Auteur : francois

  • Focus sur le statut de syndic bénévole

    Bon nombre de petites copropriétés, dans le but de contourner les syndics professionnels et ainsi faire des économies, confient cette mission à l’un des copropriétaires qui l’assume bien souvent bénévolement. Une mission qui nécessite néanmoins un minimum de compétences. Faisons le point !

    Syndic bénévole : qui peut prétendre à ce rôle ?

    Dans la pratique, toute personne physique ou morale qui fait partie de la copropriété peut devenir le syndic bénévole. Plus précisément, lorsqu’il s’agit d’une personne physique : tout copropriétaire d’un lot au sein de la copropriété peut accéder à cette fonction de plein droit, même s’il ne possède qu’une cave ou qu’un parking dans l’immeuble. Lorsqu’il s’agit d’une personne morale : c’est alors le représentant légal qui doit assurer les fonctions de syndic bénévole. Celui-ci sera alors désigné au nom de la société et non en son nom propre.

    Les fonctions du syndic bénévole

    Il s’agit essentiellement des missions effectuées par tout syndic, qu’il soit professionnel ou non, à savoir assurer la bonne gestion de l’immeuble et veiller à sa santé financière. Comme les fonctions d’un syndic sont nombreuses et variées, mieux vaut faire en sorte que la personne désignée soit en mesure de prendre en charge une série de responsabilités telles que s’assurer du bon respect du règlement de copropriété et de la bonne exécution des décisions votées au cours des assemblées générales, effectuer une série d’obligations administratives, souscrire aux divers contrats de la copropriété, tenir sa comptabilité et, enfin, faire le nécessaire pour veiller au bon entretien de l’immeuble et gérer de potentiels sinistres. Et ce n’est là qu’un échantillon des missions du syndic bénévole !

    Un bon syndic bénévole est…

    Outre les compétences nécessaires à assurer les missions reprises ci-dessus, un bon syndic doit aussi avoir d’excellentes  aptitudes relationnelles et être à même de jouer au médiateur. Le principal étant de parvenir à instaurer, à tout moment, une communication transparente et efficace avec les autres copropriétaires et d’être à même de trouver des solutions adaptées au bon fonctionnement de la copropriété.

    Peut-on passer d’un syndic professionnel à un syndic bénévole ou l’inverse ?

    Oui, c’est possible, à condition de faire valider cette décision lors d’une assemblée générale. Il convient dans ce cas de demander au syndic en activité de mettre ce sujet à l’ordre du jour. Ce dernier devra alors être transmis par convocation au minimum 21 jours avant l’AG.

    Envie d’en apprendre plus à propos du statut de syndic bénévole ? N’hésitez pas à consulter le site de notre partenaire choisirunsyndic.be

  • Louer un bien immobilier : tout ce qu’il faut savoir !

    Si les Belges ont une brique dans le ventre, ce n’est pas sans raison : l’immobilier est un excellent investissement. Posséder son propre bien, c’est bien, mais avoir dans son portefeuille un bien à mettre en location, c’est vraiment intéressant ! Mais à quoi faut-il faire attention lorsque l’on fait ses premiers pas sur le marché de la location ?

    renting home
    Hiveboxx

    Plus de la moitié des Belges adultes sont propriétaires de leur logement, mais il est encore plus frappant de constater que 850.000 Belges possèdent un second bien. Le potentiel locatif est donc important en Belgique. Mais pour le faire en toute légalité, votre logement doit répondre à un certain nombre d’exigences et vous devez connaître les règles du jeu.

    Tout d’abord, vous devez vérifier si le bien que vous souhaitez louer répond à toutes les normes légales en matière de sécurité, de salubrité et d’habitat. Les règles varient en fonction de la région où se trouve le bien, mais elles comprennent au moins une installation électrique, une installation de chauffage conforme aux normes et un détecteur de fumée. Vérifiez les règles locales pour connaître toutes les exigences auxquelles vous devez vous conformer. En Flandre, par exemple, il existe également des normes minimales d’isolation.

    Recherche d’un locataire

    Vous pouvez vous-même mettre votre bien en location et régler toutes les questions nécessaires avec le locataire, faire appel à une agence immobilière ou passer par une agence sociale. Dans les deux derniers cas, vous serez déchargé de nombreuses tâches : certaines agences proposent d’ailleurs diverses formules, allant jusqu’à une prise en charge complète ! Evidemment, tout ceci a un coût. A vous de voir quelle est la solution la plus sage.

    Si vous cherchez vous-même un locataire, vous pouvez parfaitement passer par Immovlan. Prenez des photos claires et agréables, décrivez clairement le bien et assurez-vous d’avoir les certificats nécessaires, tels que le certificat de performance énergétique légalement requis. Sachez que depuis la crise de l’énergie, un bon PEB est un atout majeur pour les locataires potentiels. Vous êtes bien entendu libre de fixer le montant du loyer, mais il est préférable de tenir compte des prix pratiqués dans la région pour des biens similaires. Sachez qu’une fois le contrat signé, vous ne pouvez pas réviser le loyer pendant toute la durée du contrat, sauf par le biais d’une indexation. Cette dernière doit alors être incluse dans le contrat.

    Lorsque vous pensez avoir trouvé un locataire convenable, demandez des références à d’éventuels anciens propriétaires et vérifiez si le locataire potentiel a la capacité financière de payer le loyer mensuel. Pour ce faire, vous pouvez demander des preuves de revenus. Il peut s’agir d’une fiche de paie ou de relevés de compte, par exemple, mais gardez à l’esprit que vous devez respecter la vie privée du locataire et ne pas lui demander l’origine de ses revenus.

    La paperasserie et le suivi

    Si tout est en ordre, il est temps de rédiger les documents nécessaires : le bail et l’état des lieux. Sachez que les dispositions légales d’un bail sont assez strictes, y compris en termes d’échéances et de délais de préavis, et que vous ne devez donc pas rédiger un bail comme bon vous semble. En cas de doute, demandez conseil à un spécialiste. Le bail doit également être enregistré pour être valable.

    Outre le contrat, la description du logement est également une obligation légale. En effet, le locataire est censé laisser votre bien dans son état initial et la description des lieux doit éviter toute discussion. Vérifiez également auprès de votre assureur que vous êtes correctement assuré et demandez au locataire de faire de même.

    Le suivi

    Une fois la location entamée, vous devez encore assurer un suivi adéquat pendant la durée du bail. Pensez par exemple au paiement correct et ponctuel du loyer par votre locataire (et à ce que vous pouvez faire si ce n’est pas le cas), au suivi de l’entretien obligatoire des installations, aux réparations et – sujet important ces derniers temps – au moment et à la manière dont vous pouvez indexer le loyer.

    Vous pouvez bien sûr faire tout cela vous-même. Sachez qu’il existe à ce titre quelques applications fort pratique pour vous soulager, plus ou moins pratiques selon qu’elles soient payantes ou non. Vous pouvez aussi opter pour une tranquillité d’esprit totale et confier la gestion à une agence immobilière ou de gestion locative. Cette tranquillité d’esprit a bien évidemment un coût, mais elle mérite d’être vraiment considérée.

  • Voici comment bien choisir votre réfrigérateur !

    Pour conserver vos petits plats dans les meilleures conditions, mieux vaut faire le bon choix !

    Si a priori tous les réfrigérateurs se ressemblent, dans les faits, ils existent une multitude de modèles, eux-mêmes riches de nombreuses caractéristiques et technologies en tout genre. Appareils à une ou deux portes, avec ou sans congélateur intégré, vintage ou américain, il y en a pour tous les goûts !

    Économe tu seras

    Priorité absolue : éviter tout gaspillage en énergie. C’est que pour rappel, nos amis les frigos peuvent peser jusqu’à un tiers de la facture d’électricité du ménage ! Avant de craquer pour l’un ou l’autre colosse, pensez à bien vérifier l’étiquette énergie de lappareil qui précise ses performances énergétiques sur une échelle de A à G.

    Autre point important : pour éviter que votre réfrigérateur soit trop peu ou trop rempli, n’ayez pas les yeux plus grands que le ventre et pensez à opter pour un volume qui correspond à la taille du ménage. Un célibataire n’a en effet pas besoin d’un frigo américain tandis qu’un ménage comptant plusieurs enfants ne s’en sortira pas avec un frigo de table ! De manière générale, un volume inférieur à 250 l est suffisant pour une personne seule. Pour un ménage comptant deux ou trois personnes, on optera pour un volume de 250 à 350 l. Enfin, pour quatre personnes et plus, on prendra un frigo comptant au minium 350 l.

    Quel « froid » choisir ?

    Pour générer du froid, différentes technologies cohabitent. Le froid statique fut la norme pendant des décennies. Dans ces appareils, la température la moins élevée se situera juste au-dessus du bac à légumes (la chaleur ayant tendance à monter). Cela impose du coup que l’on range ses courses par type d’aliments. Les laitages, viandes et poissons en haut, les aliments cuits au milieu et les fruits et légumes en bas.

    Le froid brassé pour sa part permet de répartir l’air froid dans tous les compartiments du frigo. Le froid ventilé enfin assure lui aussi une répartition homogène de la température, tout en empêchant la formation de condensation et donc de givre.

    Pour ce qui est du congélateur, une personne seule peut opter pour un appareil muni d’un petit freezer intégré. Les versions combinées (avec le congélateur placé en haut ou en bas de l’appareil), offrent généralement un plus grand volume, surtout lorsque le compartiment congélation est placé au bas de l’appareil. Parfait pour les ménages abonnés aux produits et plats surgelés !

  • Accéder à la propriété pour la 1e fois : tout ce qu’il faut savoir

    Pour la majorité des ménages belges, acquérir un logement représente l’investissement d’une vie. C’est donc une étape qui n’est pas à prendre à la légère. Voici les éléments à tenir à l’œil pour un achat en toute sérénité.

    On entend souvent et à raison qu’acheter sa maison représente l’investissement de toute une vie. Pour le primo-acquéreur, il s’agit là d’une étape capitale suite à laquelle il va pouvoir s’installer et fonder une famille. Un choix qui doit s’effectuer en toute connaissance de cause et pour lequel il ne faut pas avoir peur d’en faire trop ! Car si trouver la maison de ses rêves est déjà une réussite en soi, les étapes qui suivront exigent tout autant d’attention afin d’éviter une déconvenue.

    Les étapes incontournables

    Dans ce processus, on distingue quatre grandes étapes. La première consiste à calculer sa capacité d’emprunt. En passant votre dossier en revue, l’organisme prêteur (généralement une banque) va déterminer votre capacité de remboursement. C’est à cette occasion que votre “santé financière” (principalement liée à la “qualité” de votre emploi) prend toute son importance. En règle générale, l’acquéreur devra consacrer environ un tiers de ses revenus au remboursement de son emprunt. C’est cette capacité de remboursement qui assurera une certaine marge de manœuvre à votre banquier dans la négociation de votre crédit auprès de l’organisme prêteur.

    Il convient ensuite d’analyser les prix de l’immobilier. Les prix appliqués évoluent chaque année et diffèrent selon les trois régions du pays. Connaître ces prix peut non seulement vous aider à choisir une localisation adaptée à vos moyens financiers mais aussi à mieux négocier le prix d’achat du bien souhaité.

    Ensuite, il faut prendre tous les frais annexes en compte. Ceux-ci ne sont pas à sous-estimer. Avant de vous lancer, il est indispensable de calculer le montant de ces différents frais. Parmi ceux-ci, il y a les droits d’enregistrement, la TVA ainsi que les frais de notaire (ses honoraires, les frais administratifs et ceux liés à la transcription hypothécaire). Notez qu’en fonction de la région dans laquelle vous investissez, il existe différents avantages fiscaux pour les primo-acquéreurs.

    Et justement, ces aides comme le prêt hypothécaire pour jeunes doivent être mises à profit ! Sous certaines conditions et si vous êtes primo-acquéreur, vous pouvez bénéficier de taux plus avantageux et d’avantages comme l’abattement fiscal. À titre d’exemple, en région bruxelloise, l’acheteur a, sous certaines conditions, droit à une réduction de la base imposable du droit d’enregistrement. En d’autres termes, il s’agit d’une diminution du montant des droits d’enregistrement qui sont dus par l’acheteur. Renseignez-vous auprès de votre région ou auprès du guichet logement de votre commune pour en savoir plus.

    Ce sujet vous intéresse ? Vous désirez connaître le montant que vous pouvez emprunter ? N’hésitez pas à consulter le site de notre partenaire MesFinances.be

  • Créer de l’ombre sur votre terrasse : voici les diverses possibilités

    Avec le retour prochain des beaux jours, il est temps de penser aux espaces extérieur ! A ce sujet, en souvenir des derniers étés caniculaires et probablement en prévision des prochains, il peut être utile de créer un peu d’ombre sur votre terrasse. Comment ? Voici les diverses solutions qui s’offrent à vous.

    awnings terrace

    Les stores

    Les stores et les auvents sont de plus en plus populaires et les possibilités en la matière sont énormes. Il existe des stores avec un support solide et des bras articulés, des stores élégants et même des modèles avec des lumières intégrées. De nombreux modèles actuels présentent également des tissus résistants au feu et peuvent être commandés automatiquement (via des capteurs ou depuis un smartphone). En constante évolution, ces modèles constituent donc une alternative à part entière à une pergola fixe.

    Cachée ou non ?

    En ce qui concerne les modèles rétractables, sachez qu’ils peuvent presque « disparaître » dans votre façade. Évidemment, cela n’est pas possible avec un modèle fixe.

    Un abri de terrasse pour tout le monde

    Si votre budget est limité, les toiles d’ombrage peuvent être une solution. Celles-ci sont disponibles en divers niveaux de finition. Evitez tout de même les modèles d’entrée de gamme qui peuvent rapidement se décolorer.

     

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    Dans une gamme nettement supérieure, on trouve des pergolas avec des lamelles (souvent en aluminium) à inclinaison variable, qui laissent entrer plus ou moins de lumière du soleil. Si vous voulez encore plus de confort, vous pouvez également automatiser ce système afin qu’elles puissent réagir à la pluie, au vent ou même à la position du soleil. Les évolutions en la matière sont constantes !

    Pour profiter de votre terrasse sur toute l’année, vous pouvez la compléter avec une arrivée de courant, un éclairage LED intégré, ainsi qu’avec quelques accessoires comme des haut-parleurs et un chauffage.

    Attachée à la maison ou non ?

    Dans la majorité des cas, ce coin d’ombre est attaché à la maison. Mais sachez que c’est loin d’être une obligation. Créer une pergola à distance permet même de créer un coin « cocoon » dans une zone du jardin, ce qui donne un cachet supplémentaire à votre jardin.

     

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  • Voici comment démonter son radiateur en 5 étapes

    Parfois, il peut être nécessaire de démonter un radiateur pour effectuer des travaux de rénovation, des réparations, les remplacer ou simplement pour nettoyer derrière. Dans cet article, nous allons vous expliquer comment démonter votre radiateur en 5 étapes simples.

    old radiator
    Julian Hochgesang

    1.    Eteindre votre chauffage

    Cela semble tomber sous le sens, mais mieux vaut y penser ! Avant toute chose, éteignez votre chaudière et attendez que toute l’installation refroidisse.

    2.    Fermez les valves d’alimentation en eau

    Avant de démonter le radiateur, assurez-vous que les valves d’alimentation en eau soient bien fermées. Vous trouverez ces dernières près du radiateur ou dans la cave de votre maison.

    3.    Évacuez l’eau restante

    Même si les valves d’alimentation en eau sont fermées, les radiateurs sont encore plein d’eau. Vous devez évacuer l’eau restante avant de pouvoir retirer le radiateur. Pour ce faire, démontez le bouchon du robinet de sortie, serrez le té d’évacuation et desserrez l’écrou d’alimentation. Attention, au moment où vous dégagerez le raccord avec la vanne d’arrivée d’eau, l’eau va s’écouler. Prenez une bassine pour la récolter. Enfin, retirez le bouchon de vidange situé en bas du radiateur et purgez le radiateur pour évacuer la pression.

    4.    Retirez les fixations

    Le radiateur est fixé au mur avec des supports. Vous devez retirer les fixations en utilisant une clé appropriée. Assurez-vous de ne pas perdre les vis et les boulons en les rangeant dans un endroit sûr.

    5.    Retirez le radiateur

    Maintenant que toutes les étapes précédentes ont été effectuées, vous pouvez retirer le radiateur en douceur. Si le radiateur est lourd (modèles en fonte !), demandez l’aide d’une autre personne pour vous aider à le retirer en toute sécurité.

  • Réseau GSM : dans quelle pièce vaut-il mieux téléphoner ?

    Beaucoup l’ignorent mais avec son smartphone, il est tout à fait possible de mesurer le signal GSM émis par son opérateur. De quoi notamment vérifier dans quelle pièce de la maison il vaut mieux passer ses coups de fil pour éviter toute coupure.

    Bruce Mars

    Techniquement, lorsque votre smartphone doit se connecter au réseau propre à votre opérateur, il cherche l’antenne-relais la plus proche. Ensuite, il s’y connecte tout en analysant le signal émis par l’antenne afin d’ajuster la puissance d’émission que le smartphone doit générer pour l’atteindre. Dans ce cas de figure, le smartphone fait alors office de mesureur de champs. Des données qui permettent à tout utilisateur de connaître la “force” du signal reçu à différents endroits de la maison, et ce de la cave au grenier.

    Notez que la mesure du signal GSM est toujours indiquée par une valeur négative. Il faut comprendre par là que plus on se rapproche de zéro, plus la qualité du signal est bonne. Un signal mesuré à -35 dBm (décibel par milliwatt) est donc meilleur qu’un à -98 dBm.

    Sur Android

    Pour connaître cette valeur sur les téléphones équipés d’Android, il faut se rendre dans les paramètres de l’appareil. Cliquez en bas du menu déroulant sur A propos du téléphone, puis sur Etat et Réseau. La ligne intitulée Force du signal vous donne alors une valeur négative exprimée en dBm.

    Selon la version du logiciel Android dont vous disposez, vous pouvez également composer cette séquence sur le clavier *#*#4636#*#* puis appuyer sur Appeler. Vous obtiendrez de cette façon la même information exprimée en dBm.

    Sur iOS

    Sur les iPhone les plus récents (à partir de 7 jusqu’à 13), ou tout modèle équipé d’iOs 10.3 ou supérieur, il faut procéder différemment pour connaître la qualité du signal. Pour ce faire, il faut composer le *3001#12345#* puis appuyer sur la touche d’appel. Votre smartphone va alors changer d’écran et vous montrer différentes informations sous l’intitulé Dashboard. Sélectionnez le sous menu LTE puis Service Measuring Cell. Une page bourrée d’informations apparaît alors mais, sous l’intitulé LTE rsrp, vous obtiendrez la valeur recherchée.

    Qu’en déduire ?

    Maintenant que vous connaissez la valeur faisant état de la qualité du signal reçu, déplacez-vous dans votre maison ou votre appartement afin de savoir où le signal est le plus fort. Vous verrez qu’il faut prendre son temps, votre smartphone exigeant à chaque fois quelques secondes pour calculer la force du signal. Au bout de quelques minutes, vous aurez identifié la pièce de la maison, voire la fenêtre, où le signal est optimal. Privilégiez cet endroit pour passer vos coups de fil, surtout si vous habitez la campagne et que l’antenne-relais se situe à plusieurs centaines de mètres. Vous aurez ainsi moins de chance d’être coupé ou d’être mal entendu.

  • Ce matériau fait son grand retour dans la cuisine !

    Depuis quelques années, l’émail fait son comeback dans nos cuisines. Solide, hygiénique et intemporel, ce matériau se décline en ustensiles mais peut aussi faire office de plan de travail.

    L’émail est une substance résultant de la fusion de constituants non-organiques destinés à former un produit vitrifié fondu qui est coulé sur un support métallique comme de l’acier. L’émail est donc une surface vitrée issue d’un mélange de minéraux fondus à environ 1.200 degrés. Pour une application alimentaire, l’émail sera dénué de plomb tandis que sa composition lui permettra de résister aux acides alimentaires comme le vinaigre, le jus de citron ou encore la tomate.

    De nombreuses qualités

    Suivant sa composition, l’émail est à même de résister à la corrosion, aux agressions chimiques, aux détergents, aux solvants ou encore aux acides comme évoqué ci-dessus. En outre, l’acier émaillé défie le temps tandis que les ultra-violets provenant notamment du soleil n’atténuent en rien son brillant et la stabilité de ses couleurs.

    C’est pour cette raison que l’émail, dès le XIXe siècle, a été plébiscité en cuisine, notamment pour recouvrir les cuisinières à bois et certains modèles de réchauds. L’émail a aussi pris la forme d’ustensiles. Léger, incassable, résistant à de très fortes températures et se nettoyant facilement, il a été un matériau incontournable tout au long d’une bonne partie du XXe siècle. En outre, on peut l’utiliser aussi bien au four que sur les plaques de cuisson au gaz ou à induction et le mettre ensuite au lave-vaisselle. Rien de plus pratique !

    Des inconvénients ?

    Si la vaisselle et les supports émaillés ne se cassent pas, en revanche ils sont très sensibles aux chocs et aux rayures. Car on le sait, le verre, ça casse. Et même posé sur une plaque métallique, celui-ci demeure néanmoins assez fragile. En cas de choc, la couche de verre peut s’ébrécher, mettant l’acier sous-jacent à nu. Il est alors déconseillé de l’utiliser pour un usage alimentaire, car non seulement l’acier peut rouiller mais il peut aussi contenir des substances toxiques comme du plomb et du cadmium.

    Comment l’entretenir ?

    Qu’il s’agisse d’ustensiles de cuisine ou d’un plan de travail émaillé, évitez de les nettoyer avec une éponge abrasive qui risquerait de détériorer la couche d’émail. En outre, pour s’assurer de la bonne tenue du matériau dans le temps, choisissez des marques de bonne qualité, idéalement européennes. Pour ce qui est du plan de travail, faites-le réaliser par des professionnels de l’émaillage.

  • Installer une porte de comble : que faut-il savoir ?

    Une porte de comble, de quoi s’agit-il et à quoi ça sert ? Suivez-nous, on vous explique tout !

    Qu’est-ce qu’une porte de comble ?

    Une porte de comble est une paroi droite, placée entre le plancher du grenier et le pied de la toiture en pente. Elle permet d’accéder à un espace fermé, qui peut être utilisé comme zone de stockage. Cela vous évite d’acheter des armoires qui ne sont pas adaptées à l’espace ou d’encombrer visuellement vos combles avec vos affaires.

    Un large éventail de portes disponibles

    Sur le net et dans les magasins de bricolage, vous trouverez un grand nombre de portes de comble. Il existe un certain nombre de marques spécifiques proposant des modèles de qualité. En outre, ces portes peuvent apporter une isolation supplémentaire. Bon à savoir, ce type de porte est livré de série avec un cadre. La plupart de ces portes sont en pin, disponibles en différentes tailles, tout en se révélant assez faciles à installer. Si vous êtes bricoleur, son installation ne devrait pas poser de problème.

    Quel intérêt ?

    Ces portes vous permettent d’accéder à un espace de rangement supplémentaire en un rien de temps. Bien entendu, vous y stockerez principalement de petits objets, rarement employés. Enfin, sachez que ces portes sont disponibles en divers niveaux d’isolation et certains modèles sont même résistants au feu, bien qu’ils soient un peu plus chers.

     

  • Rédiger une offre d’achat ne s’improvise pas !

    Vous avez trouvé l’habitation de vos rêves et vous souhaitez vous engager vis-à-vis du vendeur ? Il convient alors de lui remettre une offre d’achat. Voici nos conseils pour la rédiger en bonne et due forme.

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    Cytonn Photography

    Lorsqu’on a trouvé le bien immobilier idéal et que l’on souhaite l’acquérir, la première formalité à effectuer consiste à remettre une offre d’achat au vendeur. On lui manifeste ainsi son intérêt pour le bien qu’il met en vente tout en lui proposant un prix d’achat qui peut être inférieur, égal ou encore supérieur au prix affiché.

    À propos du montant que vous vous apprêtez à lui proposer, il est impératif de bien réfléchir avant de rendre votre offre. En effet, vous serez lié au montant que vous comptez proposer. L’offre que vous allez faire est qualifiée d’engageante, ce qui veut dire que si le vendeur accepte votre offre, la vente sera conclue et vous serez tenu d’en respecter les termes, en ce compris le prix que vous avez proposé. À ce stade, sachez aussi que le vendeur peut aussi décider de ne pas accepter votre offre et, dans la foulée, de vous faire une contre-proposition. Votre première offre prend alors fin, le vendeur en attendant une seconde de votre part.

    L’importance d’une deadline

    On ne peut que vous recommander de limiter votre offre d’achat dans le temps. Sans cela, le vendeur peut décider de vous faire lanterner indéfiniment et ainsi vous empêcher de vous lancer dans une éventuelle autre prospection puisque lié par votre offre. De manière générale, on prévoit un délai allant de 24 heures à 2 jours endéans lequel le vendeur est prié de vous apporter une réponse par écrit, acceptant ou, le cas échéant, refusant votre offre.

    La rédaction de votre offre d’achat

    S’il existe des modèles d’offres d’achat, le document que vous vous apprêtez à rédiger doit, dans tous les cas, reprendre les éléments suivants, tout en sachant qu’il peut être rédigé manuscritement ou par e-mail par exemple :

    • le nom de l’acheteur,
    • l’adresse du bien que vous convoitez,
    • votre proposition de prix,
    • la durée de validité de votre offre,
    • d’éventuelles remarques et/ou conditions suspensives,
    • votre signature et la date à laquelle vous rédigez le document.

    Enfin, gardez bien à l’esprit que votre offre vous engage ! Si vous rédigez celle-ci sans aucune réserve, vous n’aurez plus la possibilité de faire machine arrière. On ne peut donc que vous recommander d’y inclure des conditions suspensives à l’image d’un octroi de crédit par un organisme financier. Cela vous permettra de ne pas poursuivre la procédure d’achat au cas où le crédit ne vous est pas accordé.

    N’hésitez pas à consulter le site de Monsieur Credit pour en savoir plus sur cette thématique.