S’il était pris par-dessus la jambe il y a quelques années à peine, le PEB est aujourd’hui au centre des débats. Un mauvais PEB, c’est un barrage supplémentaire pour obtenir un prêt à la banque, une impossibilité d’indexer le loyer et une revente nettement plus lente. Dès lors, cela vaut-il la peine d’investir dans des travaux d’isolation, en vue d’obtenir un meilleur PEB ? Récupérerez-vous votre investissement ?
Tous les experts vous le diront : tout dépend évidemment du bien. Même si les biens avec un bon PEB se vendent nettement mieux et à un meilleur prix que les autres, l’investissement n’est pas toujours rentable, loin de là. Evidemment, on s’en doute bien, si le bien doit être entièrement rénové, mieux vaut ne rien faire et le laisser en l’état. Y installer des panneaux photovoltaïques n’a que peu d’intérêt dans ce cas, surtout si la toiture est à refaire. Même refrain pour les châssis et la toiture : l’investissement est souvent très important, pour un retour qui ne couvrira pas l’argent dépensé. En outre, pour les châssis, le choix en matière de matériaux peut aller à l’encontre des goûts des clients.
Ce qui marche ?
Les petites améliorations, faciles à faire et qui permettent de grappiller quelques points de PEB : on pense, par exemple, aux vannes thermostatiques, à l’isolation des tuyauteries, à l’isolation d’une porte de garage, voire du plancher du grenier… Ces investissements sont généralement à la portée d’un bon bricoleur et réclament un budget assez réduit. Dans ces cas-là, oui, l’investissement mérite d’être considéré.
Planter un arbre est l’une des choses les plus faciles mais aussi les plus utiles que l’on puisse faire. Voici cinq bonnes raisons de passer à l’acte !
Gabriel
À condition de disposer d’un lopin de terre et d’une semence, planter un arbre est d’une facilité déconcertante. Un acte salvateur pour l’environnement qui, tout autour de la planète, est exécuté au quotidien. En effet, du quidam qui plante un noisetier dans son jardin aux volontaires des régions dévastées par un ouragan ou un incendie qui organisent la plantation de centaines de plants d’arbres, tous ces gestes participent à reboiser une planète qui en a grand besoin après des décennies de laxisme environnemental.
Planter des arbres en ville réduit les décès liés aux canicules
Récemment, une modélisation a révélé que si la couverture végétale d’une ville pouvait atteindre les 30 % de sa surface, contre une moyenne de 14,9 % actuellement, cela permettrait de réduire la température de 0,4 degré durant les épisodes caniculaires. De quoi prévenir près d’un tiers des décès directement imputables à celles-ci !
Les arbres participent à la lutte contre le changement climatique
Grâce à la photosynthèse, les arbres absorbent le dioxyde de carbone nocif, éliminent et stockent le carbone et libèrent de l’oxygène dans l’air. De quoi “recycler” et réduire votre empreinte carbone personnelle afin de lutter contre le changement climatique.
Pour un air plus pur
Non contents de “pomper” le CO2, les arbres absorbent également les odeurs et les polluants tels que les oxydes d’azote, l’ammoniac, le dioxyde de soufre ou encore l’ozone. On estime qu’en moyenne un arbre est à même d’absorber près de 10 kg d’air pollué chaque année tout en libérant quelque 260 kg d’oxygène !
Booster la valeur de votre propriété
Nombreuses sont les études qui portent sur des habitations comparables, munies ou démunies d’arbres sur le terrain attenant. Celles-ci montrent que si vous disposez d’arbres dans votre jardin, la valeur de votre maison augmente de 15 % ! Une simple question d’attrait, les arbres contribuant à rendre votre maison et votre jardin encore plus attractifs !
Faites des économies !
Les arbres conservent l’énergie en été comme en hiver, procurent de l’ombre contre la chaleur du soleil en été et constituent un abri contre les vents froids en hiver. Grâce à cette protection naturelle, vous dépenserez moins pour vous chauffer mais aussi pour refroidir votre maison !
Chaque année, des milliers de cambriolages sont à déplorer sur le territoire belge. Des gestes simples suffisent pourtant à les prévenir. En voici cinq.
Comment éviter d’être victime des cambrioleurs ? Le meilleur moyen est de penser comme eux afin de déjouer leurs plans. Impossible ? Que nenni ! La preuve avec cinq astuces qui vont contribuer à sécuriser votre habitation sans investir des sommes importantes.
Équipez vous de bonnes serrures
Cela peut paraître anodin mais, bien souvent, un bon outil suffit pour venir à bout d’une serrure ordinaire, qu’il s’agisse d’une porte ou d’une fenêtre. Pour quelques dizaines d’euros, vous pouvez remplacer votre équipement actuel par des serrures de qualité supérieure, qu’elles soient équipées d’un verrouillage mécanique ou électronique. De quoi décourager bon nombre de voleurs !
Ne leur facilitez pas la tâche !
En laissant des échelles, de hautes poubelles ou encore du mobilier à proximité de vos murs extérieurs, vous facilitez la tâche aux voleurs qui souhaitent s’introduire dans votre habitation par une fenêtre, un balcon voire la toiture. En cas d’absence, veillez à mettre tous ces équipements à l’abri, loin des regards indiscrets.
Clôturez votre terrain
C’est l’un des meilleurs moyens de décourager toute tentative de cambriolage. En compliquant l’accès à votre terrain, vous en faites de même avec votre habitation. Si vous décidez de le clôturer, veillez à opter pour un équipement suffisamment haut et solide. Une fois que c’est fait, soyez discipliné en verrouillant votre propriété le soir et en cas d’absence.
Et la lumière fut !
Sachez-le, les voleurs raffolent de l’obscurité ! C’est, pour eux, le meilleur gage de discrétion qui va leur permettre de sévir sans attirer l’attention. Prévoyez du coup un bon éclairage extérieur, pourvu d’un capteur de mouvements. Placez chaque point d’éclairage à proximité de toutes les portes d’accès et fenêtres.
Souriez, vous êtes filmé !
C’est logique, les cambrioleurs préfèrent rester sous les radars. Pour les dissuader de passer à l’acte, rien de tel que de placer une caméra de surveillance vidéo voire une caméra factice. Ces dernières ne coûtent bien souvent que quelques euros et sont faciles à placer. Suspendez ces accessoires à des endroits bien visibles afin d’éloigner les malfaiteurs. Et s’ils s’en moquent, la police sera très contente de pouvoir visionner les images prises par votre caméra !
Avec la raréfaction des terrains, l’envolée des prix des matériaux, la hausse des coûts énergétiques et les préoccupations climatiques, les petits logements semblent actuellement être le meilleur choix pour l’avenir. Mais comment s’y prendre et à quoi faut-il faire attention ?
Bench Accounting
En 2020, la surface moyenne des maisons en Belgique était d’environ 125 m², contre 146 m² au début du siècle. Pour les appartements, on constate une baisse de 80 à 67 m² sur la même période. Les raisons de cette évolution sont assez évidentes : outre l’influence des règles d’urbanisme, les terrains à bâtir se font plus rares et plus chers, tandis que les normes d’isolation plus strictes et les matériaux de construction plus onéreux incitent les gens à opter pour des maisons plus petites. Celles-ci présentent également l’avantage de nécessiter moins d’énergie pour être chauffées. Vivre dans un environnement plus petit est donc une solution d’avenir sur tous les fronts.
Faites les bons choix
Si vous souhaitez vivre dans une maison plus petite, sachez que vous perdrez plus d’espace dans une maison 4 façades que dans une maison mitoyenne. En effet, dans une maison de rangée, il y a moins de murs extérieurs, moins de fenêtres et peut-être moins de surface de toit, ce qui vous permet de tirer un meilleur parti de votre volume de construction. Le choix du type de bâtiment est donc très important, tout comme sa forme. En outre, vous devez vous demander ce dont vous avez besoin dans une maison : combien de pièces, quelle surface, quelle disposition et quelles pièces pourraient éventuellement avoir un double usage pour gagner en mètres carrés.
Parlez-en avec votre architecte qui pourra vous aider à prendre les bonnes décisions pour que le résultat final reste vivable. Le choix des matériaux de construction et de finition peut également jouer un rôle, car chaque centimètre économisé soulage votre portefeuille. Economiser sur la surface habitable vous permet d’investir plus largement dans des matériaux de pointe, tels que des isolants plus performants et donc moins épais pour un résultat similaire. Au final, vous récupérerez donc au moins une partie de l’espace.
Sensation d’espace et conception adéquate
Vous pouvez créer une plus grande sensation d’espace, même au sein d’un petit espace, grâce à quelques astuces. Un architecte d’intérieur peut parfaitement vous aider à cet égard. Bien sûr, cela a un coût, mais si cela vous permet de construire plus petit et donc de consommer moins d’énergie à long terme, vous y gagnerez. Par exemple, des fenêtres aux bons endroits, des murs en verre au lieu de murs pleins, mais aussi des miroirs et l’utilisation de couleurs claires peuvent agrandir visuellement un petit espace. Et si un loft peut sembler être un choix contre-productif pour gagner en espace, il peut en fait, agrandir visuellement un espace réduit.
Pensez également à la disposition de la maison et à la façon dont elle peut être utilisée le plus efficacement possible, en dépit d’une surface au sol plus petite. L’un des conseils que nous aimerions vous donner, est de penser au rangement de vos objets. Le tout est de réfléchir à des moyens innovants de gagner en espace de stockage (avec des armoires intégrées qui vont également au-dessus de la porte, par exemple). Faire le tri dans ses objets et ranger efficacement ceux-ci, vous permettra peut-être de considérer votre grenier comme une espace de vie et non de rangement. Des éléments tels que les portes coulissantes peuvent également contribuer à économiser de l’espace, tout comme les meubles à double fonction, tels qu’un lit surélevé avec un bureau en dessous.
Conceptions alternatives
Enfin, il existe des formes de construction alternatives telles que les « tiny houses« , soit des maisons dont la taille est réduite à l’extrême. Leur construction et leur utilisation sont bon marché, mais il faut pouvoir s’accommoder d’un espace aussi réduit. A ce sujet, renseignez-vous au préalable sur ce qui est autorisé ou non dans votre commune, sur les règles à respecter et sur la possibilité d’y élire domicile. Autre possibilité : les maisons en conteneur, où vous gagnez en espace habitable : la structure solide d’un conteneur vous permet d’éviter des murs plus épais. Mais là encore, faites attention aux éventuelles restrictions d’urbanisme et au respect des normes d’isolation.
Le printemps étant à nos portes, c’est le moment de mettre de l’ordre dans votre jardin. Une opération qui peut vite se révéler onéreuse… Voici quelques astuces pour s’en tirer à moindre coût !
Savvas Kalimeris
Si un architecte paysagiste peut réellement apporter une plus-value, il est parfaitement possible de s’en sortir tout seul. Pour ce faire, les réseaux sociaux sont une excellente source d’inspiration, avec de nombreux exemples de jardins que vous pouvez plus ou moins copier.
Optez pour des plantations peu coûteuses
En matière de plantation, favorisez les jeunes pousses, nettement moins chères que les arbres et plantes adultes. Optez pour des plantes qui nécessitent peu d’entretien et qui peuvent résister à des conditions climatiques changeantes. N’hésitez pas à vous faire conseiller dans votre jardinerie, vous y trouverez certainement des plantes abordables qui transformeront votre jardin.
Quid du mobilier ?
Si vous désirez acquérir un nouveau mobilier de jardin, faites-le avant le retour des beaux jours, les prix sont nettement moins élevés. N’hésitez pas à lorgner sur le marché de l’occasion, même si l’ensemble a besoin d’un coup de peinture. En outre, il est parfaitement possible de s’en sortir à moindre coût en recyclant des palettes, des caisses de fruits ou de vin.
Créez une ambiance !
Un banc à l’abri d’un arbre, un mur d’une jolie couleur estivale, des bacs à fleurs, un tapis d’extérieur… Tout ceci concourt à rendre votre jardin unique !
Un chemin
Pour créer un chemin, le carrelage est certes une option élégante, mais cela coûte cher. Pour s’en sortir à moindre coût, le gravier et l’écorce sont des alternatives valables et souvent plus abordables. En outre, ces options nécessitent peu d’entretien.
Certes, les panneaux solaires représentent l’équipement le plus courant pour produire de l’électricité à l’aide de l’énergie solaire. Mais ce n’est pas la seule solution en la matière !
Aussi répandus et populaires soient-ils, les panneaux solaires disposent d’un rendement faible en comparaison à leur coût. À juste titre, de nombreuses personnes se mettent en quête de solutions alternatives, à la fois plus efficaces et moins onéreuses.
Deux techniques, deux usages
Actuellement, deux types de panneaux solaires coexistent sur le marché : les photovoltaïques et les thermiques. Les premiers permettent de produire de l’électricité tandis que les seconds utilisent l’énergie solaire pour produire de l’eau chaude, soit à vocation sanitaire, soit pour alimenter un système de chauffage. Mais dans un cas comme dans l’autre, il existe des alternatives.
Pour produire de l’électricité
Leséoliennes
Celles-ci se servent de la force du vent pour mettre un générateur en mouvement et produire de l’électricité qui sera ensuite accumulée dans des batteries ou directement injectée dans le réseau local. Pour pouvoir être efficaces et rentables, elles nécessitent cependant d’être installées sur un site régulièrement soumis à l’action du vent. Une taille minimum est aussi requise, ce qui les rend quasiment inexploitables à titre privé.
Lesgénérateurs hydroélectriques
Relativement récents (même si cette technique peut être qualifiée d’ancestrale), les générateurs hydroélectriques domestiques utilisent la force d’un courant d’eau pour produire de l’électricité. Un système qui a été miniaturisé et qui se révèle particulièrement efficace mais qui exige néanmoins de vivre à proximité d’un cours d’eau pour pouvoir fonctionner.
Pour produire de l’eau chaude
Pour se chauffer à la maison, il existe également plusieurs solutions alternatives aux panneaux solaires, à présent éprouvées et fiables :
Les poêles hydro
Le poêle hydro (également appelé poêle chaudière) est un véritable appareil de chauffage central. Il est raccordé à votre circuit de chauffage et intègre un échangeur de chaleur. L’eau de votre circuit de chauffage passe au cœur de ce dernier et se réchauffe avant de repartir dans votre circuit. Il permet ainsi d’alimenter des radiateurs à eau, un plancher chauffant, un mur chauffant ou encore un ballon d’eau sanitaire. Le poêle hydro peut être alimenté à l’aide de bois, de pellets ou des deux.
Les puits climatiques
Aussi connu sous le nom de puits romain ou encore d’échangeur air-sol, le puits climatique est un système passif de géothermie. Pratiquement, il fait circuler de l’air venant de l’extérieur dans des canalisations enterrées dans le sol à une profondeur où la température ne varie pas. Cet air sera ensuite utilisé pour chauffer un logement en hiver ou le refroidir en été. À la belle saison, les canalisations vont capter les frigories contenues dans l’air tandis qu’en hiver, ce seront les calories qui sont captées. Une inertie thermique qui va permettre au puits climatique de produire de la chaleur mais aussi du froid.
Les pompes à chaleur
Une pompe à chaleur puise jusqu’à 80 % de son énergie dans son environnement immédiat, qu’il s’agisse de l’air, du sol ou encore de l’eau. Il s’agit donc d’une énergie renouvelable et gratuite. Idéalement, elle doit être combinée avec des appareils de chauffage à basse température, comme un chauffage par le sol. On privilégiera donc ce système dans le cas d’une nouvelle construction ou d’une rénovation globale. Il existe différents systèmes de pompes à chaleur qui ont chacun leurs propres avantages et leurs prix : les systèmes aérothermiques et les systèmes géothermiques. Cette dernière technologie est plus efficace que l’aérothermie, mais son installation nécessite plus de travaux et coûte donc plus cher. Mieux vaut consulter un professionnel avant de jeter son dévolu sur l’une ou l’autre solution.
Un plafond trop haut entraîne une perte de chaleur, alors qu’un plafond trop bas génère généralement un sentiment de claustrophobie. Mais saviez-vous qu’il existe certaines règles à ce sujet?
Généralement, les constructions récentes présentent des plafonds situés à 2,5 mètres du sol, voire un peu plus. S’il n’existe pas de limite maximale, il y a toutefois certaines règles qui imposent une limite minimale.
A Bruxelles, les logements sociaux doivent présenter une hauteur libre sous plafond de 2,5 mètres, tout comme les constructions récentes. Seules les pièces dans les combles peuvent profiter d’un toit plus bas, à 2,3 mètres.
En Wallonie, les choses sont un peu plus compliquées : les maisons rénovées doivent avoir un plafond de 2,2 mètres minimum dans les espaces de vie, voire 2 mètres pour la chambre. Concernant les constructions neuves, comptez vingt centimètres de plus dans chaque cas.
En Flandre, les logements sociaux doivent respecter des règles assez strictes : séjour et cuisine à 2,5 mètres, chambres et salles d’eau à 2,4 mètres, garages et remises à 2,2 mètres.
Une vente de gré à gré : ce terme est régulièrement employé mais vous ne savez pas trop ce qu’il signifie ? On voit cela avec vous !
La vente de gré à gré est tout simplement le type de vente le plus courant en Belgique. Lorsqu’un acquéreur potentiel et un propriétaire se mettent d’accord sur la vente d’un bien à un prix entendu, on appelle cela une vente de gré à gré. Si chacun a marqué son accord, la vente est en principe définitive. Plus tard, ils signeront ensemble un compromis.
Vous n’êtes pas tout à fait sûr ou vous voulez un peu plus de temps pour y réfléchir ? Vous pouvez alors demander une option. Vous obtiendrez alors la garantie – temporaire – que votre maison ne sera pas vendue à quelqu’un d’autre.
Sans agent immobilier ni notaire ?
Il est parfaitement possible de vendre sa maison sans agent immobilier, même si nous vous conseillons de faire appel aux services de ce dernier. En effet, un agent immobilier, de par son réseau et son expérience, accélère la vente de votre maison, vous aide à en tirer le meilleur prix et vous décharge de nombreuses formalités. Toutefois, le passage par un notaire reste obligatoire.
Comment réaliser une vente de gré à gré ?
Si vous voulez vendre votre bien dans un délai raisonnable, il est important de l’afficher à un prix raisonnable. Sur Immovlan, vous trouverez un outil d’estimation en ligne qui vous donnera une première indication. Toutefois, encore une fois, rien ne remplace l’expérience d’un agent immobilier.
Quels sont les coûts d’une vente à l’amiable ?
Vous devrez payer les droits d’enregistrement, les frais de notaire et autres frais divers. Vous trouverez les coûts exacts sur www.notaire.be. A cela, il faudra éventuellement rajouter les frais engendrés par un agent immobilier, même si ce dernier permet souvent de tirer un meilleur prix de votre maison, ce qui rend souvent l’opération profitable. Dans tous les cas, prévoyez tous les frais à l’avance, afin d’éviter toute surprise.
Vous envisagez de rénover une maison ou d’acquérir un nouveau bien immobilier ? Alors sachez qu’en matière de techniques de chauffage, ce ne sont pas les innovations qui manquent !
Après le chauffage au sol, les murs chauffants !
Le mur chauffant fonctionne grâce à un réseau de tuyaux placé en son sein, relié au circuit de chauffage central qui permet de chauffer l’eau. Il peut s’agir d’une chaudière ou d’une pompe à chaleur. Il existe également un système de mur chauffant sous la forme de film chauffant infrarouge. Contrairement au premier, celui-ci fonctionne en étant relié à l’installation électrique du logement.
Le mur chauffant va diffuser la chaleur dans la pièce en deux étapes : par convection, les tuyaux réchauffés par l’eau transmettant la chaleur aux murs, mais aussi par rayonnement, les murs transmettant la chaleur dans la pièce. Les occupants de la pièce bénéficient donc d’une chaleur douce, diffusée depuis les murs. Avec ce type de chauffage, l’air ambiant n’est pas directement chauffé. Cela présente un avantage par rapport à la convection, car le rayonnement ne soulève pas de poussière et permet donc de profiter d’un air plus sain.
Ceci n’est pas un radiateur
Le modèle Curve conçu par la société Foursteel fait figure d’œuvre d’art. Il est né sous le crayon du designer Patrick Pedrosa. Un objet qui évoque plus une sculpture contemporaine qu’un radiateur, grâce à sa forme peu conventionnelle. Réalisé en acier inoxydable et flanqué d’une finition polie ou brossée, sa façade peut être noire ou blanche, mais peut aussi adopter différentes teintes RAL. Il est fabriqué en plusieurs dimensions et est disponible en version électrique (de 1.500 à 1.800 W) ou à relier à un système de chauffage central.
Pour la salle de bain : le miroir chauffant
Vous voulez réchauffer votre salle de bain de manière subtile et stylée ? Alors le miroir chauffant est fait pour vous. En effet, la combinaison du chauffage et d’un miroir est très pratique et permet un sacré gain d’espace. Concrètement, cet accessoire consiste en un petit panneau infrarouge en forme d’un miroir. Il fonctionne à l’aide d’ondes longues, ce qui veut dire que la chaleur ne réchauffe pas l’air, mais immédiatement les murs, le plafond et tous les objets contenus dans la pièce. Une manière de chauffer qui crée un sentiment de chaleur agréable et intense, que l’on peut comparer avec les rayons du soleil. Dans la salle de bain, votre miroir ne sera donc plus recouvert de condensation, la chaleur l’éliminant directement. Cet accessoire se règle généralement de deux manières : soit il est connecté à un interrupteur, soit à un thermostat. La deuxième option sera la plus économe.
Take a peek at our very modern and sleek looking bathroom sink and mirror… The mirror is heated and has lighting around it ????????
Vous avez cet avertissement en horreur ? Ça tombe bien puisque le fabricant de radiateurs danois Hudevad vient de lancer un modèle qui consiste en un banc chauffant. Baptisé Concilio, celui-ci allie les fonctions de radiateur et d’assise, convenant particulièrement bien à un hall d’entrée ou à un bureau. Le modèle est conçu pour être relié à système de chauffage central conventionnel et doit donc être alimenté en eau chaude. Ce banc chauffant est proposé en hêtre massif lamellé laqué, doublé d’un corps en métal gris. D’autres options sont possibles sur demande.
Installer une seconde toilette ne se fait pas à l’improviste. C’est une opération qui peut vite se révéler cauchemardesque, notamment au niveau de l’évacuation… Il existe toutefois une solution assez méconnue : le WC broyeur ! Quels sont ses avantages et ses inconvénients ?
L’évacuation des eaux d’une toilette requiert une canalisation spécifique, au diamètre de minimum 100 mm, soit trois fois plus qu’une canalisation classique. Cela peut vite devenir problématique si vous désirez installer une seconde toilette, mais que l’évacuation déjà existante n’est pas aussi grosse ! Pas de panique, le WC broyeur peut se contenter de canalisations au diamètre compris entre 30 et 40 mm. Reste que la chose n’est pas sans défaut…
Avantages
Le gros avantage du WC broyeur, c’est évidemment sa facilité d’installation, vu qu’une canalisation standard pour l’évacuation est suffisante. De plus, selon le type de WC que vous choisissez, il pourra être capable d’expulser les eaux usagées, même si la pente est faible. Une évacuation vers le haut est également possible, à la condition de ne pas dépasser 3 à 5 mètres, ce qui est déjà confortable.
Inconvénient
Le broyeur a évidemment besoin d’électricité pour fonctionner, ce qui implique la présence d’une prise de courant à proximité de la toilette. Son fonctionnement est également sonore et pourra vite vous dissuader de l’installer à côté d’une chambre ! Sachez d’ailleurs à ce sujet que de nombreux immeubles interdisent l’installation d’un tel type de WC, en raison des nuisances sonores. Il est toutefois possible d’atténuer le bruit au maximum : certains modèles sont plus silencieux que d’autres et si vous optez pour un modèle suspendu, il possible d’enfuir le broyeur derrière une cloison fortement isolée. Autres inconvénients : l’interdiction absolue de jeter quoique ce soit d’autre que du papier hygiénique, et un coût d’achat supérieur à celui d’une cuvette classique.