Auteur : francois

  • Décoration : nos 5 conseils valables pour toute la maison

    Vous souhaitez redécorer votre maison sans y passer des heures ? Voilà 5 conseils faciles à appliquer et valables pour toutes les pièces de la maison !

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    1 l Donnez de l’espace à vos meubles !

    Les pièces encombrées de meubles empilés les uns sur les autres sont rarement agréables à vivre. Donnez à vos meubles l’espace dont ils ont besoin ! Concentrez-vous sur l’essentiel et investissez dans la qualité plutôt que dans la quantité. Evidemment, cela commence d’abord par un fameux tri dans toutes vos affaires !

    2 | Un accroche-regard

    Chaque pièce mérite un objet qui attire l’attention. Tout le reste doit soutenir cet élément. Cela peut être un lustre, une peinture, un mur en pierres apparentes…

    3 l De la lumière que diable !

    Un bon dosage entre la lumière du jour et la lumière artificielle est essentiel pour créer une ambiance accueillante. Le top en la matière ? Des sources de lumière différentes qui se complètent et se renforcent. Pensez à un lustre en combinaison avec des spots et une lampe. De plus, cela vous permet de créer diverses ambiances !

    4 | Donnez du caractère !

    Exprimez votre personnalité dans votre intérieur ! Quelques touches personnelles donneront du caractère à votre maison. Cela peut aller de tableaux d’un sujet (ou une période) qui vous passionne à un papier-peint original, en passant par des objets de déco qui rappellent vos hobbys.

    5 | Soyez patient avant de peindre

    Votre maison est enfin décorée ? Parfait, il ne vous reste donc plus qu’à ouvrir le pot de peinture. Le meilleur moment pour choisir la couleur est lors de la dernière phase de décoration. Placez d’abord les meubles et choisissez votre éclairage puis seulement, trouvez une couleur assortie et/ou rehaussée.

  • Est-il possible pour un étudiant de se domicilier à l’adresse de son kot ?

    La question revient souvent : un étudiant peutil se domicilier à ladresse de son kot ? Laponse est oui, cest possible. A quelques conditions près…

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    Oui, la domiciliation est possible, surtout lorsque l’étudiant peut prouver qu’il est financièrement entièrement indépendant. S’il dépend encore de ses parents, la commune le refusera certainement. En outre, l’accord du bailleur est indispensable.

    Comment établir sa résidence principale dans son kot ?

    Il est possible d’établir sa résidence principale dans un kot, mais cela dépend de la commune. Les communes peuvent refuser la domiciliation si l’étudiant dépend financièrement de ses parents. Pour établir sa résidence principale dans un kot, l’étudiant doit déclarer sa nouvelle adresse à la commune. Un agent de quartier ou un fonctionnaire viendra alors vérifier s’il y est réellement domicilié.

    Peut-on être empêché de se domicilier dans son kot par le bailleur ?

    Il est fréquent que les contrats de location étudiante interdisent au locataire de se domicilier dans le kot, mais cette clause n’est valable que si l’adresse permanente du locataire n’est pas mentionnée dans le contrat. Notez également que ces clauses doivent être sérieusement justifiées pour être valables. Par ailleurs, pour établir sa résidence principale dans son kot en cours de bail, l’autorisation écrite du bailleur est nécessaire.

    Quelles sont les conséquences fiscales de la domiciliation dans un kot d’étudiant ?

    Les communes demandent parfois une taxe de résidence secondaire aux résidents non-domiciliés, mais la plupart des étudiants bénéficient d’une réduction, voire en sont complètement dispensés. En revanche, pour les parents, il peut y avoir des conséquences sur les allocations familiales si leur enfant n’est plus domicilié chez eux.

  • Ne cuisinez pas avec de l’eau chaude !

    Pour faire cuire vos pâtes, vous remplissez une casserole d’eau déjà chaude du robinet ? Nous vous le déconseillons !

    Que ce soit pour boire ou pour cuisiner, mieux vaut utiliser de l’eau froide. En effet, l’eau chaude est plus susceptible de contenir des particules de métaux toxiques car elle favorise la dissolution. On pense notamment au plomb, surtout pour les habitations les plus anciennes. De plus, l’eau chaude stagne généralement plusieurs heures dans votre boiler et dans vos tuyaux, ce qui la rend encore plus susceptible de présenter des traces de contaminants.

    Que faire ?

    Prendre de l’eau froide et la faire chauffer jusqu’à ébullition. Si vous avez besoin d’une eau à 60 degrés par exemple, nous vous conseillons de d’abord la porter à ébullition, puis de la faire refroidir jusqu’à la température voulue. Vous réduirez ainsi considérablement le risque d’exposition.

  • Votre patrimoine immobilier est-il rentable ?

    Voilà une question légitime que tout propriétaire se pose. Mais comment y répondre ? Avec ce nouvel outil, il est possible de surveiller la santé financière de son patrimoine en un clin d’œil.

    Le refrain est bien connu : les Belges aiment investir dans la brique ! Un placement privilégié à juste titre pour de nombreuses raisons : sécurité, source de revenu régulière, plus-value alléchante, placement tangible, taxes et fiscalité intéressantes, etc. Mais quand il est question d’aborder la question du rendement précis de leur investissement immobilier, peu de propriétaires peuvent avancer une réponse précise. Il faut dire que le calcul, dans ce cas, n’est pas aussi simple que celui d’un investissement en bourse.

    Calcul complexe

    Calculer le rendement d’un investissement immobilier demande, en effet, de prendre en compte un certain nombre d’éléments tels que le prix d’achat, les frais de notaires, les travaux éventuels, le précompte immobilier, les charges de copropriétés éventuelles, les charges diverses (assurance, comptable, entretien… ), les loyers et charges réellement perçus, etc.

    L’exercice réclame donc non seulement une grande rigueur mais aussi un suivi régulier puisque les rentrées et sorties d’argent ont lieu à différents moments.

    « Dashboard »

    Partant de ce constat, le logiciel de gestion locative Smovin intègre de nouvelles fonctionnalités. Des « Dashboards » viennent, en effet, offrir une vraie visibilité sur l’état de santé d’un patrimoine immobilier dans son entièreté ainsi que pour chaque bien traité individuellement. Grâce aux informations déjà présentes dans l’outil, la plateforme peut donner en un clin d’œil un aperçu détaillé de la rentabilité des biens grâce aux Dashboard opérationnel et Dashboard Executif. Des informations qui permettent alors non seulement d’optimiser la rentabilité de chaque bien, mais également de prendre des décisions plus éclairées en matière d’achat, de vente ou de rénovation.

  • Les 5 erreurs les plus courantes dans l’aménagement de votre maison

    Vous comptez construire ou rénover ? Dans ce cas, réfléchissez bien à l’agencement des pièces avant de vous lancer. Voici les 5 erreurs les plus courantes !

    1 l Des envies pas encore très claires

    Si vous ne savez pas encore exactement ce que vous voulez, la rénovation risque d’être difficile. Avant de vous y mettre, assurez-vous que votre maison soit claire sur papier. Vous évitez ainsi les improvisations et un résultat dont vous n’êtes pas satisfait à 100 %.

    2 l Vous ne connaissez pas les dimensions de vos pièces

    Ce n’est que lorsque vous connaissez la taille de vos espaces que vous pouvez en tirer le meilleur parti. Les divers corps de métier vous le demanderont de toute façon.

    3 l Des espaces de vie disproportionnés

    Les différents espaces doivent être équilibrés en termes de surface. Un immense salon combiné à une minuscule cuisine : l’erreur est classique et pénible au quotidien. Pour les chambres, privilégiez des formes aussi rectangulaires que possible, avec des plafonds suffisamment hauts.

    4 l Un planning désordonné

    On ne met pas la charrue avant les bœufs ! C’est précisément pour éviter toutes les erreurs coûteuses de planning que nous vous conseillons d’établir une ligne directrice, indiquant les étapes à suivre. Tout doit y être ! Pour être sûr de votre coup, n’hésitez pas à approcher un professionnel qui vous donnera la suite logique des opérations.

    5 l Espaces oubliés et vides

    De nombreuses maisons disposent d’espaces « vides » et inutiles. Il s’agit principalement de recoins. Donnez-leur une fonction et essayez d’y adapter des meubles pour éviter de perdre de l’espace.

  • Voici comment reconnaître un mur porteur dans votre logement

    Votre habitation compte certainement une quantité de murs, mais comment reconnaître ceux qui sont porteurs? Si vous voulez abattre des murs, il importe de savoir ceux que vous pouvez démolir et ceux auxquels il ne faut pas toucher. Voici comment reconnaître quels sont les murs essentiels et ceux que vous pouvez démolir.

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    Un mur porteur constitue un élément indispensable de votre logement. Ces murs supportent un escalier ou les sols porteurs de l’étage du dessus. En règle générale, les façades et les murs extérieurs sont porteurs. Si des parties de la maison ont été rajoutées à l’ensemble, il se peut que les murs extérieurs soient devenus des murs intérieurs, donc faites bien attention.

    Consultez les plans de la maison

    Étant donné qu’il peut s’avérer assez complexe de reconnaître un mur porteur, il vaut mieux que vous consultiez les plans de construction. Vous y trouverez tous les renseignements sur les divers murs et vous pourrez ainsi identifier les murs porteurs. Si vous avez un doute, un professionnel peut vous y aider.

    Vous pouvez aussi reconnaître un mur porteur à une série de caractéristiques sans devoir consulter le plan de construction. Ce genre de mur est constitué de matériaux solides comme de la pierre ou de la brique. En outre, ce type de mur possède souvent une épaisseur dépassant vingt centimètres. Si vous voulez être absolument sûr, référez-vous au plan de construction. Si vous n’en disposez pas , sachez que vous pouvez en général le demander à la commune.

    Poutres porteuses

    Hormis les murs, il y a aussi les poutres porteuses. Elles portent le plus souvent une grosse partie du poids. Vous ne pouvez pas enlever les murs sur lesquels ou contre lesquels se trouve ces poutres.  En ce qui concerne les solives, si le mur est perpendiculaire aux solives du plancher ou si celles-ci se terminent dans le mur, vous avez probablement affaire à un mur porteur.

    Regardez les fondations

    Un mur porteur se reconnaît aussi à la construction au-dessus. Si vous voyez un mur, une chambre ou une autre construction lourde au-dessus, alors vous avez généralement affaire à un mur porteur. Le vide sanitaire peut aussi vous en dire davantage. Un mur sans fondation supplémentaire n’est généralement pas un mur porteur.

    Consultez à temps un professionnel

    Si vous voulez malgré tout vous attaquer à des murs porteurs et démolir ceux-ci, alors faites toujours appel à un professionnel. Il est crucial de réaliser les préparatifs requis. Lors d’une construction neuve, il vaut aussi mieux consulter votre architecte quant au poids que vous murs porteurs peuvent supporter. Sachez du reste que tous les changements affectant la stabilité de votre logement doivent être signalés.

  • Vaut-il mieux louer avec ou sans meubles ?

    Vous êtes propriétaire d’un bien et souhaitez le mettre en location ? Vous vous demandez du coup s’il est plus pertinent de le louer avec des meubles ou plutôt sans. On fait le point !

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    De manière générale, la location d’un appartement ou d’une maison avec des meubles est considérée comme plus rentable que la location d’un bien vide. En effet, en tant que propriétaire vous êtes alors à même d’exiger un loyer plus important. Mais attention ! Dans le cas d’un bien meublé, le rendement peut, dans certains cas, être grevé par un turnover de locataires plus fréquents, doublé d’un entretien plus coûteux.

    Rentabilité : avec ou sans meubles ?

    Certes, à première vue, la location d’un bien vide est moins rentable. Mais, par contre, elle offre une meilleure sécurité quant à la perception des loyers. Pourquoi ? Tout simplement car le turnover des locataires est moins élevé. De quoi contribuer à réduire les frais de gestion et d’entretien.

    De son côté, la location meublée est plus risquée, car souvent assortie d’un bail plus court. Les changements de locataires sont donc plus fréquents, ce qui multiplie les frais annexes. Ces derniers peuvent néanmoins être compensés par des loyers plus importants.

    Non-meublé, plus de sérénité

    En location “à vide”, le locataire apporte ses propres meubles. Tout logiquement, celui-ci sera donc enclin à rester plus longtemps au sein du logement, d’autant qu’ici le bail s’étalera sur plusieurs années, là où les meublés se basent plutôt sur des baux de quelques mois, avec un risque accru de vacance locative. En d’autres termes, pour les biens non-meublés, les risques liés au turnover sont plus limités et le loyer est perçu avec plus de régularité par le propriétaire. La rentabilité est ainsi plus stable. Enfin, avec ses propres meubles, le locataire aura plus facilement tendance à s’approprier le logement. Il en prendra donc davantage soin, ce qui réduit les frais d’entretien.

    A contrario, les propriétaires de biens meublés vous le diront : les risques de dégradation sont plus importants dans ce cas. Des dégâts qui peuvent aussi bien porter sur l’appartement ou la maison que sur les meubles et l’équipement. Les remises en état entre deux locations seront donc plus nombreuses et sont bien souvent plus onéreuses.

    Et donc, que choisir ?

    Louer vide ou meublé ? On vient de le voir, la rentabilité n’est que l’un des points à prendre en compte pour décider de louer vide ou meublé. Ce dernier régime est le plus souvent choisi pour des petites ou des moyennes surfaces destinées à accueillir des locataires sur des durées plus courtes (expatriés en contrat à durée déterminée, étudiants,…). Les loyers perçus seront plus élevés mais on n’est jamais à l’abri d’une dégradation, plus régulière dans les habitations meublées. En non-meublé, on relèvera un turnover moins régulier, des charges d’entretien moins élevées, des dépenses en équipements plus modérées et un risque plus ténu de vacance locative.

     

    Avant de prendre votre décision, intégrez tous ces paramètres et réalisez quelques simulations en vous basant sur des scenarios réalistes !

  • Vos châssis sont-ils performants ? Voici comment le savoir facilement !

    La performance énergétique d’un bâtiment se conçoit par une isolation optimale. Et cette dernière ne peut se passer de châssis performants qui peuvent même s’avérer être des alliés intéressants dans la lutte contre la déperdition thermique.

    L’un des principes de base d’un bâtiment correctement isolé est qu’il puisse aussi bénéficier d’un maximum d’apports gratuits, comme la chaleur émise par les rayons du soleil. Dans le cas d’une isolation défaillante, la chaleur va s’échapper par les différentes parois du bâtiment, à commencer par ses vitrages. Ces déperditions sont exprimées par une valeur baptisée U.

    Pour un simple vitrage, celle-ci est comprise aux alentours de 6 W/m2k, pour les anciens doubles vitrages aux environs de 3 W/m2K, pour les nouveaux doubles vitrages vers 1,0 à 1,1 W/m2K et enfin celle des triples vitrages descend à 0,5 W/m2K.

    On constate donc que le triple vitrage est 12 fois plus isolant que le simple vitrage qui était monnaie courante au siècle dernier. Il est donc vivement conseillé de poser un vitrage avec une valeur U la plus basse possible.

    Le soleil, ce radiateur gratuit

    Si des châssis et leur vitrage laissent s’échapper une certaine quantité de chaleur vers l’extérieur, ils permettent aussi de faire rentrer une partie de la chaleur générée par le soleil à l’intérieur de la maison. La capacité du châssis à laisser entrer cette chaleur gratuite dans un bâtiment est caractérisée par son facteur solaire G. Plus il sera élevé, plus la chaleur entrera facilement dans la construction.

    En combinant la valeur U au facteur solaire G, on peut donc déterminer quels sont les châssis les plus performants, à savoir ceux qui bénéficient d’une déperdition minimale tout en emmagasinant un maximum de chaleur émise par le soleil. Une équation qui est loin d’être simple puisque les châssis les plus isolants (forts d’une valeur U basse) laissent généralement rentrer peu de chaleur solaire (à cause d’un facteur G bas). En outre, si ce raisonnement est valable en hiver, c’est nettement moins le cas en été. En effet, il ne faut pas laisser entrer trop de chaleur dans la maison au risque de provoquer des surchauffes importantes, qui impliquerait alors que l’on installe un système de climatisation, particulièrement gourmand en énergie…

    Tout est une question d’équilibre

    Un châssis performant est donc avant tout un châssis qui parvient à offrir le juste équilibre entre la déperdition thermique et le gain de chaleur solaire. Votre choix devra aussi s’effectuer en tenant compte de l’orientation de la fenêtre et de sa dimension. Si vous cherchez à optimiser l’isolation de toute l’habitation, il faudra que les vitrages des différentes façades ne soient pas tous semblables afin de laisser rentrer un maximum de chaleur en hiver, sans pour autant provoquer de surchauffe en été.

    Des choix cruciaux, particulièrement lors de l’élaboration d’un nouveau projet, que l’on ne peut que vous encourager à faire avec l’aide d’un architecte ou d’un expert PEB. Peuvent également entrer en ligne de compte les notions d’acoustique et de sécurité. Bref, choisir des fenêtres ne se fait pas à la légère puisque cela peut conditionner le montant de vos factures d’énergies durant plusieurs décennies !

  • Installation électrique non-conforme : contre qui se retourner ?

    Philippe et Karine ont acheté un appartement rénové il y a deux ans. Alors qu’ils font remplacer une taque vitrocéramique par une à induction, le technicien leur signale que leur installation électrique n’est pas conforme. Quels sont les recours dont ils disposent ?

    Une installation électrique non conforme signifie que cette dernière est vétuste ou présente un certain danger. Si la vôtre est considérée comme telle, vous devrez alors la remettre aux normes dans un délai de 18 mois. Mais dans bon nombre de cas, il est nécessaire de réaliser les travaux de mise en conformité dans les plus brefs délais. En effet, une installation défaillante peut engendrer des problèmes de sécurité pour les occupants du bien concerné, avec des risques d’électrocution voire d’incendie.

    Conforme sur papier mais pas en réalité ?

    Mais que faire lorsque vous achetez un appartement ou une maison dont l’installation électrique est censée être aux normes, et que, quelques mois plus tard, un électricien ou un technicien vous annonce que celle-ci ne l’est pas ? Dans ce cas de figure, doit-on se retourner contre le vendeur ou contre l’entrepreneur qui a réalisé les travaux ? De quels recours dispose l’acheteur lésé ?

    Nous avons interrogé Maître Florence Frelinx, avocate spécialisée en droit immobilier. “Si un recours est envisageable, ce sera en principe contre le vendeur. L’acquéreur d’un bien rénové n’a en effet pas de lien contractuel avec l’entrepreneur en charge de la rénovation. C’est donc son vendeur qu’il devra interpeller. Il faudra toutefois être prudent et précis” explique la juriste.

    Pour rappel, le propriétaire d’un immeuble résidentiel qui souhaite vendre son bien a uniquement une obligation d’information préalablement à la vente. En d’autres termes, le vendeur peut vendre un immeuble dont l’installation électrique n’est pas aux normes, à condition qu’il en ait informé clairement et complètement son acquéreur. Dès lors, “l’acheteur qui aura été trompé par son vendeur pourra le cas échéant lui réclamer une indemnité équivalente au dommage qu’il aura subi en devant lui-même mettre l’installation électrique en conformité. En revanche, envisager d’obtenir la nullité du contrat sur base d’un vice de consentement me paraît devoir être écarté. L’acheteur devrait en effet démontrer que s’il avait su que l’installation électrique était non conforme, il n’aurait jamais acheté l’immeuble en question. Or, ce n’est en général pas un critère déterminant conclut Maître Frelinx.

  • Fabriquer son propre pellet : 3 choses à savoir !

    L’explosion des prix de l’énergie concerne aussi le pellet : le prix d’une palette a été multiplié par trois en l’espace d’un an et demi ! De quoi motiver de nombreux utilisateurs à fabriquer leur propre pellet. Mais est-ce si simple ? Que faut-il savoir ?

    Tout d’abord, sachez que l’opération n’est pas simple et demande de la place, du temps et surtout, un solide investissement. Fabriquer son propre pellet ne vaut donc pas vraiment la peine si vous n’utilisez qu’une palette par an. En revanche, la méthode peut devenir intéressante si vous comptez en produire pour votre entourage et si vous avez suffisamment de place…

    1.    Trouver la matière première !

    Avant de démarrer, il vous faut trouver la matière première, à savoir la sciure de bois : soit vous en trouvez directement (Chapeau ! Mais à quel prix ?), soit vous la fabriquez vous-même à partir de bois récupéré, comme des branches d’arbre. Dans ce dernier cas, il vous faudra alors les broyer… N’oubliez pas non plus que les fabricants de poêle conseillent du 100 % résineux, ce qui de facto, vous limite déjà dans vos recherches.

    2.    Avoir un endroit vaste et sec pour le stockage

    Bien entendu, le bois doit être sec avant d’être transformé : tablez sur un taux d’humidité inférieur à 15 %. Tant le bois que la sciure et les pellets doivent donc être stockés dans un endroit sec. Disposez-vous de suffisamment de place ?

    3.    Quel investissement ?

    Un gros investissement est nécessaire : si vous comptez acheter le matériel (la location est possible), tablez sur environ 1.500 euros pour le broyeur et 3.000 euros pour la machine à pellets. Si vous comptez en produire en grosse quantité, il faudra alors investir dans un matériel au rendement supérieur, ce qui avoisinera les 10.000 euros pour les deux machines. Tablez sur environ 2 bonnes heures de travail pour produire 150 kg de pellets.