Auteur : francois

  • La Belgique manque cruellement de logements !

    La fédération de la construction Embuild sonne l’alerte : la Belgique a besoin de 225.000 logements supplémentaires d’ici 2030 pour répondre à ses enjeux démographiques et environnementaux.

    Selon Embuild, la Fédération de la construction, la Belgique se trouve face à un impératif de taille : la création de près de 225.000 logements supplémentaires d’ici 2030. La croissance démographique couplée à la hausse du nombre de familles mono-parentales expliquerait ce chiffre faramineux…

    Embuild a donc formulé des recommandations ciblées pour chaque région. En Wallonie, l’accent est mis sur l’augmentation des investissements publics et une révision de la fiscalité immobilière. La proposition inclut des incitations pour l’acquisition de logements écoénergétiques.

    Une pénurie de 15.000 travailleurs !

    Par ailleurs, la fédération souligne l’importance de combler la pénurie de main-d’œuvre dans le secteur de la construction, évaluée à environ 15.000 travailleurs.

    Pour Bruxelles, Embuild pointe vers un objectif ambitieux : 50 rénovations par jour jusqu’en 2050 pour atteindre les objectifs climatiques. La fédération appelle enfin à une réduction des coûts administratifs dans le neuf, actuellement un frein majeur pour les investisseurs.

    Appels au niveau fédéral

    Au niveau fédéral, Embuild demande une augmentation des investissements publics pour garantir la pérennité des infrastructures. Le directeur général d’Embuild.Brussels, Jean-Christophe Vanderhaegen, mentionne que la Belgique investit moins dans ce domaine comparé à ses voisins européens. Enfin, la fédération préconise l’extension du taux réduit de TVA aux projets de démolition-reconstruction menés par les promoteurs immobiliers.

  • Remplacer sa baignoire par une douche à l’italienne : ce qu’il faut savoir!

    La cuisine et la salle de bains sont les deux pièces qui reçoivent le plus d’attention. Dans le cas de la seconde, il est de plus en plus courant de voir des propriétaires se débarrasser de leur baignoire pour la remplacer par la douche à la mode : le modèle à l’italienne !

    Remplacer sa baignoire par une douche à l'italienne
    Max Rahubovskiy

    Une douche à l’italienne, c’est quoi ?

    Une douche à l’italienne, c’est quoi ? Il s’agit d’une douche sans marche, qui permet un accès aisé. A la base destinées aux seniors pour des questions de facilité d’accès, les douches à l’italienne sont aujourd’hui très à la mode ! Pour assurer l’écoulement de l’eau, il faut bien entendu que le sol doit présenter une légère pente.

    Une bonne idée, vraiment ?

    Tout dépend de ce que vous comptez faire de votre bien. S’il s’agit d’un bien que vous destinez à la location, sachez qu’une baignoire reste un gros atout, notamment pour les familles avec de jeunes enfants. Cependant, cet argument n’est plus aussi pertinent pour les petits appartements et les studios. Dans le cas d’une maison, si vous pensez un jour la vendre, une baignoire est une plus-value. Si vous comptez installer une deuxième pièce d’eau, la réflexion est bien entendu caduque.

    Pas toujours possible

    Une douche à l’italienne n’est pas toujours possible. En effet, pour son installation, vous devrez soit relever le niveau du sol de votre salle de bain pour permettre d’encastrer l’évacuation, soit creuser. Bien entendu, ce n’est pas toujours réalisable en fonction de la configuration  de votre espace, on pense notamment aux biens à l’étage et avec un plafond déjà fort bas. Si vous avez une fenêtre, pensez également à la combler : il ne s’agit pas seulement d’éviter de divertir les voyeurs, mais également de limiter les risques d’infiltration.

    Les inconvénients

    L’un des défis potentiels avec une douche à l’italienne réside dans son accessibilité et son étanchéité. L’absence de rebord peut entraîner des problèmes d’étanchéité si l’installation n’est pas réalisée correctement. Assurez-vous de collaborer avec des professionnels qualifiés pour garantir une installation correcte et sécurisée.

    Dans les petites salles de bains, la douche à l’italienne peut entraîner une perte d’espace précieux. La nécessité d’une légère pente pour l’écoulement de l’eau peut réduire l’espace utilisable, ce qui peut être un inconvénient, surtout dans les environnements où chaque centimètre compte.

    Entretien d’une douche à l’italienne 

    Bien que le design épuré de la douche à l’italienne soit esthétiquement plaisant, il peut exiger un entretien plus rigoureux. Les carreaux et les joints doivent être maintenus régulièrement pour éviter l’accumulation de moisissures et de résidus de savon, demandant ainsi une attention continue.

    Quel budget prévoir ?

    Prévoyez un budget compris entre 2 000 et 6 000 € pour cette transformation, en fonction du degré de finition souhaité et de l’ampleur des travaux nécessaires.

    Quelles sont les options de revêtement ?  

    La douche à l’italienne a un design moderne, il faut l’associer au bon revêtement qui convient à votre salle de bain pour que le résultat soit époustouflant. N’hésitez pas à explorer différentes options de style et de matériaux pour personnaliser votre nouvelle douche selon vos goûts personnels. Vous pourrez par exemple opter pour du carrelage céramique de la mosaïque, de la pierre naturelle, ou même du béton ciré.

    Prenez le temps de réfléchir à vos besoins spécifiques et aux contraintes de votre propriété avant de vous lancer dans ce projet. Une salle de bain bien conçue peut faire toute la différence dans le confort de votre foyer. Profitez de cette opportunité pour créer une salle de bain qui répond à vos attentes tout en ajoutant une touche contemporaine à votre espace de vie.

  • Comment optimiser l’espace d’une petite salle de bain ?

    Rares sont les salles de bain qui disposent d’un espace généreux. Mieux vaut donc opter pour du mobilier pratique et recourir à quelques astuces.

    Optimiser l'espace dans une petite salle de bains.
    Christa Grover

    Si la salle de bain nous impose au minimum deux visites quotidiennes, autant rendre celles-ci les plus agréables possibles. Cette pièce doit donc être agréable à vivre, pratique et pleine de rangements afin que le temps que l’on y passe rime avec bien-être voire délassement.

    Même si vous ne disposez que de 4 ou 5 mètres carrés, il est néanmoins possible de faire rentrer un lavabo, une douche et quelques rangements sans pour autant transformer la pièce en fourbi. Vous vous devez donc de bien réfléchir avant de vous lancer dans l’aménagement de la pièce, chaque centimètre carré devant être considéré et optimisé ! En outre, il y a des éléments dont on ne peut pas se passer dans une salle de bain, comme un porte-serviettes ou un miroir.

    Pour ce qui est des aspects pratiques, commencez par installer des crochets multifonctions ainsi qu’une ou plusieurs barre(s) au mur. Cela vous permettra déjà de disposer peignoirs, serviettes et gants de toilette. Dans le même ordre d’idée, optez pour un miroir flanqué d’une tablette intégrée. Ici aussi de quoi ranger vos brosses à dents, dentifrice et autres produits cosmétiques sans encombrer le lavabo. Concernant ce dernier justement, vous pouvez soit choisir un meuble qui dispose d’une vasque intégrée, soit un lavabo à poser. Dans tous les cas, veillez à ce que la cuve soit suffisamment large… Un simple lave-mains dans une salle de bain peut rapidement se révéler horripilant.

    Et les meubles ?

    Pensez pratique et donc, notamment, au nettoyage de votre salle d’eau. Du coup, préférez les meubles suspendus plutôt que ceux posés sur le sol. Veillez à ce que ceux-ci comportent suffisamment d’espaces de rangement, si possible de façon compartimentée. Tiroirs et étagères vous permettront de ranger cosmétiques et linge de bain. Si une profondeur de 40 cm est à recommander, vous pouvez par contre jouer sur la largeur du meuble, en fonction de la configuration de la pièce. Pensez aussi à privilégier les portes coulissantes, moins encombrantes que des portes battantes, ainsi qu’à des poignées compactes qui, dans certains cas, peuvent se révéler gênantes. Un radiateur qui fait aussi office de sèche-serviettes vous permettra aussi de gagner de précieux centimètres dans votre espace, et d’optimiser leur séchage !

    Une baignoire ? 

    Enfin, si vous ne jurez que par une baignoire (alors qu’en principe une douche est plus compacte), ne désespérez pas car votre espace est restreint. Sachez qu’il existe des modèles de petite taille (avec une longueur de 105 cm contre 150 en moyenne pour un bain classique), ainsi que des modèles d’angle. Quand la salle de bain est située sous les combles, la baignoire peut aussi se révéler une bonne solution, lorsque la hauteur n’est pas suffisante que pour installer une cabine de douche. La douche, elle, offre une grande liberté d’installation. À l’italienne, sans parois, avec une évacuation intégrée directement dans la chape ou sous le bac de douche, tout est possible. La solution la plus homogène sera, avec un sol bétonné ou carrelé, de prolonger ce dernier jusque dans la douche, sans aucune démarcation. Cela aidera aussi à agrandir l’espace.

    Même dans une petite salle de bains, des choix malins sont possibles afin de rendre l’espace tout aussi agréable et fonctionnel que dans une pièce plus spacieuse. N’hésitez pas à innover pour créer votre salle de bains idéale !

  • Votre jardin en hiver : nos 5 conseils

    Découvrez nos astuces pour maintenir votre jardin en état, qu’il se réveille en pleine forme au printemps !

    winter garden

    1.    Nettoyage et préparation

    Commencez par arracher les végétaux morts et désherber le potager. Ramassez les feuilles mortes pour éviter qu’elles pourrissent sur la pelouse.

    2.     Élagage

    Élaguez les arbres pour supprimer les branches mortes ou malades est une bonne idée, mais attention : faites-le en dehors des périodes de gel !

    3.     Protéger le potager

    Pour protéger votre potager, le mieux est encore d’épandre une couche de compost de 5 à 7 centimètres. Attention toutefois à la nature de votre compost ! Outre le potager, pensez également à pailler les pieds des massifs pour protéger les racines et jeunes plants.

    4.    Hiverner et protéger les plantes

    Penser à mettre vos fleurs à l’abri : pour ce faire, le mieux est encore de les mettre en pot voire d’utiliser un voile d’hivernage pour les plantes en terre ne pouvant être déplacées.

    5.    Quid de la saison prochaine !

    L’hiver, c’est l’occasion de se demander ce que vous allez faire de votre jardin l’année prochaine et de planifier vos actions. On pense à la création d’un massif, d’un potager, voire l’installation d’un système d’arrosage automatique.

  • Chaudière biomasse : Quels sont les avantages et inconvénients ?

    Les chaudières au mazout étant appelées à disparaître dans les quinze années à venir en Belgique, vous êtes nombreux à vous demander s’il n’est pas temps de passer à une autre source de chauffage… Celui-ci devra être économique, confortable et forcément, écologique pour répondre à d’éventuelles futures normes. La solution ? La biomasse. Mais de quoi s’agit-il ?

    Chaudière biomasse
    Hacast

    Les avantages de la chaudière biomasse

    Le combustible

    Une chaudière biomasse utilise des combustibles d’origine organique. En Belgique, il s’agit généralement de bois ou de pellets, soit des combustibles renouvelables.

    La combustion

    La combustion entraine forcément des gaz à effet de serre, mais nettement moins que dans le cas d’une chaudière classique au mazout. Ce type de chaudière peut parfaitement remplacer votre chaudière actuelle et effectuer le même travail. Avantages conséquents : une combustion plus propre et une

    Point de vue budgétaire

    économie à l’usage, le bois et les pellets faisant partie des combustibles les moins chers du marché. De plus, sachez que les trois régions offrent des primes substantielles à l’installation de ces chaudières.

    Les inconvénients de la chaudière biomasse 

    Le coût 

    Tout d’abord, une chaudière biomasse impose quelques contraintes : tout d’abord elle est chère à l’achat, comptez de 5.000 à 20.000 € pour vous en procurer une.

    L’apport en combustibles

    La chaudière biomasse demande également à l’utilisateur un apport régulier en combustibles. A ce sujet, deux modèles sont disponibles : avec une alimentation manuelle c’est alors au propriétaire de faire l’appoint. Le deuxième modèle existant est automatique. Il offre une autonomie de quelques semaines, mais l’ajout d’un silo est nécessaire pour son fonctionnement.

    Autres détails 

    Notez également que la mise en température est plus lente avec une chaudière biomasse qu’avec une chaudière classique, et qu’un réservoir tampon (pour éviter les allumages et arrêts intempestifs) est chaudement recommandé. Il vous faudra aussi installer une cheminée adaptée. Enfin, il vous faudra prévoir un espace de stockage pour les combustibles.

    La Région wallonne prévoit déjà d’interdire les chaudières à mazout en cas de remplacement d’ici 2026, et Bruxelles d’ici 2025 qu’elles soient neuves ou non. N’hésitez donc pas à franchir le pas à votre rythme et à remplacer la vôtre par une autre alternative si c’est le bon moment. Malgré son coût à l’achat, la chaudière biomasse reste extrêmement intéressante d’un point de vue économique et écologique.

  • 7 conseils pour diminuer la consommation de son frigo

    Le frigo est l’un des plus grands consommateurs d’énergie d’une maison. Un modèle ancien engloutit chaque année environ 500 kWh ! Si les frigos plus récents et les mieux notés divisent cette consommation par trois, il est toutefois possible d’encore économiser quelques euros en adoptant ces gestes simples.

    Diminuer la Consommation de son frigo
    Kevin Malik

    1. Ne mettez pas le frigo près de votre four !

    Cela peut paraître une évidence, mais curieusement, cet aspect est souvent négligé lors de l’aménagement d’une nouvelle cuisine. Un frigo s’installe idéalement dans une pièce froide, loin de toute source de chaleur, comme un four, un radiateur, ou même une baie vitrée laissant entrer le soleil. Idéalement, mais ce n’est certes pas la solution de facilité, on l’installera dans une cave ou dans un garage.

    2. Ne collez jamais votre frigo au mur

    Cela n’est pas toujours un réflexe car on n’y pense pas forcément, mais ne collez pas votre frigo au mur. Les réfrigérateurs génèrent de la chaleur lors de leur fonctionnement normal, et cette chaleur doit être évacuée efficacement pour maintenir une température interne optimale. Si le frigo est collé au mur, l’air chaud émis par l’appareil a du mal à circuler, ce qui peut entraîner une surchauffe. Une surchauffe du réfrigérateur peut non seulement compromettre son efficacité énergétique, mais elle peut également entraîner une usure prématurée des composants internes. En permettant à l’air chaud de s’échapper librement, vous garantissez un fonctionnement plus efficace de l’appareil et prolongez sa durée de vie

    3. Remplissez-le intelligemment

    Un frigo vide ou complètement rempli consomme toujours plus. L’idéal est de le remplir à 70-80 % environ. Sachez aussi que la zone la plus froide du frigo est celle située sur le niveau inférieur, juste au-dessus des bacs. Évitez également de laisser les aliments dans leur emballage, ce qui peut également être une première étape vers le zéro déchet. La partie supérieure du réfrigérateur est souvent légèrement moins froide que la zone inférieure. C’est l’endroit idéal pour stocker des articles tels que les restes, les produits laitiers et les aliments prêts à manger. Veillez à ne pas surcharger cette zone pour permettre à l’air froid de circuler librement

    4. Contrôlez la température du frigo

    La température du frigo est de 4 degrés. Pour le congélateur, elle est de – 18 degrés. Placez un thermomètre dans votre frigo et vérifiez que votre frigo ne refroidit pas trop ! Si tel est le cas, sa consommation s’envole inutilement ! Certains frigos affichent leur température, soyez alors vigilant à ce qu’elle indique.

    5. Dégivrez-le régulièrement

    Les frigos les plus récents sont parfois dotés de la fonction « no-frost » qui évite le givre à l’intérieur. Si tel n’est pas le cas de votre frigo, dégivrez-le au moins une fois par an. Une épaisseur de 3 mm de givre entraîne une surconsommation de 30 % ! Et profitez-en pour enlever la poussière qui traîne à l’arrière et qui engendre elle aussi une surconsommation !

    6. Laissez la porte fermée !

    Cela va évidemment de soi, mais refermez la porte dès que possible ! Certains modèles de frigo plus récents vous avertissent d’ailleurs en cas de porte laissée trop longtemps ouverte!

    7. Vérifiez l’étanchéité de la porte

    Une porte mal étanche peut entraîner des fuites de froid, augmentant ainsi la consommation énergétique de votre frigo. Vérifiez régulièrement l’étanchéité de la porte en inspectant les joints et en vous assurant qu’ils sont en bon état. Si vous remarquez des signes d’usure ou des fissures, envisagez de les remplacer pour maintenir une isolation optimale.

    En suivant ces astuces simples, vous pouvez réduire considérablement la consommation d’énergie de votre frigo, économiser de l’argent sur vos factures d’électricité, et adopter un mode de vie plus éco-responsable. N’oubliez pas que chaque geste compte pour préserver notre planète

  • Une assurance pour des travaux à domicile, utile ou pas ?

    Chaque année, plus de 200.000 Belges sont victimes d’un accident dans leur vie privée. Outre les blessures physiques et parfois morales, cela entraîne inévitablement des problèmes financiers.

    Quelqu’un qui veut repeindre son plafond et tombe de son échelle, une personne qui taille sa haie et se blesse, ou encore un bricoleur qui  assène un coup de scie particulièrement mal placé qui touche son doigt : tous ces accidents plus ou moins graves se produisent régulièrement et sont très désagréables. Ils peuvent néanmoins être assurés.

    Des conséquences sur la vie familiale

    La vie familiale peut être complètement bouleversée par un accident. Les compagnies d’assurances comprennent bien ces défis et proposent des couvertures importantes. En cas d’accident dans la vie privée, qu’il s’agisse de bricolage à la maison ou d’autres activités, entraînant une incapacité permanente (ou même un décès), les ayant-droits peuvent bénéficier d’une indemnisation adaptée à la prime versée.

    Une indemnisation complète pour divers préjudices

    Les préjudices physiques, moraux, esthétiques et économiques peuvent tous être couverts par votre assurance accidents de la vie. Le montant de l’indemnisation tient compte de votre situation personnelle et familiale, incluant des critères tels que votre âge et vos revenus.

    Options flexibles pour une protection sur mesure

    Diverses formules s’offrent à vous. Vous pouvez choisir de vous assurer vous-même ou d’étendre la couverture à votre conjoint(e), compagnon(e), ou même à vos descendants au premier ou deuxième degré. De plus, vous avez la possibilité de définir un taux d’incapacité spécifique, assurant une protection en cas d’accidents domestiques (travaux de bricolage, chutes, brûlures) ou pendant vos loisirs (pratique sportive).

    Consultez votre courtier d’assurances dès maintenant

    Pour explorer les différentes options et déterminer la meilleure couverture pour vous et votre famille, nous vous invitons à consulter votre courtier d’assurances. Protégez votre famille, votre avenir, et assurez-vous d’avoir la tranquillité d’esprit nécessaire en cas d’imprévu.

    Options avancées pour une protection accrue

    En plus des options mentionnées ci-dessus, certaines compagnies d’assurances offrent des garanties complémentaires pour renforcer votre protection. Ces options peuvent inclure une couverture spécifique pour les accidents liés aux voyages, une assistance juridique, ou même une indemnisation supplémentaire en cas d’invalidité.

    La prévention des accidents : un aspect essentiel

    Outre l’importance de souscrire à une assurance accidents de la vie, il est crucial de souligner l’importance de la prévention. Adopter des mesures de sécurité à la maison, lors des activités de loisirs, et même au travail peut considérablement réduire le risque d’accidents.

    Éduquer la famille sur la sécurité

    Une étape essentielle dans la prévention des accidents est l’éducation. Informez votre famille sur les dangers potentiels et les bonnes pratiques de sécurité à adopter. Que ce soit en utilisant des équipements de protection adéquats, en évitant les comportements à risque, ou en restant vigilants dans des situations potentiellement dangereuses, la prévention reste la clé.

    Planifier pour l’avenir

    En résumé, souscrire à une assurance accidents de la vie est une étape cruciale pour garantir une protection financière adéquate face aux aléas de la vie. N’attendez pas, prenez les mesures nécessaires dès aujourd’hui pour assurer un avenir sûr et serein. Explorez les différentes options disponibles, consultez votre courtier d’assurances, et bénéficiez de la tranquillité d’esprit que procure une planification prudente. Une planification prévoyante peut faire toute la différence lorsque l’inattendu survient.

  • Quelles assurances doit souscrire une copropriété ?

    Cest une question que bon nombre de copropriétés se posent. Mais, à lexception de lobligation imposée au syndic de souscrire une assurance RC qui couvre lexercice de sa mission, la loi sur la copropriété naborde nullement la question des assurances à souscrire par cette dernière.

    Conseil de copropriété
    Fox

    Les conséquences dommageables de certains sinistres, tant au niveau des bâtiments que de la responsabilité de l’association des copropriétaires, peuvent être très importantes. Il est dès lors vivement recommandé de souscrire certaines polices spécifiques, et de se prémunir ainsi contre de trop gros tracas.

    À ce titre, trois types d’assurances sont conseillés :

    • la police habitation (que l’on appelle également globale)
    • l’assurance couvrant la responsabilité du syndic
    • l’assurance qui couvre la responsabilité du personnel, du conseil de copropriété et du commissaire aux comptes.

    La police habitation

    Elle couvre le bâtiment contre les dommages matériels causés par un incendie, les dégâts des eaux, la foudre, une explosion, la grêle ou encore un tremblement de terre. Celle-ci est souscrite par l’association des copropriétaires qui a la qualité de preneur d’assurance. Elle couvre tant la responsabilité de l’association des copropriétaires que les propriétaires eux-mêmes.

    En revanche, ne sont pas couverts les locataires qui sont tenus de leur côté de souscrire une assurance destinée à couvrir leur responsabilité locative en cas d’incendie ou dégâts des eaux.

    Cette police couvre aussi bien les parties communes que les parties privatives et doit porter sur l’immeuble dans son ensemble, en tenant compte des dépendances, des annexes et garages. Il est important de noter que le contenu n’est pas assuré, laissant chaque copropriétaire libre d’assurer son propre contenu.

    Qui doit la prendre ?

    La décision de souscrire une telle police est prise par lassemblée générale qui devra également définir les garanties dont souhaitent disposer les copropriétaires. C’est le syndic qui  devra exécuter cette décision et effectuer les démarches en vue de la souscription de cette police. Tout logiquement, la prime est payée par lassociation des copropriétaires. À charge ensuite pour le syndic de la répartir entre les copropriétaires au prorata de leurs quotes-parts.

    Assurance responsabilité

    La loi impose à tout syndic, professionnel ou non, de souscrire une assurance responsabilité couvrant l’exercice de sa mission. En cas de mandat gratuit exercé par un copropriétaire non professionnel, cette assurance sera payée par l’association des copropriétaires.

    La souscription d’autres polices peut également être prévue. Si la copropriété emploie du personnel salarié, elle aura l’obligation de souscrire une assurance couvrant les accidents du travail et les accidents survenus sur le chemin du travail. L’assemblée générale peut également décider de souscrire une assurance couvrant la responsabilité des membres du conseil de copropriété et du commissaire aux comptes.

  • Triple vitrage : Pourquoi il ne convainc pas plus de Belges…

    A l’heure où il n’est plus question que d’isolation, de maison passive et d’efficacité énergétique, on peut légitimement être en droit de se demander pourquoi le triple vitrage ne convainc pas plus de personnes.

    Pourquoi le triple vitrage ne convainc pas plus de Belges
    Rob Wingate

    Sans conteste, le triple vitrage apporte une meilleure isolation. que du double vitrage. Le coefficient de transmission thermique (Ug) donne d’ailleurs un résultat sans appel : quand la plupart des doubles vitrages possèdent des coefficients compris entre 1,1 et 1,6, le triple vitrage donne des résultats sensiblement meilleurs : entre 0,8 et 1 ; voire parfois bien plus bas encore quand l’espace entre les vitres est remplis de krypton. En été, de plus, le triple vitrage filtre assez efficacement les rayons du soleil, ce qui permet de limiter le réchauffement de la pièce.

    Inconvénients

    Hélas, ces avantages sont contrebalancés par quelques inconvénients.

    • Luminosité : le triple vitrage rend les pièces moins lumineuses et de par sa capacité à filtrer le rayonnement du soleil, il ne permet pas non plus à ce dernier de chauffer les pièces en hiver.
    • Poids : notez également qu’il est très lourd et nécessite donc un châssis et une visserie spécifiques.
    • Bruit : Question isolation acoustique, et contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne donne pas non plus de meilleurs résultats qu’un double vitrage.
    • Prix : Enfin, et c’est sans doute la raison principale de son faible succès, le coût élevé est généralement assez prohibitif.

    Conclusion

    Malgré ces inconvénients, le triple vitrage trouve toute son utilité dans le cadre des maisons passives, où chaque petit effort compte. Cependant, pour les habitations plus traditionnelles, l’investissement financier semble disproportionné par rapport au gain énergétique limité. Dans ces cas, privilégier un bon double vitrage et une isolation plus poussée apparaît comme une alternative plus judicieuse.

  • 4 mythes sur les poêles à pellets

    Avec l’hiver qui arrive doucement mais sûrement à nos portes, vous cherchez peut-être à optimiser votre consommation d’énergie. Le poêle à pellets est une option qui peut répondre à vos besoins. 

    PELLET STOVE

    Chauffage central électrique, chauffage central au gaz, pompe à chaleur, poêle à bois ou même chauffage solaire. Les solutions qui s’offrent à vous pour chauffer votre maison durant la saison froide sont très nombreuses, parmi celles-ci, le poêle à pellets n’est certainement pas à négliger. Voici 4 mythes répandus qui mènent encore la vie dure aux poêles à pellets en ternissant, à tort sa réputation !

    1. Les poêles à pellets ne sont pas écologiques

    C’est faux. Composant naturel qui constitue le pellet, le bois contient évidemment peu de polluants. De plus, pour de nombreux pellets, l’émission de dioxyde de carbone lors de la combustion du pellet est contrebalancée par la plantation de jeunes pousses. Sachez également que le rendement énergétique du pellet est excellent et que dans de nombreux cas, le pellet est fabriqué à partir de bois recyclé ou encore en récupérant des sciures de bois ou copeaux dans la chaine de production. Ils donnent donc une seconde utilisation à des déchets de l’industrie du bois. C’est pas mal, non ?

    2. L’entretien des poêles à pellets est pénible au quotidien

    C’est à moitié faux. Certes, en comparaison avec une chaudière à mazout par exemple, le poêle à pellets demande bel et bien un entretien plus contraignant. Toutefois, sachez que ce dernier est loin d’être aussi pénible qu’on ne le dit. Son entretien est plutôt court et se limite en effet à une révision annuelle (pour un coût d’environ 150 €).  Un décrassage très régulier est aussi nécessaire, mais peu laborieux. Ce dernier consiste à nettoyer la vitre et à aspirer régulièrement les cendres (de tous les jours à toutes les semaines, selon le modèle). Cela peut paraître insurmontable à première vue, mais cette maintenance ne vous demandera pas plus d’une toute petite poignée de minutes dans votre journée, pour ensuite profiter de sa chaleur durant des heures.  Il s’agit donc de relativiser…

    3. Les pellets sont mois intéressants que le bois à brûler

    C’est faux. Beaucoup pensent que le bois dans son état brut a forcément un rendement plus intéressant que le pellet lors de la combustion, il n’en est rien. Les pellets ont un rendement énergétique élevé, ce qui signifie qu’ils produisent plus de chaleur par unité que le bois classique. Cela peut conduire à une utilisation plus efficace du combustible, ce qui peut potentiellement compenser le coût initial plus élevé des pellets. Les pellets sont sensibles à l’humidité, mais ils ont eux-mêmes un taux d’humidité plus faible que le bois classique.  Cela qui signifie qu’ils brûlent plus proprement et produisent moins de résidus.

    4. Les poêles à pellets n’offrent aucun avantage par rapport aux poêles à bois classiques

    C’est faux. Certes, ils sont plus chers et n’offrent pas tout à fait l’ambiance d’un poêle à bois classique, mais pour le reste, ils sont bien plus faciles à utiliser. Certains offrent même la possibilité d’une programmation permettant aux utilisateurs de régler la température et les horaires de fonctionnement. Il est même possible d’installer un thermostat pour maintenir une température constante, offrant un confort accru. Cette automatisation offre un contrôle précis sur le chauffage de votre maison et une tranquillité d’esprit sans pareille ! Si vous désirez plus d’informations au sujet des avantages des poêles à pellets par rapport aux poêles à bois, lisez notre article à ce sujet juste ici.