Les batteries lithium-ion, pilier de la technologie moderne, sont omniprésentes dans nos vies, des voitures électriques aux appareils électroniques, en passant, bien évidemment, par les batteries domestiques censées nous assurer une plus grande autonomie énergétique. Cependant, leur potentiel inflammable pose un risque significatif d’emballement thermique, menant à des incendies ou des explosions. Une solution se dessine toutefois…
L’électrolyte révolutionnaire
Au cœur de cette innovation, un nouvel électrolyte capable de s’auto-éteindre en cas de surchauffe. Contrairement aux formulations traditionnelles, basées sur des molécules organiques hautement combustibles, cette nouvelle composition intègre des liquides de refroidissement similaires à ceux utilisés dans les extincteurs. Cette approche non seulement prévient l’incendie mais assure également la performance et l’accessibilité de la batterie.
Des tests prometteurs
Les prototypes équipés de cet électrolyte ont démontré une capacité remarquable à transférer la chaleur hors du système, s’éteignant automatiquement lors d’une surchauffe. De plus, ils ont résisté à des tests de pénétration de clous, sans prendre feu.
Vers un avenir durable
En plus de la sécurité, cette recherche ouvre la voie à l’utilisation de métaux alcalins moins coûteux et plus abondants, comme le sodium et le potassium, offrant une alternative viable au lithium. Cette avancée pourrait révolutionner l’industrie des batteries, en rendant les technologies de stockage d’énergie plus sûres, plus durables et plus accessibles. Affaire à suivre, donc !
Les vols de panneaux solaires ne sont pas si anecdotiques qu’on pourrait le penser. Partant de ce constant, une société propose une système pour sécuriser votre installation !
Solar Fiber propose un système de sécurité pour vos panneaux solaires. Conçu par des experts en technologie, ce système utilise des fibres optiques pour détecter toute tentative de vol.
Le principe est simple mais efficace : des fibres optiques sont intégrées dans la structure des panneaux solaires. En cas de tentative de vol, la fibre est coupée, ce qui déclenche une alarme instantanée. Cette technologie est hautement efficace pour dissuader les voleurs et sécuriser les installations solaires.
Le système Solar Fiber s’adapte à différents types de panneaux solaires et peut être installé sur des installations existantes ou intégré dès la conception, rapporte le fabricant. De plus, il est compatible avec les autres systèmes de sécurité déjà en place.
Le coût initial de l’installation puisse sembler élevé (la carte coûte 270 €…) peut sembler significatif face aux risques… Mais il s’agit d’une fois ! En Afrique du Sud, une firme propose une solution plutôt originale face aux vols de panneaux, à savoir des panneaux… paraissant endommagés !
Dimanche 31 mars, 330 personnes ont manifesté à Bruxelles pour un logement abordable, face à la crise immobilière. Leurs propositions sont assez chocs !
Le dernier jour du mois de mars 2024, Bruxelles a vu 330 citoyens manifesté pour le droit au logement. Répondant à l’appel de la Coalition européenne d’action pour le droit au logement et à la ville, les manifestants ont parcouru les rues de la capitale pour souligner l’urgence d’un droit au logement « respecté et accessible à tous ».
Un cri unanime pour la dignité
Dès 15h00, la station de métro Comte de Flandre s’est remplie de slogans tels que « Les maisons pour les gens, pas pour l’argent« . Le Rassemblement bruxellois pour le droit à l’habitat (RBDH), coorganisateur de l’événement, a insisté sur le fait que « l’accès à un logement digne et abordable est un droit fondamental ». Pour l’ASBL, un logement « n’est pas et ne devrait jamais être un bien marchand destiné à faire fructifier un investissement ».
Pour l’ASBL, il est largement contestable que ce marché reste dominé par le privé, avec des enjeux « l’objectif premier est de maximiser le profit sur les transactions ». L’organisme a également rappelé que « des milliers de personnes en Belgique peinent à trouver un logement décent à un prix proportionnel à leurs revenus, voire à se loger tout court. Parmi elles, on retrouve en premier lieu les mères célibataires, les personnes sans chez-soi, les personnes d’origine non-belge ou encore les personnes racisées ».
Quelles solutions ?
Le RBDH appelle à une augmentation significative du nombre de logements sociaux et à la mise en place de mesures strictes pour contrôler et réduire les loyers. Ils parlent à ce sujet, d’un quota minimum de 60% de logements sociaux dans tous les grands projets de logement public, et de 100 % sur les terrains publics. Les promoteurs privés devraient, quant à eux, avoir l’obligation de réaliser de « 25% de logements sociaux dans tous leurs projets ».
Parmi leurs autres revendications, figurent la réduction des loyers de 20% sous la grille de référence actuelle, l’enregistrement obligatoire des baux, et la fin des expulsions sans solution de relogement.
Tout épargnant cherche à obtenir un rendement maximum avec un minimum de risques. Sauf que rendement et risque vont généralement de pair…
À l’heure actuelle, le placement le moins risqué reste le compte épargne. Malheureusement, celui-ci offre un faible rendement. Pire, ces dernières années, ce dernier n’a pas dépassé l’inflation ce qui signifie que le pouvoir d’achat généré par votre épargne diminue année après année ! Dans ce contexte, de nombreux Belges se mettent en quête de placements offrant un rendement plus intéressant, à l’image des investissements immobiliers.
Investir dans l’immobilier peut se faire de différentes manières. On peut opter pour un investissement dans un bien résidentiel ou commercial, mais aussi dans des chambres d’hôtel, des garages ou même un simple terrain. D’autres options existent mais, dès que l’on s’écarte de l’immobilier résidentiel, investir exige certaines connaissances.
Pour ce qui est du rendement dans le cas d’un investissement locatif, celui-ci va osciller entre 3 % et 4 % du prix d’achat. Historiquement, la valeur ajoutée annuelle de l’immobilier en Belgique se situe entre 4 % et 5 %. Un rendement supplémentaire peut être obtenu en achetant de l’immobilier via un prêt. Tant que vous remboursez un prêt à un taux d’intérêt inférieur au rendement que vous réalisez sur votre achat immobilier, vous créez un effet de levier sur votre investissement. Enfin, ledit prêt peut également générer un avantage au niveau de l’impôt sur le revenu des personnes physiques, les intérêts payés pouvant éventuellement être déduits du revenu cadastral, tandis que les remboursements en capital peuvent être éligibles à la niche fiscale d’épargne à long terme.
9 % de rendement, vraiment ?
Si vous cherchez un meilleur rendement, tournez vous alors vers le crowdlending. Actuellement, des plateformes comme BeeBonds offrent un rendement brut moyen de 9 % par an. Concrètement, le crowdlending est un mode de financement qui permet à des entreprises à la recherche de fonds de se financer auprès d’investisseurs particuliers. De quoi permettre à ces derniers de prêter leur épargne de manière utile et rentable. En échange de son prêt, l’investisseur particulier va percevoir un rendement annuel défini au préalable, en fonction du risque qu’il va prendre puis, au terme du projet, récupérer le capital qu’il a initialement investi. Efficace et rapide, le crowdlending permet aux PME de diversifier leurs sources de financement tout en disposant d’un effet de levier auprès des banques pour obtenir des fonds additionnels.
La plateforme agréée BeeBonds propose un seuil d’entrée fixé à 100 € de manière permanente et pour tous ses projets qui se distinguent par leurs aspects durables. Cela permet donc aux jeunes d’investir et d’épargner dans l’économie réelle et verte, le tout avec un rendement qui oscille donc autour de 9 % brut par an. Pratiquement, les levées de fonds des projets présentés sur BeeBonds sont effectuées dans un délai de 1 à 3 mois à l’issue duquel l’investisseur perçoit un intérêt annuel pendant une période prédéterminée de 2 à 5 ans selon le projet. Au terme du projet, il récupère la totalité de son investissement de départ.
Pourquoi un tel rendement ?
Le crowdlending immobilier permet de proposer des rendements potentiels élevés (9 % brut par an chez BeeBonds) sans compromettre la viabilité économique des entreprises qui y font appel. Tout d’abord, lorsqu’une entreprise fait appel au crowdlending pour financer son projet, le montant à rembourser aux investisseurs avec un taux élevé ne représente qu’une petite fraction du financement total (environ 20 %). Cette répartition des coûts permet à l’entreprise de proposer des rendements attrayants sans compromettre la santé financière du projet. En comparaison, les promoteurs qui ne recourent pas au crowdlending font souvent appel à des prêteurs institutionnels ou des acteurs comme des “family offices”, une entité privée qui gère le patrimoine et les investissements d’une famille aisée. Lorsqu’un promoteur immobilier fait appel à un prêteur professionnel, les taux pratiqués sont généralement rémunérés à des taux supérieurs à 8 %. Parfois un promoteur s’associe à ces acteurs pour réaliser un projet. Dans ce cas, il doit partager le bénéfice de l’opération, ce qui représente en général un manque à gagner supérieur aux intérêts de 9 % versés aux investisseurs en crowdlending sur une partie minoritaire du montant total emprunté.
Toutefois, tous les investisseurs qui prennent part à des projets immobiliers doivent être conscients des risques, y compris celui de perte totale ou partielle du capital.
Intéressé par cette nouvelle formule d’investissement ? Remplissez le formulaire ci-dessous et nous revenons vers vous !
Malgré un recul des ventes, le marché immobilier côtier voit ses prix grimper, dépassant même l’inflation !
Maxime Renard
La Côte belge a connu une année contrastée en matière d’immobilier. Alors que le nombre de transactions a chuté de 19,9% l’an dernier, confirmant une tendance à la baisse pour la deuxième année consécutive, les prix, eux, ne cessent de grimper. Selon la fédération des Notaires, les prix des appartements ont connu une augmentation moyenne de 7,1% par rapport à 2022, surpassant nettement le taux d’inflation qui se situe à 2,1%.
Des prix en hausse sur le littoral
Pour acquérir un appartement sur le littoral belge, il fallait en moyenne débourser 318.446 euros l’année dernière, et jusqu’à 397.080 euros pour un bien situé directement sur la digue, représentant une augmentation de 14%. Ces chiffres reflètent une croissance significative des prix moyens sur les cinq dernières années, avec des hausses de respectivement 22,1% et 26,7%, contre une inflation de 16,8% sur la même période.
Des disparités marquées
La fédération des Notaires souligne également les grandes disparités de prix entre les différentes communes de la Côte. Ainsi, un pied-à-terre à Westende coûte en moyenne 171.883 euros, contre 773.582 euros à Knokke. De même, le nombre de chambres influe considérablement sur le prix, avec 193.000 euros pour un appartement d’une chambre, 349.486 euros pour deux chambres, et 596.498 euros pour trois chambres.
Vous n’en pouvez plus de ces souches d’arbre qui viennent gâcher l’apparence de votre beau jardin ? Voici 3 astuces pour vous en débarrasser !
1. Arrachage mécanique
C’est la technique la plus redoutable, mais pas la plus facile : en effet, l’arrachage mécanique exige un équipement spécifique comme un treuil ou une mini-pelle. Creusez autour de la souche pour libérer les racines principales, puis utilisez le treuil pour extraire la souche de terre. Sachez que cette méthode peut endommager le sol environnant.
2. Le grignotage de souche
Le grignotage de souche nécessite l’utilisation d’une rogneuse de souches, disponible en location dans la plupart des quincailleries. La machine coupe la souche en petits morceaux, ce qui facilite son extraction ou sa décomposition. Suivez attentivement les instructions du fabricant pour éviter les accidents.
Vous vous sentez particulièrement en forme ? Vous pouvez toujours asséner la souche de coups de hache …
3. La solution écologique : le compostage
Recouvrez la souche de compost et de terre, puis ajoutez des vers de terre pour accélérer la décomposition. Cette méthode est très lente mais transforme la souche en un riche compost pour votre jardin. Il peut falloir plusieurs mois à plusieurs années pour que la souche se décompose complètement. Dans le même ordre d’idée, et si vous êtes patient, vous pourrez procéder à la méthode naturelle qui consiste à attendre que la souche se remplisse d’eau de pluie (via des trous préalablement forés) et finisse par pourrir. A en croire certaines rumeurs, l’ail pourrait également accélérer la décomposition de la souche… A essayer !
Deux méthodes que nous déconseillons…
Des solutions nettement moins respectueuses de l’environnement existent, comme des solutions chimiques à injecter dans la souche, voire encore le brûlage, ce qui s’opère en vidant de l’huile dans la souche. Il va sans dire que ces méthodes peuvent avoir de graves conséquences pour l’environnement… Voire pour votre santé, si elles ne sont pas exécutées minutieusement !
Les braséros de terrasse offrent non seulement une source de chaleur pour les soirées fraîches mais créent également une ambiance conviviale et accueillante dans votre espace extérieur. Reste à savoir lequel choisir… On fait le point avec vous !
Braséros à bois: tradition et authenticité
Caractéristiques:
Fonctionnent avec du bois, offrant une expérience authentique avec le crépitement des flammes.
Nécessitent un espace dégagé et suffisamment aéré pour évacuer la fumée.
Avantages:
Ambiance chaleureuse et traditionnelle.
Possibilité de griller des aliments sur la flamme pour une expérience culinaire unique.
Inconvénients:
Entretien plus exigeant avec le nettoyage des cendres.
Budget estimé: Environ 50 à 300 euros, variant largement selon la taille, le design et le matériau. Les modèles plus artistiques ou fabriqués à partir de matériaux haut de gamme peuvent coûter nettement plus cher.
Braséros à gaz: confort et simplicité
Caractéristiques:
Alimentés par du gaz propane ou naturel, offrant une mise en marche rapide et un contrôle facile de la flamme.
Produisent moins de fumée et sont souvent conçus avec des éléments décoratifs comme des pierres de lave ou des billes de verre.
Avantages:
Facilité d’utilisation et d’entretien.
Pas de débris ni de cendres à nettoyer.
Inconvénients:
Moins d’ambiance naturelle par rapport aux braséros à bois.
Nécessité d’avoir une bouteille de gaz ou un raccordement au gaz naturel.
Budget estimé: Environ 100 à 600 euros. Les modèles plus sophistiqués équipés de fonctionnalités supplémentaires, comme des tables intégrées ou des éléments décoratifs, peuvent voir leur prix augmenter significativement.
Braséros électriques : modernité et sécurité
Caractéristiques:
Fonctionnent à l’électricité, idéals pour les balcons ou terrasses où l’utilisation de flammes nues est limitée.
Offrent une chaleur instantanée sans émissions de fumée.
Avantages:
Sécurité accrue sans flammes ouvertes.
Utilisation possible dans des espaces fermés ou semi-ouverts.
Budget estimé: Environ 80 à 400 euros. Le prix dépend de la puissance, des fonctionnalités de sécurité supplémentaires et du design. Les modèles destinés à une utilisation intérieure/extérieure et ceux dotés d’un aspect esthétique plus élaboré tendent à être plus coûteux.
Conclusion
Le choix du braséro idéal dépend de l’atmosphère que vous souhaitez créer, de l’espace disponible, et des considérations pratiques comme l’entretien et la facilité d’utilisation. Les braséros à bois conviennent aux amateurs de tradition, tandis que les modèles à gaz offrent commodité et propreté. Les braséros électriques, quant à eux, sont parfaits pour ceux qui recherchent une solution simple et sûre, en particulier dans les espaces restreints.
Le château de Noisy, aussi appelé château Miranda, était considéré comme l’un des plus beaux de Wallonie. Celui-ci a pourtant été abattu il y a cinq ans. N’en subsistent aujourd’hui que les écuries.
C’est l’une des plus belles pages de l’histoire du patrimoine wallon qui s’est tournée il y a cinq ans. La fin du château de Noisy, dit château Miranda, aura soulevé l’indignation tout autour du globe face à des autorités régionales qui se fichent de voir le patrimoine local partir en gravats. Il faut dire que l’édifice avait tout du château de contes de fées avec son style néo-gothique flamboyant. Un vrai coup de cœur pour les fans du genre !
À ses débuts, ce château n’était pourtant qu’une simple ferme rattachée à un autre château situé à deux pas de là appartenant au comte de Liedekerke-Beaufort. Par crainte des retombées de la Révolution française, le comte s’était réfugié dans cette ferme en 1792 pour s’y installer avec sa famille et, avec le temps, celle-ci s’est peu à peu agrandie. Le château tel qu’il était au XXe siècle a été édifié entre 1866 et 1907, sous la supervision de l’architecte anglais Edward Milner, qui a notamment travaillé sur le célèbre Crystal Palace, puis à sa mort, par l’architecte français Pelchner.
Devenu résidence d’été de la famille Liedekerke-Beaufort durant la première partie du XXe siècle, le château fut ensuite brièvement occupé par les troupes allemandes durant la Seconde Guerre mondiale. Il est ensuite devenu un lieu de vacances pour les enfants des cheminots de la SNCB. En 1991, le château de Noisy est ravagé par un incendie. Faute d’entretien, le site a rapidement sombré dans l’abandon au point que la structure du bâtiment, à la fin du siècle dernier, était irrécupérable, rongée notamment par la mérule. Si la destruction du site est devenue une certitude dès 2015, de nombreuses actions citoyennes doublées de recours administratifs en tout genre ont retardé la démolition du château. Celle-ci a finalement eu lieu entre l’automne 2016 et le printemps 2017.
Icône de l’exploration urbaine
Durant 25 ans, du début des années 1990 jusqu’à sa démolition, les promeneurs et explorateurs urbains se sont bousculés dans la propriété en brandissant smartphones et appareils photos afin d’immortaliser la magie dégagée par le lieu. Le château de Noisy a même été recensé au sein de listes reprenant les plus beaux lieux abandonnés au monde. C’est donc sans surprise qu’il a accueilli des milliers de visiteurs de tout bord durant ses dernières années et qu’on ne compte plus les sites présentant des clichés sublimes malgré l’état de délabrement qui y régnait.
Les tracteurs tondeuses électriques se positionnent de plus en plus comme une solution indiquée et responsable pour entretenir de grandes étendues de pelouse. Mais quels sont leurs véritables atouts et leurs limites ?
Avantages : entretien, écologie et efficacité
La maintenance réduite est un avantage non négligeable. Adieu les vidanges, les changements de filtre et autres durites à changer… L’utilisateur profite d’une expérience plus simple et plus propre.
Autre avantage des tracteurs tondeuses électriques : leur absence d’émissions directes. Ces machines n’émettent aucune émission de CO2 pendant l’usage même si le bilan environnemental de la batterie suscite toujours de nombreux débats…. Leur silence est un autre point fort, permettant d’effectuer l’entretien des pelouses sans déranger le voisinage !
Inconvénients : autonomie et coût
Tout n’est pas rose, cela dit… Leur autonomie limitée est souvent pointée du doigt. Selon le modèle et la superficie à tondre, il pourrait être nécessaire de recharger la batterie une ou plusieurs fois, ce qui peut rendre la tâche plus longue. Les fabricants font toutefois de gros progrès à ce niveau, avec des autonomies souvent égales à 2 heures d’utilisation. L’autonomie réduite n’est donc réellement problématique qu’en cas d’utilisation sur les très grands terrains…
En outre, le coût d’achat d’un tracteur tondeuse électrique est également plus élevé que celui de ses homologues à essence. Bien que cet investissement puisse être amorti sur le long terme grâce à la réduction des coûts de maintenance et de carburant, il reste un frein pour certains utilisateurs. En effet, la consommation d’essence des modèles thermiques est souvent très réduite et la maintenance est parfois assurée par l’utilisateur !
Conclusion
Alors ? Il reste évidemment de nombreuses inconnues, comme la durée de vie de la batterie. Ce qui est sûr, c’est qu’il s’agit d’une solution d’avenir, bien plus simple et confortable d’utilisation que les modèles thermiques… Mais le coût actuel peut franchement refroidir !
En cas de litige avec votre entrepreneur, un expert peut parfois être désigné. Qui paie ce dernier ?
Vous choisissez un expert
Tout d’abord, vous pouvez engager votre propre expert. À moins qu’une assurance de protection juridique ne rembourse les frais, ce sera à vous de payer. Même si vous obtenez finalement gain de cause et que l’entrepreneur a effectivement commis une faute sur votre chantier, en règle générale, vous ne pouvez pas vous faire rembourser les frais de votre propre expert par l’entrepreneur…
Expert judiciaire
Si l’affaire est portée devant le tribunal et que celui-ci désigne un expert, vous devrez généralement, en tant que client, « provisionner » l’expert. En d’autres termes, vous devrez payer l’expert dans un premier temps. A ce sujet, sachez que les frais et honoraires peuvent être considérables !
Une fois la décision tranchée, c’est le tribunal qui décidera qui doit prendre en charge les frais de l’expert. Si vous gagnez le procès, vous pourrez probablement récupérer le montant versé à l’expert auprès de l’entrepreneur (à condition qu’il soit suffisamment solvable). Si vous n’avez que partiellement raison, le tribunal pourra « diviser » les frais d’expertise.
Désignation à l’amiable
Autre possibilité : vous et l’entrepreneur décidez de faire appel à un expert pour résoudre votre litige. Dans ce cas, vous décidez d’un commun accord qui paiera les frais, ou si vous divisez la somme en deux. Vous pourriez également avancer chacun la moitié des frais et vous les faire rembourser par la personne qui est dans l’erreur.