligatoire en Belgique ? On vous dit tout !

     

    Derrière une dénomination qui peut parfois prêter à confusion se cache un équipement qui a pour but de faciliter l’intervention des pompiers en cas d’incendie. Pour ce qui est du principe de fonctionnement d’une colonne sèche, il est très simple : il s’agit d’une conduite rigide, vide et parfaitement étanche qui permet de raccorder le dispositif d’extinction du feu (le plus souvent des tuyaux souples reliés aux fourgons d’incendie utilisés lors des interventions) à l’étage du bâtiment où l’incendie s’est déclaré.

    Concrètement, une des extrémités de la colonne sèche est systématiquement placée à l’extérieur de l’édifice, dans un endroit facile d’accès, que cela soit en façade ou dans un garage par exemple. Celle-ci est signalée par une pancarte indiquant les étages et le local où se trouvent les autres extrémités de la conduite.

    Grâce à ce système, tous les locaux du bâtiment peuvent être atteints facilement par les pompiers, tout en limitant le déroulement de tuyaux à l’intérieur de l’immeuble. La colonne sèche est donc gage de gain de temps et d’efficacité en cas d’intervention.

    Est-ce obligatoire en Belgique ?

    Non, en Belgique il n’y a pas d’obligation légale de disposer d’une colonne sèche dans un immeuble, quelle que soit la hauteur du bâtiment. Par contre, pour les bâtiments qui disposent déjà d’une colonne sèche, le propriétaire de l’immeuble concerné est prié de la préserver et de  l’entretenir afin qu’elle puisse être utilisée si nécessaire.

  • Ouvrir un mur porteur : voici tout ce que vous devez savoir !

    Si vous rénovez une maison, vous désirerez peut-être abattre ou ouvrir un mur porteur. Une opération très délicate, souvent destinée à apporter davantage de lumière et/ou d’espace. Voici la marche à suivre !

    Les différents types de murs porteurs

    Bien entendu, toutes les maisons ont des murs porteurs. Voici les différents types :

    • Les murs de fondation reposent directement sur les fondations et soutiennent les murs extérieurs et intérieurs.
    • Les murs de façade sont des murs extérieurs qui supportent le toit et les planchers intermédiaires.
    • Les murs intérieurs divisent les pièces de la maison.

    Les murs porteurs assurent la stabilité de votre maison. Ce sont eux qui supportent le bâtiment. La charge permanente et la charge variable doivent être absorbées par les murs intérieurs. Si vous supprimez certains murs, les autres murs porteurs doivent compenser. Cela nécessite un calcul du transfert de charge.

    La stabilité doit être garantie

    Avant de faire quoique ce soit sur un mur porteur, il faut donc vous assurer de la faisabilité de la chose. Plus l’ouverture sera grande ou complexe, plus vous aurez besoin de nouveaux éléments pour assurer la stabilité. Poutres, ancrages muraux, colonnes… sont autant d’éléments nécessaires pour assurer la capacité portante.

    Plusieurs matériaux peuvent être envisagés. Le choix de l’un ou l’autre dépend des exigences techniques et de vos goûts. Si vous choisissez le bois comme support, ces éléments doivent être plus imposants que si vous aviez opté pour l’acier, par exemple. Enfin, sachez que ces éléments porteurs sont parfois suffisamment esthétiques que pour être visibles.

    Si vous avez l’intention de démolir une partie du mur porteur, vous devrez placer des contreforts pour soutenir temporairement la structure. Le linteau ou la poutre de soutien devra également reposer sur une bien plus large base que l’ouverture. Si vous avez le moindre doute, contactez un professionnel. Ce n’est évidemment qu’une fois que le linteau est placé que vous pouvez retirer tous les éléments de support temporaires.

    Un permis est toujours nécessaire

    Modifier un mur porteur implique donc de nombreuses précautions, ce qui est la raison pour laquelle un permis est toujours requis.

  • Carport : tout ce que vous devez savoir !

    Le carport est une solution idéale et économique pour garder votre voiture à l’abri ! Mais que devez-vous savoir avant de construire un carport ? Voici quelques éléments à garder à l’esprit.

    Pourquoi installer un carport ?

    Vous n’avez pas de garage, mais vous voulez quand même une protection ? Dans ce cas, un carport est idéal.

    Quels avantages ?

    • Votre voiture est protégée des intempéries et du vent, ce qui est bon pour sa longévité
    • En hiver, les vitres sont moins vite givrées.
    • Le carport vous protège de la pluie lorsque vous sortez ou rentrez dans votre véhicule
    • En été, votre voiture reste à l’ombre.

    Un permis est-il nécessaire ?

    Avant d’installer un carport, vérifiez auprès de votre commune si vous avez besoin d’un permis. Celle-ci vous répondra sans doute que tout dépend des dimensions du carport. A ce sujet, optez pour un modèle de grandes dimensions : il se peut que vous achetiez une plus grande voiture à l’avenir et cela permet également de stocker d’autres affaires.

    La commune vous demandera également à quelle distance le carport se trouvera de la limite avec vos voisins. Voilà pourquoi il sera nécessaire de leur montrer un plan. Pour ce faire, vous aurez sans doute besoin d’un architecte ou d’un spécialiste en la matière, ce qui a également un coût.

    Combien coûte un carport ?

    Les carports existent dans toutes sortes de matériaux et de tailles. Certains sont prêts à monter, tandis que des entreprises peuvent vous concocter des bijoux sur mesure. Il va sans dire que cela a une incidence sur les prix qui vont de 1.500 euros à largement plus de 8 000 euros.

    Construire vous-même votre propre carport ?

    Si vous êtes un peu bricoleur, vous pouvez généralement installer vous-même votre propre carport. Le plus simple dans ce cas est d’acheter carport prêt à l’emploi que vous pouvez assembler à l’aide d’un manuel.

    Certains n’hésitent pas non plus à installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de leur carport, une manière intelligente de rentabiliser l’investissement !

  • Gestion locative : comment s’assurer d’une location sans souci ?

    Les subtilités de la gestion locative vous paraissent nébuleuses ? Pas de panique : des solutions pratiques existent pour vous aider à gérer au mieux vos biens.

    Tout propriétaire souhaitant mettre en location un ou plusieurs de ses biens doit s’acquitter de nombreuses formalités. Ces différentes obligations, aux subtilités parfois méconnues, constituent ce qu’on appelle communément la « gestion locative ». De la recherche du locataire à son départ, le propriétaire doit en effet s’acquitter de diverses tâches administratives et juridiques nécessaires au bon déroulement de la location.

    Type de bien

    L’exercice peut paraître d’autant plus complexe que les formalités varient en outre fonction du type de bien mis en location. Qu’il s’agisse d’un appartement, d’une maison, d’un parking ou d’un local commercial, il reste toutefois important de suivre toutes les étapes indispensables au bon déroulement de la mise en location à la lettre. Ce qui peut s’avérer chronophage.

    À l’aide ?

    Heureusement, des solutions pratiques existent pour faciliter la gestion locative. Les propriétaires peuvent, par exemple, se tourner vers une agence immobilière ou un gestionnaire pour assurer le suivi de la location de leur(s) bien(s). Ce service représente toutefois un coût, généralement de l’ordre de 10 % du montant du loyer, qui peut impacter la rentabilité du bien.

    Une autre alternative envisageable pour les propriétaires consiste alors à se tourner vers un logiciel de gestion locative, comme Smovin. Une solution qui se profile comme un compromis intéressant entre la gestion autonome et l’agence de gestion locative. Pour un coût réduit, le propriétaire peut en effet gagner un temps précieux puisque les processus sont automatisés (envois de rappels, répartition des charges, indexation du loyer…) tout en s’assurant d’une meilleure visibilité sur le suivi des loyers, la répartition des charges, etc.

  • Fin d’été : ne négligez pas ce geste simple !

    L’entretien des quincailleries de vos châssis est un geste simple qui peut vous éviter bien des désagréments, tout en prolongeant la vie de vos fenêtres. Voici comment procéder !

     

    Les quincailleries sont tous les éléments qui permettent la manipulation d’un châssis de fenêtre. Souvent dédaignés voire complètement délaissés, ces accessoires constituent pourtant l’ossature de la fenêtre et ne pas les entretenir peut grandement altérer les performances du châssis, tant en termes de manœuvrabilité que de sécurité voire d’isolation !

    Le point de départ…

    Avant de procéder à l’entretien des différents éléments qui constituent la quincaillerie de vos fenêtres, il convient de vous munir :

    • d’un seau rempli d’eau tiède légèrement savonneuse (quelques gouttes de produit de vaisselle feront parfaitement l’affaire),
    • d’une éponge ou d’une microfibre
    • d’un chiffon

    À l’aide de ce matériel, vous pourrez nettoyer puis sécher les poignées, charnières et autres fixations afin de les débarrasser de la poussière et de tous les résidus qui peuvent s’y accumuler au fil des saisons.

    Un petit contrôle pour la fin !

    Une fois le tout nettoyé et séché, veillez à contrôler le bon fonctionnement de toutes les pièces et à remplacer l’une d’entre elles si cela s’avère nécessaire. Profitez-en pour vérifier que tous les éléments mobiles fonctionnent, qu’il s’agisse des poignées ou des différentes parties coulissantes. Si nécessaire, procédez au réglage de ces différents éléments et resserrez les vis si celles-ci présentent un peu de jeu.

    Lubrifier pour mieux coulisser

    Une fois le nettoyage et le contrôle effectués, vous devez ensuite lubrifier tous les éléments qui composent la quincaillerie. Quelques gouttes d’huile minérale feront parfaitement l’affaire. N’oubliez aucune partie du mécanisme et, une fois le lubrifiant appliqué, ouvrez et fermez plusieurs fois de suite la fenêtre, en actionnant poignées et crémones, afin que l’huile se répartisse bien partout dans le mécanisme.

  • Quelle hotte aspirante choisir ? Voici les 4 modèles du moment !

    Les hottes, en cuisine, c’est souvent un mal nécessaire. Elles prennent de la place et se révèlent souvent peu esthétiques… Toutefois, le marché évolue et les derniers modèles sont de plus en plus fignolés ! On fait le tour avec vous des diverses possibilités !

    1.         La hotte classique

     

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    Il existe en différents matériaux et tailles et se fixe au mur ou au plafond. L’air est expulsé par un tuyau. S’il vous est impossible de relier le système à l’extérieur, sachez qu’il existe des hottes dotées d’un système qui filtre l’air et renvoie de l’air frais. Le prix est souvent raisonnable et les possibilités sont nombreuses, mais c’est rarement beau et ce système prend de la place…

    2.         L’extracteur au plafond

     

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    Voilà un système très pratique, notamment en combinaison avec un îlot de cuisine. La hotte est dissimulée dans le plafond, de sorte que vous le remarquez à peine. En outre, sachez que le dispositif se commande à partir d’une télécommande. Ce système est idéal lorsque vous avez une grande cuisine. Bien sûr, le budget est copieux et le montage complexe.

    3.         La hotte intégrée

    Cet extracteur est caché dans une cheminée ou une armoire et ne peut être vu, à quelques détails près. Pour utiliser la hotte, il suffit souvent de la tirer vers vous, quand ce n’est pas un simple bouton. Ces hottes sont élégantes, mais réclament de sacrifier un bout de placard. Il existe divers modèles, suivant la disposition de votre cuisine.

    4.         L’extracteur dans le plan de travail

    miele

    Vous pouvez également intégrer votre extracteur dans le plan de travail ou la plaque de cuisson. Il s’agit d’une solution très minimaliste mais efficace. Ce look très moderne se paye toutefois au prix fort et l’installation de ce dispositif est compliquée dans les cuisines existantes.

  • Vaut-il mieux nettoyer ou (re)peindre sa façade ? Voici le mode d’emploi !

    Avec les beaux jours, on cherche tous à profiter de l’extérieur de la maison, que l’on dispose d’un jardin, d’une terrasse ou encore d’un balcon. Et, en la matière, une belle façade contribue à adoucir l’ambiance !

     

    Une façade sale peut s’expliquer par différents facteurs. Pollution atmosphérique, prolifération d’organismes vivants comme les mousses ou les champignons, ou encore dépôts de poussières dus à la circulation automobile, nombreuses sont les sources de salissures qui altèrent nos murs et façades.

    Première option : nettoyer

    Pour nettoyer la façade ou le mur d’une maison, différentes solutions existent. On ne peut que vous recommander d’effectuer régulièrement cette opération afin d’éviter l’accumulation des dépôts. Plus vous attendez pour nettoyer votre façade, plus le nettoyage s’avérera laborieux et donc cher !

    Cristaux de soude

    En la matière, les cristaux de soude sont l’une des solutions les plus connues pour le nettoyage des façades.

    • Il suffit de mélanger ces cristaux avec de l’eau tiède
    • à l’aide d’un balai brosse, frottez énergiquement l’intégralité de la surface de votre façade.
    • Rincez généreusement à l’aide d’un jet d’eau.

    Cette solution nécessite de l’énergie mais il s’agit de l’une des plus économiques tout en restant écologique.

    Eau de javel

    Autre méthode, l’eau de javel. Solution efficace et économique pour assurer le nettoyage d’une façade, elle peut être dangereuse pour vous et nocive pour les éléments naturels présents à proximité des murs. Si vous décidez de nettoyer votre façade de maison avec de l’eau de javel,

    • Prenez un bidon de javel concentré et effectuez une dilution à 50 % avec de l’eau.
    • Pulvérisez le mélange sur la façade en prenant soin de vous protéger !
    • Une fois que vous avez pulvérisé le mélange eau-javel, laissez agir environ une heure puis rincez à l’eau claire.

    Gardez à l’esprit que si vous avez des plantes à proximité de la façade, celles-ci pourraient mourir en cas de projection de javel !.

    Hydrogommage

    Vous pouvez également opter pour l’hydrogommage, une technique plus complexe qui nécessite l’utilisation d’un équipement spécifique que l’on peut louer auprès d’enseignes spécialisées.

    Son principe est simple : l’hydrogommage consiste à mélanger de l’eau avec du sable puis à pulvériser la solution sur la façade à l’aide d’un jet haute pression de façon à retirer toutes les traces de saletés et autres moisissures.

    Deuxième option : (re)peindre

    Ici, il convient de procéder en plusieurs étapes.

    • On commencera par nettoyer et traiter le mur à l’aide d’une brosse métallique afin d’éliminer l’encrassement du support tout en retirant les éléments non adhérents. Le nettoyage peut être facilité si l’on recourt à un nettoyant pour façade qui permet de décoller les salissures.
    • Traitez ensuite toute la surface du mur avec un anti-mousse, sans rincer, et laissez agir le temps préconisé sur le mode d’emploi du produit. Ici aussi, protégez fleurs et plantes à proximité à l’aide d’une bâche, mais également les huisseries avec un adhésif de masquage large. Protégez également le sol à l’aide d’un film plastique ou d’une bâche.
    • Repérez ensuite les défauts éventuels ainsi que les fissures et comblez-les à l’aide d’un mastic extérieur puis lissez.
    • Pour les murs les plus friables, privilégiez l’application d’un fixateur de fond avant d’appliquer la peinture. Celui-ci devra sécher trois à quatre jours.
    • Ensuite seulement, commencez à appliquer la peinture murale en vous concentrant sur les angles et les coins, à l’aide d’un pinceau.
    • Poursuivez au rouleau en croisant les passes verticales et horizontales, en couvrant des bandes de 60 cm de large sur 1 m de hauteur. Pour éviter les traces de reprise, travaillez par pans de mur complets !
    • Une seconde couche peut être appliquée en suivant la même technique et en ayant observé un temps de séchage d’environ 8 heures !
  • Haut-parleurs : attention lors du nettoyage ! Voici la bonne méthode…

    Accessoires statiques par excellence, les haut-parleurs, comme bon nombre d’objets de la maison, ont tendance à accumuler la poussière. Voici comment les nettoyer sans les détériorer !

    Med Badr Chemmaoui

    Fragiles, les enceintes Hi-Fi et leurs haut-parleurs doivent être nettoyés avec la plus grande délicatesse.

    • Si elles sont actives (alimentées en électricité), commencez par débrancher les enceintes à nettoyer du secteur et, si elles disposent d’un interrupteur, mettez-le hors tension.
    • De même, débranchez les câbles rouges et noirs et tout raccordement filaire de l’enceinte.
    • Si la grille de protection est amovible, retirez-la minutieusement à l’aide d’un objet plat et fin et déposez-la sur une surface plane.

    Dépoussiérer avec de… l’air !

    Vous allez maintenant pouvoir procéder au dépoussiérage des cônes. Pour ce faire, la meilleure solution est d’utiliser une bombe à air sec, spécialement développée pour le nettoyage des composants électroniques. Appuyez sur la gâchette de la bombe et dirigez le jet d’air vers les zones les plus encrassées. Autre possibilité, mais moins précise : un sèche-cheveux, en veillant bien à ce qu’il ne souffle que de l’air froid.

    Pour la finition…

    Vous pouvez utiliser une brosse en soie douce ou un pinceau de maquillage (dépourvu de ce dernier, cela va de soi). Gardez à l’esprit que les cônes qui composent l’enceinte sont d’une grande fragilité. Opérez donc avec beaucoup de soin.

    Pour ce qui est du corps-même de l’enceinte, généralement en plastique ou en bois, on utilisera un chiffon en microfibres imbibé d’eau et essoré. Celui-ci doit être à peine humide et aucune goutte d’eau ne doit s’en échapper. Souvenez-vous que vous nettoyez un appareil contenant des composants électroniques qui ont horreur de l’humidité. Séchez ensuite tous les éléments que vous avez nettoyés avec un chiffon sec et propre. Ici aussi les microfibres sont vivement recommandées !

    Et les grilles de protection ?

    Véritable ramasse-poussière, la grille de protection des haut-parleurs peut elle aussi être nettoyée, à condition de savoir comment. Généralement composée de textile, il suffit d’utiliser un rouleau adhésif anti-peluches, en le passant de bas en haut ou d’un côté à l’autre. Si vous n’êtes pas satisfait du résultat, vous pouvez réitérer l’opération en utilisant une nouvelle couche d’adhésif. Si les grilles sont en métal ou en plastique, recourez à une lingette humide et laissez ensuite sécher le tout à l’air libre.

    Une fois réassemblé et à nouveau raccordé à votre installation Hi-Fi, vous aurez l’impression de disposer d’enceintes flambant neuves !

  • Jardin : les 4 clôtures les plus populaires !

    Votre jardin doit être délimité ? A moins que vous ne désireriez davantage d’intimité ? Voici les clôtures les plus populaires du moment !

    1.         Panneaux en bois

    L’aspect chaleureux du bois est un atout, de même que l’intimité que ces panneaux procurent. Notez que s’il existe de nombreuses possibilités en la matière, le padouk est très populaire en ce moment. Si vous aimez l’aspect du bois mais que son entretien vous dissuade, vous pouvez opter une clôture synthétique à l’aspect bois. Cette solution est toutefois légèrement plus coûteuse.

    2.         Une haie

    Les haies de hêtres sont les plus populaires, mais les ifs et les lauriers sont également souvent utilisés. Points d’attention : si les haies naturelles peuvent avoir de nombreuses vertus environnementales, sachez qu’elles mettent du temps avant d’atteindre la taille voulue et qu’elles demandent un entretien régulier.

    3.         Une clôture en fil de fer

    Voilà une solution bon marché et facile à installer ! Si cette solution vous paraît trop « transparente », sachez que vous pouvez y remédier en installant des plantes grimpantes. Bon à savoir : il existe des panneaux en fil de fer !

     

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    4.         Gabions

    Les gabions sont élégants et ne semblent jamais être démodés. Vous pouvez les remplir avec des pierres de multiples origines. Hermétiques aux regards indiscrets et s’adaptant à tous les types de jardins et de maisons, les gabions ne sont toutefois pas bon marché. En revanche, ils ne nécessitent aucun entretien et préservent votre vie privée.

     

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  • Acheter un bien immobilier avec sa société : quels avantages ?

    Est-il plus intéressant d’acheter un bien immobilier en tant qu’entrepreneur ? Ou alors, vaut-il mieux acheter à titre privé ? En tant que société, pouvez-vous investir dans une propriété privée ? Nous allons tenter de répondre à toutes ces questions…

    real estate

    Le principal avantage d’acheter en société est que vous pouvez déduire de nombreux frais. Attention, ceux-ci ne sont déductibles que si vous pouvez prouver que votre entreprise tire effectivement des revenus des locaux achetés. Si vous pouvez le prouver, les frais suivants sont déductibles :

    • Les frais d’achat.
    • La TVA sous certaines conditions.
    • Toutes sortes de frais tels que les taxes, les intérêts, les frais d’entretien, les travaux de rénovation et les assurances.

    Inconvénients

    Veuillez noter que l’achat par l’intermédiaire d’une entreprise présente également des inconvénients :

    • La plus-value lors d’une éventuelle revente est imposée. En tant que particulier, vous êtes exempté de cette obligation si vous ne vendez pas dans les 5 ans suivant l’achat.
    • Si vous utilisez les locaux à des fins privées, il s’agit d’un avantage en nature. Vous paierez donc des impôts et des cotisations de sécurité sociale sur ce montant.
    • Il n’y a pas de protection de votre maison familiale contre les créanciers.
    • La valeur de vos actions augmentera. Cela peut rendre une vente ultérieure plus difficile, surtout si vous disposez d’un parc immobilier très disparate.
    • Vous devez payer l’impôt sur les sociétés sur les revenus locatifs réels. En tant que particulier, c’est souvent plus avantageux.

    Un choix individuel

    Que vous achetiez à titre privé ou par l’intermédiaire de votre société dépend de la situation. Parfois l’un est plus intéressant que l’autre. En tant que gestionnaire d’une entreprise, il est préférable de demander l’avis d’un comptable avant tout investissement immobilier. Tenez également compte de vos projets d’avenir à court et à long terme.