Auteur : francois

  • Focus sur le somptueux Hôtel van Eetvelde

    Inscrit depuis 2000 au Patrimoine mondial de l’Unesco, l’Hôtel van Eetvelde, construit au tournant du siècle dernier par Victor Horta, est l’un des plus beaux édifices Art nouveau de la Région bruxelloise.

    L’Hôtel van Eetvelde, situé à Bruxelles dans le quartier des squares, est un chef-d’œuvre de l’architecture Art nouveau. Il a été conçu par l’architecte Victor Horta entre 1895 et 1897, sur commande d’Edmond van Eetvelde. Cet hôtel particulier est situé au numéro 2 de la rue Palmerston, face aux bassins du square éponyme. Edmond van Eetvelde était un homme politique et diplomate belge. Il a occupé plusieurs postes de haut rang au sein du gouvernement, notamment en tant que chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères puis en tant que secrétaire général du Comité Exécutif de l’État indépendant du Congo, alors sous domination belge et propriété du roi Léopold II.

    En plus de sa carrière politique et administrative, Edmond van Eetvelde était également un mécène des arts et un grand amateur d’architecture. C’est dans ce contexte qu’il a commandé la construction d’un hôtel particulier à Victor Horta, permettant à ce dernier de créer l’une de ses œuvres les plus célèbres.

    Révolutionnaire pour l’époque

    Ce bâtiment est remarquable pour son style architectural novateur, caractéristique de l’Art nouveau, avec ses lignes courbes, ses ferronneries élégantes et ses matériaux luxueux. L’Hôtel van Eetvelde est souvent considéré comme l’un des chefs-d’œuvre de Horta, qui lui a permis de démontrer son talent consistant en l’intégration parfaite de l’art dans l’architecture.

    L’intérieur de l’hôtel est tout aussi impressionnant que sa façade, avec des espaces lumineux et aérés, décorés avec des motifs floraux et des détails très élaborés. Horta a conçu non seulement le bâtiment lui-même, mais aussi une grande partie du mobilier et des éléments décoratifs, créant ainsi une expérience immersive pour les occupants. Propriété de la Fédération de l’Industrie du Gaz depuis 1950, qui sauvera le bâtiment d’une destruction certaine, l’Hôtel van Eetvelde est classé depuis 2000 au patrimoine mondial de l’Unesco, en reconnaissance de son importance architecturale et de son influence dans le mouvement de l’Art nouveau sur le Vieux Continent. Il est parfois ouvert au public lors d’événements spéciaux ou de visites guidées, offrant ainsi aux visiteurs la possibilité d’admirer de près cette superbe création architecturale.

    Envie d’en savoir plus sur cet édifice remarquable ? N’hésitez pas à consulter le site Admirable-Artnouveau qui a dédié une page à l’Hôtel van Eetvelde, avec de superbes clichés du bâtiment et de son somptueux intérieur.

  • Peintures isolantes : révolution thermique ou gadget inefficace ?

    Les peintures isolantes : solution miracle ou coup de pouce énergétique quasiment insignifiant ? On voit cela avec vous !

    construction worker is painting a wall with a roller

    Fonctionnement

    Les peintures isolantes utilisent des microsphères céramiques ou des particules creuses pour créer une barrière thermique. Ces composants permettent de réduire les pertes de chaleur en hiver et de maintenir la fraîcheur en été. En termes de gains thermiques, on peut s’attendre à une réduction de température allant de 2 à 5 degrés Celsius selon les conditions et la qualité de la peinture.

    Applications Pratiques

    Les peintures isolantes peuvent être appliquées sur diverses surfaces :

    • Murs intérieurs et extérieurs : pour une isolation thermique et acoustique optimale.
    • Plafonds : pour réduire les pertes de chaleur par le toit.
    • Toitures : pour refléter la chaleur solaire et diminuer les besoins en climatisation.

    L’application se fait de manière similaire à celle des peintures classiques, utilisant des rouleaux ou des pinceaux.

    Budget

    Le coût des peintures isolantes varie en fonction de la marque, de la qualité et de la surface à couvrir. En général, le prix oscille entre 20 et 50 euros par litre. Pour une maison moyenne, cela représente un budget de 400 à 1200 euros pour deux couches (le minimum pour garantir une certaine efficacité), sans compter la main-d’œuvre si vous faites appel à un professionnel.

    Avantages

    • Économies d’énergie : réduction des coûts de chauffage et de climatisation.
    • Facilité d’application : comparable aux peintures traditionnelles.
    • Durabilité : une longue durée de vie avec peu d’entretien, certaines étant lavables.
    • Respect de l’environnement : certaines formulations sont écologiques.

    Inconvénients

    • Coût initial : plus élevé que les peintures classiques.
    • Efficacité variable : dépend fortement de la qualité du produit, du nombre de couches et de la méthode d’application.
    • Disponibilité : moins courantes dans les magasins que les peintures traditionnelles. Et si de nombreuses teintes sont possibles, le choix n’est pas tout-à-fait aussi large qu’avec les peintures traditionnelles
  • L’un des plus célèbres monuments bruxellois va faire peau neuve !

    Le Conseil des ministres fédéral a débloqué 88,6 millions d’euros pour la revalorisation du parc et des musées du Cinquantenaire !

    Thomas Somme

    Un investissement pour le bicentenaire

    Ce financement de 88,6 millions d’euros est destiné à des interventions prioritaires dans le cadre du masterplan de revalorisation du parc et des musées du Cinquantenaire. Voilà qui marque le début d’un vaste projet de modernisation visant à faire de ce lieu historique la principale plaque tournante des célébrations du bicentenaire de la Belgique en 2030.

    Pour rappel, le Cinquantenaire fut créé en 1880 pour fêter les 50 ans de l’indépendance de la Berlgique, sous Léopold II. Bordé d’un parc, le complexe abrite aujourd’hui trois musées.

    Études architecturales et financement global

    Outre le montant initial de près de 90 millions d’euros, le gouvernement a chargé Beliris de lancer les études architecturales du plan directeur intégré lié au projet. La réalisation complète de ce plan directeur représentera un investissement global de 160 millions d’euros.

    Quelles sont les modifications qui y seront apportées ?

    1. Revoir les circulations sur l’ensemble du site.
    2. Valoriser les arcades et l’arc de triomphe comme pôles d’attraction.
    3. Renforcer la mobilité douce les ronds-points Schumann et Mérode, pour promouvoir la mobilité douce
    4. Rénover en profondeur les espaces muséaux.
    5. Un nouvel espace souterrain public sera également créé.
  • 5 déchets ménagers à ne pas mettre au compost

    Le compostage est devenu un phénomène très en vogue, aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural, représentant une méthode écologique efficace pour recycler des déchets organiques tout en produisant de l’engrais naturel pour les jardins et potagers. Cependant, il est important de souligner que certains déchets ne doivent pas être ajoutés au compost, pour éviter de nuire à la qualité de l’engrais produit.

     

    Chaque année, les ménages belges génèrent des centaines de milliers de tonnes de déchets verts et de cuisine. Cela va des épluchures de fruits et légumes au marc de café en passant par les coquilles d’œuf. Pour réduire leur empreinte environnementale, bon nombre de ménages se tournent vers le compostage, ce qui est une excellente idée. On déleste ainsi les décharges et les incinérateurs tout en fabriquant de l’engrais 100 % biologique. Mais attention, pour qu’un composteur fonctionne convenablement, certains déchets doivent impérativement faire l’objet d’un tri et être jetés à part.

    Voici 5 erreurs couramment commises lorsqu’il s’agit d’alimenter son compost en déchets.

    1. Les cendres de charbon

    Après un barbecue, il peut sembler judicieux d’ajouter les cendres de charbon au compost, considérant qu’elles proviennent de matières organiques brûlées. Cependant, cette pratique est déconseillée. Les cendres de charbon contiennent souvent des substances nocives en quantité élevée, telles que le fer et le soufre, qui peuvent rendre le compost toxique pour les plantes.

    2. Le contenu du sac d’aspirateur

    Ajouter le contenu d’un sac d’aspirateur au compost est également une erreur. Les aspirateurs captent une grande variété de particules, incluant des fibres synthétiques issues de nos tapis, des particules métalliques, et des fragments de plastique. Ces matériaux ne se décomposent pas et finissent par polluer le compost.

    3. Les graisses alimentaires

    Les déchets compostables requièrent un certain niveau d’humidité pour se décomposer correctement. Les huiles et graisses alimentaires perturbent cet équilibre et peuvent inhiber le processus de décomposition, compromettant la qualité du compost.

    4. La viande et le poisson

    Ces aliments doivent absolument être évités dans le compost. Leur décomposition produit des odeurs désagréables et attire les rongeurs ainsi que d’autres parasites. Les produits laitiers ont également un effet similaire et devraient être exclus.

    5. Les épluchures d’agrumes

    Bien qu’organiques, les épluchures d’agrumes mettent longtemps à se décomposer et leur acidité peut diminuer le pH du compost, ralentissant ainsi le cycle de décomposition. De plus, leur présence peut être nocive pour les vers de terre dans le compost, qui jouent un rôle crucial dans le processus de compostage.

  • Elections 2024 | Libéraliser ou encadrer les loyers : quelle méthode privilégier ?

    A l’approche des élections, les esprits de nos décideurs s’échauffent naturellement. Le Belge ayant une brique dans le ventre, la question de l’immobilier est évidemment au centre de nombreux débats ! Et justement, au sujet des loyers, quelle méthode privilégier : ultra-libérale ou très cadrée ? Deux exemples dans le monde peuvent donner des pistes de réponse…

    buenos aeres
    Francisco Ghisletti

    La méthode libérale

    En Argentine, le nouveau gouvernement ultra-libéral a pris une série de mesures qui semblent avoir quelques effets sur le marché de la location : à en croire BFM Immo, le nombre de logements proposés à la location à Buenos Aires, est grimpé de 6600 à la fin 2023 à… 19.000 en ce premier semestre 2024 ! Comment expliquer un tel rebond ? Tout simplement par la réforme d’une loi jadis très stricte sur les pratiques locatives. Une telle hausse de l’offre a forcément un impact sur les prix pratiqués qui ne grimpent quasiment plus : sur le mois de février 2024, alors que l’inflation était de 13,2 %, les loyers ont stagné avec une hausse de 2,9 %. Relativement parlant, on peut donc parler d’une baisse des prix pratiqués ! Toutefois, la chambre immobilière argentine ne fait pas beaucoup de commentaires précis sur l’état général du parc immobilier locatif, ni sur les investissements réalisés…

    L’encadrement des loyers

    Paris fut la première ville de France à encadrer ses loyers. Mise en place voici 5 ans, la méthode semble avoir les effets escomptés car, selon l’Atelier parisien d’urbanisme, la hausse des loyers fut freinée à 64 euros par mois. Le niveau reste malgré tout, et bien entendu, très élevé, mais les élus parisiens restent très fiers de cette hausse modérée. Cette grille locative contraignante a-t-elle fait fuir les investisseurs, réduisant ainsi tant l’offre locative que le rythme de la rénovation du parc immobilier ? Les élus, à en croire Le Figaro Immobilier, restent plus évasifs sur cette question, Jacques Baudrier, adjoint PCF au logement à Paris, ayant simplement répondu à nos confrères que le phénomène était « marginal ».

    Conclusion ?

    Il est difficile de tirer une conclusion de ces deux visions politiques : si les deux ont, semble-t-il, comme conséquence de freiner l’envolée des loyers, la première semble plus efficace pour renforcer l’offre, tandis que la suivante est probablement plus rassurante pour les locataires actuels, qui n’ont pas à craindre une subite et forte envolée de leur loyer.

  • Mauvaises herbes : 5 outils pour s’en débarrasser

    Avec toutes les averses que nous avons connues au mois de mai, les mauvaises ont certainement envahi vos espaces extérieurs ! Comment s’en débarrasser de manière responsable, à savoir sans avoir recours à des produits chimiques ? Aujourd’hui, il existe plusieurs outils efficaces pour s’en débarrasser. Voici cinq des meilleurs outils pour éliminer les mauvaises herbes !

    street weed

    1. Le désherbeur manuel

    Le désherbeur manuel est un excellent allié et c’est tout naturellement à lui que l’on pense en premier. Il se compose généralement d’une poignée, d’une longue tige en métal et d’une fourche ou un crochet à l’extrémité, souvent commandé par une pédale. Cet outil permet de retirer les mauvaises herbes en profondeur, en s’assurant de bien extraire les racines pour éviter leur repousse. Cerise sur le gâteau : pas besoin de (trop) se baisser !

    2. La binette

    La binette est un autre outil essentiel pour lutter contre les mauvaises herbes. Elle permet de gratter la surface du sol pour couper les tiges des mauvaises herbes. La binette est particulièrement efficace pour les jeunes mauvaises herbes qui n’ont pas encore développé de racines profondes.

    3. Le couteau désherbeur

    Le couteau désherbeur est parfait pour enlever les mauvaises herbes dans les endroits difficiles d’accès, comme les fissures des allées ou entre les pavés. Il est doté d’une lame fine et tranchante qui permet de couper les racines des mauvaises herbes avec précision.

    4. Le désherbeur thermique

    Le désherbeur thermique utilise la chaleur pour éliminer les mauvaises herbes. En brûlant les plantes indésirables, cet outil les fait mourir rapidement et empêche leur repousse. Il est particulièrement utile pour les grandes surfaces mais il peut être dangeureux. Assurez-vous bien de respecter toutes les mesures de sécurité !

    5. Le désherbeur à roulettes

    Pour les agriculteurs en herbe désireux de débarrasser une parcelle de toute mauvaise herbe, le désherbeur à roulettes est un outil ergonomique qui permet de désherber sans se fatiguer le dos. Il est équipé de roulettes et d’une poignée ajustable, ce qui le rend très facile à utiliser sur de grandes surfaces.

  • Majorque: ça chauffe  du côté des prix immobiliers !

    L’accès au logement à Majorque est de plus en plus difficile ! En cause ? Fort probablement le tourisme de masse.

    Felix Fuchs

    Des milliers de manifestants ont récemment défilé dans les rues de Palma de Majorque, dénonçant l’impact du surtourisme sur le marché immobilier local. Derrière la bannière « Majorque n’est pas à vendre« , ils exprimaient leur mécontentement face à la flambée des prix des logements, rendant difficile l’accès au logement pour les habitants de l’île méditerranéenne, qui compte moins d’un million d’habitants.

    Explosion des prix immobiliers

    Depuis quelques années, Majorque a vu les prix de l’immobilier augmenter de manière spectaculaire. Selon certaines statistiques, le prix médian des appartements a doublé en trois ans, passant de 2600 euros/m² début 2021 à plus de 4.000 euros aujourd’hui. Du côté des maisons, la hausse fut tout aussi brutale, avec un prix au mètre carré frôlant les 4.700 euros ! Du délire, sachant qu’il était de moins de 3.000 euros juste après la pandémie de coronavirus…

    Tourisme de masse ?

    L’une des principales causes de cette hausse des prix est la multiplication des locations touristiques. De nombreux propriétaires préfèrent louer leurs biens à des touristes à court terme, générant des revenus plus élevés qu’une location traditionnelle. « Le tourisme de masse transforme nos quartiers en zones touristiques, augmentant les loyers et chassant les résidents locaux, » explique un manifestant, propos rapporté par Belga. Cette pression immobilière oblige de nombreux habitants à quitter les centres-villes.

  • Bruxelles : une fuite record de ses habitants

    La Belgique assiste à un gros bouleversement démographique, particulièrement visible à Bruxelles. La capitale enregistre un exode record !

    brussels escape
    Martins Zemlickis

    L’année des grands déménagements

    En 2023, 73.870 Belges ont choisi de quitter une région pour s’installer ailleurs, un chiffre record selon la fédération des agents immobiliers néerlandophones. La capitale, Bruxelles, semble être l’épicentre de cette vague de départs, avec 37.613 habitants ayant pris la décision de quitter la ville.

    Bruxelles en perte de vitesse

    Parmi ceux qui ont quitté Bruxelles, la majorité a préféré s’installer dans la périphérie bruxelloise et dans les deux Brabant, à la recherche d’une qualité de vie sans doute perçue comme meilleure. En revanche, la capitale n’a attiré que 8.532 Wallons et 10.856 Flamands. Le solde démographique de Bruxelles est donc négatif, avec une perte nette de 18.225 personnes.

    Les causes ?

    Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette migration massive. L’augmentation des prix de l’immobilier est bien sûr un facteur que l’on suppose déterminant : pour le prix d’un appartement à Bruxelles, les Brabant vous proposent des maisons avec jardin ! On peut également citer le plan Good Move, le bien mal nommé, qui rend la circulation toujours plus complexe dans la capitale, ainsi que le plan Renolution, imposant une rénovation énergétique au pas de charge sous peine de grosse amende. Il y a là, peut-être de quoi faire fuir de nombreux citadins !

    D’autres paramètres peuvent également entrer en ligne de compte, comme la recherche de tranquillité et d’espace et, bien entendu, le télétravail quasi généralisé, qui relativise les distances domicile-bureau…

  • Hownvestor, un partenaire expérimenté pour votre investissement immobilier

    Actuellement, se constituer un patrimoine immobilier est l’un des meilleurs moyens d’assurer son avenir, de financer sa retraite grâce à des revenus complémentaires et de transmettre ses biens aux générations futures.

    Portrait of senior couple with wine outdoors in backyard. Copy space.

    Se constituer un patrimoine immobilier tout au long de sa vie active permet de disposer de revenus complémentaires, qui viendront s’ajouter à d’autres solutions d’investissements comme l’épargne, le marché obligataire, des placements en bourse ou encore différents instruments financiers. Rien qu’à l’échelle de la Belgique, au cours des vingt dernières années, la valeur moyenne des transactions immobilières résidentielles a doublé et celle des loyers a augmenté de plus de 60% ! En percevant des loyers ou en revendant votre bien immobilier vous êtes donc certain de bénéficier d’un rendement intéressant sur votre investissement initial.

    En outre, en vous constituant un patrimoine diversifié et durable, vous serez dans la capacité de transmettre vos biens à votre conjoint ou à vos enfants, la succession pouvant même être anticipée et optimisée. Cela vous permet aussi de vous assurer de toujours avoir un logement à votre disposition, que votre famille, vos parents ou vous-même pourrez occuper si nécessaire. Enfin, opter pour l’investissement locatif, c’est choisir de commencer à préparer sa retraite dès maintenant. Vos revenus diminueront lorsque vous quitterez la vie active. Il n’est donc jamais trop tôt pour commencer à cumuler des revenus complémentaires !

    L’immobilier locatif : sécurité et rentabilité à la clé

    De nombreux Belges considèrent l’investissement locatif comme une alternative sécurisante et particulièrement rentable. Et ils ont bien raison ! En effet, contrairement à tout autre investissement financier comme les placements boursiers, que la conjoncture économique peut fortement faire fluctuer, la brique demeure une valeur à la fois sûre et stable. La mise en location d’un bien peut en effet générer des revenus locatifs réguliers, ce qui en fait donc une source de revenus passifs.

    D’autre part, quelle que soit la conjoncture économique, on aura toujours besoin d’un toit pour vivre. Il y aura donc toujours une demande, d’autant que le besoin de lien social que la crise sanitaire a fait émerger confirme l’attrait pour les biens locatifs avec des modèles de colocation et de coliving qui connaissent un véritable boom. Si ce type de biens séduit les jeunes actifs à la recherche de flexibilité, ils ont également su faire leurs preuves auprès des propriétaires bailleurs qui obtiennent des taux de rendements nettement supérieurs à celui de la location classique.

    Choisissez Hownvestor comme partenaire

    Hownvestor est une entreprise qui propose une formule de co-investissement à des particuliers ainsi qu’à des investisseurs qui permet de devenir propriétaire et de se constituer un patrimoine immobilier. Hownvestor investit les fonds propres manquants afin de constituer le capital exigé par la banque ce qui permet d’investir dans l’immobilier plus facilement et plus rapidement. Une fois que les finances de l’investisseur le permettent, il a bien entendu la possibilité de récupérer la pleine propriété de son bien par la suite en rachetant la participation prise par Hownvestor. Il reste donc à la manœuvre en ce qui concerne ses conditions de location ce qui permet d’optimiser la gestion de bien et de patrimoine selon ses envies et ses priorités.

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  • L’immobilier en Belgique : solide comme le roc ? Que dit la BNB ?

    La Banque nationale de Belgique (BNB) souligne la bonne santé des banques et assurances belges ! Un joli bulletin avec du vert partout ? Pas tout-à-fait…

    La BNB a présenté la version 2024 de son rapport sur la stabilité financière, dressant un constat positif pour les banques et compagnies d’assurances belges. Ces institutions montrent une grande résilience face aux chocs économiques récents, incluant la pandémie, la guerre en Ukraine, la crise énergétique et l’inflation élevée. Le vice-gouverneur Steven Vanackere a mis en avant les « 20 milliards d’euros de fonds propres libres » disponibles, illustrant la solidité financière du secteur.

    Impact sur le marché du logement

    Le marché du logement a connu une année 2023 marquée par la remontée des taux d’intérêt, entraînant une baisse des ventes et des crédits hypothécaires octroyés. Néanmoins, la Belgique s’en sort mieux que d’autres pays européens comme les Pays-Bas. La BNB parle d’une correction « significative » mais « ordonnée », avec une augmentation de 2,7% des prix des logements sur base annuelle, ce qui représente une stabilité en tenant compte de l’inflation.

    Les prêts hypothécaires ont vu leurs conditions légèrement modifiées. Les emprunteurs, notamment les jeunes, ont tendance à souscrire à des prêts avec une maturité prolongée. Cependant, le taux de défaut sur ces prêts reste historiquement bas à 0,6%, et les directives de la BNB n’ont pas entravé l’octroi de crédits à des clients solvables.

    Préoccupations pour l’immobilier commercial

    Le marché de l’immobilier commercial subit les conséquences de la hausse des taux d’intérêt et des nouvelles habitudes de travail, comme le télétravail. La BNB recommande aux banques et compagnies d’assurances de rester prudentes dans leur exposition à ce segment. Bien que les risques soient présents, la BNB ne s’inquiète pas outre mesure pour l’instant.