Auteur : francois

  • Cuisine : les 6 meilleurs matériaux pour votre plan de travail

    La liste des différents matériaux à même de constituer un plan de travail pour la cuisine est vaste. Et s’il n’est pas toujours aisé de trouver celui qui allie à la fois esthétique et résistance, en voici cinq qui devrait pouvoir aiguillier votre choix !

    marble countertop
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    Stratifié

    Le plan de travail en stratifié est une des solutions les plus souvent retenues lors de la commande d’une nouvelle cuisine, grâce à son très bon rapport qualité-prix. Abordable, il est surtout résistant à la chaleur (en tout cas jusqu’à 180°) ainsi qu’aux chocs. Généralement revêtu d’une couche protectrice hydrofuge, le stratifié est aussi non poreux. Il ne nécessite donc pas d’entretien spécifique. Bien souvent, un simple coup d’éponge suffit pour se débarrasser des taches et autres résidus alimentaires. Pour ce qui est de l’esthétique, le stratifié peut adopter de multiples couleurs et apparences, allant jusqu’à imiter le bois, le métal et la pierre.

    Granit

    Autre star dans le petit monde de la cuisine : le plan de travail en granit. Cher, voire très cher, il est un investissement particulièrement rentable, le granit, grâce à sa solidité, étant à même de vivre plusieurs dizaines d’années et du coup de survivre à bon nombre de cuisines. Très costaud, il ne craint ni la chaleur, ni les chocs, ni les rayures. En outre, son entretien est particulièrement aisé : une éponge et de l’eau savonneuse suffisent ! Au rayon des finitions, le granit peut adopter différentes textures allant de l’uni au moucheté en passant par le veiné. La surface peut quant à elle être polie ou satinée.

    Quartz

    Lui aussi relativement cher, le quartz est composé à plus de 90 % de quartz minéral, mélangé à une résine acrylique. Comparé à du marbre par exemple, il présente une meilleure résistance à la chaleur (jusqu’à près de 200°) ainsi qu’aux chocs. Non poreux, il n’absorbe pas les liquides, qu’il s’agisse d’eau, de vin ou encore de café. Les taches se nettoient donc facilement avec un peu d’eau et de savon. Par contre, les très fortes chaleurs peuvent provoquer des fissures ce qui, à la longue, peut déformer le plan de travail. Mieux vaut donc tenir à l’écart les casseroles brûlantes et autres plats qui sortent du four.

    Verre

    Nouveau venu dans les cuisines : le verre, qui est plébiscité dans bon nombre de projets design pour son élégance et sa brillance. Non poreux, le verre est très hygiénique et totalement insensible aux taches. Et lorsqu’il est laqué à l’aide d’une couche colorée sous la surface, il offre un très large choix de tons, ce qui facilite son intégration dans les décors les plus originaux. Attention néanmoins : le verre ne supporte pas les températures élevées ainsi que les chocs thermiques. Généralement, sa résistance à la chaleur plafonne à 120° maximum. Il se raye aussi relativement facilement. Pour ce qui est de l’entretien, ici aussi rien de plus simple : de l’eau et un peu de savon ou, à défaut, un nettoyant pour vitrocéramique ou pour les vitres.

    Inox

    Enfin, si vous êtes du genre à passer votre vie aux fourneaux, vous pouvez également opter pour l’inox. Résistant à tous les liquides ainsi qu’aux chaleurs les plus extrêmes, ce n’est pas pour rien que les professionnels l’ont adopté dans leur environnement de travail. Très hygiénique, l’inox a cependant un défaut majeur : il exige un entretien au quotidien car il est particulièrement sensible au calcaire ainsi qu’aux rayures. Les inox d’entrée de gamme ont également tendance à perdre de leur brillance au fil du temps. Les éponges désincrustantes sont donc à proscrire pour le nettoyage de celui-ci !

    Marbre

    Le marbre a de nombreux fans en raison de ses motifs originaux. Le matériau présente un aspect rugueux, mais si vous le combinez avec des meubles colorés, vous pouvez donner un coup de jeune à une cuisine ordinaire et l’élever à un niveau supérieur. Le must pour un aspect très chic ? Le combiner avec de l’or et du noir !

  • Tableau électrique : quand faut-il le remplacer ?

    Le tableau électrique est souvent négligé, mais il est indispensable à votre quotidien. En effet, toute l’électricité de la maison est distribuée par cette boîte. Un fusible saute-t-il régulièrement ou le coffret est-il ancien ? Dans ce cas, il faut peut-être songer à le remplacer.

    Un coffret à fusibles ou un tableau électrique, se compose de plusieurs interrupteurs reliés aux divers circuits électriques de la maison. Normalement, les appareils les plus énergivores ne sont pas regroupés ensemble (chauffage, séchoir, plaques de cuisson…). Cela permet d’éviter de surcharger certains circuits.

    Tous les électriciens vous le diront : accrochez toujours un plan dans ou près de votre tableau, indiquant que tel circuit est commandé par tel interrupteur. Vous saurez ainsi quel fusible déconnecter si vous voulez changer un luminaire dans une pièce, par exemple… Outre les différents groupes, il y a toujours un « interrupteur général » qui vous permet de désactiver tous les groupes en même temps. Un disjoncteur différentiel de fuite à la terre constitue une protection supplémentaire. Si un appareil électrique ne fonctionne plus correctement, le disjoncteur différentiel se déclenche automatiquement.

    Quand remplacer votre coffret à fusibles ?

    Si, par exemple, vous agrandissez votre maison et que par conséquence, le nombre de circuits augmente, vous devrez peut-être remplacer votre coffret à fusibles ou en installer un nouveau à côté. Le remplacement peut également être nécessaire si votre coffret est très ancien. En cas de disfonctionnement, ne tergiversez pas : remplacez !

    N’oubliez pas que votre électricité doit également toujours être conforme. Il est peut par ailleurs être judicieux de faire contrôler régulièrement votre installation électrique, notamment après avoir effectué des travaux.

    Son remplacement ? Une affaire de professionnels…

    Si vous voulez faire remplacer votre coffret à fusibles ou installer des groupes supplémentaires, vous avez intérêt à faire appel à un électricien professionnel. Dans certains cas, le remplacement complet du coffret est moins cher que l’ajout de groupes à une installation existante.

    Sachez que si vous faites un bricolage et qu’un problème en découle, la compagnie d’assurance peut vous tenir pour responsable en cas d’incendie et de ce fait, ne pas intervenir.

  • Réalisez de parfaits raccords de peinture !

    Vous pensiez qu’installer un ruban de masquage serait suffisant pour réaliser un beau raccord de peinture entre les murs et le plafond ? Pour être certain d’atteindre un résultat parfait, il y a un petit truc en plus à ne pas oublier !

    Les raccords entre un plafond et des murs sont rarement parfaits et bien rectilignes. Il est quasiment impossible (sauf à faire preuve d’une très grande maîtrise du pinceau…) de tracer un raccord irréprochable lors des travaux de mise en peinture.

    Bavures

    Mais, contrairement à ce que l’on pense généralement, poser simplement un ruban de masquage n’empêche pas toujours la peinture de déborder. Sur certaines zones irrégulières, la peinture peut laisser d’inesthétiques bavures au moment de retirer le ruban de masque. En outre, le plafonnage au niveau du raccord dans l’angle n’est pas toujours net, ce qui ne permet pas d’atteindre une finition irréprochable.

    Mastic à peindre

    La solution est d’utiliser un mastic à peindre. Généralement, c’est l’Elastofill que les professionnels utilisent le plus souvent. Concrètement, il faut d’abord peindre le plafond en dépassant légèrement de quelques centimètres sur le haut du mur. Ensuite, collez du ruban de masquage sur le plafond de manière rectiligne à quelques millimètres le long du raccord avec le mur. Dans l’angle avec le mur, réalisez un joint d’Elastoffil et lissez-le délicatement avec un doigt trempé dans de l’eau savoneuse (comme pour poser un joint de silicone traditionnel). Le joint va alors légèrement déborder sur le ruban de masquage.

    Sans attendre !

    Sans attendre que le mastic ne sèche, peignez alors le dessus du mur avec un pinceau. Dès que l’ensemble du raccord avec le plafond est réalisé, retirez le ruban de masquage délicatement, tant que le joint reste souple, avant de continuer à peindre le reste du mur au rouleau. Pour un résultat optimal, n’oubliez pas d’utiliser un ruban de masquage spécialement dédié à ces travaux de peinture (il est moins adhérent et se retire plus facilement).

    Double effet !

    Grâce à cette technique, vous réaliserez des raccords parfaits et bien rectilignes entre les murs et le plafond. La ligne droite créée par le ruban de masquage servira de trompe l’œil pour donner l’impression que le raccord est irréprochable. D’autant plus que le mastic servira de barrière étanche empêchant les bavures sur la peinture du plafond. En outre, le joint de mastic réalisé dans l’angle du mur en gommera les imperfections (angle pas net, bavure dans le plafonnage, etc.).

  • Voici pourquoi les taques à induction nécessitent une hotte spécifique

    Puissante et assurant une montée en température plus rapide que les taques au gaz ou vitrocéramique, l’induction a tendance à générer plus de vapeur et donc de condensation lorsqu’on cuisine.

    La cuisson à l’aide de plaques à induction a tendance à produire beaucoup de vapeur qui va aller se condenser sur les carreaux, la crédence et les éléments de mobilier placés en hauteur. Un phénomène propre à cette technologie qui se démocratise dans nos cuisines et qui se produit parce que la chaleur est émise directement sur le fond de la casserole avant d’être transmise aux aliments qu’elle contient. Ce phénomène crée un écart thermique, à savoir une différence de température importante, entre la partie chaude de la cuisson et l’air plus froid qui se situe entre la casserole et la hotte aspirante. De quoi générer une vapeur qualifiée de “lourde” qui éprouve des difficultés à monter et qui se condense plus facilement dans le milieu environnant.

    La solution ? Une hotte spécifique !

    Les plaques de cuisson à induction nécessitent donc une hotte aspirante à même d’éliminer efficacement cet effet de condensation dû à l’écart thermique et à la montée rapide en température. Non contentes d’aspirer l’air, ces hottes dédiées à l’induction en projettent aussi afin de ne pas laisser la vapeur se condenser tout en l’encourageant à remonter dans le conduit d’extraction.

    Les critères à observer avant de choisir

    Comme pour toutes les hottes, il est important d’opter pour un appareil qui couvre toute la zone de cuisson voire quelques centimètres au-delà de celle-ci. Il faut aussi veiller à choisir une hotte qui dispose d’une capacité d’aspiration appropriée à la grandeur de la plaque de cuisson. Sur ce point, n’hésitez pas à consulter un cuisiniste ou un technicien spécialisé en la matière.

    Une fois la hotte en place, utilisez-la toujours pendant mais aussi quelques minutes après la cuisson. En outre, placez aussi souvent que possible un couvercle sur les casseroles afin de limiter la propagation de la vapeur. Enfin, prenez l’habitude d’essuyer la condensation qui se forme sur les murs et les meubles avec un chiffon absorbant lorsque vous avez terminé de cuisiner. Les meubles et placards en bois ou en aggloméré peuvent en effet finir par gondoler à force d’être en contact avec l’humidité.

  • En hiver, ouvrez vos fenêtres pour mieux chauffer ! Quand faut-il aérer ?

    Avec le prix de l’énergie qui atteint des sommets, nous sommes tous inquiets au sujet de notre consommation en hiver. Comment réduire la note ? Peut-on toujours aérer les pièces ? Comment éviter une trop grande déperdition de chaleur?

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    Anna Dudkova

    Pourquoi donc ouvrir les fenêtres et laisser le froid pénétrer la maison que l’on a si durement réussi à chauffer ? Tout simplement pour des raisons sanitaires et… économiques !

    1. La raison sanitaire

    L’air est souvent plus pollué à l’intérieur qu’à extérieur, notamment à la campagne en hiver. Pourquoi ? Tout simplement à cause des bougies, des cuissons, des moisissures, voire des chauffages au bois ou au charbon. Pour renouveler l’air intérieur, rien de tel qu’ouvrir les fenêtres. En général, une dizaine de minutes, deux fois par jour, suffisent pour renouveler l’air.

    2. La raison économique

    Les douches, la cuisine et le linge qui sèche entrainent forcément un air assez humide. Et c’est là tout le problème : plus une pièce est humide, plus elle est difficile à chauffer. Aérer permet de diminuer le taux d’humidité dans l’air.

    L’aération ne durant qu’une dizaine de minutes, vos murs n’ont pas le temps de refroidir. Ouvrez donc grand vos fenêtres, deux fois par jour pendant 10 minutes et vous aurez un air sain et facile à chauffer. Aussi curieux que cela puisse paraître, aérer permet donc de diminuer votre note de chauffage.

    Quand aérer ?

    En hiver, la qualité de l’air est souvent médiocre, notamment aux heures de pointe. Privilégiez donc le matin, entre 8 h et 10 h et le soir après 22 heures. Entre ces deux périodes, l’air extérieur est souvent très pollué.

  • 5 idées pour optimiser l’espace de votre pièce de vie

    On le sait, la tendance actuelle est aux grandes pièces qui combinent plusieurs fonctions. Il n’est en effet pas rare de voir une pièce à vivre servir de living room, de salle à manger, de salon, de cuisine voire de jardin d’hiver.

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    Pour que tout ce petit monde puisse cohabiter dans une construction qui n’est pas neuve, il faut bien souvent faire tomber quelques cloisons afin d’ouvrir les différentes pièces. Une opération qui n’est pas toujours possible, certains murs étant porteurs. Elle peut également être synonyme de perte de rangement, les meubles muraux passant à la trappe dans ce type de réaménagement. Heureusement, de nombreuses astuces existent pour pouvoir rendre un tel projet possible, tout en assurant une certaine harmonie entre les différentes pièces désormais amenées à partager le même espace.

    1.   Les couleurs !

    Cette harmonie s’obtient en optant pour des couleurs communes. Le ton retenu pour les murs de la cuisine peut par exemple se prolonger dans le salon. Autre option : le bois des placards de la cuisine peut être de la même essence que celle utilisée pour une table basse ou pour la table de la salle à manger par exemple. De même avec une robinetterie en laiton assorties à des poignées de portes ou d’armoires dans la salle à manger. Autant de clins d’œil qui contribueront à harmoniser la pièce.

    2.   Un îlot de cuisine

    En cuisine, l’installation d’un îlot en lieu et place d’une configuration traditionnelle est un des meilleurs éléments pour créer un lien symbolique avec le salon ou la salle à manger. À l’inverse d’un bar ou d’un comptoir, l’îlot permet d’assurer une fluidité totale entre les différentes zones de la pièce à vivre. Meuble multifonction, il permet en outre de ranger et de cacher de nombreux accessoires et ustensiles.

    3.   Tiroirs !

    Et afin que cette nouvelle pièce ne se transforme pas en champ de bataille, on privilégiera des meubles contenant des tiroirs, des étagères et des armoires, quelle que soit la zone concernée. C’est d’autant plus vrai pour la cuisine, sachant que chaque foyer compte en moyenne 6 à 8 petits électroménagers à l’image d’un percolateur, d’un robot de cuisine ou encore d’un grille-pain. Autant d’accessoires qu’on n’a pas forcément envie d’exposer l’un à côté de l’autre sur le plan de travail.

    4.   Flexibilité !

    Depuis quelques années, les cuisinistes et les enseignes d’ameublement font preuve de créativité et proposent mille et une solutions pour dissimuler les éléments techniques de la cuisine, tout en gagnant de la place. C’est notamment le cas des planches amovibles qui s’encastrent dans l’évier et recouvrent les bacs de ce dernier. De quoi assurer une continuité avec le plan de travail, tout en gagnant en sobriété.

    5.   Plaques de cuisson mobiles

    Enfin, dernière tendance qui fait fureur dans les petits espaces : les plaques de cuisson mobiles. Au contraire d’une taque fixe conventionnelle, ces éléments nomades peuvent disparaître dans un placard ou sous un élément d’ameublement pour laisser la place à un espace parfaitement dégagé et ordonné. Cerise sur le gâteau : ces plaques peuvent également être utilisées à l’extérieur. Pratique lors d’un barbecue ou d’un repas estival pris en terrasse !

  • 6 aménagements qui risquent de faire perdre de la valeur à votre maison !

    Si vous désirez rafraichir votre salle de bain ou votre cuisine, il est fort possible qu’une bonne partie de l’investissement se retrouve dans le prix de vente. En revanche, voici 6 investissements qu’il vaut mieux éviter si vous désirez vendre votre maison dans un avenir plus ou moins proche.

    « Marier » 2 chambres pour n’en faire qu’une

    Mieux vaut de nombreuses petites chambres que peu de grandes chambres !

    Personnalisation à outrance

    Une couleur très flash pour les murs, ou des néons roses dans la cuisine… Tout ce qui est trop personnel est à éviter si vous voulez vendre votre propriété facilement. La neutralité est le maître-mot !

    Une salle de sport

    Quelques appareils que vous comptez emporter avec vous ne peuvent bien sûr pas faire de mal… Mais n’allez pas faire de grosses rénovations pour transformer une pièce en salle de sport ! Il en va de même avec les caves à vin ou une « man cave ».

    Des bibliothèques ou des armoires intégrées

    S’ils sont parfaitement intégrés, ces éléments peuvent créer une valeur ajoutée. Toutefois, la plupart des gens possèdent leur propre mobilier et ne désirent pas vraiment reprendre celui du propriétaire précédent. 

    Rénovations non autorisées

    Si vous allez rénover et que vous avez besoin d’un permis, faites-en la demande. Dans le cas contraire, au moment de la vente, vous risquez de perdre beaucoup de temps et d’argent en demandant une régularisation. Cela peut grandement dissuader les personnes pressées ! 

    Une salle de bain ou une cuisine trop sophistiquée

    Bien qu’investir dans une salle de bain et/ou une cuisine soit une bonne idée, il est également préférable de ne pas aller trop loin dans la démarche. Une salle de bain dernier cri ou une cuisine archi complète peuvent être séduisantes, mais il y a peu de chances que vous retrouviez votre investissement. Si vous voulez vraiment vendre rapidement, rafraichissez ces pièces, mais ne chamboulez pas tout.

  • Cuisine avec îlot : ce qu’il faut savoir avant de craquer…

    C’est la grande mode actuelle. L’îlot central dans une cuisine semble être l’élément indispensable de toute maison moderne, voire de tout cuisiner un peu averti. Pourtant, avant de craquer, sachez qu’un tel meuble impose certaines contraintes…

    Kitchen Island
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    L’îlot central est clairement le reflet de l’évolution de notre société. Aujourd’hui, la cuisine n’est plus une pièce fermée, mais un espace ouvert sur le séjour. Ce qui signifie que l’on cuisine entouré de sa famille ou de ses amis. L’îlot central répond parfaitement à cette évolution, permettant de préparer les plats tout en préservant un aspect convivial : vous n’êtes plus face à un mur, mais face à des personnes qui peuvent s’asseoir autour de l’îlot. La cuisine n’est donc plus une pièce réservée à la femme au foyer comme c’était jadis le cas, mais un lieu de vie commun où la répartition des tâches règne en maître.

    Espace minimum

    Un îlot central prend de la place : si votre cuisine fait moins de 15-20 m², oubliez cette option. Il sera alors malaisé de tourner autour et si vous optez pour un îlot équipé d’un lave-vaisselle, par exemple, il y a de fortes chances que vous ne puissiez pas ouvrir ce dernier confortablement. Tablez donc sur un espace vitale d’environ un petit mètre autour de l’îlot. Si ce dernier est un obstacle à contourner avant d’arriver à votre frigo : oubliez, il n’est pas fait pour votre cuisine. Et surtout, n’allez pas opter pour un mini îlot : ce dernier prend de la place inutilement et ne sert pas à grand-chose… Certes, un îlot, c’est joli et moderne, mais il ne faut pas qu’il devienne une contrainte.

    Comment l’équiper ? Ce qu’il faut prévoir…

    Tout est possible ! Vous pouvez vous en servir comme table de préparation, y insérer un évier, une taque, ainsi que bien évidemment une kyrielle de rangement. Sachez toutefois que si vous désirez y placer un évier, il faudra prévoir une arrivée d’eau et un système d’évacuation. Ce qui ne pose pas de problème dans le cas d’une copieuse rénovation ou d’un projet de construction, mais ce qui est nettement plus problématique dans quasi tous les autres cas ! C’est la raison pour laquelle l’évier n’est généralement pas intégré à l’îlot central, de même que le lave-vaisselle. En revanche, vous allez certainement avoir besoin d’une arrivée d’électricité, ne serait-ce que pour l’éclairage.

    Enfin, sachez qu’une telle cuisine est généralement un peu plus chère qu’une cuisine traditionnelle.

  • Chauffage électrique : les différents types, les avantages et les inconvénients !

    Le chauffage électrique a le vent en poupe ! Bien entendu, la pompe à chaleur est une grande favorite du moment, mais il existe bien d’autres formules ! Voici une liste des types de chauffage électrique les plus courants, chacun avec ses avantages et ses inconvénients. Autant vous le dire tout de suite, le chauffage électrique n’est pas toujours la meilleure formule…

    Les différents types de chauffage électrique

    Convecteurs

    Avec ce système, l’air froid est aspiré, chauffé par une résistance pour le distribuer dans la pièce à l’aide d’un ventilateur. La pièce se réchauffe rapidement avec ce type de chauffage, mais se refroidit tout aussi vite.

    Radiateurs à inertie

    Il existe ici deux types de radiateurs à inertie : à inertie sèche ou fluide. Le principe d’accumulation de la chaleur est le même. Dans le premier cas, il s’agit d’un élément solide (de la fonte, de la pierre de lave, de la brique réfractaire…), tandis que dans le second, il s’agit généralement d’huile. Les premiers sont plus costauds, les seconds chauffent plus rapidement… Ils sont plus économiques que les autres radiateurs électriques mais aussi souvent plus onéreux.

    Panneaux rayonnants

    Ces panneaux chauffent la masse par infrarouge. Il en résulte une chaleur rapide et localisée. Les panneaux sont parfaits pour les petites pièces. Bon à savoir, ne placez aucun meuble entre vous et le radiateur !

    Chauffage par le sol

    Le chauffage électrique par le sol peut être placé directement sous votre plancher. Il distille une chaleur rayonnante et rapide.

    Avantages du chauffage électrique

    Un avantage majeur des chauffages électriques cités ci-dessus est le prix d’achat, notamment par rapport à un système de chauffage central traditionnel. De plus, l’installation de ces appareils est incroyablement facile, à l’exception du chauffage par le sol. Enfin, un radiateur électrique chauffe rapidement.

    Inconvénients du chauffage électrique

    C’est bien connu, un chauffage électrique consomme énormément d’électricité, ce qui, à l’heure actuelle, n’est pas forcément très indiqué. Certains (comme les convecteurs) sont cependant plus énergivores que d’autres. A moins de disposer d’une installation photovoltaïque, le chauffage électrique se révèlera plus couteux qu’une chaudière à condensation ou à pellets.

  • Poêle de masse : la nouvelle tendance pour un chauffage agréable et économique ?

    Les prix de l’énergie étant exorbitants, nous cherchons tous des alternatives. Vous êtes d’ailleurs toujours plus nombreux à vous orienter vers le bois, qui est souvent perçu comme le moins cher des combustibles. Si tel est votre cas, un « poêle de masse » vaut peut-être la peine d’être envisagé. Ce poêle traditionnel chauffe votre maison avec un minimum de combustible et donc, d’émissions nocives.

    Qu’est-ce qu’un poêle de masse ?

    À l’origine, ce poêle massif vient de Finlande. Souvent maçonné sur place, ce poêle est enduit d’argile et comporte des briques réfractaires au niveau des parties les plus chaudes. Le corps du poêle restitue ensuite une chaleur rayonnante dans la pièce. Si vous avez une maison bien isolée, deux heures de chauffage suffisent pour obtenir 24 heures de chaleur. Ce qui est extrêmement efficace.

    Excellent fonctionnement

    Le rendement est excellent car moins de 10 % de la chaleur de combustion est évacuée par le conduit de cheminée. Le reste est redistribué ans la pièce ! Si vous avez le choix et le budget, optez pour un grand modèle. Plus votre poêle est grand, plus la capacité de stockage de la chaleur est importante.

    Qu’en est-il de l’efficacité ?

    La combustion du bois est plutôt durable et offre également un excellent rendement. En outre, la température de combustion étant, vous obtenez une combustion complète, ce qui limite les émissions très nocives. La formation de fumée et de cendres est donc minime.

    Sièges chauffants

    Des sièges chauffants à la maison ? C’est parfaitement possible ! En effet, la fumée du four à bois peut également chauffer votre canapé – qui doit être prévu pour cela. Certains spécialistes proposent d’ailleurs une banquette chauffante, voire un four, histoire de faire d’une pierre deux coups !