Auteur : francois

  • Comment nettoyer son four à micro-ondes facilement avec des produits naturels ?

    On l’utilise quotidiennement mais on oublie trop souvent de le nettoyer ! Pourtant, grâce à ces astuces simples, il est très facile de nettoyer son four à micro-ondes en quelques minutes en n’utilisant que des produits naturels ! Alors n’attendez plus…

    Invention géniale, le four à micro-ondes est devenu un incontournable de nos cuisines. Mais si on l’utilise tous les jours et « à toutes les sauces », on oublie généralement de le nettoyer. Mais comment faire ?

    Utilisez un plat adapté !

    Avant de voir comment nettoyer son four à micro-ondes, pensons d’abord à essayer d’éviter de trop le salir ! Pensez donc à utiliser systématiquement un plat adapté à la cuisson pour micro-ondes, avec une cloche ou un couvercle, afin d’éviter que la nourriture n’éclabousse les parois intérieures. Cela sera déjà plus simple de le nettoyer !

    Vinaigre blanc !

    Pour nettoyer son four à micro-ondes, on peut bien sûr trouver des produits spécifiques dans le commerce. Mais si possible, on utilisera plutôt des produits naturels. Remplissez par exemple un bol avec 1/3 de vinaigre blanc et 2/3 d’eau et faites-le chauffer dans le micro-ondes. Après quelques minutes (3 à 4 minutes à pleine puissance), la vapeur dégagée à l’intérieur du four à micro-ondes va ramollir tous les résidus. Avant d’ouvrir la porte, vous pouvez attendre quelques minutes supplémentaires pour que la vapeur dégagée à l’intérieur du micro-ondes ramollisse bien les résidus les plus tenaces. Il suffira ensuite de passer une éponge humide sur les parois pour nettoyer l’intérieur du four à micro-ondes.

    Le citron à la rescousse

    Si vous préférez, il est également possible de remplacer le vinaigre par du jus de citron. On mélangera alors également 1/3 de jus de citron avec 2/3 d’eau dans un grand bol. Cela laissera, en outre, une odeur plus agréable dans votre cuisine.

    N’oubliez pas le plateau !

    Enfin, n’oubliez pas d’enlever le plateau tournant pour le nettoyer séparément. Vous pouvez le laisser tremper dans de l’eau très chaude avec un peu de liquide vaisselle afin de le dégraisser efficacement.

  • Quel carrelage choisir pour sa maison ?

    Les qualités du carrelage ne sont plus à démontrer comme revêtement de sol pour son habitation. Mais il en existe bien sûr différentes sortes, présentant chacune des avantages et des inconvénients. Dès lors, quel carrelage choisir pour sa maison ?

    Le carrelage est devenu omniprésent dans nos maisons. Mais il n’existe pas qu’un seul type de carrelage. Généralement, on distingue trois grandes familles de carrelage : le carrelage en terre cuite, le carrelage en pierre naturelle et le carrelage en grès.

    1. Carrelage en terre cuite

    http://terrcuite.com/

    Comme son nom l’indique, le carrelage en terre cuite est fabriqué à partir d’argile cuit. On les retrouve plutôt dans les pays du Sud comme en témoignent les célèbres tomettes provençales. Ces carrelages sont généralement assez tendres et plus sensibles à l’usure. Mais aussi aux taches et doivent être régulièrement traités à l’huile de lin ou à la paraffine. En revanches, ils sont appréciés pour leur aspect naturel voire rustique et leur « chaleur » ainsi que pour la patine qu’ils affichent avec le temps. On peut classer dans la même catégorie les carreaux de ciments qui reviennent sur les devants de la scène après être tombés en désuétude.

    2. Carrelage en pierre naturelle

    https://www.antiekbouw.be/

    Très présent dans les anciennes bâtisses, le carrelage en pierre naturelle est aussi très apprécié dans les nouvelles maisons modernes. De nombreuses variétés de pierre offrent des qualités spécifiques. Le granit, par exemple, est apprécié pour sa solidité tandis que le marbre revient à la mode grâce à ses nombreux coloris. La pierre bleue est également très présente en Belgique. Si elle est solide, naturelle, avec notamment de légères variations de teinte, et chaleureuse, la pierre naturelle est aussi généralement plus onéreuse. En fonction de sa finition, elle peut être plus ou moins sensible aux taches. Sa pose, par son côté moins régulier, peut également être plus complexe et onéreuse. En outre, son poids plus élevé (voire son épaisseur plus importante) est également à prendre en considération, notamment si l’on envisage de l’installer à l’étage.

    3. Carrelage en grès

    http://www.adc-carrelage.com/

    Le carrelage en grès, cuit en usine, s’est rapidement imposé grâce à ses nombreuses qualités et est devenu maintenant la famille la plus courante dans nos maisons modernes. Il en existe plusieurs sous-catégories (grès émaillés, grès cérame, grès cérame pleine masse…) offrant, notamment, des résistances à l’usure plus ou moins élevées. Mais dans l’ensemble, les carrelages en grès sont appréciés pour leur facilité d’entretien, leur coût abordable, leur standardisation qui facilite notamment la pose et la très grande variété de couleur et de finition.

  • Indispensable : Checklist et conseils pour la location d’une propriété

    La location d’un studio, d’un appartement ou d’une maison suppose l’examen de nombreux éléments.

    C’est pourquoi nous avons établi un plan étape par étape et avons énuméré quelques conseils utiles qui sont importants lorsque vous êtes à la recherche d’une nouvelle location. En examinant attentivement notre plan avant d’emménager, vous éviterez les déceptions.

    Etape 1 : Visite du bien

    A quoi devez-vous faire attention lorsque vous visitez une chambre, un studio, un appartement ou une maison ? N’oubliez pas de vérifier les points ci-dessous :

    • La maison a-t-elle du double vitrage ? Les pièces à simple vitrage sont souvent humides, plus sensibles aux infractions et l’isolation acoustique est souvent très limitée.
    • Y a-t-il des radiateurs dans la pièce ? Quand vous allez voir une maison en été, vous n’y prêterez peut-être pas attention.
    • La maison est-elle humide ou y a-t-il des taches d’humidité visibles ? Souvent, les maisons peu ventilées ont des problèmes d’humidité. Jetez un bon coup d’œil à cela lors d’une visite, parce qu’un taux d’humidité élevé dans la maison peut causer des problèmes de santé.
    • Qu’en est-il des (vieux) poêles ? Combinés à une mauvaise ventilation, ils peuvent entraîner des situations dangereuses. Un problème bien connu avec des poêles en fin de vie, est la formation de monoxyde de carbone dans les pièces mal ventilées.
    • Comment sont les installations sanitaires ? Examinez attentivement l’état de la salle de bain, des toilettes, de la douche et de la cuisine.
    • Y a-t-il suffisamment de prises? L’installation électrique (inspection) est-elle en ordre ? Ce deuxième point est important pour la sécurité.
    • Y a-t-il une bonne connexion Internet dans la pièce ou le câble est-il présent ? Une (bonne) connexion Wi-Fi est aujourd’hui indispensable.
    • La chambre, le studio, l’appartement, la maison est-il mal isolé ? Cela peut causer pas mal de frictions avec les colocataires ou les voisins.
    • La maison est-elle équipée de bonnes serrures ? Soyez attentif au matériel obsolète.
    • Quid de l’aspect sécuritaire en cas d’incendie ? Il est important de vérifier si vous pouvez fuir en cas d’incendie et s’il existe des installations adaptées, telles qu’un extincteur, une couverture anti-feu et des détecteurs de fumée.
    • Y a-t-il une bonne chaudière ? Une chaudière obsolète peut causer de nombreux problèmes.

    Etape 2 : Visitez le quartier !

    Lors de la visite d’une propriété, certaines personnes sont trop occupées par la propriété en elle-même. Que savez-vous du nouveau quartier ? Qui seront vos nouveaux voisins ? Le quartier est-il sûr ? Y a-t-il suffisamment de transports publics disponibles ? Y a-t-il des écoles dans les environs ? Visitez le quartier une fois le soir et parlez aux voisins. Cela vous donnera une bonne idée de l’endroit dans lequel vous vivrez et vous permettra de savoir s’il est adapté à votre situation (familiale).

    Etape 3 : La garantie

    Il appartient au propriétaire de décider si une garantie de loyer est requise ou non. Toutefois, dans le droit belge, c’est au locataire qu’il appartient de choisir la forme qu’elle prend. Dans certaines limites, car la loi n’offre que 3 possibilités :

    • dépôt sur un compte bloqué
    • garantie bancaire avec mensualités
    • Garantie via le CPAS

    Le premier et le plus courant : un dépôt unique sur un compte détenu par le locataire, mais bloqué pendant toute la durée de la location. Le nombre de mois de location que le propriétaire peut demander à titre de dépôt dépend de la formule et de la région dans laquelle vous habitez (de 2 à 3 mois).

    Etape 4 : Négocier le prix

    Lorsque vous déménagerez, pourrez-vous y vivre immédiatement ? Ou devrez-vous peindre, installer des planchers ou des cloisons ? Si tel est le cas, négociez avec le propriétaire. Il est très courant dans une telle situation de convenir d’un rabais sur le loyer pour un ou plusieurs mois.

    Vérifiez également le montant des charges qui s’ajoutent au loyer. Les charges comprennent l’eau et l’énergie, mais aussi, par exemple, le nettoyage des parties communes ou le concierge. Avant de signer un contrat de location, il est donc important d’examiner ces charges afin d’éviter de mauvaises surprises par la suite.

    Etape 5 : Paiement

    Avant la date de début du contrat, le locataire doit avoir payé le premier mois de loyer et la caution. Vous recevrez ensuite les clés de votre nouveau logement. Convenez avec le propriétaire de la date à laquelle le loyer doit être payé.

    Etape 6 : Réception des clés

    Vous recevrez les clés le jour où démarre le contrat de location. Ne faites donc certainement pas envoyer ces clés par la poste, mais convenez d’une heure de remise avec le propriétaire. Il est préférable d’avoir ce rendez-vous dans le nouveau domicile et de le combiner avec un état des lieux. Ceci implique que le locataire et le propriétaire vérifient l’état de la propriété et que l’inventaire est également vérifié. Il est sage de prendre des photos. De cette façon, vous réduisez les risques de discussions ultérieures. Assurez-vous d’avoir reçu, en tant que locataire, une copie de cet état des lieux.

    Etape 7 : Déménagement

    Comment la propriété doit-elle être laissée lors de votre départ ? La maison louée doit-elle être vidée ou remise dans son état d’origine ? Assurez-vous que cela ne cause aucun problème avec votre garantie locative. Il est également sage de garder à l’esprit le délai de résiliation de votre contrat de location. Si vous avez l’intention de déménager, gardez ceci à l’esprit !

  • Quelle est la température idéale pour sa maison ?

    Bien sûr, la température idéale dans une maison dépend de nombreux paramètres. Et notamment du ressenti de chacun. Mais tout de même, voici des valeurs moyennes « idéales » à viser en fonction du type de pièce de sa maison.

    1. 16 à 18°C pour les chambres, le hall et les toilettes

    Les frileux en tremblent peut-être déjà ! Mais idéalement, la température d’une chambre à coucher devrait être de 16°C. Inutile en effet de surchauffer les chambres : d’une part, cela va augmenter considérablement votre consommation d’énergie et, d’autre part, cela n’aide pas à atteindre un sommeil réparateur. En fonction de votre sensibilité, vous pourrez néanmoins monter jusqu’à 18°C. Mais si possible pas au-delà. Investissez alors plutôt dans une bonne couette !

    Dans un hall ou une toilette, 17 à 18°C sont également suffisants.

    2. 19 à 20°C pour les pièces de vie

    Pour les pièces de vie, mieux vaut viser 19° C. Du moins si possible… Si cette température ne vous semble pas « confortable », montez alors plutôt vers 20° C. On veillera à atteindre ces températures dans la cuisine, la salle à manger et le salon. Notez que c’est également la température idéale pour un bureau. Pour les enfants/étudiants dont le bureau se situe dans la chambre, on essaiera donc de viser les 19-20° C au moment de l’étude avant de laisser la température descendre pour la nuit.

    3. 22°C dans la salle de bain

    Dans une salle de bain, il faudra atteindre au minimum 22°C pour ne pas « souffrir » de la sensation de froid en sortant mouillé de sa douche ou de sa baignoire. En revanche, inutile de conserver une telle température toute la journée ! Veillez toutefois à ne pas descendre sous 16 à 17°C pour limiter les risques de condensation.

  • 5 conseils pour chauffer efficacement votre salle de bain

    Rien n’est plus déplaisant que d’entrer dans une salle de bain froide quand vous sortez de votre lit bien chaud ! En suivant ces quelques conseils, votre salle de bain actuelle sera chauffée de manière optimale.

    Et si vous désirez construire une nouvelle salle de bain, ces conseils vont assureront un endroit bien douillet quand vous y entrerez.

    1. Choisir le bon radiateur

    Plus la salle de bain est grande, plus le radiateur doit être puissant pour chauffer la pièce. Un radiateur doit donc être adapté à sa taille. Vous pouvez facilement calculer la puissance : il vous suffit pour cela de compter entre 130 et 150 Watts par mètre carré. Une salle de bain de 15 m² réclame donc une puissance comprise entre 1.300 et 1.500 Watts. Essayez également de trouver un modèle élégant, qui s’harmonise bien avec la pièce !

    2. Placez le radiateur au bon endroit

    Lorsque vous avez trouvé le bon radiateur, il est important de l’accrocher au bon endroit. Il est préférable de le placer à l’endroit le plus froid de la salle de bains, par exemple contre un mur extérieur et/ou sous une fenêtre. Par conséquent, l’air froid est chauffé immédiatement avant de se propager davantage. Gardez un espace d’environ 5 centimètres entre le radiateur et le mur.

    3. Choisir le chauffage par le sol

    Vous avez toujours des frissons ? Dans ce cas, le chauffage par le sol est pour vous. Ce type de chauffage offre une chaleur uniforme et très confortable. De plus, vous souffrirez moins de la poussière parce qu’il n’y a presque pas de circulation d’air. Il existe deux types de chauffage par le sol. Par exemple, vous pouvez choisir un plancher chauffant électrique : il vous faut alors placer un câble chauffant réparti sur l’entièreté du sol (sous le carrelage de la salle de bains, donc) ou plus simplement, pour un tapis chauffant. Vous pouvez également opter pour le chauffage par le sol par le biais de tuyaux à travers lesquels l’eau chaude est acheminée.

    4. Chauffage infrarouge

    Un radiateur infrarouge monté au mur ou au plafond émet une chaleur ciblée, qui chauffe rapidement l’atmosphère dans la salle de bain. La connexion se fait par une prise de courant. Certains modèles sont équipés d’une télécommande ou d’une minuterie pour contrôler l’alimentation et l’heure.

    5. Envisagez une douche infrarouge !

    Une douche infrarouge peut fournir une chaleur supplémentaire et offre également certains avantages pour la santé. La lumière infrarouge permet à votre corps de se détendre, la circulation sanguine est stimulée et les douleurs ou crampes musculaires disparaissent. Cela paraît idéal si vous voulez ajouter une touche de luxe supplémentaire à votre salle de bain existante !

     

  • 5 petits gestes simples pour passer l’hiver au chaud !

    Pour passer un hiver au chaud sans consommer plus d’énergie que de raison, il y a quelques règles de base à respecter tant pour maximiser le rendement de vos installations que pour limiter les déperditions de chaleur.

    1. Une petite purge !

    Avant de rallumer vos radiateurs pour de bon, n’oubliez pas de les purger. Un tournevis suffit. Évacuer l’air qui s’est accumulé pendant les beaux mois permettra une circulation optimale de l’eau chaude dans le circuit, et optimisera le rendement de vos radiateurs.

    2. Nettoyez vos vitres !

    Pour profiter au maximum des quelques rayons de soleil hivernaux tant en terme de luminosité que pour bénéficier d’un peu de chaleur supplémentaire, nettoyez vos vitres. Dans un même ordre d’idées, pensez à dépoussiérer vos ampoules pour améliorer leur efficacité… et leur durée de vie !

    3. Fermez vos tentures !

    Concernant l’isolation thermique, un geste simple s’impose chaque soir : fermez vos tentures quand la nuit tombe, pour mieux conserver la chaleur à l’intérieur.

    4. Un petit coup de mastic…

    Un check-up de vos châssis peut aussi s’imposer. Scrutez l’étanchéité de vos pourtours de fenêtres. Si vous découvrez des petits trous ou des fissures, colmatez-les au mastic pour empêcher les infiltrations d’eau et d’air froid. Même si votre châssis est triple vitrage.

    5. Et si vous êtes motivé…

    Il n’est pas inutile non plus de faire hydrofuger vos façades, pour améliorer leur imperméabilité à l’eau de pluie, prévenir l’apparition d’humidité dans vos murs, et que votre parement ne s’abîme à cause du gel.

  • Comment entretenir ses arbres fruitiers en automne, en 3 étapes simples ?

    L’automne est propice à la plantation de nouveaux arbres fruitiers. Mais les arbres existants aussi doivent être bichonnés en cette période pour s’assurer de la meilleure récolte possible au printemps ! Mais comment faire ? Voici 3 étapes très simples à effectuer.

    Même si les journées grises et froides incitent moins à travailler au jardin qu’au printemps ou en été, plusieurs opérations à effectuer en cette saison sont essentielles pour entretenir efficacement ses arbres fruitiers. Lesquels ?

    1.   Retirez les derniers fruits

    Commencez par retirer les derniers fruits qui sont restés sur l’arbre, surtout s’ils sont pourris. Ramassez également tous les fruits sur le sol, au pied de l’arbre, ainsi que les feuilles mortes qui s’y sont déposées pour éviter le développement de maladies.

    2.   Nettoyez l’écorce

    Dégagez ensuite le pied de l’arbre sans oublier de débarrasser le tronc des plantes envahissantes qui peuvent y pousser, comme le lierre par exemple. Brossez également l’écorce, délicatement pour ne pas blesser l’arbre, pour la débarrasser des mousses ou lichens qui favorisent la présence de certains parasites.

    3.   Coupez les parties mortes

    La fin de la période végétative de l’arbre est également propice à sa taille. Taillez donc votre arbre fruitier (la taille varie en fonction de l’espèce, donc renseignez-vous avant ou contactez un professionnel). Mais, surtout, coupez toutes les parties mortes qui pourraient servir d’abris à des champignons ou autres parasites. Une étape simple que même un néophyte peut exécuter. Pensez juste à couper les parties mortes à leur base.

  • Voici la solution la plus simple pour bien isoler le sol de votre maison !

    Les sols non-isolés sont responsables de près de 7 à 10% des pertes de chaleur dans la maison. Isoler les sols situés au-dessus d’espaces non chauffés permet dès lors de réaliser de belles économies d’énergie. En plus, vous améliorer la sensation de confort dans votre habitation. C’est la fin des pieds froids !

    Quand l’espace non chauffé est accessible (comme une cave), la solution la plus simple et la moins onéreuse consiste à placer l’isolation sous le support existant (dalle de béton, voûssettes, etc.). « Cette solution permet de ne pas toucher aux revêtements de sol existants, ni aux installations techniques des pièces de vie : chauffage, électricité, sanitaires et autres », développe Marine Leroy, consultante au Guichet de l’Energie de Philippeville. « Elle permet aussi d’utiliser la masse de la dalle existante pour stocker la chaleur, ce qui engendre des variations moins rapides de la température intérieure dans le local isolé ».

    Attention la tête !

    Toutefois, cette solution diminue la hauteur du local non chauffé et nécessite de déplacer ou d’enrober les tuyaux placés au plafond pour permettre de placer l’isolation de façon continue. « La solution la plus courante consiste à placer un isolant collé, vissé ou projeté sur le plafond existant », détaille une experte.

    Les isolants rigides (ex: panneaux de fibres de bois, de polystyrène…) ou projetés (ex: polyuréthane, flocage de cellulose…) sont à privilégier si l’isolation peut rester apparente. Si ce n’est pas le cas, il existe des panneaux composites constitués d’un isolant rigide recouvert d’une finition en plaques (ex: planchettes, panneaux, plaques de plâtre…). Dans le cas de voûssettes, seuls les isolants projetés ou les enduits isolants – si la hauteur des caves est suffisante – permettent une parfaite adhérence et continuité de l’isolation.

    Quelle épaisseur ?

    C’est logique : plus vous placez de l’isolant dans ou sur votre sol, plus votre sol est isolé. La résistance thermique du matériau possède une abréviation simple : « R ». Plus «R» est grand, plus votre sol sera performant, plus la Wallonie vous accordera en termes de primes, et plus vos factures de chauffage diminueront. Si l’espace disponible pour poser l’isolant est limité, choisissez l’isolant le plus performant possible pour atteindre la résistance thermique « R » souhaitée.

  • Cuisine ouverte : une bonne idée ? Vous êtes nombreux à en revenir !

    Il existe autant de cuisines qu’il existe de maisons. Mais depuis quelques années, la cuisine est une véritable pièce à vivre, raison pour laquelle on a tendance à la laisser ouverte sur le salon et la salle à manger.

    En gardant cet espace ouvert, la convivialité ne se perd pas pendant les temps de préparation du repas. Par ailleurs, le look de ces pièces ouvertes leur donne un aspect plus grand et tendance. Toutefois, elle n’est pas dénuée d’inconvénients et vous êtes nombreux à revenir à un format plus conventionnel…

    Ouverte ou fermée ?

    Une cuisine ouverte est 100% ouverte sur une autre pièce, en général le salon ou la salle à manger. Cela permet de s’échanger les dernières nouvelles lorsqu’on reçoit des amis à dîner. Fermée, c’est un laboratoire où s’élaborent les plus délicieux fumets, dont on souhaite garder l’origine secrète : que cela soit la recette de l’arrière-grand-mère ou un plat surgelé habilement réchauffé !

    Se poser les bonnes questions !

    Il n’existe pas de cuisine parfaite : celle qui vous correspondra ne sera pas forcément celle qui conviendra à votre voisin. Posez-vous les bonnes questions : que souhaitez-vous ? De quoi avez-vous besoin ? Qu’est-ce qui correspond à votre infrastructure ?

    Avantages de la cuisine ouverte

    Les avantages de la cuisine ouverte sont la convivialité (vous pouvez suivre le fil de la conversation, intervenir et participer), l’effet « grande pièce », la luminosité plus importante, la facilité de circulation, la praticité pour servir et une surveillance permanente sur les enfants.

    Inconvénients…

    A contrario, qui dit cuisine ouverte, dit odeurs et bruits qui se répandent et envahissent les espaces contigus (dans les deux sens : électro-ménager, jeux des enfants,…). Autre inconvénient : la vue sur la cuisine empêche l’intimité lors de la préparation des repas !

    La cuisine fermée, bientôt de retour ?

    « La cuisine fermée a eu son heure de gloire mais elle n’a pas totalement disparu », raconte une conseillère en équipement. « Nombreuses sont les personnes à y revenir, après avoir goûté aux charmes des cuisines ouvertes. Manque d’intimité en cuisine, besoin de rester en retrait, mais aussi de ne pas exposer ses œuvres non finies ou tous les ustensiles sales, attendant d’être nettoyés et rangés ».

    Malgré l’isolement entraînant un manque de convivialité, les avantages de la cuisine fermée sont donc : l’intimité, la préparation des repas à l’abri des regards et les bruits et les odeurs de cuisson contenues dans une seule pièce.

    La tendance : semi-ouverte

    Mais la cuisine à l’américaine ou la cuisine entièrement cloisonnée sont moins en vogue. La tendance actuelle est plutôt d’ouvrir partiellement sa cuisine (grâce à un passe-plat, un bar, ne pas mettre de porte…). Il y a beaucoup d’avantages à cette configuration : semi-ouverte, elle permet de s’isoler partiellement, tout en gardant un contact avec les autres pièces. La cuisine semi-ouverte permet de garder une distance physique et acoustique et donc de limiter les inconvénients des deux types de cuisines étudiées ci-dessus (ouvertes et fermées).

  • 6 conseils pour bien planter un arbre! (et c’est le bon moment)

    L’automne est la saison idéale pour planter un arbre. Mais il ne suffit pas « simplement » de creuser un petit trou pour s’assurer de son bon redémarrage au printemps. Voici quelques petits conseils utiles à suivre pour mettre toutes les chances de son côté !

    Les arbres achetés en racines nues doivent préférablement être plantés au début de l’automne. Quand le sol est encore chaud et humide, la production de radicelles débute plus tôt et la reprise de l’arbre est améliorée.

    Bien choisir l’endroit !

    La première étape primordiale avant de planter un arbre consiste à bien choisir son emplacement. Renseignez-vous quant à sa taille maximale et projetez-là pour éviter de mauvaises surprises. Pensez aussi à la zone d’ombre engendrée.

    Creusez à l’avance !

    Idéalement, pensez à creuser le trou longtemps à l’avance. Si possible au moins 2 à 3 semaines. Le trou ne doit pas non plus être trop petit : il doit faire au moins deux fois le volume de la motte racinaire de l’arbre à planter. Réservez la terre retirée du trou sur une bâche et ameublissez bien le fond du trou pour faciliter la reprise des racines.

    Pralinage

    Avant de planter l’arbre, n’oubliez pas de couper une partie de l’extrémité de ses racines et de les tremper dans un mélange d’eau, de terre et de bouse de vache si possible ! Ce « pralinage » peut également être réalisé à partir d’un mélange vendu en jardinerie pour une plus grande efficacité.

    Pensez aux tuteurs !

    Dernière étape importante avant de planter l’arbre : plantez solidement un ou plusieurs (trois idéalement) tuteurs. Effectuer cette étape avant de planter l’arbre permet d’éviter d’abîmer ses racines par la suite ! Ne prenez pas des tuteurs trop courts. Ils doivent arriver au minimum à l’endroit où l’arbre doit se ramifier.

    Utilisez un repère

    Afin d’enfoncer l’arbre à une profondeur idéale, utilisez une latte de bois posée sur le sol, en travers du trou, comme repère. Les racines doivent être sous le sol mais le tronc pas trop profondément enterré. Remplissez le fond du trou d’un terreau conseillé pour le type d’arbre envisagé et déposez les racines bien à plat sur ce cône de terreau. On comble ensuite le trou avec la terre remisée sur la bâche en prenant soin de bien l’émietter avant de l’insérer et ensuite de la compacter du pied.

    Pensez à l’arrosage !

    Avec la terre excédentaire, réalisez un petit bourrelet autour de l’arbre pour faciliter l’arrosage. Une opération à renouveler souvent durant au moins deux ans, surtout en période de sécheresse. Laissez également le sol nu autour de l’arbre ou installez-y un paillage. Mais pas de gazon. Pour terminer : attachez solidement l’arbre à ses tuteurs.