Auteur : francois

  • Salle de bain extérieure : 5 choses à savoir

    Avec les étés de plus en plus caniculaires que nous connaissons, vous êtes toujours plus nombreux à vous laisser séduire par une salle de bain extérieure… Qui peut parfaitement se résumer à une simple douche ! Vous aussi, vous caressez cette idée ? Voici nos 5 conseils !

    Salle de bain extérieure 5 choses à savoir.
    Jeff Vinluan

    1. Le style de votre salle de bain extérieure

    Vous pouvez partir dans toutes les directions, en matière de douche extérieure ! Vous manquez d’inspiration? Jetez un œil sur Instagram ou Pinterest. Vous trouverez des milliers d’exemples, où vous trouverez sans doute quelque-chose à votre goût. Moderne, élégant ou décoratif avec un beau carrelage sur le mur : une douche extérieure peut être taillée à votre goût. Notez que pour une douche extérieure durable, il est préférable d’opter pour un modèle en inox. Certaines salles de bains extérieures sont équipées d’une baignoire et là aussi, le choix est vaste. Bon à savoir : la plupart des baignoires traditionnelles peuvent être utilisées en extérieur. Le bois peut ajouter une touche chaleureuse et bien entendu, il est parfaitement possible de colorer vos meubles extérieurs pour un aspect plus personnel.

    2. Gérer l’arrivée d’eau

    La seule chose dont vous avez besoin est une connexion d’eau dans votre jardin. Si vous connaissez les rudiments du bricolage, vous pouvez monter votre douche extérieure vous-même. Ici aussi, Internet peut vous aider, car vous trouverez beaucoup de conseils sur la façon d’aborder ce travail. Un tuyau d’eau dans votre jardin est bien sûr essentiel : vérifiez si la chose est possible. Celui-ci peut être un simple tuyau d’arrosage plus ou moins dissimulé. Si vous désirez juste de l’eau froide, cela peut être une solution, mais si vous voulez de l’eau chaude, dans la plupart des cas, il faudra poser un tuyau supplémentaire. Dans ce dernier cas, nous vous conseillons de vous tourner vers un spécialiste.

    En ce qui concerne l’évacuation, c’est peut-être plus simple : vu que la salle de bain extérieure n’est pas utilisée très souvent, vous pouvez facilement installer le système de drainage vous-même et faire évacuer l’eau vers le sol…

    3. Attention au savon

    Si vous optez pour une évacuation de l’eau dans le sol, il est préférable de ne pas utiliser de savon. Si vous souhaitez vous savonner sous la douche, optez pour des savons 100% naturels, afin de ne pas nuire à la nature alentour.

    4. S’assurer une certaine intimité

    Pour utiliser ce type d’installation en toute tranquillité, il est essentiel de s’assurer de ne pas être visible de tout le voisinage. Une cloison ou une clôture sont évidemment indispensables pour vous préserver une certaine intimité, ce qui n’a absolument rien d’insurmontable, même pour un bricoleur du dimanche ! Pour un aspect plus naturel, vous pouvez évidemment opter pour des plantes qui outre l’intimité, distilleront également une certaine ambiance… Si vous n’avez pas un grand jardin et que vous voulez une douche extérieure, choisissez un coin. De cette façon, il sera plus simple facile de créer l’intimité nécessaire. Si vous avez de l’espace, vous pouvez même opter pour une salle de bain extérieure complète !

    5. Finition

    Complétez le tableau avec quelques touches personnelles ! Un miroir extérieur, quelques plantes en pot et l’affaire est faite ! N’hésitez pas à aller chercher du côté des plantes exotiques pour un dépaysement total.

    Vous le savez maintenant : vous n’avez pas besoin de beaucoup pour réaliser une douche extérieure ! En principe, il suffit simplement de choisir un mur libre et de s’assurer que l’eau sera facile à drainer. Si vous n’avez pas de mur de disponible, vous pouvez même opter pour une douche autonome. Gardez à l’esprit qu’un peu d’intimité est bienvenu. Choisissez de préférence un endroit ensoleillé pour installer votre douche extérieure : vous aurez alors l’impression d’être en vacances !

  • Les balcons à Bruxelles sont-ils aussi dangereux qu’à Paris ?

    A l’approche des JO de Paris, les autorités de la ville lumière se sont saisies d’une problématique sécuritaire : celle des balcons, qui pourrait céder sous le poids des spectateurs… A Bruxelles, la problématique pourrait être tout aussi grave !

    balcony
    Nguyen Dang Hoang Nhu

    C’était le 1er janvier 2023. Un jour censé être festif mais qui fut le dernier de Kevin Himpens : le jeune homme de 30 ans se trouvait à une fête entre amis à Saint-Gilles, pour le réveillon du passage à 2023. Il était sorti sur le balcon pour voir les feux d’artifice, quand une partie de la balustrade en pierre a cédé, le faisant chuter de 17 mètres. Pour les parents de Kevin, cet incident était malheureusement prévisible, vétusté du balcon oblige, même si la stabilité des balcons est un sujet qui fait rarement la une des journaux.

    A Paris ?

    En début d’année, les médias français relayaient les inquiétudes des syndicats de copropriété : ces derniers se disaient inquiets d’une surcharge des balcons situés le long de la Seine, lors de la cérémonie d’ouverture sur le fleuve. Dans Le Parisien, une « experte en pathologie des bâtiments » rapportait que « le risque d’effondrement de balcons est réel » !

    En Belgique ?

    Actuellement, les aides régionales à la rénovation sont surtout axées sur l’énergie et la durabilité, observent les proches de Kevin. Des financements adéquats axés spécifiquement sur la sécurité, aussi bien des passants que des habitants susceptibles d’aller sur le balcon, pourraient aider. Hors, dans les constructions d’avant-guerre, les balcons « sont souvent en pierre, reliés par du ciment qui s’effrite naturellement avec le temps », alertent-ils. En outre, nombre de ces immeubles « de caractère » sont classés, ce qui complique encore les choses.

    « Il est important d’insister sur le fait que les propriétaires/copropriétés peuvent être déclarés civilement responsables s’il s’avère qu’il y a eu défaut de surveillance et d’entretien des éléments responsables d’un accident », note la famille.

  • Ardenne : les acheteurs flamands poussent-ils les prix vers le haut ?

    Le Sud du pays intéresse-t-il toujours autant le Nord du pays ? A en croire le denrier baromètre des Ardennes, il semble en effet que l’Ardenne belge ne laisse pas l’acheteur flamand indifférent…

    roche en ardenne

    Il ressort du « Baromètre des Ardennes » publié par Fednot, la fédération du notariat, que les communes de Rendeux (66,2% d’acheteurs venant du nord du pays), de Manhay (37,5%) et de Vresse-sur-Semois (37,3%) étaient, l’an dernier, les communes les plus prisées par les acheteurs flamands d’un bien immobilier. Le Top 5 est complété par La Roche-En-Ardenne (36,6%) et Durbuy (32,4%).

    « Le phénomène n’est pas neuf ! »

    « L’Ardenne intéresse les acheteurs flamands en quête d’une seconde résidence », rapporte Fednot qui constate une forte disparité des prix médians des maisons dans les communes analysées. Ainsi, Manhay, avec des maisons à 267.500 euros, est la commune répertoriée la plus chère devant Ciney (245.000 euros), Libin (244.500 euros), Wellin (235.000 euros), Erezée, Nassogne et Marche-en-Famenne (toutes à 230.000 euros). A l’inverse, Hastière apparaît comme la commune la plus abordable avec des maisons ayant des prix médians de 103.000 euros, devant Tellin (130.000 euros) et Rendeux (147.500 euros). Cette dernière, étant majoritairement courtisée par les acheteurs flamands, reste donc toujours abordable…

    Si le prix médian d’une maison en Ardenne a connu une légère hausse en 2023 (+ 0,7% par rapport à 2022), à 191.250 euros, les actes notariés sont cependant en baisse : – 12%, soit un résultat comparable au reste de la Wallonie. La Flandre, pour sa part, semble davantage impactée avec une baisse supérieure à 16 %.

  • Crédits hypothécaires et assurances : ce qui change depuis ce 1er juin !

    Depuis le 1er juin, ceux qui contractent un prêt hypothécaire avec une assurance incendie ou une assurance solde restant dû auprès de la même banque, peuvent désormais changer d’assureur après un tiers de la durée du prêt sans augmenter le taux d’intérêt ni payer de frais supplémentaires.

    insurrance agent

    Le ministre fédéral de l’Économie, Pierre-Yves Dermagne, a annoncé que les consommateurs peuvent ouvrir un compte dans une autre banque immédiatement, sans attendre la fin de leur prêt immobilier. De plus, l’adaptation d’un crédit hypothécaire en cours sera moins coûteuse. Désormais, pour adapter un contrat de crédit, une banque devra toujours passer par une simple modification du contrat et non la conclusion d’un nouveau contrat.

    Avantages avancés :

    • Pas de frais de remploi lors de la révision d’un contrat de crédit.
    • Frais de dossier réduits pour une révision (maximum 175 euros) comparés à l’ouverture d’un nouveau contrat (maximum 250 euros).
    • Suppression de l’obligation de passage chez le notaire pour les modifications de contrat.

    « La situation était problématique. Le manque de concurrence joue en défaveur des consommateurs, qui paient souvent trop cher leurs produits financiers et d’assurances, » souligne Pierre-Yves Dermagne. « Ma volonté est que ces entreprises jouent enfin le jeu de la concurrence. »

  • Innovation : une société belge rend la domotique vachement classe !

    Luhkee, la société belge bien connue dans le monde du design, et Crestron, grand acteur de l’automatisation domestique, collaborent pour lancer les claviers Cameo® C2NI. Kesako ? On vous dit tout !

    Luhkee

    Influencés par l’architecte Jan Van Lierde, les produits Luhkee sont le résultat d’un processus de finition à la main, utilisant des matériaux bruts de première qualité comme le laiton massif et le noyer soigneusement sélectionné. La série [CL] de cache-interrupteurs est largement personnalisable : on peut y voir des finitions pour des sonnettes d’immeubles, des claviers pour hôtels avec des fonctions telles que « Ne pas déranger » et « Faire la chambre ». Au total, 4065 configurations sont possibles !

    Luhkee

    Finissions et caractéristiques haut de gamme

    Disponibles en sept finitions standard en laiton, les interfaces peuvent s’adapter à tous les environnements esthétiques. Chaque clavier est artisanal et Luhkee offre également une gravure personnalisée, ajoutant une touche unique à chaque projet.

    Luhkee
  • Rénovations énergétiques : elles chutent brutalement !

    Les crédits à la consommation pour les rénovations énergétiques ont chuté de 51% au premier trimestre ! Quelles conclusions en tirer ?

    insulating house facade

    La fédération du secteur financier Febelfin a rapporté une diminution significative des crédits à la consommation pour les rénovations énergétiques. Le premier trimestre a enregistré seulement 7.852 contrats, soit une baisse de 51%. La valeur totale de ces crédits s’élève à 167 millions d’euros, marquant une chute de presque 40% par rapport à la même période l’année dernière.

    Pourquoi ?

    Cette tendance s’explique par plusieurs facteurs. La hausse des taux d’intérêt et le renchérissement des prix des matériaux de construction rendent les rénovations énergétiques moins attractives pour les consommateurs. De plus, la baisse significative des prix de l’énergie n’encourage pas à investir dans l’amélioration de la performance énergétique des habitations.

    Une situation préoccupante ?

    Bart Vervenne, président du conseil d’administration de l’Union professionnelle du crédit (UPC), souligne l’urgence de la situation : « À l’heure actuelle, moins de 10% des habitations atteignent l’objectif de 2050 (tous les logements devront disposer d’un label PEB A, NDLR), tandis que seul un tiers du taux de rénovation visé est atteint. Une vague de rénovation massive dans les 10 ou 15 ans à venir ne fera qu’entraîner une pénurie de matériaux de construction, de main-d’œuvre et de financement. La seule façon d’améliorer la performance énergétique de notre parc immobilier est de procéder progressivement et d’agir dès maintenant. »

  • Cette mégapole asiatique va-t-elle devoir être déplacée à cause de la montée des eaux ?

    Un déménagement d’envergure s’annonce en Thaïlande. Le Royaume pourrait en effet devoir déplacer sa capitale à cause de la montée du niveau des océans !

    C’est une annonce pour le moins stupéfiante qui a été faite par un haut responsable des services climatiques thaïlandais dans un entretien accordé à l’AFP : le pays pourrait être forcé de déplacer Bangkok à cause de la montée du niveau des océans. Les projections montrent en effet, de manière invariable, que la capitale du Royaume risque d’être inondée par l’océan avant la fin du siècle, et ce alors qu’une grande partie de la ville subit d’ores et déjà des inondations pendant la saison des pluies.

    Le directeur général adjoint du département gouvernemental chargé du changement climatique et de l’environnement, Pavich Kesavawong, craint que la cité ne soit pas capable de s’adapter assez rapidement au vu du réchauffement actuel de la planète. “Je pense que nous avons déjà dépassé le 1,5° de hausse des températures par rapport à l’ère pré-industrielle”, estime-t-il. Dans ce contexte, la municipalité réfléchit à diverses mesures, dont la construction de digues, à l’image de celles qui ont été érigées au cours des cinquante dernières années aux Pays-Bas, suite au raz-de-marée de 1953 qui avait fait 1.835 morts chez nos voisins.

    “Nous envisageons donc de déménager” confie Pavich Kesavawong, soulignant que ces discussions sont toujours au stade d’hypothèses et que le problème est, on s’en doute, “très complexe”. “Personnellement, je pense que c’est un bon choix. Ainsi nous pourrions séparer la capitale, les quartiers gouvernementaux et les quartiers d’affaires”, a-t-il expliqué à nos collègues de l’AFP. “Bangkok serait toujours la capitale du gouvernement, mais cela déplacerait les commerces”. Une décision politique sur un déplacement de la capitale thaïlandaise demeure néanmoins hypothétique à ce stade.

    Une mesure aussi draconienne ne serait pour autant pas une première. En effet, un autre pays d’Asie du Sud-Est, l’Indonésie, inaugurera cette année les premiers quartiers de sa nouvelle capitale Nusantara, qui remplacera Jakarta, polluée et occupée à sombrer, en tant que nouveau centre politique du pays. Ce projet titanesque, controversé et extrêmement onéreux, devrait coûter à la République indonésienne la bagatelle de 30 milliards € !

  • Chauffage par le sol : quel revêtement choisir… et que faut-il absolument éviter ?

    Pour que votre chauffage au sol fonctionne de manière optimale, il est essentiel de choisir un revêtement adapté ! Et justement, c’est le sujet du jour !

    heated floor

    Le chauffage au sol fonctionne par rayonnement, il faut donc que le revêtement puisse diffuser la chaleur de la manière la plus homogène possible.

    Revêtements à éviter : moquette et parquet

    Le choix du revêtement pour un chauffage au sol est crucial car tous ne permettent pas une bonne diffusion de la chaleur. La moquette et le parquet sont généralement à éviter car ils contiennent souvent une lame d’air qui fait obstacle à la conduction thermique. Cependant, certains types de parquets sont plus adaptés, notamment ceux faits de bois comme le chêne, le teck ou le sapin. Il est conseillé d’éviter l’érable ou le hêtre qui, sensibles à la chaleur, peuvent se déformer.

    La pierre : un choix performant

    Les carrelages en pierre naturelle ou en céramique sont idéaux pour le chauffage au sol. Leurs principaux atouts incluent une grande résistance sans fissuration rapide et une excellente conductivité thermique. Pour assurer une installation optimale, il est important de veiller à ce que les dalles soient de taille identique et que les joints soient droits, pour éviter les craquelures ou les fissures.

    Importance de l’isolation

    Un aspect souvent négligé lors de l’installation du chauffage au sol est l’isolation. Pour prévenir la perte de chaleur vers le bas, il est crucial d’isoler adéquatement votre sol avant de mettre en place le système hydraulique. Une bonne isolation permet de concentrer le rayonnement de la chaleur vers le haut, augmentant ainsi l’efficacité du système.

  • Les prosumers wallons devront encore attendre pour être indemnisés !

    À la veille des élections du 9 juin dernier, le gouvernement wallon a été contraint de faire le deuil d’un éventuel accord à propos de l’indemnisation des prosumers. Le point a donc été renvoyé à la prochaine législature…

    solar panels

    Faute d’un accord entre les écologistes et les libéraux le jeudi précédant les élections du 9 juin dernier, le projet d’indemnisation des prosumers wallons victimes de décrochage de leurs panneaux photovoltaïques a été abandonné. Un texte prévoyant une indemnisation forfaitaire était pourtant sur la table du dernier gouvernement wallon de la mandature. Celui-ci proposait un forfait de 44 € par kVA ce qui veut dire que l’indemnisation annuelle aurait pu atteindre 440 €/an pour une installation de 10 kVA. Pour en bénéficier, il aurait fallu avoir subi un décrochage d’au moins 120 minutes consécutives.

    Seulement voilà, ce texte, proposé par le ministre écologiste Philippe Henry, a été rejeté à la dernière minute par les libéraux, au motif que “ce système n’allait bénéficier à personne” a expliqué Willy Borsus. Le ministre en charge de l’économie a ainsi fait siennes les critiques formulées par l’association Beprosumer, qui défend les intérêts de prosumers wallons, et qui reproche au projet de Philippe Henry son caractère forfaitaire, ne reflétant pas la réalité du préjudice subi. Peu avant, Willy Borsus demandait au gouvernement de supprimer la mesure des 120 minutes proposée par Philippe Henry au profit d’un système proportionnel. Mais aucun accord n’a finalement pu être dégagé.

    Réunis pour un ultime gouvernement en distanciel, les ministres ont pris acte du blocage et de l’impossibilité de trouver une solution avant les élections. Il appartiendra donc à la nouvelle majorité wallonne de reprendre ce dossier depuis le début et de tenter de dégager une solution pérenne. Un retour à la case départ qui ne sera pas sans effet pour les prosumers. En effet, cette absence de solution pourrait signifier un report d’une éventuelle indemnisation à deux ans !

  • « Le Belge est riche grâce à l’immobilier » : Vraiment ? Que disent les chiffres ?

    Le patrimoine médian d’un ménage belge atteint 249.301 euros, soit près de deux fois celui de la médiane européenne, selon une étude de Keytrade Bank et de l’Université de Gand.

    Le patrimoine des Belges est principalement constitué de biens immobiliers, qui représentent 58,8% de leur richesse totale, selon un rapport récent de Keytrade Bank et l’Université de Gand.

    Le rapport révèle que les ménages belges investissent massivement dans leur habitation familiale. Près de 3 ménages sur 10 choisissent également d’investir dans d’autres biens immobiliers, renforçant ainsi l’importance de l’immobilier dans la composition de leur patrimoine. Avec un patrimoine médian de 249.301 euros, les Belges surclassent largement la médiane européenne de 123.500 euros.

    Évolution du patrimoine immobilier avec l’âge

    L’étude montre que la richesse immobilière évolue avec l’âge. Les jeunes de 18 à 34 ans possèdent un montant médian de 121.426 euros, tandis que les 65-74 ans atteignent un pic de 340.050 euros. Après la retraite, cette richesse tend à diminuer, notamment après 75 ans.

    Épargne et autres investissements

    Outre l’immobilier, les comptes d’épargne constituent une part significative du patrimoine des Belges (9,4%), avec plus de 25.000 euros en moyenne. Environ 40% des ménages détiennent plus de 12 fois leur revenu mensuel net sur des comptes d’épargne.

    Et les grandes fortunes ?

    Les 1% des ménages les plus riches, avec un patrimoine minimum de 4,7 millions d’euros, investissent également majoritairement dans l’immobilier. Le patrimoine médian de ces ménages fortunés est de 5,9 millions d’euros. Ils possèdent souvent plusieurs biens immobiliers et sont impliqués dans la gestion de sociétés.