Auteur : francois

  • Voici comment nettoyer un miroir sans laisser de trace

    On le sait, les miroirs sont des accessoires qui se salissent rapidement, surtout lorsqu’ils sont placés dans la salle de bain ou les toilettes. Apprenez à nettoyer vos miroirs sans traces avec des astuces simples et des ingrédients naturels !

    clean mirror

    1.   Dépoussiérer

    Avant toute chose, il convient de dépoussiérer la surface du miroir à l’aide d’un chiffon microfibre bien sec. C’est, de loin, le moyen le plus efficace de débarrasser le verre de toutes les particules de poussière. C’est seulement après cette opération que vous pourrez entamer le nettoyage proprement dit.

    2.   Des ingrédients naturels

    Pour ce faire, inutile d’investir dans une kyrielle de produits chimiques ! En effet, les ingrédients les plus usuels fonctionnent parfaitement. C’est le cas du vinaigre blanc, du jus de citron et de… la pomme de terre ! Les deux premiers se mélangent avec de l’eau chaude. Le vinaigre et l’eau peuvent être aspergés sur le miroir à l’aide d’un vaporisateur.

    Dans le cas du jus de citron et de l’eau, on applique le mélange directement sur le miroir à l’aide d’un chiffon.

    En fin d’opération, on finit en essuyant la surface du verre à l’aide d’une microfibre propre et sèche. Pour ce qui est de la pomme de terre, on frotte sa peau (côté chair) directement sur la vitre du miroir puis on rince avec un chiffon humide. On finit par essuyer avec un chiffon doux.

    3.   Ammoniaque

    Pour les miroirs qui nécessitent un nettoyage en profondeur, c’est l’ammoniaque qui se révèle la plus efficace. Mélangée à l’eau (en respectant le dosage recommandé par le fabricant), elle aura pour effet de retirer toutes les traces possibles sur n’importe quelle surface, même sur les miroirs les plus anciens !

  • Installer un jacuzzi chez soi : les éléments à tenir à l’œil

    Avec les prix des jacuzzis qui se sont démocratisés, nombreux sont les Belges qui passent le cap de l’achat, que cela soit pour le jardin ou pour l’extérieur de la maison. Voici les éléments à prendre en compte avant de craquer.

    jacuzzi
    De nos jours, installer un jacuzzi dans son jardin ou dans une pièce de la maison n’a plus rien d’inconcevable. Les prix des “spas” se sont en effet démocratisés tout comme leur conception qui les rend particulièrement faciles à installer.

    Quel modèle ?

    Les jacuzzis de dernière génération sont généralement conçus pour être installés tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Pour autant, leur emplacement final ne doit pas être choisi à la légère étant donné qu’une série de contraintes liées à leur installation sont à prendre en compte mais aussi parce qu’un jacuzzi doit pouvoir être utilisé facilement et quand on le souhaite. En la matière, les modèles gonflables demeurent un must étant donné qu’ils peuvent facilement être déplacés voire démontés. Et dans tous les cas, on veillera à la présence d’une prise électrique à proximité.

    Dans quelle pièce ?

    Si l’on opte pour un placement à l’intérieur, on pourra profiter de son spa toute l’année, quel que soit le temps. Vous serez aussi préservé du regard de vos voisins. Enfin, la température au sein de votre logement étant relativement stable, vous consommerez moins d’électricité pour chauffer l’eau du bain à bulles qu’à l’extérieur. Selon la configuration de votre maison, vous pourrez installer votre jacuzzi dans une cave, une véranda, voire au garage, à condition que ces pièces soient correctement aérées. En effet, du fait de la vapeur générée, il est impératif que la pièce qui accueille le jacuzzi soit équipée comme une salle de bain, c’est-à-dire avec une ventilation efficace pour évacuer l’humidité, avec idéalement une ouverture sur l’extérieur en plus de la ventilation et avec des matériaux au sol et aux murs qui ne sont pas sensibles à l’humidité et aux éclaboussures. Enfin, le sol doit être antidérapant et étanche et la résistance à la charge du sol est à vérifier avant l’installation, surtout dans un appartement !

    Et dehors ?

    À l’extérieur, à défaut d’une piscine, disposer d’un spa dans son jardin est gage de beaux moments de détente. Si vous le placez sous un abri, vous pourrez même l’utiliser sous la pluie ! Choisissez une zone qui vous garantit d’être à l’abri des regards. Évitez également les emplacements en plein soleil car ce dernier va contribuer à détériorer plus rapidement les matériaux qui composent le bain, et ce même si celui-ci est pourvu d’un revêtement protecteur.

    De plus, avec la chaleur et la lumière, l’eau de votre spa prendra vite une couleur peu ragoûtante, algues et autres bactéries ayant plus facilement tendance à se développer en plein soleil. Enfin, bien que le bruit émis par le moteur soit de plus en plus faible, veillez tout de même à ce qu’il ne puisse pas gêner vos voisins les plus proches.

  • Grillage souple : avantages et inconvénients

    Que cela soit pour clôturer votre jardin sans pour autant briser la vue, pour se protéger de toute intrusion ou encore pour délimiter l’étendue d’une propriété, le grillage a la cote. Voici les avantages et inconvénients du grillage souple.

    flexible fencing
    C’est la question incontournable que l’on se pose lorsqu’on envisage de clôturer un terrain : faut-il opter pour un grillage souple ou pour son pendant rigide ? Nous faisons le point sur la première proposition, généralement moins onéreuse et plus facile à manipuler.

    Les avantages du grillage souple

    Dans le commerce et auprès des détaillants spécialisés, deux alternatives sont proposées en matière de grillage : les versions souples et les rigides. Si l’une et l’autre sont avant tout utilisées pour délimiter un terrain ou une propriété, on peut aussi leur ajouter bien d’autres usages : ils protègent des intrusions (qu’elles soient humaines ou animales), ils empêchent les animaux de sortir d’un enclos, ils peuvent occulter la vue s’ils sont placés derrière une haie et, enfin, ils peuvent également servir de support à des plantes grimpantes.

    Encore faut-il choisir entre ces deux alternatives… Une fois le métrage défini pour clôturer votre terrain et que vous avez opté pour un type de piquets et d’éventuelles quincailleries, il faut porter son choix sur l’option souple ou, au contraire, pour un grillage fixe. Pensez tout d’abord au transport. En effet, le grillage rigide est proposé en panneaux tandis que le souple l’est en rouleaux. Des panneaux qui peuvent vite se montrer lourds et encombrants. En revanche, les rouleaux de grillage souple seront plus faciles à manœuvrer mais aussi à découper.

    Intéressez-vous aussi au maillage de votre grillage. En effet, plus le maillage sera fin, plus le grillage sera solide et rigide. La manière dont les mailles sont fabriquées a également son importance : un grillage soudé est généralement gage d’une bonne qualité car les carrés sont imbriqués les uns dans les autres. En revanche, moins solides, les mailles à torsion présentent des fils noués une ou deux fois, en forme de losanges.

    La solidité du grillage dépend aussi du matériau employé. En acier nu, le grillage sera solide mais vulnérable aux intempéries ou à la corrosion. Mieux vaut donc opter pour une version galvanisée ou plastifiée. Dans ce dernier cas, une couche de PVC le préservera de la pluie, et offre en outre un nuancier de couleurs quasiment infini.

    Enfin, en ce qui concerne le budget, sachez aussi que plus le grillage est rigide, plus il sera onéreux. En effet, comptez une cinquantaine d’euros par mètre linéaire pour un panneau mais seulement quelques euros par mètre pour un rouleau de grillage souple. Il ne vous reste plus qu’à faire votre choix en tenant compte de ces différents éléments.

  • Quelle porte de garage choisir ? Voici nos recommandations !

    Avant de jeter votre dévolu sur une nouvelle porte de garage, il convient de se pencher sur une série de détails qui ont leur importance.

    On n’y pense rarement mais une porte de garage doit assurer différentes missions. En effet, elle se doit de maintenir une sécurité optimale, elle doit garantir une bonne isolation thermique et, enfin, être facile à manœuvrer. Une fois ces éléments pris en compte, il faut ensuite choisir sa porte en fonction de ses besoins et de la configuration du garage à équiper.

    Quel type de porte ?

    C’est la situation de votre garage qui va déterminer quelle porte choisir. En effet, si la place n’est pas suffisante pour accueillir un modèle qui se glisse au plafond ou le long des pans de mur, il est conseillé de choisir une porte de garage à enroulement. Celle-ci s’enroule alors dans un coffre situé au plafond et permet un gain de place considérable dans le garage. Un modèle qui est parfaitement adapté aux petits garages et à ceux donnant directement sur la rue.

    Autre cas de figure : les murs sont d’ores et déjà occupés mais le plafond de la pièce est dégagé. Vous pouvez alors opter pour une porte basculante dont le panneau vient se loger parallèlement au plafond. Si ce dernier est trop bas, il convient de plutôt choisir une porte sectionnelle latérale. Dans ce cas, les vantaux glissent le long du mur pour s’ouvrir. En revanche, vu son fonctionnement, ce type de porte nécessite de condamner le mur sur lequel elle glisse.

    Enfin, pour un look plus traditionnel ou si votre garage est une pièce destinée à être bien encombrée, vous pouvez choisir une double porte battante. Les deux vantaux s’ouvrent vers l’extérieur et pivotent sur des charnières scellées dans la maçonnerie. Elle fonctionne donc à la manière d’un portail. Comme il n’y a aucun débordement vers l’intérieur, toute la surface intérieure du garage est utilisable.

    Outre la configuration du garage, les habitudes et les besoins sont des éléments qui sont également déterminants au moment d’arrêter votre choix. En effet, dans le cas d’un garage qui est utilisé comme pièce à vivre, il faudra veiller à bien l’isoler thermiquement mais aussi à la sécuriser convenablement.

    Enfin, pour un confort d’utilisation au quotidien lorsque le garage sert à héberger votre véhicule, une porte de garage électrique motorisée peut se révéler très intéressante.

  • Économies d’énergie : à quelle température faut-il régler son frigo ?

    Le frigo est un accessoire essentiel dans la cuisine. C’est aussi un des plus gourmands en énergie ! 

    Fridge
    Dev Benjamin

    Pour un fonctionnement optimal du frigo et donc une bonne conservation des aliments qui y sont entreposés, la température de cet électroménager incontournable doit être optimisée avec les réglages adéquats.

    Quelle est la température idéale d’un réfrigérateur ?

    La majorité des experts s’accordent sur un point : dans un frigo, la température idéale doit avoisiner les +4°C. Il est donc recommandé d’opter pour une température allant de +1°C à +5°C maximum, avec la température la plus froide en partie haute pour les modèles à froid statique.

    La température idéale des modèles à froid brassé ou à froid ventilé (c’est à dire la majorité des frigos de nouvelle génération) se situe en revanche entre 0° et +4°C. Cette fourchette de température garantira la bonne conservation des aliments d’une part, mais permettra aussi d’éviter le développement de bactéries d’autre part, notamment sur les aliments sensibles comme la viande, le poisson ou encore les laitages.

    Si les thermostats intégrés aux frigos permettent un réglage aisé du froid, en tournant un bouton voire en sélectionnant la température sur la porte de l’électroménager, rares sont ceux qui délivrent une information précise sur la température qui règne à l’intérieur du réfrigérateur. C’est pour cette raison qu’il faut se munir d’un thermomètre spécial frigo que l’on placera à l’intérieur de l’appareil, dans un verre d’eau afin de pouvoir contrôler sa température. Notez que de l’eau qui coule dans le réfrigérateur ou encore de la glace qui se forme sont autant d’indications que la température n’est pas correctement paramétrée !

    Comment règle-t-on la température d’un frigo ?

    Certains réfrigérateurs sont équipés d’un thermostat souvent réglé sur 5°C. Veillez à ce que la température varie entre 0 et 4°C et ne dépasse jamais les 7°C. Lorsque le frigo est réglable avec un bouton (par exemple de 1 à 6 ou de 1 à 10), tournez-le d’environ 60 % : réglez à 3 sur une échelle de 5 et à 6 sur une échelle de 10. Vous pouvez également opter pour un thermomètre dédié que vous placerez dans votre réfrigérateur. Patientez une heure avant de vérifier la température affichée et de régler à nouveau, si besoin, la température de votre frigo.

  • 5 astuces pour limiter la propagation de la poussière dans la maison

    La poussière est le cauchemar de toute personne appréciant un intérieur propre et bien rangé. À tel point que pour certains, la chasser peut virer à l’obsession, tant celle-ci a tendance à être perpétuellement de retour.

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    Quoi de plus frustrant que de s’apercevoir que la commode qu’on a dépoussiérée hier est d’ores et déjà maculée de fines particules de poussière ? Bonne nouvelle : il existe une série d’astuces pour limiter la multiplication de celles-ci dans nos intérieurs. Des gestes doublés de bons réflexes, souvent simples à adopter, qui vous éviteront de devoir passer le chiffon quotidiennement.

    1.   Installez deux paillassons

    Dans la majorité des cas, la poussière provient de l’extérieur de la maison. Il faut donc tout faire pour ne pas “l’importer” dans nos quatre murs. Une tâche qui est loin d’être évidente puisque pollens et saletés ont tendance à se fixer sous nos semelles et sur nos vêtements, et finissent par se loger un peu partout dans la maison. Pour limiter l’entrée des saletés extérieures, utilisez deux paillassons. Pourquoi ? Car le premier, placé à l’extérieur devant la porte d’entrée, absorbera un maximum de crasse, tandis que le second, qui sera pourvu de poils longs pour retenir les saletés plus fines, sera disposé à l’intérieur. Optez pour des paillassons lavables, et nettoyez-les régulièrement !

    2.   Aspirez 2 à 3 fois par semaine

    Avant l’invention de l’aspirateur, au sein des foyers bourgeois, les domestiques sortaient tentures, couvertures et tapis au grand air, puis les battaient avec véhémence. Beaucoup d’efforts pour peu d’effets. Car la poussière, après avoir formé un gros nuage qui faisait éternuer les travailleuses, revenait gentiment se loger dans le tissu… Heureusement, bien de l’eau a coulé sous les ponts et on dispose aujourd’hui d’appareils très efficaces. Pour limiter les poussières prisonnières de vos moquettes et tapis, aspirez les régulièrement et videz les sacs ou réservoirs de l’aspirateur à l’extérieur.

    3.   Nettoyez régulièrement vos carrelages

    après avoir nettoyé le carrelage avec de l’eau savonneuse, il est conseillé de lui donner un dernier coup de serpillière humidifiée avec de l’eau glycérinée. Il suffit d’ajouter quelques gouttes de glycérine dans l’eau de rinçage. Cela rendra le carrelage moins adhérent. Il n’est pas nécessaire d’en mettre beaucoup, car le carrelage risquerait de devenir glissant. Vous pouvez en faire de même avec les vitres, celles-ci attireront alors beaucoup moins la poussière.

    4.   Les bibelots ? Oui mais pas trop !

    En effet, ceux-ci ont tendance à attirer la poussière, mieux vaut donc éviter de les accumuler. De plus, ils font perdre beaucoup de temps durant le ménage, car il faut les frotter un par un. Optez donc pour une décoration plus sobre en évitant d’accumuler des petits objets. Et si vous collectionnez ces derniers, placez-les alors dans une vitrine bien fermée !

    5.   Enfin, pour les meubles en bois, vous pouvez appliquer un traitement anti-poussière qui rendra ceux-ci moins adhérents.

    Pour ce faire, il suffit de mélanger de l’essence de térébenthine à de l’huile végétale et à du vinaigre à quantités égales. Utilisez ensuite ce mélange pour nettoyer le meuble. Il sera à la fois protégé, nourri et moins collant. Grâce à ce traitement, la poussière s’accumulera moins facilement.

  • 5 plantes qui supportent la canicule

    Avec les épisodes de canicule qui se multiplient ces dernières années, nombreux sont les jardiniers en herbe qui sont contraints de revoir la composition de leurs parterres et massifs floraux. Voici de quoi vous inspirer pour un jardin paré à affronter la sécheresse !

    1. La sauge de Russie

     

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    Aussi appelée lavande d’Afghanistan, la sauge de Russie est une plante super résistante qui ne craint absolument rien : sécheresse, parasites, maladie cryptogamique ou encore excès de soleil, elle résiste à tout ! À la belle saison, elle vous offrira un joli tapis de fleurs bleutées.

    2. Le sumac de Virginie

     

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    Originaire d’Amérique du Nord, le sumac de Virginie apprécie les sols secs et calcaires et exige peu voire pas d’arrosage. En été, ses fleurs vertes finissent par laisser place à des fruits disposés en grappes pourpres qui restent sur l’arbre jusqu’à l’hiver, ornant sa silhouette majestueuse et tortueuse.

    3. Le romarin

     

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    Plante aromatique par excellence, le romarin pousse à l’état sauvage dans les garrigues et tout autour de la Méditerranée. Son feuillage persistant, aux petites feuilles vert sombre, s’habille durant tout le printemps de petites fleurs bleu mauve qui ne sont pas sans rappeler la lavande. Il se plante en sol calcaire et raffole du soleil. Le seul entretien consiste en une taille légère après la floraison pour qu’il ne se dégarnisse pas.

    4. L’aeonium

     

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    Une publication partagée par Nhits Murakami (@aeonium.nhits)

    Appartenant à la famille des crassulacées, l’aeonium présente des rosettes au bout d’une tige qui peut être courte comme longue. On l’appelle communément “le chou en arbre”. Comme l’été est sa période de repos, il ne souffre pas de la sécheresse dans les régions arides où il pousse facilement. Il trouvera parfaitement sa place dans une rocaille, un massif ou encore en bac.

    5. Le pourpier de mer

    Le pourpier de mer est une plante hyper résistante, qu’elle soit confrontée à la sécheresse, aux embruns ou encore au froid. Il s’agit d’un petit arbuste buissonnant à croissance rapide, dont le feuillage généralement persistant gris vert est comestible. La floraison, très discrète, apparaît au cours de l’été. Si on le trouve communément en Afrique du Nord, il s’adapte parfaitement au climat qui règne dans nos contrées.

  • Votre femme de ménage peut-elle nettoyer les communs de votre immeuble ?

    La question se pose dans bon nombre de copropriétés : la femme de ménage de l’un des occupants de l’immeuble peut-elle se charger de nettoyer les espaces communs ?

    cleaning lady
    Une aide-ménagère peut être amenée à effectuer de nombreuses tâches différentes. En effet, outre le ménage, elle peut aussi préparer des repas, faire des courses ou encore faire du repassage. Plus précisément concernant le nettoyage, il s’agit bel et bien de l’entretien quotidien d’une habitation et donc de passer l’aspirateur, prendre les poussières ou encore nettoyer les vitres (à condition que celles-ci soient accessibles par l’intermédiaire d’un escabeau à trois marches, pas plus !).

    En revanche, on ne peut pas employer une aide-ménagère pour un nettoyage après transformations, pour déplacer des meubles, pour nettoyer un plafond, pour faire de la peinture ou encore pour récurer votre réseau d’égouttage.

    Quid des espaces communs dans une copropriété ?

    Le nettoyage d’espaces communs, comme une cage d’escalier dans un immeuble à appartements, mais aussi d’espaces professionnels, tels qu’un cabinet médical, une salle d’attente, des bureaux ou encore un atelier n’est pas autorisé par le système des titres-services. Vous ne pouvez pas non plus faire nettoyer votre véhicule par une aide-ménagère. Dans un cas comme dans l’autre, des entreprises spécialisées existent à cet effet !

    Et pour une résidence secondaire ?

    Et si l’on possède une résidence secondaire, peut-on utiliser des titres-services afin d’en assurer l’entretien ? Dans ce cas, oui, les titres-services peuvent être utilisés pour l’entretien de votre résidence secondaire, à condition de remplir les conditions suivantes : être domicilié en Belgique, occuper une résidence secondaire en Belgique et occuper celle-ci à titre strictement personnel.

  • Sécurité : Vaut-il mieux investir dans une caméra ou une alarme ?

    Avec plus de 141 cambriolages/jour en Belgique, quel système de sécurité choisir: caméra ou alarme?

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    La vidéosurveillance : un argument dissuasif

    La caméra de surveillance est avant tout un outil de dissuasion. Dès lors, mieux vaut l’exposer de manière visible dans ou devant votre habitation. Munie d’une connexion internet, elle vous permet de garder un œil sur votre logement à distance sans vous exposer au moindre risque.

    Avec les nouvelles technologies d’image et de stockage, vous pouvez, à prix démocratique, enregistrer des vidéos en Full HD qui seront sauvegardées dans le cloud pour plus de sécurité. Vous pourrez ensuite consulter vos enregistrements partout et tout le temps, via votre smartphone ou votre ordinateur.

    Certaines caméras sont munies d’un mode infrarouge qui leur permet de capturer des séquences de nuit. D’autres vont pouvoir s’activer lorsqu’elles détectent du mouvement dans leur zone de couverture.

    Atouts :

    • Vous gardez un œil constant sur votre habitation via vos appareils connectés.
    • Lorsque visible, elle dissuade les personnes malveillantes de pénétrer dans votre habitation.
    • Vous bénéficiez d’un avantage en cas de litige, preuve à l’appui.

    Inconvénients :

    • Si votre caméra ne dispose pas stockage local, il suffira au cambrioleur de couper l’accès à Internet pour la neutraliser.
    • Vous serez averti de l’intrusion, mais rien ne dissuadera le voleur de poursuivre son infraction.

    Lors de l’achat, veillez cependant à vérifier certains paramètres :

    • Si vous songez à installer votre équipement en wifi, soyez sûrs des performances de votre réseau. Le cas contraire, certaines caméras disposent de prises Ethernet.
    • Renseignez-vous sur les moyens de stockage de votre appareil. Mieux vaut se fier aux stockages « cloud-only» qui permettent de crypter vos enregistrements. Les dispositifs obsolètes de stockage à flux ouvert sur Internet sont à proscrire.
    • Vérifier l’angle de vue, en fonction du lieu où vous souhaitez installer votre caméra.
    • Si vous souhaitez surveiller votre jardin, veillez à ce que le dispositif soit résistant aux intempéries.

    L’alarme : une valeur sûre

    Les systèmes d’alarme ont pour but de faire fuir les cambrioleurs et d’éventuellement avertir des contacts (comme la police) en cas d’infraction. Munie de capteurs, l’alarme enclenche une sirène intérieure et extérieure lorsque ceux-ci détectent du mouvement. Il ne s’agit donc pas d’un équipement préventif, l’enjeu est d’agir lorsqu’une menace est détectée en générant un élément sonore bruyant et désagréable.

    A l’heure actuelle, certains dispositifs vous permettent de prendre le contrôle de votre alarme à partir d’une application installée sur vos appareils connectés. Vous pourrez ainsi armer et désarmer votre équipement à distance, mais aussi être le premier averti en cas d’intrusion.

    De plus, vous pourrez compléter votre dispositif par divers capteurs qui renforceront la sécurité de votre habitation. On songe par exemple aux détecteurs d’ouverture de portes et de fenêtres, ou au couplage possible avec vos détecteurs de fumée.

    Avantages :

    • Son efficacité dans la détection de mouvement.
    • Sa capacité à signaler une intrusion auprès de vous, votre voisinage ou la police.

    Inconvénients :

    • Parfois onéreux, en fonction de l’installation.
    • La sirène peut se déclencher sans intrusion, que cela soit dû à une mauvaise installation ou à la détection d’un élément inoffensif en mouvement.

    En conclusion : pour plus de sécurité, couplez les deux dispositifs !

    Vous l’aurez compris, la meilleure solution est de coupler la caméra de surveillance à un système d’alarme. Ainsi, vous pourrez être en position d’une image lorsque votre alarme détecte du mouvement dans votre habitation. En plus de pouvoir avertir la police et votre voisinage de l’intrusion, vous pourrez appuyer votre dossier d’images en cas d’infraction constatée.

  • Les batteries domestiques : un risque explosif ?

    Les batteries, en particulier celles utilisées pour stocker l’énergie des panneaux solaires, sont de plus en plus présentes dans nos bâtiments. De quoi mettre notre sécurité en péril ?

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    Les batteries domestiques permettent une consommation d’énergie plus intelligente, en stockant l’électricité pendant la journée pour l’utiliser le soir et la nuit. C’est particulièrement utile pour ceux qui ont des panneaux solaires, car ils peuvent ainsi maximiser leur utilisation d’énergie solaire.

    Un risque explosif ?

    Cependant, ces batteries présentent des défis, notamment en termes de sécurité incendie. Les batteries, en particulier les batteries lithium-ion, peuvent présenter un risque d’incendie si elles sont mal manipulées ou surchargées. Si une batterie lithium-ion surchauffe, elle peut subir un « emballement thermique« , où l’électrolyte de la batterie s’évapore, conduisant à une augmentation de la pression à l’intérieur de la batterie. Cela peut entraîner la libération de gaz inflammables, similaires au propane, qui peuvent s’enflammer et causer un incendie.

    De plus, si un incendie se déclare à proximité d’une batterie, la chaleur peut provoquer la libération de ces gaz, qui s’enflammeront s’il y a une source d’inflammation à proximité. Pire encore, ces batteries peuvent également libérer des gaz toxiques, comme le fluorure d’hydrogène, qui peut être mortel.

    Un vrai défi pour les pompiers !

    Un autre défi avec les batteries lithium-ion est qu’elles peuvent être difficiles à éteindre une fois qu’elles ont pris feu. Des études ont montré que même si un incendie de batterie semble avoir été éteint, il peut se rallumer des heures, voire des jours ou des semaines plus tard.

    Il est également important de noter que, selon leur composition, les batteries peuvent avoir des réactions différentes. Par exemple, alors qu’une batterie lithium-ion peut être éteinte avec de l’eau, si de l’eau est pulvérisée sur une batterie contenant du lithium pur, cela peut produire de l’hydrogène, un gaz combustible.

    Une réglementation absente !

    Malgré ces risques, il n’existe actuellement aucune réglementation spécifique concernant l’installation de batteries dans les bâtiments. C’est en partie parce que c’est une technologie relativement nouvelle, et il n’y a pas eu suffisamment de recherches sur la manière de sécuriser les bâtiments équipés de batteries.