Auteur : francois

  • Panneaux photovoltaïques : plutôt avec un compteur simple ou bihoraire ?

    Faut-il opter pour un compteur simple ou jour/nuit pour ses panneaux photovoltaïques ? Découvrez les avantages et inconvénients de chaque solution.

    Avec une utilisation réfléchie des consommateurs, le compteur bihoraire peut être nettement plus intéressant. Toutefois, dans le cas d’une installation photovoltaïque, il peut effectivement se montrer contre-productif.

    Prenons l’exemple d’une installation fournissant 3.000 kWh sur une base annuelle, pour une consommation du ménage de 3.200 kWh.

    • Avec un compteur simple, vous ne payerez que 200 kWh.
    • Avec un compteur bihoraire, on estime généralement que la production se fait à 75% sur le mode « jour ». Si votre consommation est équitablement répartie entre les modes jour et nuit, vous consommerez 1.600 kWh en mode jour. Hors, vous aurez produit 2.250 kWh durant cette période et aurez donc « perdu » 650 kWh qui ne vous seront pas remboursés !En mode « nuit », en revanche, votre production de 750 kWh ne servira pas à compenser votre consommation et vous devrez donc payer l’utilisation de 850 kWh!

    Ce n’est donc jamais avantageux ?

    Si, le compteur bihoraire peut être avantageux si votre production d’électricité ne parvient pas à couvrir votre consommation. Plus votre consommation est supérieure à votre production, plus un compteur bihoraire se révèle intéressant. C’est notamment le cas dans les villes, où les toits ne sont pas suffisamment grands : le nombre de panneaux est alors limité, ce qui limite donc tout autant la production d’électricité. C’est également le cas pour les ménages qui sont de gros consommateurs d’électricité (voiture électrique, chauffage électrique…).

    Changer de compteur, c’est facile ?

    Oui, il suffit d’en faire la demande à votre gestionnaire de réseau. Passer d’un compteur simple à un bihoraire peut coûter jusqu’à 250 euros. A l’inverse, passer d’un compteur bihoraire à un compteur simple peut se faire à distance et coûte une quarantaine d’euros.

  • Nos astuces pour éclaircir l’eau de votre piscine

    À cause des bactéries et des saletés qui s’accumulent dans l’eau de la piscine, celle-ci peut être troublée voire changer de couleur. De quoi dégrader son aspect esthétique. Voici comment éviter ces désagréments.

    pool
    Juan Patlan

    Il convient tout d’abord d’identifier la source du problème. En effet, une eau trouble ou qui tend vers le vert peut avoir plusieurs origines : une quantité de chlore dans l’eau sous la normale, une accumulation de bactéries dans le filtre du bassin, un pH déséquilibré ou encore une eau trop chargée en calcaire.

    Une eau claire résulte d’un savant équilibre entre différents facteurs. Mais le tout peut être perturbé par les caprices de la météo comme une forte pluie ou un orage. En effet, les minéraux et autres éléments présents dans l’eau de pluie peuvent concourir à troubler l’eau en modifiant son pH. Mais ce n’est pas tout. Le bassin peut également être rempli avec des feuilles mortes. Lorsque celles-ci se mettent à se désagréger, elles se transforment en sédiments qui vont former de la mousse ou des algues au fond de l’eau. Des algues qui ne sont pas toujours de couleur verte. En effet, certaines d’entre elles se distinguent par une teinte blanchâtre et qui peut résulter en une eau laiteuse.

    Les étapes à suivre

    Pour que l’eau de votre bassin retrouve son aspect habituel, il convient de passer par plusieurs étapes. La première d’entre elles est de retirer tous les débris organiques qui se trouvent à la surface de l’eau, à l’aide d’une épuisette ou d’un petit filet. De quoi débarrasser efficacement l’eau de la piscine des feuilles mortes, des insectes ou encore des éventuelles brindilles. Ensuite, pour obtenir une eau limpide, mieux vaut activer les filtres qui l’équipent tout au long de la journée. Durant le processus de filtration, profitez-en pour vérifier la pression indiquée par l’appareil. Si celle-ci se situe entre 4 et 5 kg, vous pouvez procéder au nettoyage des filtres.

    Il vous faudra aussi tester l’eau de la piscine afin de déterminer son pH ainsi que le taux de chlore et d’acide cyanurique. Des kits dédiés qui consistent en une série de bandelettes vous permettront d’effectuer ces tests très facilement. Si les différents taux sont en dessous de la normale, il faudra effectuer les ajustements nécessaires. Généralement, le taux de chlore doit varier entre 1 et 3  ppm, le pH doit osciller entre 7,2 et 7,4 ppm et, enfin, l’acide cyanurique doit afficher un taux autour de 40 ppm. Enfin, il faudra également contrôler la dureté de l’eau ainsi que son alcalinité.

    Enfin, si la turbidité de l’eau persiste, il existe des produits chimiques éclaircissants que l’on appelle floculants. La quantité à verser dans l’eau du bassin dépend d’un fabricant à l’autre. Reportez-vous donc aux instructions reprises sur l’emballage du produit. Les éclaircissants d’eau vont contribuer à agglutiner les petites particules présentes dans l’eau ce qui permettra aux filtres de les aspirer plus facilement.

  • Pouvez-vous tondre le soir ?

    Vous rêvez de tondre votre pelouse sous le clair de lune ? Avant de vous lancer dans cette aventure nocturne, découvrez si votre commune vous donne le feu vert !

    Lawn mover
    Carl Tronders

    Tout dépend de la commune où vous habitez. La plupart des communes tolère l’utilisation de la tondeuse entre 8h et 20h, certaines, notamment les plus rurales, repoussant l’heure limite à 22 h. sachez toutefois que selon les communes, des dérogations signées par le bourgmestre peuvent être octroyées. Mais ce sont généralement des cas très spécifiques et concernant des maisons très isolées.

    Il est également difficile de parler de nuisances sonores si la nuisance en question ne se produit qu’une fois par semaine. L’utilisation de divers outils sonores, systématiquement le soir, peut toutefois conduire vos voisins à appeler la police et à obtenir gain de cause. Soyez donc vigilant et agissez avec bon sens, dans le respect du voisinage. Une communication ouverte avec vos voisins peut éviter des malentendus et renforcer la bonne entente.

  • De l’eau distillée pour vos plantes : une bonne idée ?

    Vous prenez le plus grand soin de vos plantes et vous vous demandez, à juste titre, quelle est la meilleure eau pour les arroser. On fait le point !

    watering plant
    Simona Takareviciute

    Dans leur milieu naturel, les plantes profitent des averses de pluie et de la rosée pour s’hydrater et faire le plein de nutriments. Mais à l’intérieur de la maison, il n’est bien entendu pas possible d’exposer les plantes à la première averse venue. Il convient donc d’arroser celles-ci à l’aide d’eau mais laquelle choisir entre l’eau de ville, l’eau en bouteille ou encore l’eau déminéralisée ou distillée ?

    Gratuite et riche en oligo-éléments indispensables à la bonne croissance des plantes, l’eau de pluie est la meilleure option. Dans la mesure du possible, il faut donc tenter de prélever celle-ci, avec un récupérateur d’eau couplé à une gouttière (si vous disposez d’un jardin ou d’une terrasse), chose qui n’est pas toujours possible, surtout si l’on vit en appartement.

    Autre option : l’eau du robinet qui est une bonne alternative, à condition de prendre quelques précautions. En effet, les plantes calciphobes (c’est-à-dire celles qui ne poussent pas dans un sol calcaire), dont la majorité des plantes carnivores et des fougères, ont en horreur l’eau de distribution. Car si celle-ci, comme l’eau de pluie, apporte certains des nutriments essentiels à la croissance des végétaux dont le calcium, le magnésium ou encore le phosphore, elle contient aussi du chlore et du calcaire en quantité souvent trop élevée pour les plantes d’intérieur. Des sels minéraux trop nombreux qui ne peuvent être absorbés et qui nuisent au bon développement des feuilles notamment.

    Le même constat peut être fait avec l’eau minérale en bouteille, trop riche en minéraux. Un arrosage trop régulier à l’aide de celle-ci va contribuer à ralentir la pousse de vos plantes et risque en outre de les faire mourir. L’eau de source en revanche est une bonne alternative à l’eau de pluie car elle ne contient ni produits chimiques, ni conservateurs et est en outre pauvre en minéraux.

    Enfin, quid de l’eau déminéralisée ou distillée ? Dénuée de minéraux, celle-ci se contente d’humidifier le substrat, mais ne nourrit en rien la plante. Cette eau ne convient donc pas à la majorité des variétés. En revanche, elle est recommandée pour les espèces qui, comme les plantes carnivores, ne prélèvent pas leurs nutriments de la terre. Elle est aussi idéale pour la brumisation des végétaux.

  • Ramoner sa cheminée : une obligation ?

    Les statistiques sont implacables : un tiers des incendies chez les particuliers sont provoqués par un feu de cheminée ! Ramoner régulièrement celle-ci est donc un vrai gage de sécurité. Mais est-ce obligatoire ?

    Chimney sweep cleaning
    Que vous vous chauffiez au mazout, au bois ou encore au charbon, la combustion de ces carburants entraîne des dépôts de suie ou de goudron qui, avec le temps, finissent par s’accumuler dans le conduit de la cheminée et qui, en outre, sont susceptibles de prendre feu. Seule l’opération de ramonage permet d’évacuer ces dépôts inflammables.

    Deux techniques de ramonage cohabitent.

    • La première consiste à ramoner la cheminée par l’intérieur (donc par le bas de la cheminée) à l’aide d’une brosse métallique ou synthétique qui est fixée sur une perche.
    • La seconde se fait depuis l’extérieur, et donc depuis le haut de la cheminée, ici aussi à l’aide d’une brosse spécifique qui est pour sa part accrochée à un câble au bout duquel est fixé un poids.

    Dans un cas comme dans l’autre, le ramoneur effectue un mouvement de va-et-vient afin de décrocher et de dégager les dépôts fixés sur les parois du conduit. Une fois l’opération effectuée, le professionnel à qui vous avez fait appel se chargera d’aspirer et de nettoyer le bas de la cheminée. La manœuvre permet aussi de vérifier que le conduit n’est pas obstrué par un nid d’oiseau ou par un élément de la toiture qui se serait détaché.

    Que dit la loi ?

    Tout dépend en fait à quoi est reliée votre cheminée. Dans le cas d’un poêle ou d’un feu ouvert, alimenté au bois ou à l’aide de pellets, vous êtes légalement tenu de faire ramoner votre conduit une fois par an. Rien ne vous empêche néanmoins de jouer la carte de la prudence et de faire ramoner votre cheminée plus régulièrement, surtout si vous vous chauffez au bois toute l’année ! Pour ce qui est des chaudières conventionnelles, le conduit doit être inspecté lors du contrôle périodique PEB (qui est désormais obligatoire), par un professionnel agréé.

    Ce contrôle PEB comporte un entretien de la chaudière, du dispositif d’évacuation des fumées, le réglage du brûleur et la vérification de certaines exigences relatives, notamment, aux émissions de la chaudière lorsqu’elle fonctionne. La fréquence du contrôle varie selon le combustible, à savoir tous les deux ans pour les chaudières et chauffe-eau au gaz et chaque année pour les chaudières au mazout.

    Est-ce au locataire ou au propriétaire à faire ramoner la cheminée ?

    Le locataire étant responsable de l’entretien de l’habitation et de ses équipements, donc aussi de la cheminée et de la chaudière, c’est à lui qu’incombe d’assurer le ramonage des conduits d’évacuation.

    Le propriétaire, pour sa part, est responsable des réparations (par exemple des briques qui se détachent dans la cheminée) et c’est donc à lui de les payer. Ces obligations sont généralement précisées dans le contrat de bail.

  • Terrasse en bois composite : avantages et inconvénients

    Que cela soit pour ses aspects pratiques ou dans le but de ne pas recourir à du bois naturel, nombreux sont ceux qui optent pour le bois composite pour recouvrir une terrasse. Voici les avantages et inconvénients de ce matériau qui gagne en popularité.

    On le sait, une terrasse en bois exige un minimum d’entretien. Si ce n’est pas le cas, ce matériau naturel peut rapidement se décolorer voire se déformer ou se craqueler. Dans un souci pratique, nombreuses sont les personnes qui se tournent donc vers le bois composite qui présente de nombreux avantages, sans pour autant être dénué d’inconvénients.

    Les points forts

    Le gros avantage revendiqué par le bois composite est sa facilité d’entretien. S’ajoute à cela une résistance optimale à la vermine, aux intempéries et aux taches, ainsi que la possibilité d’opter pour de nombreuses textures et couleurs. Mais ce n’est pas tout. En effet, les fabricants de bois composite misent de plus en plus sur la dimension écoresponsable de leurs produits. Car même s’il est constitué d’un savant mélange de bois et de matières plastiques, il s’agit généralement de matériaux recyclés avec une proportion qui grimpe parfois à plus de 90 % !

    En ce qui concerne le look de ce matériau, l’esthétique progresse avec une imitation des aspérités naturelles du bois de plus en plus réaliste. Certains fabricants parviennent même à produire des lames qui sont toutes différentes avec des motifs qui ne sont donc jamais identiques.

    Enfin, le bois composite a le gros avantage de ne pas travailler dans le temps. Les lames conservent donc leur place initiale. De plus, tous les fabricants européens avancent une grande facilité d’entretien de leurs produits. Généralement, de l’eau et du savon suffisent à nettoyer les lames. Le tout est lié à une garantie qui peut aller jusqu’à 30 ans pour les produits les plus haut de gamme !

    Les points faibles

    Si l’esthétique du bois composite tend à imiter son cousin naturel, le résultat final est pourtant parfois loin d’être convaincant. Mieux vaut donc opter pour un produit de bonne facture afin de ne pas être déçu. Sans cela, on tombera inévitablement sur des produits aux lames répétitives, aux tons artificiels ou encore aux motifs grossiers.

    Enfin, autre ombre au tableau : le prix, avec des tarifs qui en décourageront plus d’un. En effet, il faut parfois compter jusqu’à 80 voire 100 € du m2 pour trouver un produit convaincant !

  • Onduleur qui décroche : pourquoi, que faire et qui contacter ?

    Les cas de décrochage d’onduleurs se multiplient dans le pays. Si c’est le cas, cet appareil se met en sécurité pour préserver l’installation photovoltaïque et celle-ci ne produit alors plus d’électricité.

    Le phénomène est devenu récurrent et concerne de nombreux propriétaires de panneaux solaires : lorsque la luminosité est intense (principalement entre 10 et 17 heures) et que le réseau électrique local est très sollicité par la production solaire, il arrive que l’onduleur de l’installation photovoltaïque décroche. Encore marginal il y a quelques années, le problème se multiplie au sein de nombreux foyers belges au point de devenir un réel problème qui va contraindre les autorités publiques à investir massivement dans le réseau électrique.

    Pourquoi l’onduleur décroche ?

    Les décrochages d’onduleurs sont principalement dus à l’augmentation exponentielle du nombre d’installations photovoltaïques dans le pays, avec une hausse de près de 50 % en deux années ! S’ajoute à cela un réseau électrique qui n’est pas à la hauteur de la transition énergétique. Outre la production d’électricité verte par les particuliers, il faut aussi désormais faire face à une demande en électricité exponentielle, qui s’explique notamment par le boom des voitures électriques et des pompes à chaleur, très gourmandes en énergie. Seules solutions pour répondre à cette augmentation : renforcer le réseau électrique mais aussi sensibiliser la population à consommer lorsque la production d’électricité verte est la plus forte.

    Que faire et qui contacter ?

    En cas de décrochage régulier de votre onduleur, la meilleure chose à faire est de prendre contact avec votre gestionnaire de réseau électrique (Ores et Resa en Wallonie, Sibelga à Bruxelles et Fluvius en Flandre). En effet, pour pallier le décrochage de cet appareil indissociable de toute installation solaire, le gestionnaire peut agir localement, en ce compris chez le particulier. En effet, quand il s’avère que deux voisins injectent leur électricité sur la même phase, le gestionnaire peut rééquilibrer les phases pour permettre une injection plus forte sur le réseau.

    Une intervention peut aussi être effectuée auprès de la cabine électrique la plus proche. Dans les quartiers qui comptent de nombreuses installations photovoltaïques, il est possible de régler le transformateur local pour lui permettre d’absorber une plus grande production d’électricité.

    Mais ce ne sont que des mesures à court et moyen termes. A plus longue échéance, des travaux de renforcement du réseau s’imposent avec, notamment, un recâblage, le remplacement des cabines vieillissantes et le passage de 230 à 400 volts en triphasé. Une sensibilisation de la population sera tout aussi indispensable avec pour objectif d’arriver à une consommation synchrone. Autrement dit, nous allons devoir apprendre à consommer en temps réel, au moment où la production est la plus forte.

  • Badigeonner vos murs : quels avantages et quel prix ?

    Rafraîchissez vos murs avec le badigeon qui est une technique ancestrale. On vous donne ses avantages et une idée de budget !

    Qu’est-ce que le badigeon ?

    La peinture à l’argile est une technique de peinture utilisée depuis des siècles. Avec un pinceau, vous appliquez une fine couche de chaux sur vos murs, souvent directement sur la maçonnerie. Cette peinture peut être appliquée tant sur vos murs intérieurs qu’extérieurs. La peinture à la chaux est un choix judicieux car elle protège votre maison de l’humidité et peut cacher toutes les irrégularités de vos murs. De plus, le badigeon n’est pas déplaisant à la vue !

    Les avantages

    Cette technique convient à la fois pour vos murs intérieurs et extérieurs, ce qui vous permet de créer une certaine uniformité. C’est une solution intelligente pour les façades sablées qui nécessitent une couche de protection supplémentaire. Cette peinture est également idéale pour réparer les fissures et les crevasses de vos murs et les effacer complètement de votre vue. Elle donne également à votre maison un aspect élégant !

    Quel prix ?

    Si vous souhaitez une finition soignée et une protection optimale, il est préférable de confier la peinture à des professionnels. C’est un travail de patience, car différentes couches sont appliquées sur vos murs sur différentes périodes. Toutefois, si vous êtes bricoleur dans l’âme et disposez du matériel adéquat, n’hésitez pas à vous lancer dans le processus !

    Un professionnel demandera entre 25 et 40 € par mètre carré. Bonne nouvelle, le résultat résistera longtemps aux affres du temps. Il s’agit donc d’un investissement durable et très respectueux de l’environnement puisque vous travaillez avec des matériaux naturels.

  • 7 conseils pour créer la petite annonce idéale

    Une petite annonce bien rédigée fait vendre. Mais comment la rédiger correctement ? Comment faire la différence ? Voici 7 conseils pour donner des ailes à votre annonce ! N’oubliez pas non plus que c’est un métier et qu’en cas de doute, un agent immobilier ajoutera une vraie valeur à votre annonce !

    Conseil 1 : Ne pas exagérer

    Soyez honnête, complet et n’exagérez pas. Les personnes qui cherchent une maison désirent connaître l’état précis du bien. Soyez très précis dans vos descriptions, n’exagérez pas et soyez clair. Cela évite de nombreuses frustrations…

    Conseil 2 : Indiquez ce qui doit être rénové ou ce qui a été rénové

    Votre propriété n’a pas besoin d’être parfaite, mais indiquez clairement quelles pièces doivent être rénovées. De cette façon, les bricoleurs savent ce qui les attend. Si vous avez récemment rénové certaines pièces, assurez-vous de mettre cela en évidence. Après tout, la plupart des gens recherchent une maison en ordre, où rien n’a besoin d’être rénové.

    Conseil n°3 : Faire attention à l’orthographe

    Une annonce pleine de fautes d’orthographe ne peut être prise sérieusement. N’oubliez donc pas de vous relire !

    Conseil 4 : Dévoiler tout le potentiel !

    Rêvez un peu : qu’est-il possible de faire de votre maison ? Peut-on aménager un garage sur le côté, transformer le grenier en salle de cinéma, ouvrir la cuisine sur le living ? Indiquez tout cela !

    Conseil n°5 : Le quartier

    Ne vous limitez pas à la description de votre maison, mais donnez aussi quelques informations sur le quartier, surtout si ce dernier est particulièrement agréable !

    Conseil n°6 : De bonnes photos

    Les photos sont d’une importance capitale. Assurez-vous d’avoir un bon appareil, suffisamment de lumière pour des clichés de qualité.

    Conseil n°7 : mettre l’accent sur les caractéristiques uniques

    Un parquet massif, un grand jardin ou une cuisine de marque ? Jouez sur ces caractéristiques qui rendent votre maison unique.

  • 5 bons réflexes pour réduire votre consommation en eau

    À l’heure où les périodes de canicule se multiplient et où l’eau se raréfie, économiser l’or bleu relève du bon sens. Pour ce faire, il suffit d’adopter quelques bonnes habitudes qui vous permettront d’en épargner de nombreux litres.

    water
    David Becker

    Que cela soit pour diminuer le montant de votre facture d’eau ou tout simplement pour respecter l’environnement, réduire sa consommation quotidienne en eau est un réflexe que tous les citoyens devraient adopter. Car on a tendance à trop vite l’oublier : l’eau n’est pas une ressource inépuisable, au contraire de ce que l’on pourrait croire. Non loin de la Belgique, des pays comme la France, l’Espagne ou encore l’Italie doivent aujourd’hui faire face à d’importantes pénuries en eau. Et notre pays pourrait bien lui aussi en être victime d’ici quelques années. Autant donc adopter et inculquer aux plus jeunes une série de bons réflexes.

    Opter pour une chasse économique

    Votre habitation est toujours équipée d’une chasse traditionnelle qui, chaque fois qu’elle est tirée, envoie une dizaine de litres d’eau potable dans vos canalisations ? Alors il est temps de faire remplacer celle-ci par une chasse économique. Équipée de deux boutons, celle-ci permet d’effectuer des petites comme des grandes chasses, en fonction des besoins. De quoi économiser de nombreux litres tout au long de l’année !

    Installer une citerne d’eau de pluie

    Si vous disposez d’un jardin voire d’un balcon situé à proximité d’une gouttière, pensez à installer une citerne d’eau de pluie. L’eau qui sera ainsi récoltée vous permettra d’arroser vos plantes, d’alimenter vos toilettes, voire, si vous vous équipez d’un bon système de filtration, d’utiliser l’eau pour faire vos lessives. N’oubliez toutefois pas de nettoyer régulièrement votre citerne, pour éloigner les microbes !

    Réutiliser l’eau pour arroser vos plantes

    Eau utilisée pour laver les légumes, eau de cuisson refroidie, eau récupérée dans votre séchoir à condensation, nombreux sont les moyens de récupérer quelques litres qui conviendront parfaitement à vos plantes, et ce tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.

    Se laver pas se baigner

    Un bain exige entre 40 et 70 l d’eau de plus qu’une douche ! Privilégiez donc celle-ci et coupez l’eau lorsque vous vous savonnez ou shampouinez. Et faites en de même lorsque vous vous brossez les dents ! Ainsi, vous économiserez environ 12 l par minute, soit plus d’une centaine d’euros par an !

    Une vaisselle intelligente

    Dans le même ordre d’idées, ne laissez pas couler l’eau lorsque vous faites la vaisselle. Si votre évier dispose de deux bacs, le mieux est de dédier l’un d’eux à la vaisselle et l’autre au rinçage. Aussi, sachez qu’un lave-vaisselle en mode Eco consomme moins qu’une vaisselle équivalente faite à la main !

    Votre installation sanitaire est-elle au top ?

    Aucune canalisation, même récente, n’est à l’abri d’une fuite. Faites donc inspecter votre installation sanitaire en cas de doute et, si nécessaire, faites réparer les fuites éventuelles. Profitez-en pour installer des mitigeurs pour diminuer le débit de vos robinets. En moyenne, ceux-ci permettent d’épargner plus de 2.000 l/an !