Auteur : francois

  • Arroser ses plantes : 5 erreurs à éviter pour des plantes en pleine santé

    Découvrez les cinq erreurs d’arrosage les plus courantes qui peuvent nuire à la santé de vos plantes.

    1.    Arrosage inadapté au type de plante

    Toutes les plantes ne sont pas créées de la même façon. Certaines ont besoin de beaucoup d’eau, tandis que d’autres en demandent très peu. Renseignez-vous sur les besoins spécifiques de chaque plante pour éviter le sur-arrosage ou le sous-arrosage. Un arrosage adéquat garantira une croissance saine et robuste.

    2.    Arrosage à heure inconsistante

    Les plantes apprécient la routine, particulièrement en ce qui concerne l’eau. Arroser vos plantes à des moments différents chaque jour peut entraîner un stress hydrique. Il est préférable d’arroser vos plantes à la même heure chaque jour, généralement le matin ou le soir.

    3.    Arrosage direct sur les feuilles

    Arroser directement les feuilles peut provoquer le développement de maladies fongiques. En effet, l’humidité persistante sur les feuilles favorise l’apparition de champignons. Arrosez donc toujours au niveau du sol pour atteindre directement les racines.

    4.    Utilisation d’eau froide

    L’eau froide peut choquer les racines des plantes, surtout si elles sont dans un environnement chaud. Utilisez plutôt de l’eau à température ambiante pour arroser vos plantes. Assurez-vous que l’eau n’est ni trop chaude ni trop froide.

    5.    Ignorer les signes de stress hydrique

    Les plantes donnent des signes quand elles ont soif ou quand elles sont en excès d’eau. Les feuilles qui jaunissent, qui se fanent ou qui tombent sont souvent un signe de stress hydrique. En connaissant les symptômes, vous pouvez ajuster l’arrosage et éviter de potentielles maladies.

    En évitant ces cinq erreurs d’arrosage, vous pouvez assurer la santé et la longévité de vos plantes. Rappelez-vous, chaque plante est unique et nécessite des soins particuliers. Alors, renseignez-vous bien et arrosez judicieusement.

     

  • Voici comment ôter les aliments brûlés sur votre vitro

    Découvrez des astuces pratiques pour enlever facilement les aliments brûlés sur votre vitro!

    dirty glass ceramic stove top

    On a tous connu ça : un moment d’inattention, on oublie de surveiller le feu et une casserole remplie de lait se met à déborder et inonde votre plaque de cuisson… Comment se débarrasser de ces taches particulièrement tenaces sans pour autant endommager le revêtement qui recouvre ladite plaque ? D’autant que bien souvent, même avec des produits spécialement conçus pour les tables de cuisson vitrocéramiques ou à induction, le brûlé ne s’en va pas.

    Lui, toujours lui !

    La solution ? Du vinaigre blanc ! Oui, c’est une fois encore cette bonne vieille solution aqueuse qui constitue le remède le plus efficace dans ce cas de figure. Pour enlever des traces d’aliments brûlés sur une table vitrocéramique ou à induction, rien de plus simple :

    • versez un peu de vinaigre blanc pur sur la tache,
    • laissez agir une quinzaine de minutes,
    • essuyez avec une éponge humide
    • séchez avec un torchon ou une microfibre.

    Si la tache est tenace et fait de la résistance, on recommence. Et si la couche de brûlé est vraiment très épaisse, on peut acheter dans le commerce un grattoir spécialement conçu pour les plaques vitrocéramiques, avec une lame qui gratte mais ne raye pas ! Il suffit alors de gratter la tache au préalable puis d’appliquer un peu de vinaigre et de le laisser agir.

  • 5 erreurs à éviter dans votre jardin cet été !

    Donnez à votre jardin la meilleure chance de prospérer cet été grâce à ces précieux conseils.

    garden
    Ries Bosch

    1.      Arrosage excessif

    L’une des erreurs les plus courantes que les propriétaires commettent en été est un arrosage excessif. Il est naturel de penser que votre jardin a besoin de plus d’eau en raison de la chaleur, mais trop d’eau peut être tout aussi nuisible qu’un manque d’eau. L’arrosage excessif peut conduire à la pourriture des racines et à la prolifération de maladies fongiques.

    2.    Tonte de pelouse excessive

    La tonte excessive peut rendre votre pelouse plus vulnérable à la sécheresse et aux maladies en été. Laissez votre pelouse un peu plus haute pendant l’été, cela permettra de maintenir l’humidité du sol et d’offrir une certaine protection contre le soleil brûlant.

    3.    Ignorer les parasites

    Les parasites peuvent se multiplier rapidement pendant l’été belge, menaçant la santé de votre jardin. Par exemple, les pucerons sont particulièrement actifs et peuvent sucer la sève des plantes, affaiblissant leur croissance. De même, les limaces et les escargots aiment les étés humides et peuvent causer des ravages sur vos légumes et vos plantes à fleurs. Utilisez des méthodes de lutte contre les parasites adaptées, comme l’introduction de prédateurs naturels dans votre jardin (coccinelles pour les pucerons, hérissons pour les limaces et les escargots) ou l’application de solutions à base de savon pour éloigner les parasites.

    4.    Négliger les plantes indigènes

    En Belgique, nous avons une variété de plantes indigènes qui sont parfaitement adaptées à nos conditions climatiques estivales. Des plantes comme le Genêt à balais (Cytisus scoparius) ou le Chêne pédonculé (Quercus robur) sont résistantes et peuvent supporter les variations de température en été. Ces plantes nécessitent généralement moins d’entretien et sont moins susceptibles d’être attaquées par les parasites locaux. Néanmoins, assurez-vous de leur accorder une attention particulière, notamment en termes d’arrosage et de fertilisation, pour qu’elles puissent continuer à prospérer. L’ajout de compost organique peut enrichir le sol et favoriser la santé et la vigueur de ces plantes.

    5.    Oublier la protection solaire

    Enfin, tout comme notre peau a besoin de protection contre les rayons du soleil, de nombreuses plantes ont aussi besoin d’un certain degré de protection. L’installation de voiles d’ombrage ou de structures similaires peut aider à protéger vos plantes des dommages causés par le soleil.

  • L’isolation à tout prix : est-elle vraiment indispensable ? 5 astuces pour isoler votre logement à petit prix !

    Onéreuse, invasive et souvent inesthétique, l’isolation d’un bâtiment n’est pas toujours la panacée. Si le contexte actuel, sur fond de crise énergétique, plaide pour une amélioration de l’isolation du bâti existant, on peut aussi s’en passer dans certains cas, en changeant notamment nos comportements ou, plus simplement, en recourant à une série d’astuces.

    aluminium radiator

    Votre logement est mal isolé ou bénéficie d’un mauvais score PEB ? Faut-il pour autant se lancer dans de gros travaux pour améliorer son isolation ? Pas forcément. En effet, parfois, quelques astuces faciles et économiques suffisent pour améliorer un tant soit peu l’isolation de votre domicile. Il ne s’agit pas ici de remettre en question l’isolation ! Celle-ci demeure en effet dans la majorité des cas un élément crucial pour le confort de la maison. Une maison mal isolée peut en effet devenir un véritable cauchemar en hiver puisqu’il y fera froid et humide, sans parler des répercussions sur la facture d’énergie. Une isolation médiocre peut aussi vous faire payer jusqu’à 30 % plus cher vos factures d’énergie en comparaison avec un foyer bien isolé.

    Pour autant, il peut toutefois arriver que le budget ou le moment ne soient pas toujours propices à la réalisation de travaux d’isolation. Sans parler de l’esthétique de votre façade qui, une fois isolée, peut perdre de son charme. Comment faire dès lors pour améliorer l’isolation de sa maison sans pour autant se lancer dans un chantier coûteux ?

    1.   Avez-vous pensé aux volets roulants ?

    Dans une maison, les ouvertures sont les principales sources de déperdition de chaleur mais aussi de courants d’air. Il est d’ailleurs démontré que les fenêtres et les baies vitrées sont source de 15 % des déperditions thermiques dans la maison. Il est donc pertinent de réfléchir à la meilleure manière de les optimiser, sans pour autant trop dépenser. En la matière, la pose de volets roulants est la première solution que vous pouvez adopter pour venir à bout de ce problème, sans passer par des travaux trop contraignants. Cette solution permet de s’isoler non seulement du froid, mais aussi du bruit. Un coup double, qui vous fera mieux apprécier le passage de l’hiver. En été, ces volets vous protègent également des rayons du soleil et donc, d’une surchauffe intérieure.

    2.   Et les rideaux thermiques ?

    Autre possibilité : opter pour des rideaux thermiques pour couvrir les surfaces vitrées. Ces dernières peuvent en effet laisser la chaleur s’échapper en hiver. Pour la garder à l’intérieur, vous pouvez installer des rideaux thermiques au lieu de rideaux conventionnels. Ce type de rideau est en effet taillé dans un tissu plus isolant que les rideaux traditionnels, ce qui peut être utile pour faire monter la température de quelques degrés dans la pièce ou, à tout le moins, préserver la chaleur qui y règne. En outre, en optant pour des rideaux isolants thermiques, vous protégez aussi l’intérieur des regards indiscrets puisqu’ils occultent de façon plus performante. Notez que ces rideaux peuvent également être utilisés pour séparer les pièces voire pour empêcher les courants d’air de circuler d’une pièce à l’autre.

    3.   Le retour du tapis

    On le sait, les sols ont tendance à être particulièrement froids lorsque l’hiver s’installe. Et même sur un parquet, il peut être désagréable de marcher pieds nus. L’astuce toute simple pour améliorer l’isolation thermique du sol est de placer de la moquette qui peut d’ailleurs apporter un peu de cachet dans les pièces à vivre et la salle de séjour. Si la pose de celle-ci vous semble peu appropriée à votre déco voire à vos envies, vous pouvez la remplacer par des tapis de sol épais qui pourront être ôtés à la belle saison. Ils seront parfaits pour le salon et les chambres et vous permettront de ne pas marcher sans cesse sur des sols trop froids.

    4.   L’alu à la rescousse

    Autre astuce particulièrement facile à mettre en œuvre : placer une large feuille d’aluminium derrière le radiateur. Elle permet d’isoler les murs et de faire rayonner la chaleur plus facilement, le tout sans avoir à monter ou démonter quoi que ce soit. Cette solution simple permet aussi de mieux diffuser la chaleur produite par le radiateur dans toute la pièce, plutôt que de la concentrer au niveau du mur. De plus, elle offre l’avantage de réaliser jusqu’à 7,5 % d’économies sur votre facture de chauffage !

    5.   Les incitants financiers

    Enfin, si des travaux d’isolation se révèlent néanmoins indispensables, pensez aux incitants financiers proposés par les autorités publiques. Les régions et communes proposent en effet des aides financières pour rendre les travaux de rénovation thermique accessibles au plus grand nombre. N’hésitez pas à consulter le Service Urbanisme de votre commune pour en savoir plus.

  • Sécheresse : voici une solution pour éviter la ruine de votre potager et de vos plantes

    Face à la sècheresse record, protégez votre jardin avec l’arrosage goutte à goutte. Simple et économique, découvrez comment l’installer.

    La sècheresse record que nous connaissons en ce moment est un désastre environnemental : outre les cultures dévastées et la souffrance des animaux et du bétail en particulier, elle risque aussi, à plus petite échelle, de causer bien des dégâts à vos plantes et à votre potager.

    Pour éviter de voir vos plantations ruinées par cette sècheresse, il existe plusieurs solutions. L’une des plus efficaces et économiques est sans doute l’arrosage par goutte à goutte. L’idée ? Arroser au goutte à goutte les racines de vos plantations et ce, en surface. Pour installer ce genre de système, inutile d’avoir côtoyé Elon Musk ou d’être le fils spirituel d’André Le Nôtre…

    Ce qu’il vous faut, ce sont des tuyaux d’arrosage : un principal qui sera relié au robinet d’eau (de pluie), des raccords et des tuyaux partant de ces derniers vers vos diverses plantations à arroser. Pour l’arrosage proprement dit, optez pour des goutteurs. Le débit de ces derniers est évidemment réglable en fonction des besoins de vos plantations. Enfin, vous pouvez toujours installer un programmateur en aval de votre robinet pour favoriser les meilleures heures d’arrosage.

    Pour une plante d’intérieur, vous pouvez vous rabattre sur un système goutte à goutte relié à une bouteille en plastique. Auparavant, vous aurez coupé le fond de cette dernière pour permettre le remplissage en eau de pluie. Ce système, relativement efficace, peut être considéré comme une solution d’appoint pendant une absence prolongée. L’avantage, c’est qu’il ne vous en coûtera que quelques euros.

  • Sècheresse : à quel rythme tondre sa pelouse et à quelle hauteur ?

    Le rythme de tonte de la pelouse est différent en été, notamment ces dernières années qui nous ont valu des longues périodes de sècheresse. Voici pourquoi et surtout comment prendre soin de votre gazon entre juin et septembre.

    Ces dernières années, les étés se sont avérés de plus en plus secs. Les épisodes pluvieux étant rares, l’idée d’une belle pelouse bien verte en été semble être une utopie. Pas de panique toutefois si votre gazon est jauni ! Dans tous les cas, évitez de tondre au maximum et gardez la pelouse aussi haute que possible. Pour couper les plantes indésirables, nous vous conseillons malgré tout de tondre haut de temps à autre. Marcel, notre expert en jardinage, recommande de ne “jamais couper plus du tiers de la hauteur du brin d’herbe”. Et de préciser “qu’en coupant son gazon trop court, celui-ci aura tendance à jaunir voire à se dessécher. Pour un beau gazon en été, il suffit donc de ne pas le couper trop court !” Autre conseil en or : évitez de récolter l’herbe coupée et favorisez le mulching qui viendra fortifier votre pelouse.

    Le bon rythme

    Respecter le rythme de croissance d’une pelouse est la clé pour la garder en parfaite santé, d’autant plus en été. Il convient donc de trouver le bon moment pour sortir sa tondeuse. En règle générale, on ne tondera jamais un gazon mouillé ou humide. Pourquoi ? Tout simplement car l’herbe mouillée se tond plus difficilement et, dans une tondeuse pourvue d’un bac de ramassage, elle risque de boucher le conduit d’éjection de l’herbe coupée. On évitera donc de tondre après la pluie mais aussi au petit matin.

    Enfin, pour ce qui est de la régularité, en été on espacera chaque tonte d’environ deux semaines afin d’éviter que le gazon ne finisse par brûler au soleil. Voire davantage en cas de grosse sécheresse, comme en ce moment…

  • Construction : nos astuces pour choisir le bon partenaire !

    Faire construire sa maison, cela n’arrive généralement qu’une seule fois dans une vie. Mais comment choisir le bon partenaire pour ce projet de construction ? Comment être sûr que l’entrepreneur choisi respectera ses engagements ?

    home builder

    Un projet de construction n’arrivant généralement qu’une seule fois dans une vie, il est difficile d’apprendre de ses erreurs. Et si vous commettez des erreurs au cours du processus de construction, elles peuvent avoir de lourdes conséquences pour l’avenir. Il est donc important de s’informer au maximum sur les démarches à effectuer et sur l’entrepreneur avant de se lancer.

    Obligation déontologique

    Les recommandations des amis, de la famille ou des voisins peuvent être utiles, mais vous pouvez aussi faire appel à votre architecte. Il connaît les ficelles du métier et, en fonction du projet, voire des matériaux, il saura sans doute vous aiguiller vers un entrepreneur ou un autre. Selon l’article 22 des règles déontologiques des architectes belges, il a même pour obligation de vous assister dans ce choix, en tenant compte des informations relatives à la compétence et à la réputation de l’entrepreneur. Il doit également vous indiquer les garanties offertes par l’entrepreneur choisi. Si votre architecte ne remplit pas cette obligation et que vous en subissez un préjudice (par exemple, parce que vous avez choisi un entrepreneur peu fiable), vous pouvez même engager sa responsabilité ! Vous devrez toutefois être en mesure de prouver que vous avez subi un dommage à la suite d’une erreur de votre architecte.

    Stabilité financière

    Si vous optez pour une maison clé sur porte avec un entrepreneur qui prend en charge l’ensemble du processus de construction de votre maison, de la conception à la livraison finale et à la remise des clés, vous devrez bien entendu faire le bon choix. Tout commence par le choix d’une entreprise disposant de l’expérience et de la stabilité financière nécessaires. Evitez de choisir uniquement sur la base des recommandations d’amis : les comptes annuels d’une entreprise et sa situation comptable sont accessibles au public via les sites de la Banque nationale de Belgique et la Banque-Carrefour des Entreprises. Ces recommandations sont, bien entendu, également utiles si vous désirez faire des travaux moins conséquents chez vous !

    Attention aux petits caractères

    Une fois que vous avez dressé une liste de partenaires potentiels fiables, nous vous recommandons d’entamer les discussions avec ces entreprises pour l’établissement du devis. Prenez le temps de comparer les différents devis, non seulement en ce qui concerne le prix total indiqué, mais aussi en ce qui concerne les services fournis. Ce faisant, examinez en détail ce qui sera réalisé, les conditions applicables et, bien entendu, les mentions en « petits caractères » qui pourraient potentiellement vous coûter cher par la suite.

    Acomptes

    Une fois que vous avez trouvé le bon partenaire pour votre projet de construction, il reste encore des aspects financiers non négligeables, comme l’acompte prévu dans le contrat. En tant que maître d’ouvrage, vous avez tout intérêt à le réduire au minimum : vous ne perdrez ainsi pas trop en cas de faillite de votre entrepreneur. En principe, il n’y a pas de limite légale à l’acompte, sauf si la loi « Breyne » est d’application. Cette loi prévoit une avance pouvant aller jusqu’à 5 % du prix total et est d’application lorsque l’entrepreneur et le vendeur sont une seule et même entité – par exemple, lorsque vous achetez une maison sur plan à un promoteur immobilier. Dans tous les autres cas, les acomptes doivent faire l’objet d’un accord préalable, sans quoi, l’entrepreneur ne peut décider unilatéralement de vous demander un paiement anticipé.

    Augmentations de prix

    Dans le contexte inflationniste actuel, il est bon de savoir qu’en règle générale, un entrepreneur ne peut pas augmenter ses prix sans raison valable, à moins que les conditions générales ne contiennent une clause prévoyant une révision des prix si les travaux prennent plus de temps que prévu. Un homme (ou une femme) averti(e)…

  • Borne de recharge en copropriété : ce que dit la loi

    On le sait, les véhicules électriques connaissent un succès grandissant. Par conséquent, bon nombre de copropriétés sont sollicitées pour installer une borne de recharge, à la demande d’un ou de plusieurs copropriétaires.

    smart charging
    Evnex

    En la matière, il était grand temps de légiférer. Et c’est la Région bruxelloise qui, la première, a publié un arrêté couvrant précisément le sujet. Celui-ci détermine “les ratios de points de recharge pour les parkings, ainsi que certaines conditions de sécurité supplémentaires y applicables”.

    Qu’il s’agisse d’un copropriétaire qui souhaite installer une borne sur son propre emplacement ou dans son box, ou encore de plusieurs copropriétaires qui plaident pour le partage d’une borne commune placée à l’extérieur de l’immeuble, les cas de figure sont nombreux. Sans parler des panneaux photovoltaïques collectifs qui peuvent, dans de nombreux cas, alimenter ladite borne. Autant de situations qui ont de quoi inquiéter ou, à tout le moins, challenger les copropriétés du pays.

    Que dit la loi ?

    À l’échelle du pays, on peut se référer cette fois à un article de loi adopté en 2018. Celui-ci “reconnaît aux copropriétaires, tout comme à des opérateurs énergétiques, le droit de modifier, améliorer, optimiser l’infrastructure à leurs frais exclusifs et pour leur propre compte, pourvu qu’ils n’en changent pas la destination et qu’ils ne nuisent pas aux droits des autres copropriétaires”. Il peut s’agir de questions liées à l’installation électrique mais aussi en matière de gaz, d’eau ou encore de télécommunications. Mais si le législateur accorde cette possibilité, il impose néanmoins que les demandeurs soumettent leur projet à la copropriété qui peut l’autoriser, s’y opposer ou encore l’effectuer elle-même.

    Si vous souhaitez solliciter l’installation d’une borne de recharge dans votre copropriété, on ne peut donc que vivement vous conseiller de veiller à préparer soigneusement votre dossier et à argumenter votre demande dans le but de convaincre le syndic et/ou les autres copropriétaires. Plus le dossier sera complet et convaincant (grâce, notamment, à une description précise des travaux à envisager et à un justificatif précis de l’optimisation de l’infrastructure envisagée), plus vous aurez de chance de rallier les autres copropriétaires à votre cause. Notez enfin que la copropriété a deux mois pour réagir et, que si urgence il y a, il est vivement conseillé d’organiser une assemblée générale extraordinaire.

  • Outil d’estimation immobilière en ligne : PriceHubble donne des super-pouvoirs à Immovlan !

    Selon notre dernière enquête de satisfaction, qui ressemble à une véritable déclaration d’amour, Immovlan, avec la technologie PriceHubble, a réussi à concocter l’outil d’évaluation immobilière le plus performant du marché.

    Dans une enquête fracassante, pas moins de 400 utilisateurs de l’outil Immovlan ont fait entendre leurs voix. Et le résultat ? Impressionnant ! En effet, 98% trouvent notre outil aussi facile à manipuler qu’un grille-pain !

    Une horloge suisse !

    Le clou du spectacle ? 67% des personnes interrogées ont trouvé le prix de leur bien en parfaite harmonie avec notre évaluation. 23% ont même été surpris par une valeur plus haute que celle à laquelle ils s’attendaient. Bref, le taux d’approbation atteint les 90% ! Qui d’autre peut se vanter d’un score démocratique aussi stratosphérique ?

    Des résultats qui ne sont toutefois que la pointe de l’iceberg : nos partenaires professionnels ne cessent de nous inonder de retours positifs au sujet de notre outil d’estimation. Leur nombre grandissant est la preuve irréfutable que notre outil est la Rolls-Royce des évaluations immobilières !

    Environ 13.000 rapports d’estimation à ce jour !

    Depuis le lancement de ce service, notre compteur d’estimations a dépassé le chiffre vertigineux de 13.000  rapports ! Vous n’en faites pas (encore) partie ? C’est le moment ! Pour vous convaincre de son efficacité, le plus simple, c’est de l’essayer vous-même. Que vous souhaitiez vendre, acheter, louer, ou que ce soit tout simplement par curiosité, vous serez fixé sur la valeur de votre bien en quelques clics ! C’est aussi intuitif qu’enfiler une paire de chaussettes, rapide comme une course de lévriers et gratuit comme le rire d’un enfant !

    Notre algorithme, développé avec PriceHubble, c’est le Sherlock Holmes des outils d’estimation : il vous fournira une fourchette de valeurs qu’il conviendra, bien entendu, de confirmer avec un agent immobilier local. Car aussi brillant que soit notre outil, il ne pourra jamais remplacer une visite en chair et en os.

    J’essaye l’outil d’estimation

  • Vous désirez savoir ce qui a été dit lors de l’assemblée générale ? Notre avocat vous conseille !

    Lors de l’assemblée générale des copropriétaires de l’immeuble, il arrive que des sujets importants soient abordés.  Comment vous assurer d’avoir la preuve de ce qui a été dit ? 

    Yury Strukau

    Lors de l’assemblée générale, certains points importants de l’ordre du jour sont parfois abordés.  Vous pouvez alors avoir intérêt à avoir la preuve que certains arguments ont été effectivement abordés (par exemple, si vous avez soutenu qu’une décision est illégale).

    Procès-verbal

    Pour apporter cette preuve, vous pouvez demander que les questions que vous avez soulevées (ou qu’un autre copropriétaire a soulevées) soient mentionnées dans ce que l’on appelle le procès-verbal de l’assemblée générale. Ce procès-verbal doit désormais être rédigé, ce qui est fait par le syndic de l’immeuble.

    Que dit ce procès-verbal ?

    La loi dit que ce procès-verbal contient les décisions prises par l’assemblée générale, en indiquant les majorités obtenues et le nom des copropriétaires qui ont voté contre ou qui se sont abstenus. Bien que cela ne soit pas explicitement mentionné, vous pouvez également faire mentionner certains arguments que vous avez avancés.  D’ailleurs, si vous n’exagérez pas dans vos demandes, il y a de fortes chances que le syndic ne soit pas difficile à ce sujet.

    Signé ?

    Si vous voulez être sûr que le syndic ait bien pris vos remarques en compte, vous pouvez le vérifier à la fin de la réunion. La loi prévoit qu’à l’issue de la réunion, le procès-verbal doit être signé par le président de l’assemblée générale, le secrétaire et tous les copropriétaires encore présents ou leurs mandataires.