Le baromètre des notaires de ce premier trimestre 2024 rapporte une hausse spectaculaire des prix des maisons. Surtout si l’on considère des ventes en chute libre ! Les disparités régionales sont néanmoins très marquées !
En 2024, le prix moyen (et non médian) d’une maison en Belgique a grimpé à 328.187 euros, soit une augmentation de 1,7% par rapport à 2023. Une hausse très relative donc, qui est à contraster avec la baisse globale des ventes de 7,3% dans tout le pays. Une hausse qui n’en est finalement pas une si l’on considère l’inflation entre le premier trimestre 2024 et l’année 2023 : on parle alors même d’un tassement de 0,6 % !
Des disparités régionales marquées
La Flandre a vu ses prix monter jusqu’à 367.120 Euros, soit une hausse de 2,4%. À l’inverse, à Bruxelles et en Wallonie, le marché semble plus calme avec des prix respectivement en baisse de 3,1% et -0.3%, soit 545.210 euros et 239.886 euros.
Le géant du luxe Kering a acquis un immeuble à Milan pour une somme absolument mirobolante ! On vous donne les détails !
Kering a jeté son dévolu sur un prestigieux immeuble situé au numéro 8 de la via Montenapoleone à Milan, déboursant la somme colossale de 1,3 milliard d’euros. L’adresse est reconnue parmi l’une des plus prisées au monde pour les marques de luxe selon Cushman & Wakefield. Elle abrite d’ailleurs plus de 5.000 m² de surface commerciale ! Elle est actuellement occupée par des enseignes de renom telles que Prada et Saint-Laurent, ainsi que par la célèbre pâtisserie-confiserie Cova, propriété de LVMH mais qui restera locataire de l’espace.
Kering, déjà propriétaire de grandes maisons comme Gucci, Saint-Laurent et Balenciaga, souligne que cet investissement s’inscrit parfaitement dans sa stratégie immobilière sélective. L’objectif est clair : sécuriser des emplacements clés pour ses maisons, tout en s’assurant une présence indéniable dans les lieux les plus désirables pour le commerce de luxe.
Cette acquisition intervient après un autre coup d’éclat de Kering, avec l’achat d’un immeuble sur la 5e Avenueà New York pour presque un milliard de dollars. Toutefois, le groupe se montre prudent quant à ses prévisions, anticipant une baisse de son chiffre d’affaires au premier trimestre, en grande partie due aux défis rencontrés par Gucci, sa marque phare.
Peindre ses murs intérieurs au pistolet ? A première vue, cela paraît plutôt sympa comme idée, tant cette méthode promet qualité et rapidité… Pourtant, tout n’est pas rose… On fait le tour de la question avec vous !
Young worker using a pistol
Avantages de la peinture au pistolet
Rapidité et uniformité
La peinture au pistolet permet une application rapide et uniforme, couvrant de grandes surfaces en un temps record. Cette méthode est idéale pour les projets de grande envergure !
Finition lisse
Grâce à la pulvérisation fine, les murs traités au pistolet se distinguent par une finition lisse et homogène, difficilement atteignable avec des méthodes traditionnelles.
Inconvénients de la Peinture au Pistolet
Préparation exigeante
L’un des principaux inconvénients est la préparation laborieuse. Les zones à ne pas peindre doivent être méticuleusement masquées pour éviter les surpulvérisations. Le brouillard de peinture est en effet important et vous en mettrez facilement partout !
Compétences techniques
L’utilisation d’un pistolet à peinture requiert un certain savoir-faire. Une mauvaise manipulation peut entraîner une application inégale, des coulures, ou un brouillard de peinture nuisible à l’environnement intérieur. Bref, il faut savoir régler son pistolet, ce qui demande soit de l’expérience, soit une bonne formation. L’idéal ? S’exercer sur des surfaces tests. Enfin, bon à savoir, toutes les peintures ne sont pas compatibles avec votre pistolet !
Coût
Outre le coût du pistolet et du compresseur, sachez également que vous utiliserez nettement plus de peinture !
Conclusion
La peinture au pistolet pour les murs intérieurs ? Pour notre part, on dit oui, si tout doit être peint uniformément de la même couleur. Dans le cas contraire, vous risquez de regretter votre bon vieux rouleau…
Bourganeuf est une petite commune dans la Creuse (France) qui, à l’instar d’autres municipalités, souffre d’un patrimoine immobilier riche et onéreux à entretenir ! Au point, d’ailleurs, que la mairie a décidé de se séparer de son… tribunal !
Entre la rénovation de l’église et les autres frais de fonctionnement, la mairie explique au Figaro Immobilier ne plus pouvoir tout assumer. Ce qui, évidemment, fait grincer quelques dents, mais la mairie ne semble plus vraiment avoir le choix !
Contre 30.000 euros, vous pouvez donc vous porter acquéreur de ce tribunal, probablement érigé dans les années 1850. Un tout petit prix pour un bâtiment prestigieux, de style néoclassique et ayant fonctionné jusqu’en 2009. Et surtout, un prix parfaitement ridicule si l’on considère les 400 m² de superficie, le terrain de 10 ares, les 11 pièces et, bien évidemment, les nombreuses caves et réserves en sous-sol.
Tenté(e) ? Ne tardez pas à vous manifester : au moins une offre aurait déjà été déposée, mais la mairie ne choisira l’acquéreur que d’ici l’été. D’ici-là, faites tout de même une estimation des travaux à envisager…
Qui payera les frais pour des dégâts au bien dont vous êtes locataire ? Vous ou votre propriétaire ? Et en tant que locataire, êtes-vous obligé de souscrire une assurance habitation ? Quid en cas de dégât des eaux, de dommage suite à une tempête ou à une simple négligence ? Que faire pour la déclaration de sinistre ?
Vous trouverez les réponses à ces questions et à bien d’autres utiles dans notre article ci-dessous. Mais avant tout, une bonne nouvelle pour les locataires d’appartements : ils peuvent bénéficier d’une réduction de 15 % sur leur assurance incendie chez P&V, jusqu’au 15 mai 2024. Cette réduction reste valable pendant toute la durée du contrat, ce qui représente une belle économie au fil des ans. Vous êtes intéressé(e) par une assurance incendie solide et raisonnable ? Visitez vite le site de P&V.
Souscrivez une assurance incendie, même si vous êtes locataire
La plupart des locataires sont contractuellement tenus de souscrire une assurance habitation ou incendie. Cette assurance incendie est devenue légalement obligatoire, en Flandre et en Wallonie. À juste titre, car si les locataires ont des droits, ils peuvent aussi être tenus pour responsables des dommages qu’ils causent au bâtiment qu’ils occupent, que ceux-ci surviennent intentionnellement ou non. Une bonne assurance habitation représente donc la protection indispensable contre les risques locatifs.
Responsabilité présumée en tant que locataire
En cas de dommages à un logement loué, le législateur présume que le locataire est responsable. Cela signifie que c’est lui ou son assureur incendie qui doit indemniser pour les dommages survenus pendant la période de location, sauf si le locataire peut prouver qu’il n’est pas responsable des dommages causés. Mais cela s’applique-t-il uniquement aux dommages causés par un incendie ?
L’assurance incendie : garantie incendie
Deux exemples :
Imaginons : vous allumez votre friteuse et partez faire une petite course au magasin du coin. Pendant ce temps, votre cuisine prend feu. La faute est clairement établie, vous êtes responsable et vous ou votre assureur incendie devez prendre en charge les frais pour réparer ces dommages.
Imaginons : votre friteuse explose lors de sa première utilisation en raison d’un défaut de fabrication. Si vous pouvez le prouver, dans ce cas l’indemnisation sera réclamée au fabricant ou à son assureur responsabilité.
L’assurance incendie : garantie bris de glace
Deux exemples :
Dans votre appartement en location, le double vitrage de la fenêtre coulissante s’opacifie. Votre responsabilité ne peut être engagée, sauf en cas de faute de votre part. Le coût du remplacement éventuel de la vitre est par conséquent à charge du propriétaire (ou de sa compagnie d’assurances).
En déménageant, vous cassez une vitre. Vous devez faire réparer ces dommages, mais s’ils sont couverts par votre assurance incendie, votre assureur devrait rembourser les frais, diminués d’une éventuelle franchise.
Le saviez-vous ?
Si, en tant que locataire, vous faites exécuter une réparation dans le logement que vous occupez, il est préférable de demander à l’entrepreneur une facture à votre nom. En cas de travaux d’amélioration du bien loué (par exemple, vous faites poser un nouveau sol à vos frais), vous devez le déclarer dans votre police d’assurance incendie. De cette manière, l’assureur sait clairement qui il doit indemniser par la suite pour le coût des travaux en cas de dégâts.
L’assurance incendie : garantie dégâts des eaux
Encore deux exemples :
Le sol du garage de la maison que vous louez s’est affaissé suite à une fuite dans la conduite d’évacuation. Si cette fuite n’a pas pour origine une faute de votre part, le coût de réparation des dommages est à charge du propriétaire.
À la suite d’une fuite à votre lave-linge, l’eau s’écoule jusqu’au salon et le parquet est gravement endommagé. Dans ce cas, vous êtes responsable et vous ou votre assureur incendie devrez supporter les frais de réparation.
Le saviez-vous ?
Si, en tant que locataire, vous décidez de ne pas faire réparer les dommages à l’habitation, des discussions peuvent survenir au moment de l’état des lieux à la fin du contrat. Le propriétaire pourrait ne pas vous rembourser (une partie de) la garantie, retenue à titre d’indemnisation.
Catastrophes naturelles et tempêtes
En tant que locataire, vous n’êtes pas responsable des dommages causés par une catastrophe naturelle ou une tempête. Si une tempête endommage le toit de votre habitation, ce n’est pas votre faute, et le propriétaire ou son assureur devra donc payer pour le nouveau toit.
Comment se déroule la procédure en cas de sinistre dans un logement loué ?
Tant le propriétaire que le locataire déclarent les dommages à leur assureur.
Les deux assureurs examinent la cause du sinistre et qui en est éventuellement responsable.
Si la responsabilité est établie, le préjudicié, qui peut être soit le propriétaire, soit le locataire ou même, un tiers (comme par exemple votre voisin), est indemnisé par son assureur.
A son tour, l’assureur du préjudicié demande à la partie responsable (propriétaire, locataire, assureur, fabricant…) de lui rembourser l’indemnité, sauf si c’est le préjudicié lui-même qui a causé le dommage.
Économisez 15 % sur l’assurance habitation des locataires, maintenant et chaque année
Un incendie dans la cuisine avec la friteuse ? Vous avez laissé couler votre bain trop longtemps ? Grâce à l’assurance incendie Ideal Home de P&V, vous n’aurez pas à payer la facture vous-même. Et votre conseiller P&V est à votre disposition si vous avez besoin d’aide.
De plus, nous avons une bonne nouvelle pour vous. En tant que locataire d’un appartement, vous bénéficiez d’une réduction de 15 % sur la prime totale de votre assurance incendie jusqu’au 15 mai 2024 et pendant toute la durée de votre contrat ! Visitez rapidement pv.be pour plus de détails.
Ce document est un document publicitaire qui contient des informations générales sur l’assurance P&V Habitation développée par P&V, une marque de P&V Assurances, et qui est soumise au droit belge. Afin de déterminer votre profil de risque, nous appliquons quelques critères de segmentation. Un certain nombre d’exclusions, de restrictions et de conditions relatives au risque assuré sont d’application dans le cadre de ces assurances. Nous vous invitons donc à lire attentivement les conditions générales du produit et les fiches IPID applicables à ce produit avant d’y souscrire. Elles sont à votre disposition via le site internet www.pv.be ou sur simple demande chez un conseiller P&V. Le contrat d’assurance est conclu pour une durée d’un an avec reconduction tacite.
En cas de plainte éventuelle, vous pouvez contacter un conseiller P&V, votre interlocuteur privilégié pour toutes vos questions. Il/Elle fera tout son possible pour vous aider au mieux. Vous pouvez aussi prendre directement contact avec le service Gestion des Plaintes de P&V qui examinera votre plainte ou remarque avec la plus grande attention. Ils concilieront au mieux les différentes parties et essayeront de trouver une solution. Vous pouvez les contacter par lettre (Gestion des Plaintes, Rue Royale 151, 1210 Bruxelles), par e–mail (plainte@pv.be) ou par téléphone 02/250.90.60. Si la solution proposée ne vous convient pas, vous pouvez vous adresser au service Ombudsman des Assurances (Square de Meeûs 35 à 1000 Bruxelles) par téléphone (02/547.58.71) ou par e–mail (info@ombudsman-insurance.be) (https://www.ombudsman-insurance.be).
En tant que client, vous êtes protégé par les règles de conduite en matière d’assurances.
Pour des conseils personnalisés ou une offre d’assurance, veuillez contacter l’un de nos conseillers. Vous pouvez également consulter l’ensemble des informations légales.
Il n’y a qu’à ceux qui ne font rien que rien n’arrive… Bref, un accident est vite arrivé: Toutefois, qui paye si c’est votre femme de ménage qui a occasionné les dégâts ?
La règle d’or: communication et assurance
Quand un incident survient, la première étape est de communiquer. A moins qu’il ne s’agisse d’un geste intentionnel, ce qui est franchement rare, prenez le temps de rassurer la personne. Après tout, qui n’a jamais rien cassé en faisant le ménage ? Ensuite, il est temps de parler d’assurance.
Qui paye en cas de casse?
Emploi via une agence
Si vous engagez votre aide-ménagère via une agence (de titres-services, par exemple), c’est cette dernière qui endosse la responsabilité. C’est donc l’assurance de l’agence qui prendra les frais en charge. Notez qu’une franchise peut vous être réclamée. Ce n’est donc pas à la femme de ménage de payer les dégâts, sauf s’il s’agit d’une faute intentionnelle, grave ou d’une erreur répétée. Si vous décidez de faire intervenir l’assurance, n’oubliez pas de constituer un dossier et rassemblant toutes les factures. Si votre femme de ménage refuse de reconnaître sa responsabilité, ce qui est plutôt rare, envoyez un recommandé à l’agence.
Il s’agit de votre employée ?
Si votre femme de ménage est employée directement par vous et non par une agence, il est crucial qu’elle soit couverte par une assurance « personnel de maison », qui prendra en charge les dégâts. Il s’agit d’ailleurs d’une obligation légale.
Bien entendu, s’il s’agit d’un travail non déclaré, ce sera à vous de payer…
Sven Gatz (Open Vld) a récemment approuvé l’augmentation de la taxe de séjourde 1 euro pour les établissements d’hébergement touristique. Cette mesure, visant à renforcer les finances de la capitale après la crise du covid, concerne tous les propriétaires d’hôtels, de bed & breakfasts, ainsi que les autres formes d’hébergement touristique à domicile, à l’exception des campings.
François Genon
Un impact sur la tarification
La nouvelle politique implique que les tarifs de base de la taxe de séjour passeront à 5 euros pour les hôtels et 4 euros pour les autres formes d’hébergement, incluant les centimes additionnels communaux.
Un contexte de soutien et de défis
Cette augmentation de la taxe fait suite à une période où le secteur a bénéficié de diverses mesures de soutien gouvernementales face aux crises sanitaires et économiques. Toutefois, les propriétaires d’établissements touristiques doivent également faire face à une hausse significative de leurs coûts d’exploitation, due à la crise énergétique et à l’inflation.
Répercussions financières et réactions
Le gouvernement estime que cette hausse générera une recette supplémentaire de 5 millions d’euros pour la région, en plus des 19,1 millions d’euros déjà perçus via la citytax. Pour les propriétaires, cela signifie une augmentation des contributions mais aussi une réflexion sur la manière de valoriser au mieux leur offre pour absorber ce surcoût.
Le tourisme bruxellois en reprise
Avec plus de 5,9 millions de nuitées enregistrées en 2022 selon l’IBSA, le secteur témoigne d’une reprise encourageante.
Le printemps revient et avec celui-ci, vous avez envie de revoir votre jardin et votre terrasse ? Quel budget prévoir pour une nouvelle table de jardin? Matériaux, styles, prix: notre guide complet.
Robin Wersich
Choisir une table de jardin nécessite de considérer attentivement le matériau, tant pour son impact esthétique que financier. Voici un aperçu des options disponibles:
Bois
Le bois séduit par son aspect chaleureux et naturel. Idéal pour un style rustique ou contemporain, il nécessite cependant un entretien annuel pour lutter contre les agressions climatiques. Les prix varient de 100€ pour des essences locales en seconde main, à plus de 1000€ pour des bois exotiques résistants aux intempéries.
Métal
Entre le romantisme du fer forgé et la modernité de l’aluminium, le métal est apprécié pour sa durabilité. Il exige peu d’entretien, bien que le fer doive être traité contre la rouille. Laissée sans protection, la peinture peut également devenir matte. Les budgets s’échelonnent de 150€ à plus de 700€, en fonction de la finition et du design. La mode du moment ? Une structure en aluminium et un plan en bois…
Résine tressée
Synonyme de modernité, la résine tressée résiste bien aux éléments tout en étant légère et facile à déplacer. Elle demande peu d’entretien. Prévoyez entre 200€ et 800€ pour un bon rapport qualité-prix.
Plastique
Solution la plus abordable, le plastique convient parfaitement aux budgets serrés. Offrant une grande variété de couleurs et de formes, il est toutefois moins résistant sur le long terme. Les prix débutent à 20€ et peuvent atteindre 200€ pour des designs plus élaborés.
Style et dimensions
La taille et le style de votre future table dépendent évidemment de l’utilisation prévue et de l’espace à votre disposition. Pour un petit balcon, une table pliante en plastique peut suffire, tandis qu’une grande tablée en bois conviendra mieux à un vaste jardin pour accueillir des repas familiaux ou entre amis. Pensez pratique: certaines tables offrent des fonctionnalités supplémentaires comme des rallonges ou des compartiments cachés. Et ça, c’est le must !
Quel entretien ?
Quel que soit le matériau choisi, l’entretien joue un rôle clé dans la durabilité de votre table de jardin. Le bois peut nécessiter une couche de vernis ou de peinture protectrice annuelle, tandis que le métal et la résine peuvent simplement être nettoyés avec de l’eau savonneuse. Le plastique, quant à lui, se contente d’un coup d’éponge mais peut perdre en éclat avec le temps.
Ce sont nos confrères de L’Echo et De Standaard qui l’écrivent : il ne reste plus rien dans les caisses de la Société du Logement de la Région de Bruxelles-Capitale (SLRB), ce qui signifie que les chances de voir de nouveaux projets de logements sociaux sont à peu près nulles ! Quelles solutions ?
On le sait, la capitale fait face à une grosse pénurie de logements, une crise accentuée par la flambée des prix : près de 50.000 candidats locataires sont sur liste d’attente ! Le temps d’attente en moyenne ? 12 ans ! Autant dire que face à de tels chiffres, les 3.000 logements sociaux proposés ces 5 dernières années font pâle figure. Pourtant, ce chiffre est un record ! Un record qui a malheureusement fait fondre les trésoreries de la SLRB…
Pour assumer ses engagements, la SLRB a pourtant besoin de 300 millions d’euros. Pour info, à ce sujet, les financements sont assumés pour moitié par la région et pour l’autre moitié, par la SLRB sur ses fonds propres… Comprenez, vu l’état des finances de cette dernière, un prêt financier. Bruxelles, exsangue elle aussi, hésitant à donner son feu vert pour la moitié de cette somme, l’organisme prêteur (à savoir Belfius) n’est franchement pas chaud pour libérer les autres 150 millions d’euros ! Bref, quel avenir pour les logements sociaux?
La solution AIS ?
Pour les libéraux, la solution est claire : il faut en finir avec ces logements sociaux et les remplacer par des AIS (Agences Immobilières Sociales). Les logements ne sont ainsi plus achetés par les organismes publics mais par des privés qui, moyennant des régimes fiscaux favorables, confient leurs biens à ces agences qui les proposent à des locataires aux revenus limités. Voilà qui ferait l’effet d’une bombe dans le paysage immobilier social…
Le béton ciré s’impose comme une option de plus en plus prisée pour les terrasses. Ce revêtement à la fois moderne et esthétique offre un fini lisse et continu, qui est bien en phase avec les modes minimalistes et industrielles du moment. Mais est-il vraiment le choix idéal pour votre terrasse ? On vous dit tout !
Le béton ciré se distingue par son aspect minimaliste et épuré, capable de s’intégrer à tout style d’habitat.
Outre son esthétique versatile, il est reconnu pour sa durabilité et sa résistance aux intempéries, un atout majeur pour les espaces extérieurs.
Enfin, sa surface non poreuse facilite le nettoyage et limite l’apparition de mousses et de lichens.
Inconvénients : Un coût et une technicité à considérer
Opter pour le béton ciré nécessite un budget conséquent.
La préparation du sol et l’application du matériau requièrent une main-d’œuvre spécialisée, ce qui peut rapidement augmenter la facture.
De plus, bien qu’il soit résistant, le béton ciré peut être sujet aux rayures et nécessite un traitement spécifique pour conserver son aspect initial.
Budget : À quoi s’attendre ?
Le coût d’une terrasse en béton ciré varie en fonction de plusieurs facteurs, dont la surface à couvrir et le type de finition choisie. En moyenne, il faut compter entre 100 et 200 euros par mètre carré, installation comprise. Il est important de demander plusieurs devis pour comparer les offres et choisir le meilleur rapport qualité-prix.