Auteur : francois

  • Laver les vitres : voici comment éviter les traces !

    Cela fait des heures que vous luttez, mais il vous est impossible de venir à bout des saletés tenaces présentes sur vos vitres. Découragé ? Voici quelques conseils qui vous aideront à vous débarrasser des traces !

    window cleaning
    Jess Zoerb

    Utilisez les bons accessoires et ayez la bonne technique !

    On cherche trop souvent des astuces, alors que la clef du problème réside souvent dans la bonne exécution du mouvement, et avec les bons outils !

    Pour se faire, munissez-vous d’une éponge propre, d’une raclette et d’une chamoisette. Mouillez légèrement votre éponge et commencez à nettoyer vos vitres de bas en haut, afin d’éviter les traces d’écoulement. Raclez ensuite de bas en haut à l’extérieur et de gauche à droite à l’intérieur.

    De l’eau claire, chaude

    Les traces sont souvent le résultat d’une trop grande présence de détergent dans votre mélange. Si vous le jugez nécessaire, un soupçon de produit vaisselle peut être ajouté à l’eau afin de donner plus d’éclats à vos vitres.

    En cas de traces tenaces : essayez le vinaigre blanc

    Constituez-vous un mélange de 250ml de vinaigre blanc pour 750ml d’eau et vaporisez-en vos vitres. Vous n’aurez plus qu’à frotter avec une éponge et essuyer avec votre chamoisette.

  • Votre boîte aux lettres est-elle conforme ? Voici ce que dit la loi !

    Une boîte aux lettres originale vous fait de l’oeil? Une envie de bricoler vous-même votre propre boîte aux lettres vous prend subitement? Sachez que s’il est évidemment possible de se faire plaisir au niveau des formes et des couleurs, les règles sont très strictes en la matière !

    En effet, c’est un arrêté ministériel d’avril 2007 qui délimite le cadre légal. Le but? Faciliter la vie du facteur, qui dispose d’un temps fixe pour distribuer le courrier dans votre boîte. En clair, votre boîte aux lettres ne peut pas toujours se résumer à une simple fente dans la porte. D’abord, parce que la boîte en question doit être installée à la limite de la voirie et ensuite, car l’ouverture doit se situer à 70 cm du sol. Avis aux grandes perches, le bord supérieur de l’ouverture ne peut être à plus de 1,7 m du sol…

    L’ouverture, quant à elle, est tout aussi réglementée : elle doit avoir des dimensions de minimum 23 cm sur 3 cm. Plus petit et il y a de fortes chances que les grosses enveloppes ne passent pas.

    Si vous n’êtes pas en règle?

    Seules les personnes à mobilité réduite profitent d’une exception à ce sujet, avec un service au pied de la porte. Pour les autres, une invitation à se conformer sera envoyée. Si rien n’est fait, le facteur peut très bien décider de ne plus distribuer le courrier et il faudra alors le chercher au bureau de poste…

  • Votre nom doit-il figurer à côté de votre sonnette ?

    C’est une question récurrente. Devez-vous afficher votre nom à côté de votre sonnette ? Est-ce une obligation légale ?

    Aussi curieux que cela puisse paraître, vous n’êtes pas obligé d’afficher votre nom sous la sonnette, puisque même la dite sonnette, n’est pas obligatoire ! Quant à la boîte aux lettres, si elle doit répondre à des exigences très strictes, vous n’êtes toutefois pas dans l’obligation légale d’y apposer votre nom, même si vous êtes le chef de famille. Toutefois, bpost précise qu’il est « vivement conseillé » d’indiquer les noms de tous les habitants sur ladite boîte.

    En revanche, il existe bien une obligation légale concernant la numérotation de la maison qui doit être « visible et lisible depuis la voirie (y compris dans l’obscurité) ». Dans le cas où un même immeuble abrite plusieurs boîtes postales, il faut alors indiquer clairement le numéro de boîte sur ou à proximité de celle-ci.

  • Prix des matériaux de construction : quelle évolution ? Comment y faire face ?

    Les prix des matériaux de construction sont nettement plus élevés qu’il y a environ deux ans. En cause ? La pandémie et la guerre en Ukraine. Que nous réserve l’avenir et comment y faire face ?

    Pas de baisse de prix en vue

    Les entreprises de construction doivent faire face à des matières premières toujours plus onéreuses, ce qui se répercute forcément sur la facture finale pour le consommateur. Rénover et construire coûte donc de plus en plus cher ! Généralement, les prix augmentent une fois par an, mais de nos jours, les augmentations sont bien plus fréquentes.

    Pour l’instant, la fin de la hausse des prix n’est pas encore en vue. Du plâtre aux briques de parement en passant par les isolants, les prix continuent leur envolée et cette hausse est (partiellement) répercutée sur le client final. Les hausses de prix atteignent parfois jusqu’à 25 % pour les entreprises !

    Quelques petites exceptions

    Certains matériaux comme le bois, l’acier profilé et le cuivre voient leur prix baisser. Toutefois, l’impact de ces baisses est minime, envolée des prix de l’énergie et indexation des salaires obligent.

    De longs délais d’attente pour les matériaux

    Les délais de livraison sont souvent plus longs qu’avant la pandémie : tuiles, briques et aluminium sont des éléments particulièrement concernés…

    Comment y faire face en tant que client ?

    Sachez qu’un grand nombre de contrats avec des entrepreneurs comportent aujourd’hui une clause de révision des prix. Les entrepreneurs se protègent ainsi contre l’inflation, mais vous pouvez également bénéficier d’une réduction si les prix baissent.

    Si vous avez un projet de rénovation ou de construction à moyen terme, il peut être intéressant d’accepter l’offre aujourd’hui et d’acheter les matériaux dès maintenant. Ainsi, vous achetez au prix actuel et ne devez pas vous inquiéter d’une éventuelle hausse des prix. Cela vous permet d’établir votre budget un peu plus sereinement.

    En faire plus soi-même n’est pas toujours la meilleure solution. En effet, vous ne bénéficiez pas des prix des entrepreneurs et vous devez également payer une TVA de 21 % sur ces matériaux. Comprenez que vous ne bénéficierez donc pas du taux de TVA réduit pour les travaux de rénovation…

  • Les 4 gestes à adopter pour limiter l’intoxication au monoxyde de carbone

    Avec l’hiver qui s’est installé, il convient de rester vigilant face aux émanations de monoxyde de carbone. Un gaz inodore très dangereux qui cause plusieurs décès chaque année en Belgique.

    Nik Shuliahin

    Invisible, inodore et non irritant, le monoxyde de carbone est un gaz extrêmement toxique. Au mieux, celui-ci provoque des symptômes divers allant du mal de tête aux nausées en passant par des vertiges. Au pire, il peut conduire à une hospitalisation, laisser de lourdes séquelles ou encore être mortel. Il convient donc de faire preuve de la plus grande prudence, particulièrement avec vos appareils de chauffage.

    D’où provient le monoxyde de carbone ?

    Le monoxyde de carbone, que l’on appelle aussi CO, est indétectable par les mammifères. Sa présence dans nos habitations résulte le plus souvent d’une combustion incomplète, quel que soit le combustible utilisé par tout appareil destiné à produire de la chaleur. C’est le cas des chaudières au gaz mais aussi des appareils fonctionnant au bois, au charbon, au mazout ou encore à l’essence ou au pétrole.

    Les gestes à adopter pour éviter les intoxications

    • Avant l’hiver, faites systématiquement vérifier et entretenir votre installation de chauffage et de production d’eau chaude, ainsi que les conduits d’évacuation de fumées par un professionnel.
    • En outre, aérez au moins 10 minutes par jour votre logement, même s’il fait froid !
    • Maintenez également votre système de ventilation en bon état de fonctionnement et n’obstruez jamais les entrées et sorties d’air.
    • Respectez systématiquement les consignes d’utilisation des appareils à combustion recommandées par le fabricant. Parmi celles-ci, on peut rappeler qu’il ne faut jamais faire fonctionner un chauffage d’appoint en continu, qu’il faut placer les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments et qu’on n’utilise jamais pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage (tels une cuisinière, un brasero ou encore un barbecue).

    Que faire en cas d’intoxication ou de suspicion ?

    Comme évoqué ci-dessus, les premiers symptômes sont divers et variés. Ceux-ci vont de la simple fatigue aux maux de tête et aux nausées voire aux vomissements. Ils apparaissent plus ou moins rapidement et peuvent toucher plusieurs personnes au sein d’un même foyer. Gardez à l’esprit qu’une intoxication importante peut conduire au coma et à la mort, parfois en quelques minutes. Il est donc important d’agir très vite !

    En cas de suspicion d’intoxication :

    • aérez immédiatement les locaux,
    • arrêtez si possible les appareils à combustion,
    • évacuez les lieux,
    • appelez les secours en composant le 112. Les pompiers sont formés pour assurer une prise en charge rapide des personnes intoxiquées.
  • 5 astuces faciles pour réduire l’humidité dans votre habitation

    En hiver, on a tendance à moins ouvrir les fenêtres et à allumer plus souvent le chauffage. Des conditions idéales pour la formation de condensation et d’humidité dans nos intérieurs.

     

    Murs humides, moisissures ou encore odeurs de moisi sont autant de signaux qui doivent attirer l’attention : votre habitation souffre de problèmes d’humidité ! Un taux anormal d’humidité peut rendre votre logement insalubre mais également avoir un impact très nocif pour la santé de ses occupants ! Un taux d’humidité supérieur à 50 % favorise en effet le développement de moisissures et d’acariens, ce qui concourt à booster les allergies, l’asthme, les rhinites, les bronchites et l’irritation oculaire.

    Lutter contre l’humidité dans la maison est donc primordial ! Voici dès lors 5 astuces pour éviter que celle-ci n’envahisse votre habitation.

    1.    Aérez autant que possible

    Ventiler convenablement son logement est capital. Si ce n’est pas possible (on pense par exemple à une salle de bain qui ne dispose pas de fenêtre), recourez à des ventilateurs d’extraction qui évacueront l’humidité des pièces les plus sensibles. Lorsque la pièce dispose d’une fenêtre, aérez tous les jours durant 10 à 15 minutes, en procédant une pièce après l’autre.

    2.    Si nécessaire, revoyez vos habitudes

    Dans ses activités quotidiennes au sein de la maison, une personne adulte génère environ 4 litres de vapeur d’eau par jour ! Cela va de la respiration au fait de prendre un bain ou une douche en passant par cuisiner… Quelques réflexes simples vous permettront de générer moins de vapeur d’eau, à commencer par prendre des douches moins chaudes (ou plus courtes), par faire sécher votre linge à l’extérieur plutôt que dans une pièce de vie ou encore par recouvrir vos casseroles lorsque vous cuisinez et faites bouillir de l’eau.

    3.    Optez pour des plantes gourmandes en humidité

    Certaines plantes raffolent de l’humidité, à tel point qu’elles l’absorbent ! C’est le cas des orchidées mais aussi de l’épiphyllum, de la fougère tropicale, du tillandsia ou encore de nephrolepis.

    4.    Nettoyez les bouches d’aération

    Dans les pièces les plus humides, comme la salle de bain, la cuisine ou la buanderie, veillez à ce que les bouches d’aération soient toujours bien dégagées. Si elles sont sales ou obstruées, nettoyez-les à fond afin que l’air puisse à nouveau circuler normalement.

    5.    Le charbon comme déshumidificateur

    Dans un placard ou une petite pièce, comme un dressing, vous pouvez placer du charbon dans une boîte à chaussures ou une caissette. Le charbon a la faculté de capter et d’emmagasiner l’humidité, ce qui permet de réduire celle-ci dans les espaces clos. Veillez cependant à remplacer régulièrement le charbon de bois.

  • Eclairage : 5 erreurs archi-classiques à éviter !

    Un éclairage à la fois élégant et pratique est un art ! Voici les erreurs classiques à éviter !

    1 : Un seul luminaire

    Une seule source de lumière est insuffisante pour créer une ambiance chaleureuse. Les experts recommandent donc de combiner des luminaires au plafond avec des éclairages d’appoint tels qu’une lampe sur le buffet ou le bureau.

    2 : Négligez l’aménagement de la pièce !

    Commencez par positionner vos meubles, disposez ensuite les quelques éléments décoratifs, puis ajustez votre éclairage en conséquence. N’oubliez pas qu’au fil du temps, vous aurez sans doute envie de modifier la disposition de la pièce et donc de déplacer vos meubles. L’éclairage doit donc pouvoir être déplacé facilement dans la pièce. Dans tous les cas, les luminaires ne doivent jamais dominer. L’éclairage sert surtout à mettre en valeur votre pièce !

    3 : « Une lumière vive facilite le quotidien »

    Vous êtes nombreux à penser qu’une lumière vive est essentielle pour vous faciliter le quotidien. A vrai dire, rien n’est plus faux : ici encore, qu’il s’agisse de votre cuisine ou de votre coin lecture, un éclairage trop puissant impose à vos yeux un temps d’adaptation. Autant donc préférer plusieurs points lumineux…

    4 : Oublier de contrôler la… température !

    La température de la lumière est exprimée en Kelvin. Plus la valeur est élevée, plus la lumière est blanche. En fonction de la pièce et de l’usage que vous comptez en avoir, choisissez les bonnes ampoules ! Les lumières tirant vers le jaune créent une certaine ambiance, tandis que les lumières froides sont plus fonctionnelles.

    5 : Penser en watts plutôt qu’en lumens

    L’unité « Watt » n’indique rien sur la luminosité de votre lampe. La mesure en « watt » indique la quantité d’énergie consommée par votre lampe, mais c’est tout. L’unité « lumen » indique la quantité de lumière émise par une source lumineuse. Le nombre de lumens se trouve sur chaque emballage, vous pouvez donc vous en servir comme base de comparaison.

     

  • 5 petits investissements qui vont booster la valeur de votre bien

    Si beaucoup améliorent leur habitation dans le but de gagner en confort, dautres le font aussi pour augmenter sa valeur. Et cela peut se faire sans consentir un investissement important !

    immo-renovation

    Donnez un coup de jeune à votre cuisine et à votre salle de bain

    On le sait, ces dernières années, tant la cuisine que la salle de bains ont gagné en importance aux yeux des acquéreurs et des propriétaires. Ceux qui sont en quête d’un nouveau bien concentrent donc leur attention sur ces deux pièces. Eh bien sachez que certaines interventions mineures peuvent tout simplement faire des merveilles ! Qu’il s’agisse d’une nouvelle douche, de nouveaux robinets, de nouveaux meubles, voire simplement d’un coup de peinture, rafraîchir ces deux pièces peut réellement faire la différence.

    En la matière, gardez à l’esprit que les goûts et les couleurs peuvent grandement différer d’une personne à l’autre. Misez donc sur un look intemporel et sur des matériaux de qualité, plutôt que sur une personnalisation poussée à outrance et ce surtout si vous ne prévoyez plus de vivre très longtemps dans votre maison.

    Réveillez les espaces inutilisés

    Il est souvent plus facile qu’on ne le pense d’aménager cave ou grenier en une salle de jeu, en une deuxième pièce de vie voire en chambre à coucher supplémentaire. Ici, on retiendra que plus un espace offre des opportunités, plus il deviendra attractif pour les acheteurs potentiels. Sachez néanmoins que, généralement, la rénovation d’une cave est plus coûteuse que la rénovation d’un grenier. Enfin, veillez à soigner lisolation et à tout mettre en œuvre pour limiter l’humidité.

    Aménagez votre jardin

    Nombreux sont les ménages qui délaissent l’entretien du jardin. Grave erreur ! En effet, ici aussi, il s’agit d’un critère qui peut contribuer à augmenter la valeur de votre habitation, d’autant que les familles avec enfants à la recherche d’un nouveau toit peuvent difficilement s’en passer. Par conséquent, jardin et terrasse seront à clairement présenter sous leur meilleur jour lors de toute visite d’acquéreurs potentiels. Ne voyez néanmoins pas trop grand, en multipliant par exemple les rocailles et les pièces d’eau, afin de ne pas obtenir l’effet inverse, à savoir contribuer à effrayer vos visiteurs qui verront là un jardin exigeant trop d’entretien !

    Rajeunissez votre façade

    L’aspect extérieur d’une maison est primordial pour séduire tout acheteur potentiel. La première impression que l’on se fait d’un bien peut en effet être déterminante. On évitera donc de laisser sa façade se détériorer, en adoptant les bons réflexes si celle-ci se met à jaunir ou à se fissurer. En la matière, une simple remise en couleur ou un sablage peuvent contribuer à faire toute la différence. Si votre budget vous le permet, vous pouvez aussi en profiter pour améliorer l’isolation de celle-ci, d’autant que de nombreuses primes et aides existent !

    Pensez au stationnement

    Toujours à l’extérieur de la maison, prévoyez, dans la mesure du possible, une possibilité de stationnement. En effet, les places de parking représentent un atout majeur, d’autant plus en ville et dans les quartiers densément peuplés. Vous pouvez par exemple vérifier auprès les autorités locales s’il est possible de transformer une partie de votre cour ou de votre jardinet avant en une voire deux places de stationnement.

  • Location : quand le préavis prend-il effet ?

    En tant que locataire, vous souhaitez mettre fin à votre contrat de location. Quand le préavis que vous devez donner commence-t-il à courir ? Que faut-il savoir si le bail ne commence pas le premier du mois ?

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    Que dit la loi ?

    Dans les trois régions, la règle est la même : le délai de préavis commence à courir le premier du mois suivant celui au cours duquel le préavis a été donné.  Par exemple, si vous avez donné votre préavis le 15 janvier, la période de préavis commence le 1er février.  Par ailleurs, la même règle s’applique si le propriétaire veut mettre fin au loyer pour un usage personnel ou pour effectuer des travaux de rénovation.

    Le loyer ne commence pas le premier du mois

    Tous les baux ne commencent pas le premier du mois. Par exemple, il se peut très bien que vous ayez conclu un bail qui commence le 10, le 15 ou le 27 du mois.  Dans ce cas, on considère généralement que le délai de préavis commence également le premier du mois suivant celui au cours duquel le préavis a été donné.

    Autres jurisprudences

    Cependant, certains juges voient les choses différemment et stipulent que le premier du mois ne se réfère pas nécessairement à un mois civil mais au mois de loyer fixé contractuellement.  Par exemple, si le bail a pris effet le 15 du mois, selon ce point de vue, le délai de préavis commence à courir le 15 du mois suivant.

     

  • Sabler votre façade : est-ce vraiment une bonne idée ?

    Il existe plusieurs façons de nettoyer votre façade. Le sablage est l’un d’entre elles. Comme toute méthode, le sablage présente des avantages et des inconvénients. Voici ce que vous devez savoir…

    Une méthode de nettoyage agressive

    Le sablage d’une façade est une approche assez agressive. Le sablage est donc recommandé pour les saletés tenaces. L’eau est mélangée à un type de sable spécifique, après quoi vous utilisez une sableuse pour polir vos murs. Mieux vaut laisser des spécialistes s’en occuper… Le frottement du sable sur la façade va décoller la saleté. Cette méthode, qui existe depuis des années, permet de déloger les saletés les plus tenaces.

    Si vous souhaitez une méthode un peu moins agressive, l’aérogommage, voire l’hydrogommage sont des alternatives. Le nettoyage à l’eau est également une option plus douce.

    Avantages

    Choisir le sablage, c’est opter pour une approche décisive. Si la saleté est tenace, le sablage est la meilleure option. Il permet même de s’attaquer aux graffitis et aux taches de suie. Cette méthode est efficace et pas trop coûteuse. Pour un budget assez limité, vous pouvez faire sabler votre façade et elle retrouvera son aspect neuf, avec sa couleur originale.

    Inconvénients

    Le sablage d’une façade implique plusieurs choses. Vous devez protéger correctement vos châssis, ce qui prend un certain temps. En outre, il y a toujours un risque de dommages. Les joints peuvent se détacher, les pierres ou les briques peuvent se fissurer… Nous vous déconseillons également de sabler vous-même. Si vous voulez être sûr du résultat, faites appel à un professionnel. Ces personnes disposent du matériel adéquat et de l’expérience nécessaire pour mener à bien leur mission. Sachez enfin que cette méthode n’est pas adaptée aux pierres poreuses.

    Si votre façade est très sale, le sablage est une solution à envisager. Cette méthode étant assez bruyante, mieux vaut avertir vos voisins !