Économiser sur votre facture d’électricité peut être plus facile que vous ne le pensez. Manifestement, environ 2 millions de ménages belges payent trop cher !
Une étude récente de la CREG (Commission de Régulation de l’Électricité et du Gaz) indique qu’environ 2 millions de ménages belges pourraient réaliser des économies significatives simplement en optant pour les contrats d’électricité et de gaz les moins chers disponibles. Pour ce faire, il faut comparer les différentes offres sur le marché et envisager de changer de fournisseur, ou du moins de produit au sein de l’offre d’un même fournisseur.
Une économie importante
Selon les données de la CREG, les économies potentielles varient entre 150 et 300 euros par an sur la facture d’électricité. Dans certaines régions comme la Wallonie et la Flandre, ces économies peuvent même atteindre jusqu’à 400 euros. En outre, près de 1.120.000 ménages pourraient économiser entre 200 et 250 euros par an sur leur facture de gaz.
Une concurrence insuffisante
La CREG note toutefois que le marché belge de l’énergie est dominé par quelques grands fournisseurs, limitant ainsi la concurrence. En conséquence, la plupart des ménages se contentent de contrats d’énergie coûteux. Par exemple, en Wallonie, les dix produits d’électricité les plus chers représentent 50 % du marché, tandis que les produits les moins chers ne représentent qu’environ 15 %.
Faciliter la comparaison
Pour aider les consommateurs à comparer les offres, la CREG propose d’obliger les fournisseurs à inclure un code QR sur toutes leurs communications. En scannant ce code, les consommateurs pourraient accéder directement aux conditions et prix du contrat, facilitant ainsi leur prise de décision en cas de changement de produit ou de fournisseur.
Cet arbre est populaire pour son ombre généreuse et son port romantique. Il apprécie les expositions ensoleillées et les sols riches. Sa croissance rapide en fait un choix idéal pour une ombre rapide, mais évitez de le planter trop près des constructions.
2. Le Mûrier blanc stérile (Morus alba ‘Fruitless’)
Ce mûrier est apprécié pour son ombre bienfaisante. Il est de croissance rapide et résiste bien à la sécheresse, mais son système racinaire puissant peut poser problème près des constructions.
Cet arbre élégant offre une ombre dense grâce à son feuillage généreux. Il est de croissance très rapide et résiste au froid, ce qui en fait un excellent choix !
Symbole des vacances et du Sud, ce conifère à grand développement offre une ombre salutaire. Il est résistant à la sécheresse une fois installé et peut endurer de courtes périodes de gel.
Cet arbre est très répandu en Europe et offre une ombre agréable grâce à sa couronne arrondie à pyramidale. Il est rustique et capable de vivre près de deux siècles.
6. Palmier dattier des Canaries (Phoenix canariensis)
Votre terrasse en bois est un espace de vie précieux, et pas seulement pour les fourmis. Voici comment la préserver et la faire briller, sans avoir besoin d’un diplôme en charpenterie.
1. Nettoyage régulier
La mousse, le lichen et les salissures peuvent rendre une terrasse en bois aussi glissante qu’une patinoire et aussi verte qu’un terrain de golf. Il est recommandé de nettoyer votre terrasse en bois 1 à 2 fois par an. Utilisez un balai dur pour brosser la surface et éliminer les débris.
2. Utilisation de produits naturels pour le nettoyage
Pour un nettoyage respectueux de l’environnement, utilisez un mélange de savon noir et d’eau, éventuellement avec du bicarbonate de soude. Ces produits ne risquent pas d’endommager votre terrasse ou les plantes environnantes.
3. Traitement du bois
Votre terrasse en bois peut recevoir un traitement avec de la lasure ou du vernis, ce qui la protège mieux contre les intempéries et la salissure. Il s’agit en gros d’une espèce de crème solaire pour terrasse qui évite le grisonnement naturel du bois. Chaudement recommandé, même si certains bois sont traités en usine.
4. Aération de la terrasse
Les meubles et les objets qui se trouvent sur la terrasse forment des zones d’ombre, parfois humides, où la mousse et le lichen peuvent se développer plus rapidement. Pensez donc à l’aération de votre terrasse en surélevant ces objets. C’est comme faire du yoga avec votre terrasse, mais sans le tapis !
5. Éviter l’accumulation de feuilles mortes
Les feuilles mortes qui s’accumulent sur la terrasse en automne sont humides et constituent le terreau idéal pour la mousse et le lichen. Enlevez-les régulièrement pour éviter cela. C’est comme faire le ménage chez vous, mais sans l’aspirateur.
L’entretien de votre terrasse en bois est essentiel pour maintenir son aspect et sa durabilité. Que vous choisissiez de laisser votre terrasse grisonner naturellement ou de maintenir sa couleur d’origine, ces conseils vous aideront à prendre soin de votre terrasse en bois et à en profiter pendant de nombreuses années.
Faire sa lessive à l’eau de pluie ? A première vue, l’idée peut paraître assez bonne car il s’agit d’une eau « gratuite » et exempte de calcaire. Pourtant, certaines études déconseillent fortement cette pratique.
En quoi faire sa lessive à l’eau de pluie est-il néfaste ? Principalement pour des raisons sanitaires. Contrairement à l’eau de ville, l’eau de pluie n’est pas traitée contre les polluants. De plus, elle est généralement récoltée depuis votre toit, une zone non seulement très poussiéreuse, mais également pleine de bactéries. Si vous vivez dans une zone très polluée ou à proximité de fermes, il est préférable de ne pas utiliser cette eau : elle peut contenir des pesticides et d’autres composants nocifs.
A moins de disposer d’un système très efficace pour filtrer cette eau, il est fortement déconseillé de laver les vêtements à l’eau de pluie, notamment pour des personnes allergiques ou des enfants. La récupération de l’eau de pluie est bien sûr une bonne idée en soi : cette eau est parfaitement adaptée pour nettoyer la voiture, arroser le jardin ou encore la chasse d’eau.
Tout le monde peut peindre, mais pour un résultat optimal, mieux vaut quelques astuces de pro. Antoine, bricoleur expérimenté, partage ses conseils.
Le bon matos
« Le premier petit truc que je vous donnerai, c’est d’acheter des bons pinceaux. Dans le commerce, on en trouve à des prix dérisoires mais sacrifier une dizaine d’euros dans l’acquisition de bon matériel n’est pas une bonne idée. Un pinceau de qualité donnera un meilleur résultat et vous évitera de devoir repasser sur votre ouvrage. Il en va de même pour la peinture. Faites un choix judicieux car cela ne vous reviendra pas forcément plus cher. Une peinture de base demandera sans doute de repasser plusieurs couches ce qui vous coûtera du temps et un prix aussi élevé ».
Un oignon dans un bol d’eau froide…
Déposer un carton ou un plastique sous votre pot est intéressant pour éviter que les coulées de votre pinceau ne se retrouvent sur votre sol ou sur votre escabeau. Vous pouvez également être incommodé par les odeurs que dégage votre peinture. « Mon grand-père découpait un oignon qu’il plaçait dans un bol d’eau froide ce qui avait pour effet d’atténuer l’odeur. Après avoir terminé votre travail si l’odeur persiste, des récipients remplis de lait permettent également de remédier au problème ».
Protégez le mobilier et le sol
Il convient de protéger tout le mobilier ou le sol qui pourrait être souillé avec les tâches de peinture : « Si vous travaillez dans une pièce qui n’a pas été vidée, de grands plastiques ou du papier journal pourront être étalés et éviteront ainsi les coulées qui ne manqueront pas de tomber du plafond. Si vous avez dû protéger certains endroits (fenêtres, murs..) avec du ruban adhésif, enlevez-les avant que la peinture ne soit complètement sèche. Dans le même ordre d’idée, gardez un chiffon à portée de main. Au cas où vous peindriez une surface qui ne doit pas l’être, vous pourrez la frotter de suite ».
Légèrement humidifiés
Revenu du magasin avec vos nouveaux pinceaux, ne vous mettez pas de suite au travail. « Je vous conseille de nettoyer rouleaux et pinceaux à l’eau chaude avant de commencer à peindre. En effet, des poils et des particules risquent de se détacher souillant ainsi votre peinture ou votre travail. Même chose pour le rouleau qu’il faudra légèrement humidifier pour que la couleur adhère mieux. Pas trop quand même car si l’eau se mêle à la peinture, il y aura beaucoup trop de coulées ».
Nettoyage du matériel
Après le travail, la corvée nettoyage des pinceaux n’est pas très motivante mais elle s’avère nécessaire si vous voulez conserver vos pinceaux en bon état. « Nettoyez-les à l’eau ou au white spirit et puis emballez les têtes dans du papier aluminium. En ayant pris soin de bien chasser l’air, vos pinceaux seront prêts à l’emploi pour un prochain usage ».
Optimisez votre salon en évitant ces quatre erreurs courantes – faites de votre salon le foyer parfait !
Spacejoy
La télévision au centre de votre salon
Certes, il est agréable de la regarder le soir avec un café bien chaud, mais en plaçant la télévision au centre de votre salon, l’ensemble risque de manquer de convivialité, ce qui pourrait sauter aux yeux de vos invités. La télévision, elle est contre un mur, dans une bibliothèque ou, mieux encore, dissimulée dans un meuble !
Une lumière trop intense
Un salon, c’est cosy, chaleureux et ça incite à la détente. Dans ce contexte, une lumière froide et intense n’est absolument pas à sa place. Choisissez bien la température de vos luminaires !
Les meubles collés aux murs
C’est un grand classique et nous sommes quasiment tous coupables ! Certes, les dimensions de la pièce ne le permettent pas toujours, mais en éloignant vos meubles de quelques centimètres des murs, votre salon semblera subitement plus « aéré » et vos meubles seront sublimés. Si vous en avez la possibilité, optez pour des meubles suspendus.
Utiliser chaque centimètre carré
Un autre classique de nos intérieurs ! La règle d’or, c’est de laisser environ un mètre entre chaque meuble : que ce soit entre votre canapé et votre table basse ou votre meuble télé, pensez à ce mètre indispensable qui fera respirer la pièce. Si cette mission vous semble impossible, lorgnez du côté d’une armoire de rangement pour dissimuler au maximum toutes vos affaires et ne laisser que le strict minimum en vue.
Face à la sécheresse, tous les gazons ne sont pas égaux. Découvrez les variétés qui résistent le mieux à ces conditions extrêmes que nous rencontrons de plus en plus souvent…
Fan Yang
1. La Fétuque élevée
La Fétuque élevée est une espèce de gazon qui s’accommode bien de la sécheresse estivale. Elle est capable de survivre très longtemps sans être arrosée et peut également résister à des arrosages abondants. Cette variété est donc un excellent choix pour les régions où les précipitations sont irrégulières.
2. Le Ray-grass anglais
Le Ray-grass anglais est une autre variété de gazon qui résiste bien à la sécheresse. Grâce à son système racinaire profond, il peut obtenir plus de nutriments du sol et conserver l’humidité plus longtemps. Il est souvent utilisé pour lesterrains de golf et les parcs, car il nécessite moins d’arrosage.
3. Le Kikuyu
Le Kikuyu est une variété de gazon moins connue mais tout aussi résistante à la sécheresse. Elle possède un système de racines profondes qui permet à l’eau de rester plus longtemps. Cependant, si elle est trop arrosée ou inondée, le gazon Kikuyu entre en dormance jusqu’à ce qu’elle soit à nouveau sèche. Mieux vaut lui éviter le gel, cela dit…
4. Le Zoysia Japonica
Le Zoysia Japonica est une autre variété de gazon résistante à la sécheresse. Grâce à sa croissance unique, il peut retenir l’humidité plus longtemps. De plus, tout comme le Kikuyu, il peut entrer en dormance lorsqu’il est trop arrosé.
Trop souvent, nous commettons des erreurs en aérant nos maisons. Voici 3 mythes que l’on analyse avec vous !
Aérer toute la journée ne fait que du bien : FAUX !
15 minutes sont suffisantes. Au-delà, vous risquez de refroidir/réchauffer inutilement votre maison. De plus, entre 11 heures et 22 heures, l’air extérieur est trop pollué et vous risquez de faire plus de tort que de bien.
Il faut laisser son lit ouvert en aérant : VRAI !
Nous transpirons beaucoup la nuit et perdons aussi des cheveux et des particules de peau. Les acariens raffolent de ces deux derniers ! Mais laisser son lit bien ouvert en aérant bien la chambre, permet d’assainir la situation.
Les meubles neufs sont préférables pour un air sain : FAUX !
Au contraire, les meubles anciens ne dégagent quasiment plus de particules toxiques. Les meubles neufs, en revanche, avec leur épaisse couche de vernis et de peinture, sont bien plus nocifs pour l’air ambiant !
Vous êtes depuis peu propriétaire ou locataire d’un nouveau logement et vous vous demandez si l’assurance habitation est obligatoire. Quels risques courez-vous si vous ne disposez pas d’une assurance de ce type ? On vous dit tout !
Jimmy Dean
Protéger au mieux le bien que l’on s’apprête à occuper est on ne peut plus légitime, et ce que l’on soit locataire ou propriétaire. Souscrire une assurance habitation (aussi appelée assurance incendie) est donc particulièrement utile afin de se prémunir contre tout événement imprévu et d’éviter ainsi tout écueil financier.
Pour le locataire…
En tant que locataire d’un appartement ou d’une maison, vous avez l’obligation de restituer le logement, dans son état d’origine, au terme de la période de location convenue dans le contrat de bail. Cela signifie que vous (ou votre assurance) serez tenu de payer les dommages occasionnés au bien loué après un incendie, un dégât des eaux ou encore un défaut d’entretien. En fonction du lieu où se situe le bien que vous louez, les règles seront différentes. En Région wallonne, le locataire qui établit son lieu de résidence principale dans un logement a l’obligation de souscrire une assurance couvrant l’incendie et le dégât des eaux. En Région flamande, cette responsabilité repose à la fois sur le locataire et le bailleur et, enfin, en Région de Bruxelles-Capitale, le locataire n’a pas d’obligation en matière d’assurance habitation (mais, dans la plupart des cas, le propriétaire l’impose via le contrat de bail).
Qu’elle vous soit imposée ou non, on ne peut que vous recommander de comparer pour un meilleur choix d’assurance habitation tel que le propose le site mes-finances.be, celle-ci couvrira un certain nombre de risques (dont les dégâts à
l’habitation elle-même) ainsi que des sinistres courants comme les dégâts des eaux et les bris de vitre. Idéalement, cette police devra aussi couvrir les dégâts qui pourraient être occasionnés à vos biens et effets personnels, dont vos meubles, appareils Hi-Fi, objets de valeur, vêtements,… Enfin, elle doit aussi couvrir votre responsabilité civile (si vous n’êtes pas responsable du sinistre, c’est l’assurance de votre propriétaire qui interviendra). Sachez que le locataire est libre de choisir son assureur. Jamais un propriétaire ne peut vous contraindre à vous assurer auprès de sa compagnie d’assurance !
Pour le propriétaire
En tant que propriétaire d’un bien immobilier, deux cas de figure sont à distinguer : soit vous êtes propriétaire d’un logement que vous occupez, soit vous êtes propriétaire d’un bien que vous mettez en location.
Dans le premier cas, l’obligation de souscrire une assurance habitation dépend du mode de financement de votre bien. En effet, si vous achetez celui-ci avec vos propres fonds, vous n’êtes pas obligé de souscrire une assurance habitation. Mais si vous ne le faites pas, vous devrez assumer financièrement les dommages causés à votre habitation et à son contenu en cas de sinistre. Il est donc ici aussi recommandé de prendre une assurance habitation. En revanche, si vous achetez le bien à l’aide d’un crédit hypothécaire, votre banque vous imposera de souscrire une assurance habitation. Votre maison représente en effet pour la banque la garantie du remboursement de votre crédit !
Si vous êtes propriétaire d’un bien que vous mettez en location, demandez à votre locataire, via le contrat de bail, de souscrire une assurance habitation. Celle-ci devra couvrir les dégâts qu’il occasionnerait à votre bien ainsi que sa responsabilité vis-à-vis d’autres personnes comme les voisins par exemple.
Faites votre shopping !
En matière d’assurance habitation, les tarifs peuvent varier du simple au double. Il est donc vivement conseillé de comparer les différentes offres qui coexistent sur le marché. Pour ce faire, recourez à un comparateur d’assurances qui vous permettra, en tout objectivité, d’opter pour le contrat qui vous convient le mieux, y compris en termes de tarif.
Ne jetez pas votre vieille peinture à cause des grumeaux ! Découvrez notre astuce pour lui donner une seconde vie
Idéalement, pour stocker une peinture dans des conditions optimales, quelques précautions sont à prendre. Dans tous les cas, il faudra toutefois redonner un petit coup de jeune à votre ancienne peinture avant de la réutiliser.
Mélangez activement
Après avoir ouvert le couvercle, observez l’état de la peinture. Si vous constatez la présence d’une pellicule durcie, essayez de la retirer au maximum. Dans tous les cas, il faudra ensuite mélanger activement votre ancienne peinture afin de retrouver un mélange le plus homogène possible. Une longue période de stockage a, en effet, souvent tendance à « déphaser » la peinture. Pour mélanger efficacement la peinture, utilisez énergiquement une simple petite palette en bois. Mais vous pouvez aussi utiliser un malaxeur à monter sur un outil électrique portatif, comme une foreuse ou une visseuse. Privilégiez si possible un outil dont la vitesse de rotation est réglable (inutile de tourner trop vite) et faites, dans tous les cas, attention aux éclaboussures ! Si vous comptez acheter d’autres pots de peinture ou des accessoires (rouleaux, pinceaux, etc.), vous pouvez toujours aussi emporter votre ancien pot avec vous au magasin afin de profiter du mélangeur professionnel de votre vendeur. Celui utilisé pour mélanger les pigments de couleur dans une nouvelle peinture.
Des grumeaux ?
Si malgré vos efforts, vous notez la présence de grumeaux dans la peinture même après un mélange énergique, pas de panique : il est possible de les filtrer assez simplement. Comment ? Grâce à un ancien bas en nylon. Installez-le autour d’un pot vide et faites couler doucement l’ancienne peinture au travers de ce filtre de fortune ainsi créé. C’est simple, pas cher et très efficace pour retenir les anciens morceaux de peinture durcis.