On le sait, de plus en plus de Belges qui détenaient un contrat d’énergie fixe se retrouvent désormais avec un contrat variable. C’est bien simple, actuellement, 50 % de la population dépend d’un contrat variable en matière d’énergie.
Jonas Leupe
Certes, la situation actuelle est meilleure qu’à l’automne dernier. Mais une chose est sure, cette embellie provisoire risque de ne pas durer. D’autant que nous avons connu des températures très froides qui pourraient faire repartir les prix à la hausse.
En effet, désormais, les contrats variables prennent comme référence soit le mois, soit le trimestre précédent. En toute logique, si la tendance actuelle se confirme, il faut par conséquent s’attendre à une nouvelle augmentation de prix dans les prochaines semaines. Dès lors, quelle attitude faut-il adopter en ce qui concerne vos contrats de gaz et d’électricité ? Est-ce le moment d’opter pour un contrat variable mensuel ou trimestriel ?
Les bons réflexes
Il convient tout d’abord de bien comprendre la différence entre un contrat variable mensuel et un trimestriel. La Commission de Régulation de l’Electricité et du Gaz (la CREG) explique qu’un tarif variable mensuel est indexé chaque mois. Il est donc recalculé en fonction de l’évolution du marché, ce qui veut dire que douze fois par an en début de mois vous êtes soumis à une nouvelle tarification.
Quid d’un tarif variable trimestriel ? Celui-ci fonctionne de façon similaire à la différence que ce n’est pas douze fois par an, mais quatre fois que vous êtes soumis à une nouvelle tarification, soit tous les trimestres. Du coup, à chaque nouvelle indexation, le contrat variable trimestriel, au contraire du mensuel, “bloque” les tarifs pendant les trois mois à venir.
Au-delà de cet élément qui peut s’avérer déterminant, sachez que c’est le bon moment de comparer les prix et, le cas échéant, d’opter pour un nouveau fournisseur, d’autant plus si vous êtes récemment passé d’un contrat fixe à un variable. Pour ce faire, rendez vous sur le site de la CREG, et plus particulièrement sur son portail qui permet de comparer les prix de l’énergie. De quoi analyser les offres en toute connaissance de cause sachant que vu que les prix devraient repartir à la hausse, il peut être intéressant d’opter pour un contrat se basant sur un calcul trimestriel plutôt que mensuel.
Vous êtes confronté à des taches blanches sur votre façade ? Cela peut avoir plusieurs causes, mais il s’agit souvent de dépôts de minéraux tels que le sel. Outre le désagrément visuel, ces efflorescences peuvent également causer des dommages collatéraux.
Les taches n’apparaissent pas forcément juste après le maçonnage : elles peuvent en effet se manifester bien plus tard. Si vous rencontrez des taches peu après le maçonnage, ce n’est généralement pas bien grave : l’eau et le sel contenus dans les briques migrent vers la surface, après quoi l’eau s’évapore et le sel reste. Cela peut provoquer des taches blanches sur vos briques. La pluie finira par faire disparaître ces taches, mais vous pouvez aussi utiliser un chiffon humide.
Quelles causes ?
Si vous voyez des traces blanches (souvent du salpêtre) apparaitre sur vos murs, cela est généralement le signe de la présence d’humidité dans votre maçonnerie. Il faut évidemment s’attaquer au cœur du problème et comprendre l’origine de ces traces blanches : des blocs poreux ? Des problèmes d’humidité ascensionnelle ?
Peut-on prévenir la prolifération des efflorescences ?
Les parties exposées à la pluie et au soleil sont particulièrement sujettes à l’efflorescence. Pour prévenir celle-ci, nous vous conseillons d’appliquer un traitement hydrofuge à votre façade. A ce sujet, sachez qu’il existe des briques de parement traitées et qui empêchent le salpêtre de se déposer sur la pierre.
Comment enlever les taches
Une brosse dure non métallique ne suffit pas ? Il existe ensuite de nombreux remèdes disponibles dans les magasins de bricolage. Attention, certains produits sont trop agressifs et peuvent endommager votre maçonnerie. Vous pouvez également toujours faire appel à une entreprise spécialisée.
Faire la vaisselle : cette tâche ménagère peut paraître rébarbative, mais c’est pourtant une opération importante, à réaliser minutieusement et dans les règles de l’art. Il en va de la bonne santé de toute la famille !
1. Une éponge, ça se remplace !
Réceptacle d’une multitude de résidus organiques, les éponges sont des nids à bactéries. C’est à ce titre l’un des accessoires les plus sales de la cuisine, particulièrement lorsqu’on la laisse trainer au fond de l’évier. Il est donc capital de la nettoyer aussi souvent que possible, en la désinfectant avec du vinaigre blanc ou du citron. Vous pouvez également la placer humide au four à micro-ondes durant une trentaine de secondes à pleine puissance. Dès qu’elle a perdu sa couleur originale, remplacez-la !
2. Évitez la vaisselle à l’eau froide
Certes, il est plus écologique de nettoyer sa vaisselle à l’eau froide. Mais face à une vaisselle très sale, l’eau froide ne fait pas le poids. Seule l’eau chaude voire bouillante vous permettra de dissoudre les graisses et de désincruster les résidus alimentaires séchés. Pour épargner de l’énergie, vous pouvez par exemple réutiliser votre eau de cuisson pour y faire tremper vos ustensiles de cuisine usagés avant de les nettoyer.
3. Essuie de vaisselle sale : à la lessive !
Dans la cuisine, l’essuie de vaisselle est mis à toutes les sauces. Celui-ci est en effet souvent utilisé pour se sécher les mains, essuyer l’évier ou le plan de travail ou encore pour sortir un plat brûlant du four. Pour éviter que vos torchons de cuisine ne prennent une odeur désagréable d’humidité, optez pour un séchage à l’air libre. Après 5 vaisselles effectuées, remplacez-le par un essuie propre et lavez l’ancien en machine à 60° minimum !
4. La vaisselle, ça se fait dans l’ordre !
Vous remplissez votre évier avec de l’eau chaude et du savon plutôt que de faire couler le robinet durant plusieurs minutes ? Excellente idée mais alors commencez par laver les éléments les moins sales comme les verres et les couverts. Ensuite seulement passez aux assiettes puis, pour terminer, aux plats et casseroles. Veillez toujours à rincer le tout à l’eau bien chaude, la phase de séchage n’en sera que plus rapide !
5. Le côté abrasif de l’éponge comme tout dernier recours
Frottez comme un forçat un fond de casserole qui a brûlé avec le côté abrasif de l’éponge est bien souvent inutile. Tout ce que vous réussirez à faire est de le rayer irrémédiablement. Pour se débarrasser des graisses et aliments carbonisés, il suffit de verser de l’eau dans la casserole à mi-hauteur et d’y ajouter un verre de vinaigre blanc ainsi qu’une cuillère à soupe de bicarbonate de soude. Placez le tout sur feu doux et laissez mijoter durant une dizaine de minutes. La crasse se décollera toute seule, sans que vous n’ayez à frotter !
Les maisons connectées ou bien équipées en technologies domotiques gagnent en popularité, à tel point qu’aujourd’hui, on ne conçoit plus de faire construire ou d’entreprendre une rénovation lourde sans intégrer un minimum d’équipements du genre sous son toit.
Patrick Campanale
Depuis une vingtaine d’années, la domotique résidentielle s’immisce dans nos intérieurs. Compte tenu de son jeune âge, il est encore difficile de savoir avec certitude si l’installation de ce type de technologie vous permet de retrouver une partie de l’argent investi lors de la vente de votre habitation, qu’il s’agisse d’une maison ou d’un appartement. En effet, à l’heure actuelle, contrairement à certaines rénovations qui ont fait leurs preuves pour augmenter la valeur de revente d’un bien immobilier, l’ajout d’appareils intelligents au sein de votre lieu de résidence ne vous garantit pas une certaine plus-value, ceux-ci ne constituant pas encore un critère de recherche prégnant pour l’acheteur.
Un équipement n’est pas l’autre
Mais ce relatif manque d’intérêt, qui est appelé à s’atténuer dans les années à venir, est néanmoins à relativiser. En effet, certains équipements intelligents, en particulier s’ils ont été installés par des professionnels et qu’ils sont conçus par des noms incontournables du secteur de la domotique, pourraient néanmoins être plus valorisants que d’autres. C’est le cas des thermostats intelligents mais aussi de tous les appareils qui visent à réduire la consommation et les coûts énergétiques de la maison. Dans le contexte actuel, ceux-ci gagnent en effet en intérêt. Tout logiquement, les équipements aux fonctions “secondaires”, comme un éclairage à même de changer de couleur, seront par contre en général dédaignés, ce qui n’est pas le cas de ceux qui permettent de faire des économies d’énergie.
Dans la même veine, l’ajout d’un système de sécurité, comme une alarme intelligente, est un autre élément de la domotique à même d’attirer les acheteurs potentiels en leur offrant un sentiment de sécurité supplémentaire. Certains d’entre eux pourraient même être prêts à payer plus cher, à condition que l’installation du système ait été faite dans les règles de l’art et par un professionnel.
Moralité : certes, la domotique peut vous donner un coup de pouce pour attirer l’attention des acheteurs sur votre bien, en leur offrant un confort et des fonctionnalités supplémentaires. En revanche, elle ne peut pallier les lacunes de l’état général de votre propriété.
Après la pandémie de ces dernières années, le bureau à domicile est devenu une nécessité absolue pour une part croissante de la population. Et nous ne pensons pas qu’aux salariés en télétravail : même les étudiants, eux aussi, ont besoin de leur propre espace où ils peuvent préparer leurs travaux sans être dérangés. Mais comment et où aménager ces espaces de bureau à domicile ?
Domenico Loia
Un espace de travail bien aménagé est important, comme en témoigne l’augmentation du nombre de plaintes suite au passage soudain et non préparé au télétravail pendant le confinement. En effet, tout le monde ne disposait pas forcément d’un environnement ou d’un équipement approprié. Maux de cou et autres douleurs musculaires, tendinites, fatigue oculaire, maux de tête après la journée de travail… autant de signes qui manifestent un espace de travail loin d’être idéal.
Créez votre bureau à domicile
Le premier conseil est d’être ambitieux et de viser le maximum possible, surtout si vous utilisez souvent votre propre espace de travail à la maison. Pour cela, il est préférable d’avoir un espace physique dédié au travail à domicile, et non un endroit qui sert également à d’autres fins, comme la table de la cuisine ou du salon. Un bureau séparé est bien sûr idéal, mais tout le monde n’a pas le luxe de pouvoir en profiter !
Si vous installez votre espace de travail dans un espace multifonctionnel existant, essayez de prévoir une sorte de séparation. Pour ce faire, vous pouvez choisir un meuble comme un bureau, une armoire avec un plan de travail ou une tablette pliable. En outre, assurez-vous de disposer suffisamment d’espaces de rangement – comme des tiroirs ou, si nécessaire, des boîtes pour ranger les choses de manière structurée. Ainsi, vous serez sûr de pouvoir vous concentrer et de clore ce chapitre de votre journée, une fois votre journée de travail terminée. Psychologiquement, cet aspect est crucial ! Essayez d’harmoniser l’aspect de votre coin bureau avec le reste de la pièce afin qu’il n’attire pas immédiatement votre attention lorsque vous ne l’utilisez pas.
Pensez à votre santé
Assurez-vous que tout est réglé à votre hauteur pour que vous puissiez travailler confortablement. Veillez à tenir compte de la hauteur de votre écran. Rester assis sur son ordinateur portable toute la journée est loin d’être idéal. Si vous n’avez pas de place pour un écran séparé, investissez au moins dans un support qui amène l’écran de votre ordinateur portable à hauteur des yeux, en combinaison avec un clavier et une souris. Autre conseil mobilier à ne pas manquer : investissez dans la bonne chaise de bureau !
Un bon casque ou des écouteurs, qui vous permettent également de passer des appels ou de suivre des réunions en ligne, sont également indispensables. Les haut-parleurs et le microphone de votre ordinateur portable sont rarement idéaux, surtout si vous partagez l’espace avec d’autres personnes. Lors de l’achat, envisagez un modèle doté de la technologie « noise cancelling », qui filtre électroniquement les bruits extérieurs. Cela ne fera qu’améliorer votre concentration.
Illuminez votre poste de travail
Un dernier point important : l’éclairage. Une fenêtre qui donne sur votre espace de travail est idéale – mais vous devez également veiller à ne pas être aveuglé par le soleil. Une bonne lampe de bureau est essentielle, mais des sources de lumière supplémentaires sont un plus pour réduire les ombres et permettre à vos yeux de se reposer. Un éclairage suffisant et approprié n’est pas seulement bon pour vos yeux, mais aussi pour votre capacité à vous concentrer et à apprendre, selon une étude récente du département des neurosciences de la prestigieuse Michigan State University. Les couleurs claires dans votre espace de bureau reflètent la lumière et contribuent donc à optimiser votre éclairage. Dans tous les cas, évitez les papiers peints aux imprimés chargés, qui peuvent vous distraire.
La tendance du moment : le bureau de jardin
Vous cherchez une solution originale ? Vous disposez d’un grand jardin ? Sachez dans ce cas qu’il existe une solution assez insolite qui séduit de plus en plus de personnes ces dernières années : le bureau de jardin. Cet espace de travail indépendant dans le jardin peut prendre différentes formes, du conteneur préfabriqué au luxueux pavillon à ossature en bois. Mais réfléchissez bien aux aspects pratiques, car pour pouvoir travailler confortablement, il vous faut au moins l’électricité et l’accès à internet. En outre, l’isolation doit également être en ordre. De plus, cela a un prix : comptez sur un budget minimum de 35 000 euros. La bonne nouvelle est que vous n’avez souvent pas besoin de permis de construire pour les dépendances de moins de 30 m², mais il est préférable de vérifier auprès de votre commune.
Le bricolage en hiver peut être un sacré défi, le froid, l’humidité et le manque de lumière compliquent tout ! Pour aider les bricoleurs à surmonter ces obstacles, voici comment faire face aux 4 grands ennemis du bricoleur en hiver.
Aaron Burden
1. Le froid
Le froid est l’un des principaux ennemis du bricoleur en hiver. Il peut être difficile de travailler confortablement avec des mains gelées et des vêtements trempés de sueur. Il est important de s’habiller en conséquence pour rester au chaud et au sec, et de prendre des pauses régulières pour se réchauffer. Il existe des vêtements spéciaux, prévus à cet effet. Ce qui peut avoir un coût, on vous l’accorde…
2. La neige et/ou la glace
Il est important de nettoyer régulièrement les allées et les escaliers pour éviter les chutes, et de prendre des précautions supplémentaires (chaussures antidérapantes, notamment…) lorsque l’on manipule des outils et des matériaux sur des surfaces glissantes. Cela peut paraître bateau, mais promis, on ne le répètera jamais assez ! Attention également au gel qui peut endommager vos outils et surtout, vos produits ! Les nettoyeurs haute pression et autres compresseurs doivent donc être gardé à l’abri du gel !
3. L’humidité
L’humidité peut causer des problèmes de condensation et de moisissures, ce qui peut rendre certains travaux de bricolage plus difficiles ou même impossibles. Il est important de ventiler régulièrement les espaces fermés et de s’assurer que les matériaux utilisés sont appropriés pour une utilisation en milieu humide. Si vous avez des surfaces à peindre, mieux vaut attendre le retour des beaux jours !
4. La faible luminosité
En hiver, il y a moins de lumière naturelle, ce qui peut rendre tout travail dans une ambiance non encore éclairée, difficile, voire presque impossible. Sachez que les lampes de travail ou les projecteurs sont aujourd’hui affichés à des prix assez accessibles dans les magasins de bricolage.
Où embusquer vos bijoux, clés de voiture et autres objets de valeur, notamment en cas d’absence et lorsque l’on ne dispose pas d’un coffre-fort ? Voici 5 cachettes idéales !
J Yeo
1. Dans un livre
Choisissez un livre (de préférence déjà lu et pas votre préféré !) avec une couverture épaisse et rigide, et découpez un trou dans les pages. Replacez ensuite le livre dans votre bibliothèque ! Plus il y a des livres autour, mieux c’est ! L’astuce est vieille comme le monde, mais toujours aussi efficace…
2. Sous les meubles
Derrière les plaques de finition, sous les meubles, il est parfaitement possible de cacher des documents ou de petits objets de valeur.
3. Dans un sac de couchage
Nous sommes sûrs que vous n’y auriez jamais pensé ! Ou alors, vous êtes vraiment très fort. Optez évidemment pour un modèle assez grand pour contenir tout ce que vous désirez cacher. Bien entendu, le sac-de-couchage ne doit pas ensuite trôner au milieu du divan…
4. Dans le congélateur
Pour tout ce qui ne craint pas le froid, le congélateur est une excellente option ! Dans un sac, avec vos petits pois ou, bien protégé, dans un récipient de sauce bolognaise, ça marche très bien ! Il faut juste espérer que votre congélateur ne dégèle pas, surtout si vous optez pour cette dernière option !
5. Dans un pot de plante
… Ou carrément dans le jardin ! Mais avant tout, prière de trouver un contenant parfaitement hermétique et capable de résister à un enterrement. Il faudra aussi tâcher de s’en souvenir…
Vous désirez savoir à combien peut se vendre l’appartement de feu tonton Jean-Marie ? Peut-être avez-vous un bien en vue et vous souhaitez vous assurer de payer le juste prix ? A moins que vous n’ayez tout simplement envie de connaître la valeur de votre bien… Pour toutes ces raisons, et bien d’autres encore, ne cherchez pas ailleurs : l’outil d’estimation signé Immovlan vous proposera une fourchette de prix réaliste.
r architecture
Pour s’enfiler une mousse au chocolat, rien de tel qu’une cuillère : l’outil est simple, ergonomique et destiné à cet usage. Cela vous semble être une évidence ? Eh bien, pour connaître la valeur d’un bien immobilier, l’outil d’estimation en ligne d’Immovlan, c’est pareil. Simple, ergonomique, précis et taillé pour vous donner une fourchette de prix réaliste. Ne cherchez pas ailleurs, on ne connaît pas mieux et en plus, c’est gratuit et sans engagement !
Après avoir donné quelques infos sur le bien en question, comme le nombre de façades, l’état du bien et sa situation géographique, vous serez rapidement fixé sur sa valeur. Bien sûr, rien ne remplace l’expertise d’un agent immobilier et c’est la raison pour laquelle, dans le cas d’une vente par exemple, nous vous conseillons toujours de vous remettre à un professionnel.
Avec un peu d’imagination et de créativité, une chambre d’enfant peut rapidement se transformer en un douillet petit cocon où il sera agréable de jouer, lire, bricoler et bien entendu dormir. Voici quelques conseils pour aménager au mieux la chambre de vos chérubins.
1. Polyvalence
La chambre est l’univers de votre enfant. Il y joue, il y lit, il y bricole et il y dort. Si le volume de la pièce le permet, n’hésitez pas à créer différents espaces dédiés, à commencer par un coin dodo agrémenté d’un lit pourvu de rangements, d’un lit cabane voire d’un lit mezzanine pour les plus grands.
2. Coin lecture
Le coin lecture pour sa part se doit d’être cosy et apaisant, avec des gros coussins posés au sol, des poufs ou un fauteuil confortable, ainsi qu’une petite bibliothèque où l’enfant pourra ranger ses livres et magazines.
3. Pour les devoirs…
Dès que votre enfant entre à l’école primaire, pensez à lui aménager un coin bureau, sous ou contre le lit par exemple. Ici aussi, ne lésinez pas sur les espaces de rangement ainsi que sur un éclairage performant qui favorisera sa concentration sur ses leçons et devoirs !
4. Coin jeu
Pour bien grandir, il faut aussi… jouer ! Le coin jeu est donc incontournable dans la chambre de l’enfant. À ce titre, il doit d’ailleurs occuper la majeure partie de l’espace de la pièce. Entre les petites voitures, les jeux de société, les poupées ou encore les loisirs créatifs, il faut prévoir un maximum de place ! Afin d’optimiser ce vaste espace, multipliez les rangements afin que votre enfant puisse trier et ranger ses jouets, le tout à sa hauteur.
5. Ecoutez votre enfant !
Enfin, la personnalisation de la pièce doit idéalement se faire en consultant son occupant. Du coup, choisissez les couleurs et le thème de la chambre avec lui. Si les couleurs neutres demeurent le choix le plus sage, vous pouvez également vous amuser à créer des zones plus fun dans la pièce, grâce à des couleurs plus dynamiques ou à un papier peint à motifs par exemple.
En la matière, n’hésitez pas non plus à décorer un ou plusieurs murs avec des stickers à l’image de ses héros favoris. Le linge de lit peut également contribuer à suivre les passions et intérêts de l’enfant ! Tous ces éléments contribueront en tout cas à ce qu’il se sente bien dans sa chambre !
Vous remarquez que votre évier ne s’écoule plus, que la chasse d’eau des toilettes n’arriver pas à évacuer et votre douche est inutilisable ? Ce sont effectivement des signes qui peuvent indiquer une canalisation est bouchée. Mais quels sont les autres symptômes et comment savoir si c’est réellement le cas ? Voici quelques conseils.
Des odeurs nauséabondes
C’est sans doute le signe le plus clair d’une canalisation bouchée : des odeurs nauséabondes qui émanent des canalisations. Si vous sentez des relents de déchets, de nourriture ou d’égouts, c’est que votre canalisation est bouchée et qu’elle a besoin d’être nettoyée.
Des bruits inhabituels
Si vous entendez des bruits inhabituels, tels que des coups, des grognements ou des sifflements, c’est peut-être que votre canalisation est bouchée. Ces bruits peuvent être causés par des blocages ou des accumulations de déchets qui empêchent l’écoulement de l’eau.
Des eaux stagnantes
Autre indication d’une canalisation bouchée : l’eau qui stagne dans votre évier, votre baignoire ou vos toilettes.
Des tuyaux chauds
Vos tuyaux sont gonflés et chauds au toucher ? c’est peut-être un signe que votre canalisation est bouchée. Les blocages peuvent provoquer une accumulation de pression qui peut provoquer le gonflement des tuyaux.
Quelles causes ?
Les causes peuvent-être multiples. Il peut s’agir d’une accumulation de cheveux, d’un petit objet, de calcaire, voire de graisse. Plus grave, il peut s’agir d’une racine d’un arbre qui finit par pousser la tuyauterie.
Comment déboucher ?
Il existe plusieurs solutions. Si le problème semble être localisé, un produit spécifique (éventuellement fait maison à base de vinaigre et de bicarbonate de soude), de l’eau bouillante, un furet ou une ventouse peut rapidement en venir à bout… Si tout ceci ne mène à rien, nous vous conseillons de faire appel à un professionnel. Attention, le budget peut vite s’envoler !