Auteur : francois

  • L’agent immobilier : un passage fortement conseillé !

    Si, dans notre pays, la présence d’un notaire est obligatoire pour la vente d’un logement, vous n’avez pas forcément besoin de prendre un agent immobilier sous votre aile. Pourtant, il existe plusieurs raisons pratiques et financières d’opter pour l’assistance d’un professionnel lors d’une vente. On vous dit tout !

    real estate agent

    Vous avez décidé de vendre votre logement ? Dans ce cas, vous vous demanderez sans doute s’il faut en confier la vente à un agent immobilier… Sachez qu’en Belgique, d’un point de vue légal, rien ne vous y oblige. Vous pouvez parfaitement vous charger vous-même des tâches administratives, de la mise en ligne sur Immovlan, des visites, du compromis… Vous économisez ainsi le coût d’un agent immobilier professionnel… mais est-ce vraiment la bonne décision ?

    Un meilleur prix

    La première chose à savoir est qu’un agent immobilier permettra un positionnement correct sur le marché. En effet, un bon agent immobilier connaît la région, sait ce qui est encore à vendre, pour combien de temps et à quel prix, et connaît également le public d’acheteurs de la région. Il est donc en mesure de fixer le bon prix. Si vous le faites vous-même, vous risquez de vendre le bien à un prix trop bas ou, si vous fixez un prix trop élevé, de laisser le bien trop longtemps sur le marché…

    Un bon rapport qualité-prix

    Le tarif courant des agents immobiliers est de 3 % sur le prix de vente final, auquel s’ajoute une TVA de 21 %. Pour une vente de 100 000 euros, comptez donc un budget d’environ 3 600 euros pour l’agent immobilier. Dans certains cas, ce prix englobe certains certificats et la publicité qui sera faite autour de votre bien. Cela peut sembler beaucoup dans l’absolu, mais comme nous l’avons ci-dessus, un bon agent immobilier peut vous permettre de vendre au meilleur prix. En outre, sachez que l’agent immobilier vous évitera bien des tracasseries et vous permettra de gagner beaucoup de temps ! En effet, la vente d’une maison implique de nombreuses choses : un éventuel réaménagement de la maison pour la rendre plus facilement « vendable », des photos de qualité, la publication de l’annonce, l’organisation des visites et le suivi de ces dernières…

    En outre, la vente d’un bien immobilier implique aujourd’hui de nombreuses démarches administratives, comme une longue série de certificats. Certains sont demandés par l’intermédiaire du notaire, mais il y en a aussi que vous devez fournir vous-même. Le certificat PEB et la conformité de l’installation électrique, par exemple, mais aussi, depuis peu en Flandre, le certificat d’amiante, qui contient un inventaire des endroits où se trouvent des fibres nocives dans votre maison. Un bon agent immobilier sait parfaitement de quels certificats vous avez besoin et dispose d’un réseau de fournisseurs sur lequel il peut compter pour obtenir un rendez-vous rapidement si nécessaire. Il peut même s’en charger pour vous.

    Le bon agent immobilier

    En ce qui concerne la communication avec l’acheteur potentiel, l’agent immobilier est l’intermédiaire idéal. Contrairement au propriétaire, il n’a pas d’attachement émotionnel au bien, ce qui lui permet d’être plus neutre et aussi moins partial, et donc d’inspirer plus de confiance aux acheteurs.

    Comment choisir son agent immobilier ?

    Le choix de l’agent immobilier est évidemment d’une grande importance. En tant que propriétaire, vous devez avoir un bon feeling avec lui et avoir confiance en son approche.

    Le choix d’un agent immobilier reconnu par l’ »Institut professionnel des agents immobiliers » va de soi, mais il existe bien sûr des différences entre eux. Rencontrez donc plusieurs agents immobiliers et optez pour celui avec lequel vous avez le déclic. Essayez également de savoir comment s’est déroulée la collaboration avec les clients précédents : quelles ont été leurs expériences, ce qu’ils ont payé et quels efforts l’agent immobilier a fait pour eux… Une fois que vous avez posé votre choix, discutez avec l’agent immobilier du prix, de ce que vous pouvez attendre de lui et de l’approche qu’il adoptera. Vous n’êtes pas d’accord sur un point ? Faites-le lui savoir. En effet, ici aussi, le client est roi, même si vous devez bien sûr faire confiance à l’expertise du professionnel que vous avez choisi. Dans tous les cas, veillez à ce que tout soit sur papier et, comme toujours, sachez ce que vous signez.

  • Couleur de façade : que dit la loi ?

    Avec le retour des beaux jours, une envie de renouveau vous envahit et vous envisagez de repeindre la façade de votre maison. Mais, en la matière, toutes les couleurs sont-elles autorisées ? On fait le point !

    Comme de coutume en Belgique, les règles varient d’une région à l’autre du pays. À Bruxelles et en Flandre, si la façade est visible depuis l’espace public, un permis est nécessaire lorsque vous envisagez de repeindre votre façade. En effet, au nord du pays et dans la capitale, tous les travaux qui modifient l’aspect d’une façade visible depuis l’espace public, en ce compris sa couleur, doivent obligatoirement faire l’objet d’une demande de permis d’urbanisme. Par conséquent, si vous souhaitez repeindre votre façade dans une nouvelle couleur, un permis doit être demandé auprès de l’autorité communale.

    Notez néanmoins que si vous repeignez la façade en utilisant la couleur d’origine, c’est en revanche considéré comme un entretien. Vous êtes alors dispensé de demande de permis. Autre exception : si la façade n’est pas visible depuis l’espace public (dans le cas par exemple d’une arrière-maison), vous ne devez pas non plus solliciter de permis, même si vous envisagez de changer sa couleur.

    Et en Wallonie ?

    En Wallonie, si vous voulez peindre ou repeindre votre façade, deux options s’offrent à vous. Si vous peignez la façade dans la même couleur, dans le but de lui donner un coup de frais, vous n’avez pas besoin d’introduire un permis d’urbanisme. Par contre, si vous souhaitez modifier la couleur de la façade, il faut introduire une demande de permis. Mais attention, souvent les communes, voire certains lotissements, possèdent aussi leur propre réglementation urbanistique. Mieux vaut donc consulter votre autorité communale avant d’entamer les travaux !

  • Tentes solaires : avantages et inconvénients

    Celles et ceux qui ont la chance d’avoir une terrasse et un jardin le savent : les tentes solaires possèdent énormément d’avantages. Mais quid des inconvénients ?

    Qu’on l’appelle tente solaire, store banne ou encore banne solaire, cette protection extérieure se fixe à la façade de l’habitation et permet de protéger une terrasse ou un coin du jardin des rayons du soleil. Généralement composée de polyester ou d’une toile synthétique, la tente solaire a été conçue pour protéger efficacement contre les rayons UV et, dans une moindre mesure, contre la pluie. Un accessoire qui associe donc confort et esthétisme.

    Au rayon des avantages ?

    On peut notamment citer la grande variété des modèles, des teintes et des matériaux. Les possibilités de personnalisation sont donc multiples. En outre, il s’agit le plus souvent d’un investissement raisonnable surtout lorsqu’on le compare à la construction d’une pergola en dur ou d’une tonnelle autoportante.

    Si l’acrylique et le polyester sont la norme, il est aussi possible d’opter pour une toile micro-aérée, à la fois solide et imperméable, et généralement enduite d’une couche anti-moisissures et hydrophobe.

    De plus, les tentes solaires suivent les évolutions technologiques et peuvent désormais se conjuguer à toute une série d’équipements optionnels comme une motorisation ou des capteurs solaires qui vont déclencher automatiquement l’ouverture et la fermeture de la toile en fonction de la météo voire de la température ! Il existe également des capteurs de vent et de pluie qui permettent de rétracter la toile lorsque le temps se gâte et devient dangereux pour celle-ci, ce qui représente une sécurité et une protection supplémentaires.

    Enfin, il est possible d’automatiser l’ouverture et la fermeture de votre tente solaire afin de ne pas devoir l’actionner à la main et ainsi prolonger la durée de vie de celle-ci. Les à-coups inhérents aux tours de manivelle peuvent en effet l’endommager sur le long terme. Pour ce faire, vous pouvez équiper la tente d’une commande filaire, d’une commande radio ou encore d’une commande connectée, reliée à votre système domotique, qui vous permettra de contrôler votre tente solaire depuis votre smartphone ou votre tablette.

    Des désavantages ?

    Amovible, une tente solaire peut se révéler relativement fragile. Il convient donc de ne pas l’exposer, ouverte, à des vents forts, aux feuilles mortes ainsi qu’à la neige et au gel. Pour la préserver, veillez dès lors à éviter de la laisser dépliée durant votre absence ainsi que lorsque la météo annonce de violentes bourrasques. De même, une tente solaire est avant tout destinée à vous protéger du soleil, moins de la pluie.

    S’il peut arriver occasionnellement que vous vous serviez d’elle pour vous protéger d’une averse, sachez qu’elle n’est pas conçue pour résister à l’humidité sur le long terme. Veillez donc toujours à la replier lorsqu’elle est parfaitement sèche. Vous éviterez ainsi le développement de dépôts colorés voire de moisissures.

    Enfin, lorsqu’elle est ouverte, assurez-vous que la toile soit toujours bien tendue afin d’éviter les frottements et de conserver le tissu en bon état, en réduisant les risques de froissement ou de déchirure.

  • Le nom sur la boîte aux lettres, une obligation ?

    Vous venez d’emménager dans un nouveau logement et vous vous demandez, à juste titre, s’il faut impérativement apposer votre nom sur la boîte aux lettres. Voici la réponse !

    boite aux lettres
    Pawel Czerwinski

    Avant toute chose, il faut savoir que cette matière est régie par un Arrêté ministériel portant réglementation des boîtes aux lettres particulières, publié au Moniteur belge le 1er juin 2007. On peut résumer celui-ci en six points :

    1.   Emplacement

    Votre boîte aux lettres doit se trouver à la limite de la voirie. En outre, si votre numéro de maison compte au moins quatre boîtes aux lettres (dont les numéros ont officiellement été attribués par l’autorité communale), ces boîtes peuvent être placées soit sur la porte d’entrée, soit au rez-de-chaussée à un endroit facilement accessible et bien éclairé.

    2.   Accès

    L’accès à la boîte aux lettres doit toujours être libre et sans danger.

    3.   Dimensions

    Votre boîte doit présenter une ouverture d‘au moins 23 cm de large et 3 cm de hauteur.

    4.   Hauteur

    L’ouverture de votre boîte doit se situer à une hauteur de 70 à 170 cm.

    5.   Le numéro de maison

    Votre numéro de maison doit être visible depuis l’endroit où se trouve la boîte aux lettres. S’il n’est pas visible de cet endroit, votre boîte doit aussi afficher votre numéro de maison.

    6.   Le numéro de boîte

    Si un numéro de maison comprend plus d’une boîte aux lettres, chaque boîte doit être identifiée par son numéro de boîte. Le numéro de boîte est le numéro attribué par votre commune. Le numéro de boîte doit être mentionné de manière lisible et visible sur ou à proximité de la boîte aux lettres correspondante. Le numéro de boîte fait partie de l’adresse légale, tout comme un nom de rue ou un numéro de maison.

    Quid du nom sur la boîte ?

    Indiquer le nom de tous les habitants sur la boîte aux lettres est une précaution non obligatoire mais vivement conseillée. Pourquoi ? Tout simplement afin de faciliter la tâche aux services postaux. Sans nom sur votre boîte aux lettres, il est probable que le facteur reparte avec le courrier qui vous est adressé, celui-ci ne sachant pas si la boîte est bel et bien la vôtre… Vous avez donc tout intérêt à “nommer” celle-ci si vous souhaitez recevoir les lettres et colis qui vous sont destinés !

  • Films solaires pour fenêtres : le bon plan en cas de canicule ?

    Avec les épisodes caniculaires qui se multiplient, de plus en plus de Belges équipent leurs fenêtres de films solaires dans le but de faire baisser la température de quelques degrés au sein de leur logement. Mais ceux-ci sont-ils vraiment efficaces ?

    Sun window
    Olexandr Ignatov

    Qu’on les dénomme films solaires ou films anti-chaleur, ceux qui viennent trouver leur place sur le vitrage de la maison permettent de limiter la transmission des rayons ultra-violets mais également l’éblouissement, la chaleur voire, pour certains, les regards indiscrets. Une solution peu onéreuse qui permet de “gagner” quelques degrés en limitant l’exposition de la pièce à la lumière du soleil.

    Techniquement, ces films sont pourvus d’une couche composée de microparticules de métaux ou de nano-céramiques qui va faire office de bouclier thermique face aux rayons solaires. Le film va donc contribuer à limiter l’entrée de la chaleur dans la pièce sans pour autant affecter la transparence du vitrage. En outre, la majorité d’entre eux rejettent aussi jusqu’à 99 % des ultraviolets. Autant de propriétés particulièrement utiles en cas d’épisode caniculaire qui vont donc contribuer à améliorer votre confort au quotidien.

    D’autres avantages

    • De par sa composition et ses propriétés, les films solaires vont aussi contribuer à protéger vos murs et meubles contre la décoloration, l’entrée des UV étant efficacement canalisée.
    • Si vous êtes équipé d’un système de climatisation, ils vont aussi vous permettre de réduire votre consommation d’électricité puisqu’ils contribuent à limiter l’échauffement de l’intérieur de la maison, même au plus fort de l’été. L’apport calorifique étant diminué, vous réduirez l’appétit de votre climatisation.
    • Ces films luttent aussi contre l’éblouissement : la luminosité est diminuée et votre pièce sera protégée contre tout excès de lumière, en plus de l’être de la chaleur. Le film anti-chaleur améliore ainsi la visibilité sur les écrans.
    • De plus, ils renforcent légèrement l’isolation de vos châssis.
    • Enfin, ils protègent des regards extérieurs en occultant le vis-à-vis avec vos voisins. Grâce à leur composition réfléchissante, vous pourrez donc voir à l’extérieur (la transparence du vitrage étant maintenue) sans pour autant être vu !

    Des inconvénients ?

    Même si le bilan est largement positif, ces films imposent toutefois quelques légères contraintes.

    • Ils donnent ainsi une légère teinte à vos fenêtres, souvent dans des tons bleus.
    • En outre, l’application de ces films est un exercice techniquement compliqué qui requiert l’aide de professionnels, ce qui est souvent inclus dans le prix.
    • Enfin, si vous avez une grande baie donnant vers le sud, sachez qu’en hiver, le soleil ne réchauffera plus vraiment votre maison, ce qui impose de chauffer davantage
  • Comment choisir du bois issu d’une gestion durable ? Voici nos astuces !

    Dans le cadre d’un projet de rénovation ou de construction, vous cherchez à acheter du bois issu d’une gestion de la forêt durable et qui ne provient pas d’une exploitation qui contribue à la déforestation ? Voici comment s’y retrouver parmi les labels qui coexistent.

    Jakarta Parquet

    Il convient tout d’abord de se demander ce qu’est la “gestion durable” d’une forêt. En la matière, les autorités européennes ont défini le concept de gestion forestière durable lors d’une conférence qui a eu lieu en 1993 à Helsinki. À l’époque, il a été décrit comme “la gestion et l’utilisation des terrains boisés d’une manière et d’une intensité telles qu’elles maintiennent leur diversité biologique, leur productivité, leur capacité de régénération, leur vitalité et leur capacité à satisfaire, actuellement et pour le futur, les fonctions écologiques, économiques, sociales pertinentes, au niveau local, national et international, et qu’elles ne causent pas préjudice à d’autres écosystèmes.”

    Comment ces principes s’appliquent-ils aux gestionnaires de bois ?

    Les démarches de certification définissent des critères de gestion adaptés au contexte géographique, socioculturel et économique. Pour acheter du bois qui ne participe pas à la déforestation, on peut actuellement se fier à deux labels : FSC (pour Forest Stewardship Council) et PEFC (pour Programme for the Endorsment of Forest Certification Schemes). À l’échelle mondiale, ces deux principaux labels soumettent la gestion forestière à des exigences de gestion durable.

    Qu’il s’agisse d’une terrasse en bois, d’un plancher, de châssis, de meubles mais aussi de papier, de charbon pour barbecue, ou encore de carton, mieux vaut donc privilégier les produits labellisés FSC ou PEFC. Notez néanmoins que ces deux labels ne garantissent que les conditions de gestion forestière, et non pas la qualité intrinsèque du matériau, ni les processus de transformation et de fabrication des produits finis.

    Les difficultés liées à la labellisation

    Première difficulté : la traçabilité. Il s’agit ici de suivre le bois depuis son exploitation dans la forêt jusqu’au stade du produit fini mis en vente. Pour ce faire, les entreprises disposent de deux méthodes : soit elles séparent physiquement les bois selon qu’ils proviennent de forêts certifiées ou non, soit elles appliquent un système de parité qui consiste à ce que les flux sortants de bois certifiés soient équivalents aux flux entrants.

    Ce principe est acceptable puisque la qualité intrinsèque du bois n’entre pas en ligne de compte. Il est utilisé tant par le système FSC que par le PEFC. Mais la traçabilité parfaite ne sera acquise que lorsque les lots de bois certifiés auront atteint une masse critique qui justifiera des chaînes de production spécifiques.

    Second écueil : le contrôle. Les pratiques de gestion forestière doivent en effet faire l’objet d’un contrôle externe, renouvelé régulièrement. Ce contrôle peut coûter cher et est parfois difficile à exercer. Les propriétaires forestiers certifiés par les deux labels font l’objet de ces contrôles externes réguliers.

    Que choisir ?

    De plus en plus de produits certifiés sont offerts par les enseignes de bricolage, les magasins d’ameublement, les négociants, les importateurs et les distributeurs de produits en bois. Pour vous aider à trouver une entreprise certifiée à proximité de chez vous, PEFC comme FSC vous offrent un service de recherche d’entreprises certifiées : http://www.jecherchedupefc.be/ pour les entreprises PEFC et www.jecherchedufsc.be pour les entreprises certifiées FSC. Vous y trouverez des listes d’importateurs de bois, de revendeurs et fabricants de mobilier ou de tout autre produit en bois ou issu du bois, dont le papier, certifiés par ces deux organismes.

  • Vendre ou garder votre bien immobilier? Immovlan et Price Hubble ont la réponse!

    Immobilier : vendre ou garder? Immovlan, avec la technologie Price Hubble, vous propose un outil d’évaluation innovant et efficace pour vous aider.

    Est-il temps de vendre votre maison?

    Il n’est jamais facile de savoir si le moment est idéal pour vendre sa maison. Cette question mérite d’être posée, même deux fois plutôt qu’une. Néanmoins, la véritable question ne se limite pas à choisir entre vendre ou garder. Le secret réside dans une vue globale du projet immobilier.

    Vendre, Louer ou Rénover ?

    L’immobilier offre une multitude de choix et de décisions à prendre. Vendre ou louer ? Vendre en l’état ou rénover ? Vendre vite ou vendre bien (idéalement les deux !) ? De plus, qu’allez-vous faire du produit de la vente ? Les placements sûrs ne rapportent plus grand-chose, et les taux d’intérêt sur les emprunts sont en hausse depuis un an.

    Connaissez la Valeur de Votre Bien

    La première chose à faire avant de se lancer tête baissée dans une éventuelle opération, c’est de connaître la valeur de votre bien. Et pour ça, Immovlan offre une solution magique : l’outil d’évaluation en ligne, basé sur la technologie Price Hubble. Vous pouvez accéder à cet outil en vous rendant sur https://immovlan.be/fr/estimer.

    Comment fonctionne l’outil d’évaluation d’Immovlan?

    L’outil d’évaluation utilise l’algorithme de Price Hubble pour établir une fourchette de valeurs basée sur quelques informations clés. Cependant, il est fortement recommandé de faire valider cette évaluation par un agent immobilier local. L’outil est fiable, mais contrairement à l’agent immobilier, l’algorithme ne visite pas votre maison !

    Un Outil Reconnu sur le Marché

    Depuis son lancement, l’outil d’évaluation d’Immovlan a délivré près de 11.000 rapports d’estimation. C’est rapide, facile, et entièrement gratuit. Les retours positifs sont constants, et il est régulièrement reconnu comme l’un des meilleurs outils sur le marché.

    Je veux savoir combien vaut ma maison !

  • Quand peut-on tailler sa haie ? Que dit la loi ?

    Beaucoup l’ignorent mais on ne peut désormais plus tailler sa haie quand on le souhaite. En effet, afin de notamment laisser les oiseaux nicher, la taille des haies est désormais réglementée.

    bush
    Michal Pokorny

    Qu’on se le dise : certains travaux d’entretien du jardin peuvent contribuer à mettre la faune et la flore en danger. C’est notamment le cas de la taille des haies. Pour cette raison, il est conseillé de ne pas tailler les arbres et les haies durant la période allant du 1er avril au 15 août.

    Quatre mois et demi sans couper sa haie ? Oui Madame ! C’est en effet à la fin du printemps et durant l’été que les oiseaux se reproduisent le plus et ont donc besoin de nicher. Pour cette raison, on évitera donc de tailler et d’élaguer les arbres et arbustes afin de ne pas déstabiliser ce processus de reproduction, notamment pour les merles, les rouges-gorges, les moineaux et les pinsons. La taille et l’élagage contribuent en effet à nuire aux couvées en détruisant les nids et en délogeant par la même occasion parents et enfants. Mieux vaut donc s’abstenir d’entretien durant cette période.

    L’interdiction s’applique-t-elle partout ?

    Actuellement les travaux de taille et d’élagage sont interdits en Région bruxelloise. Pour ce qui est de la Wallonie, cela n’est pas encore le cas. Seuls les agriculteurs sont tenus de ne pas tailler les haies et les arbres entre le 1er avril et le 31 juillet. Cette mesure est entrée en vigueur en juin 2018 et atteste du rôle prépondérant que remplissent les agriculteurs dans la sauvegarde et la protection de la biodiversité locale. En Flandre, durant la période de couvaison, seules les tailles d’entretien sont permises. Toute autre nécessité de modification du paysage naturel est souscrite à une demande à la maison communale par le propriétaire.

    Au-delà des aspects légaux, retenez qu’il est recommandé de tailler sa haie juste avant la montée de sève, soit aux mois de novembre et de décembre.

  • Cuisinières au gaz : un danger pour la santé ?

    Très répandues dans les foyers, les cuisinières au gaz ne sont pas sans risque ! Des études scientifiques récentes ont mis en évidence les risques potentiels associés à leur utilisation, en particulier en ce qui concerne les problèmes respiratoires.

    Plusieurs recherches ont établi un lien entre la cuisson au gaz et l’augmentation des problèmes respiratoires, tels que l’asthme. Selon une étude menée aux États-Unis et dans l’Union européenne, la cuisson au gaz serait responsable de plus de 12% des cas d’asthme infantile.

    L’un des principaux facteurs de risque est la production de dioxyde d’azote (NO2) lors de la combustion du gaz. Le NO2 est un gaz nocif qui peut irriter les voies respiratoires et aggraver les symptômes de l’asthme chez les personnes prédisposées. Une exposition prolongée à des niveaux élevés de dioxyde d’azote peut également augmenter le risque de développer d’autres problèmes respiratoires, tels que la bronchite chronique.

    De plus, la cuisson au gaz peut également produire des particules fines et des composés organiques volatils (COV). Ces substances peuvent être inhalées et causer une irritation des voies respiratoires, ainsi que des problèmes pulmonaires à long terme. Les COV peuvent également réagir avec d’autres polluants atmosphériques pour former de l’ozone, un polluant dangereux pour la santé respiratoire.

    Attention à la ventilation !

    Il convient également de souligner que l’exposition aux émissions des cuisinières au gaz peut être plus importante dans les espaces mal ventilés, tels que les petites cuisines ou les logements insuffisamment aérés. Dans ces conditions, les polluants émis par la cuisson au gaz peuvent s’accumuler, augmentant ainsi les risques pour la santé.

    Que faire ?

    L’utilisation de hottes aspirantes efficaces peut contribuer à éliminer les polluants de l’air intérieur. La ventilation naturelle, par des fenêtres ouvertes, est évidemment un incontournable !

    Parallèlement, il est également important de promouvoir l’utilisation d’alternatives plus sûres et plus propres à la cuisson au gaz. Les technologies électriques, telles que les plaques de cuisson électriques ou à induction, présentent des avantages en termes de réduction des émissions et d’amélioration de la qualité de l’air intérieur.

  • Le prêt hypothécaire sans refus existe-t-il ?

    Suite à la visite d’un bien en vente, c’est le coup de cœur. Vous venez de trouver la maison de vos rêves et sollicitez du coup un prêt hypothécaire auprès de votre banquier. Malheureusement, c’est la douche froide, le crédit vous est refusé. Que faire dans ces cas-là ?

    Dans la majorité des cas et à moins de pouvoir compter sur un parent à même de vous prêter l’argent nécessaire, un projet immobilier implique de devoir emprunter de l’argent auprès d’un organisme financier. Mais face au durcissement des règles en matière d’octroi de crédit immobilier, de plus en plus de Belges se voient refuser ledit crédit. Le bon réflexe dans ce cas est de tenter de comprendre pourquoi celui-ci vous a été récusé et, dans la foulée, de trouver des solutions pour pouvoir convaincre votre banquier de vous l’accorder.

    Pourquoi un refus ?

    Dans un contexte de crise et face à des dossiers fragiles, toute banque peut faire preuve de frilosité quant à l’octroi d’un prêt. Ce sera le cas si la personne qui le sollicite ne dispose pas de suffisamment d’épargne, si celle-ci souffre d’une situation professionnelle trop précaire ou encore si ses revenus sont trop modestes. La banque fait alors face à un risque (celui de ne pas se voir rembourser régulièrement) et refuse purement et simplement de prêter la somme sollicitée. Il en va de même si vous figurez sur la liste des mauvais payeurs, à savoir la base de données des emprunteurs en défaut de paiement.

    Le site mon-pret-total.be vous en apprendra plus sur le sujet.

    Mais ce n’est pas tout ! En plus de vérifier votre profil, le banquier vérifiera aussi la gestion de votre budget. Il examinera votre niveau d’endettement ainsi que le minimum vital, à savoir ce qu’il vous reste pour vivre et payer vos frais fixes après remboursement de votre ou de vos emprunts. Enfin, il effectuera aussi des recherches dans la centrale du crédit aux particuliers mise à disposition par la Banque nationale.

    Le prêt sans refus, une illusion ?

    Dans le contexte actuel, de plus en plus de Belges se tournent vers un courtier. Et c’est une excellente idée. Au contraire d’une banque, le courtier en crédit, lui, est indépendant. Il bénéficie donc d’une vue plus objective sur les produits financiers à votre portée et n’est pas limité à un seul d’entre eux. Une situation idéale pour faire jouer la concurrence et obtenir la formule la plus adéquate. Le courtier va en effet jouer le rôle d’intermédiaire entre vous et différentes institutions financières. Il va toujours vous proposer plusieurs options en privilégiant les meilleurs taux et les avantages correspondant le mieux à votre dossier.

    Il est donc l’interlocuteur idéal pour vous aider à trouver une offre de crédit sur mesure, tel le propose le site prêt-sans-apport, afin de réaliser votre projet immobilier. Expert en crédit, le courtier vous aidera à monter un plan de financement fiable qui convaincra davantage les établissements prêteurs. Grâce à un carnet d’adresse diversifié et des relations privilégiées dans le monde financier, il saura vous guider vers les offres les plus pertinentes, celles qui cadrent le mieux avec votre profil d’emprunteur.