Auteur : francois

  • Comment poser un parquet massif avec de la colle en 4 étapes ? Est-ce faisable soi-même ?

    Vous envisagez de poser un parquet massif « à plein bain » pour embellir votre habitation ? Si vos suivez ces quelques conseils, vous devriez y arriver aussi bien qu’un professionnel… et devenir « incollable » sur le sujet !

    Les avantages qu’offrent un parquet massif vous incitent à le choisir comme revêtement de sol pour votre habitation ? Très bien. En revanche, le supplément de prix exigé pour la main d’œuvre vous incite à le poser vous-même ? Si vous suivez bien ces différents conseils, vous devriez vous en sortir comme un pro !

    1. Préparez la surface

    Le parquet massif se pose, dans la majorité des cas, avec de la colle à « plein bain ». Ce qui nécessite une petite préparation du support. La pose collée s’effectue en effet sur un support plan, propre et sec. S’il s’agit d’une nouvelle chape, il faut donc s’assurer qu’elle soit parfaitement sèche avec un testeur d’humidité. S’il s’agit de panneaux de bois de type OSB, il faudra effectuer un ponçage grossier pour que la colle puisse parfaitement adhérer. Dans tous les cas, il faudra aspirer parfaitement la surface.

    2. Prenez le temps !

    Ne vous lancez pas tête baissée dans la pose de la première ligne sans mesurer l’espace à habiller. Prenez, au contraire, le temps de bien mesurer la ou les pièces qui doivent recevoir le parquet. Pour ce faire, n’hésitez pas à venir avec un plan chez votre marchand de parquets. Il pourra vous aider à optimiser le sens de la pose en fonction de plusieurs paramètres (escalier, hall, fenêtres, etc.).

    3. Fixez un guide

    Sauf éventuellement si vos murs sont parfaitement droits, ne débutez pas votre première ligne le long d’un mur. Fixez plutôt une latte au sol parallèlement au sens de pose. Avant de la fixer, n’oubliez pas de reporter la largeur de vos planches pour éviter de tomber avec de trop fines largeurs le long des murs. Vous pourrez ensuite appuyer votre première ligne sur cette latte afin d’éviter que le parquet ne glisse ou pivote lors de la pose tant que la colle n’est pas sèche. Une fois la colle sèche, retirez la latte et complétez le parquet jusqu’au mur.

    4. Posez le parquet par tranche de 50 à 60 cm

    Pour s’assurer que la colle (à étaler avec une spatule crantée spécifique) soit bien présente sous l’ensemble des lattes, ne posez pas les lattes du parquet une à une. Posez plutôt plusieurs largeurs de planche en une fois pour couvrir une zone de 50 à 60 cm (l’équivalent de ce que vos bras peuvent atteindre pour éviter de mettre vos genoux dans la colle !). Avec un parquet de 18 cm de large, posez donc 3 lignes de parquet en une fois par exemple (54 cm).

  • Remise des clés au moment du compromis, est-ce possible ?

    Au moment de la signature du compromis de vente, vendeurs et acquéreurs décident du moment de la remise des clés et du transfert de jouissance. Il est habituellement convenu de les reporter à la date de la signature de l‘acte authentique de vente.

    Il arrive parfois que les acquéreurs d’une maison demandent aux vendeurs d’avoir les clés et la jouissance de l’immeuble dès la signature du compromis, pour différentes raisons : ils sont pressés de profiter de leur logement, leur habitation actuelle n’est plus disponible ou ils veulent déjà commencer des travaux pour pouvoir s’installer dès la signature de l’acte authentique.

    Déconseillé!

    Les vendeurs peuvent évidemment remettre les clés dès le compromis, mais les deux parties prennent alors certains risques. Même si ce n’est pas interdit, les notaires déconseillent la remise des clés avant la signature de l’acte authentique de vente. Laisser la jouissance immédiate de l’immeuble aux acquéreurs au moment du compromis peut présenter des risques considérables.

    Si vous ne pouvez faire autrement…

    Si l’acquéreur en fait une condition essentielle de la vente, il faut s’entourer de certaines précautions. Par exemple, il faudra au moins prévoir que l’acquéreur ne pourra effectuer que des travaux de rafraîchissement, à l’exception de gros travaux. L’acquéreur devra en outre souscrire une assurance pour couvrir l’immeuble contre tous dégâts, ainsi qu’en responsabilité civile. Le vendeur pourra exiger que la vente ne soit pas soumise à une condition suspensive d’octroi de prêt, et demander à l’acquéreur de consigner un acompte important ; l’acquéreur pourra exiger que cet acompte soit bloqué jusqu’au jour de la signature de l’acte. On pourra aussi prévoir que l’acquéreur supportera toutes les charges de l’immeuble, le précompte et les consommations depuis le jour où il reçoit les clés de la maison.

    En conclusion, si les clés sont remises avant la signature de l’acte authentique de vente, il est recommandé de rédiger une convention de remise des clés pour y fixer toutes les conditions de cette remise des clés. Même si ces précautions sont prises, des dangers subsistent, il est toujours préférable d’attendre la signature de l’acte notarié.

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  • 5 points critiques lors de la rénovation de votre appartement

    Dans un immeuble à appartements, vous ne vivez pas seul, donc pour rénover un immeuble, vous devez accorder vos violons avec les copropriétaires, ce qui n’est pas toujours évident. Voici les points critiques à considérer.

    Oubliez les chaudières ouvertes

    L’installation d’une chaudière ouverte est interdite depuis un certain temps. Si elle tombe en panne, elle devra être remplacée par un modèle de type fermé. Cela signifie que tous les appartements qui se chauffent sur cette chaudière sont concernés. C’est souvent une source de problèmes. Un seul système de chauffage collectif peut alors apporter du confort et… des soucis en moins.

    Double vitrage

    Le double vitrage sera obligatoire d’ici 2023. Ce sera aux propriétaires d’assumer les frais. Le type de châssis doit être uniforme sur tout l’immeuble, ce qui fait souvent l’objet de discussions.

    Isoler le toit

    L’isolation du toit sera obligatoire d’ici 2020. Cette législation n’est pas très stricte et même avec une faible isolation, vous pouvez atteindre la norme de 0,75 m2K/W. Attention : il s’agit d’un coût pour tous les occupants de l’immeuble et pas seulement pour le propriétaire de l’appartement du haut.

    Balcons

    Bien que la rénovation d’un balcon paraisse fort simple, sachez que c’est rarement le cas ! Dans les anciens immeubles, il faudra souvent penser à une nouvelle structure, ce qui a un coût considérable.

    Optopping

    L’ « optopping » est l’ajout d’un ou plusieurs étages sur le toit de la maison. Tout dépend bien sûr de la réglementation en matière d’urbanisme. L’avantage, bien sûr, c’est que cette solution rapporte de l’argent, parce que le toit est vendu comme « terrain ».

  • 6 points à examiner avant de louer un kot d’étudiant

    Vous cherchez, pour vous ou pour votre « enfant », un kot. Comment le choisir et à quoi faut-il être attentif ?

    Kot, studio, appartement partagé, résidence pour étudiants, location chez un particulier… Si vous avez un jeune qui démarre des études dans une université ou une haute école, vous allez peut-être devoir vous mettre à la recherche du logement idéal. Quand vous aurez repéré le bien qui vous semble le plus approprié, penchez-vous sur plusieurs éléments pour éviter les mauvaises surprises.

    1. La conformité

    « Un immeuble ne se transforme pas en kot(s) sans autorisations préalables. Cela suppose l’obtention d’un permis d’urbanisme  et ce, même si aucune transformation majeure n’a été apportée à l’immeuble », explique un directeur d’agence. En outre, pour pouvoir louer un kot, le propriétaire doit obtenir un permis de location auprès de sa commune sur base de la conformité du logement à un certain nombre de normes d’habitabilité et de salubrité. Première étape donc : s’assurer que le propriétaire est bien en ordre.

    1. Le contrat

    Vient ensuite le contrat de location. Il est obligatoire de conclure un contrat de bail par écrit qui met noir sur blanc les dispositions que chacune des parties s’engage à respecter tout au long de la location. Pour être valable, ce contrat doit mentionner les noms du locataire et du propriétaire, la nature du bien loué, son usage, sa localisation et le montant du loyer. Le contrat stipulera également la durée de la location, le mode de préavis et la durée de celui-ci, la présence éventuelle d’une clause de rupture anticipée en cas d’abandon des études.

    La plupart des contrats de location de kot étudiant sont de courte durée. Certains se limitent à l’année scolaire (10 mois, de septembre à juin) alors qu’un étudiant peut souhaiter occuper le logement durant les vacances scolaires d’été (soit 12 mois). Notre conseil:  si vous souhaitez occuper le logement le week-end, il faut vérifier que le contrat n’exclut pas cette possibilité.

    1. Quid des charges ?

    Les charges locatives (eau, gaz, électricité, chauffage, internet) et charges liées aux parties communes (entretien et éclairage des couloirs, par exemple) sont-elles comprises ou non dans le montant du loyer à payer au propriétaire ? Sont-elles forfaitaires (sans possibilité de révision) ou fonction des dépenses réelles (une provision est généralement demandée, laquelle sera réévaluée en fin d’année sur base des factures) ? Tout ce qui relève des charges doit figurer clairement dans le contrat de location.

    Attention, l’étudiant n’est la plupart du temps pas domicilié dans son kot. Ce dernier est donc considéré comme une « résidence secondaire ». Les charges communales de seconde résidence s’appliquent dès lors pour des montants qui varient de 300 à 700 euros par an.

    1. Garantie locative

    Il convient aussi de se pencher sur la garantie locative. Une garantie locative n’est pas obligatoire dans le cadre d’un bail étudiant mais elle sera souvent demandée. En général, le propriétaire réclamera 2 mois de loyer. Cette caution ne devra pas être obligatoirement versée sur un compte bloqué, elle peut être donnée de main à main mais attention, un reçu daté et signé devra être délivré au locataire.

    1. Et les assurances ?

    Pas obligatoires, mais vivement conseillées. En effet, c’est le locataire qui est responsable en cas d’accident (incendie, dégâts des eaux, bris de vitre…). Souvent, cette assurance est prévue dans le contrat de location mais si ce n’est pas le cas, soit une assurance sera souscrite, soit l’assurance RC des parents couvrira la location du kot de leur enfant. Il vaut mieux se renseigner auprès de sa compagnie d’assurances.

    1. L’état des lieux

    Il s’agit d’un document écrit, établi au plus tard 15 jours après la prise de cours du contrat et décrivant l’état des pièces louées (principalement les imperfections et problèmes identifiés). L’état des lieux doit être établi avec attention. Des photos peuvent utilement compléter celui-ci afin d’éviter tout souci lors de l’état des lieux de fin de location.

     

  • Quel revêtement de sol pour votre garage ? 3 erreurs à éviter !

    Ce n’est pas parce que le garage est moins fréquenté et présente une importance moindre que les autres pièces de la maison, que l’on peut y faire tout et n’importe quoi !

    Il s’agit en effet d’un endroit qui subit de nombreuses contraintes : non chauffé, exposé aux salissures et à l’humidité, et devant supporter de lourdes charges, le garage demande un sol adapté. Ce sol devra se montrer solide et résistant à l’usure, et sera de préférence facile à nettoyer. Alors, lequel choisir ?

    Les revêtements que nous déconseillons !

    Le béton brut est très répandu. Très bon marché, il n’est pourtant pas le meilleur choix : y déplacer des objets peut se révéler fastidieux, il attire la poussière et ne laissera jamais une impression de propreté générale. Au bout de quelques années, vous en aurez sans doute assez de son aspect défraîchi !

    La peinture pour béton n’est pas non plus notre choix de prédilection. Certes, elle donne un aspect sympa et ne coûte pas grand-chose, mais elle n’est généralement pas très résistante à l’usure. Enfin, le carrelage est un choix élégant et facile à l’entretien, mais vous aurez besoin d’un carrelage très résistant et celui-ci ne sera donc pas forcément le plus joyeux. Sachez aussi que les joints n’ont pas une grande durée de vie et que le coût total est vite dissuasif…

    Les revêtements que nous conseillons

    Le béton lissé peut être une bonne idée : facile à mettre en œuvre (pour un pro), son prix pourra se révéler intéressant par rapport aux autres revêtements si votre garage est très grand. Faites toutefois attention aux taches d’huile et d’antigel, difficiles à rattraper et qui terniront un aspect d’origine assez attractif. Enfin, il peut également être assez glissant.

    Le PVC, que ce soit sous forme de dalles ou de lattes, est une très bonne solution. Assez coûteuse, certes, mais prévue pour soutenir des charges élevées et pour être facilement nettoyée. Notez également que les dalles de PVC sont disponibles en de multiples couleurs, ce qui pourra répondre à vos fantasmes les plus fous !

    Enfin, la résine époxy, c’est la Rolls des revêtements. Facile à entretenir, personnalisable à l’envi et très élégante, elle a pour principal défaut son… prix ! Notez également que dans le cadre d’une rénovation, il faudra sans doute poser une nouvelle dalle de béton.

    François Piette

  • 6 conseils pour garder votre maison au chaud en hiver tout en respectant votre budget

    L’hiver vous semble rude, y compris au sein de votre habitation ? Voici 6 manières économiques de garder votre maison au chaud.

    Avec ces conseils, vous n’aurez plus à choisir entre chauffage et vacances ! En effet, de plus en plus de ménages s’efforcent d’adopter des modes de vie durables, ce que nous essayons de mettre en évidence.

    1 | Optez pour une bonne isolation

    Si la base de votre maison n’est pas bonne, vous dépensez probablement des fortunes pour le chauffage. Plus une maison est isolée, plus grandes seront les économies. Il s’agit non seulement de murs et de plafonds isolés, mais aussi de petites solutions telles que des bandes de calorifugeage aux portes et aux fenêtres, la fermeture des portes dans les pièces non utilisées et le chauffage des pièces non utilisées.

    2 | Profitez du… soleil !

    Il existe une source de chaleur inépuisable et gratuite que vous pouvez utiliser à la maison : le soleil. Même en hiver, le soleil chauffe votre maison. Assurez-vous donc que les rideaux soient complètement ouverts pendant les heures d’ensoleillement, afin que l’air de votre maison puisse se réchauffer. Quand le soleil se couche, il est préférable de refermer les rideaux. Il s’agit alors d’une couche d’isolant supplémentaire.

    3 | Dégagez les radiateurs

    Votre siège, votre fauteuil ou tout autre meuble est-il contre le radiateur ? Glissez-les un peu ! Ne placez pas non plus d’objets (mouillés) sur le radiateur, mais gardez-les autant que possible à découvert. Si vous respectez ce conseil, l’air se réchauffera beaucoup plus rapidement.

    4 | Utilisez la chaleur de votre four

    Saviez-vous que la cuisson réchauffe votre maison ? Une fois la cuisson terminée, vous pouvez simplement laisser la porte du four ouverte pour que l’air chaud soit redistribué. Il serait en effet dommage que cet air chaud soit perdu !

    5 | Choisir un tapis chaud

    Avez-vous un grand salon ou une autre pièce dans la maison où le sol est toujours froid ? Dans ce cas, optez pour un tapis (à poils longs). Un sol est responsable jusqu’à 10 % des pertes de chaleur d’une maison. C’est donc certainement payant de poser un tapis !

    6 | Enfilez quelque chose de chaud !

    Beaucoup de gens sont enclins à augmenter le chauffage pendant les froides journées d’hiver. A ne pas faire ! Mettez quelque chose de chaud (un pull épais, des chaussettes supplémentaires ou des pantoufles chaudes), cela vous permettra d’économiser des frais de chauffage et c’est mieux pour l’environnement.

  • Quel chauffage pour votre habitation ? Le point sur tous les systèmes !

    Après avoir décortiqué les coûts de chaque type de chauffage existant, penchons-nous maintenant sur les avantages et les qualités de chacun. Vous saurez ainsi quel chauffage conviendra le mieux à votre habitation !

    Peut-être allez-vous, dans les prochains mois, être confronté au choix d’un type de chauffage pour votre habitation. Gaz, mazout, électricité, énergie verte, pellets… Il y a un vaste choix sur le marché. Comment s’y retrouver et que choisir ? Listons les atouts et inconvénients de chacun…

    Gaz

    Le gaz de ville, par exemple, n’est pas accessible à tous. Il faut en effet que votre logement soit proche d’un réseau mais il présente de nombreux atouts comme son coût économique, son côté écologique, son rendement intéressant ou encore le fait que vous ne devez rien stocker chez vous.

    Par contre, il s’agit d’un moyen de chauffage qui nécessite une cheminée et qui rejette du CO2.

    Mazout

    Le mazout, lui, présente l’avantage d’un coût raisonnable à l’installation, d’une sécurité du système et d’un rendement en constante amélioration grâce aux nouvelles chaudières à condensation.

    Par contre, le prix du mazout est régulièrement soumis à des variations parfois importantes d’une année à l’autre, il nécessite une cheminée et une citerne pour le stockage, il est peu écologique et il faut programmer votre approvisionnement.

    Electricité

    L’électricité, elle, très à la mode dans les années ’70, a moins la cote pour se chauffer. En cause ? Son coût élevé d’utilisation, le fait qu’elle soit très énergivore et qu’elle ne bénéficie pas de primes.

    Par contre, elle offre une large gamme d’appareils, son utilisation est simple, il n’y a pas de stockage de carburant et sa mise en marche est rapide mais elle est davantage utilisée comme solution d’appoint.

    Energies vertes

    Les énergies vertes (système solaire, pompe à chaleur…) utilisent une énergie écologique et inépuisable. Il existe des primes et ces systèmes ne rejettent pas de CO2.

    Par contre, l’installation est plus coûteuse, c’est une technologie souvent plus complexe tandis que les systèmes à captage d’air (comme les pompes à chaleur) peuvent parfois se révéler bruyants. Sachez aussi qu’il faut une sacrée collection de panneaux solaires pour rendre un chauffage « gratuit » !

    Pellets et bois

    Outre les poêles à pellets et à bois dont nous avons déjà parlé et qui sont plus à considérer comme des chauffages d’appoint, il y a également les chaudières à pellets. Ecologiques, dotées d’un excellent rendement et carburant avec un combustible bon marché, elles pêchent toutefois par un prix vite dissuasif, un encombrement handicapant et un entretien qui peut sembler rébarbatif…

    Quels tarifs ?

    Du côté des prix, c’est aussi très différent. Pour le mazout, comptez entre 3.000 et 6.000 euros (pour une installation capable de chauffer une surface de 100 mètres carrés), pour le gaz de 2.000 à 5.000 euros et de pas grand-chose à 8.000 euros pour l’électricité. Pour l’électricité verte, ça peut aller de 5.000 à 20.000 euros, des tarifs identiques aux chaudières à pellets.

  • 5 conseils pour isoler votre maison du bruit

    Trafic, travaux, musique qui va trop fort, proximité de l’autoroute, des voies ferrées ou d’un aéroport : ces exemples de pollution sonore sont subis chaque jour par de nombreuses personnes. Et cela peut sérieusement nuire à la qualité de vie !

    Il est possible de vous protéger des bruits extérieurs en concevant bien votre maison et en investissant dans de bons matériaux. Immovlan vous donne 5 conseils pour vous isoler du bruit extérieur !

    Choisir les bonnes portes et fenêtres

    Aujourd’hui, vous avez le choix entre le PVC, l’aluminium et le bois pour vos châssis. Le bois a l’avantage de son poids plus élevé. Plus un châssis en bois est épais, plus le bruit provenant de l’extérieur sera diminué. Si vous préférez l’aluminium, optez pour des modèles avec interruption des ponts thermiques, également plus performants sur le plan acoustique. Pour le PVC, il existe aujourd’hui des modèles avec des joints de frappe qui favorisent l’étanchéité et l’insonorisation.

    Vitrage acoustique

    Aujourd’hui, il existe un vitrage feuilleté acoustique qui protège contre toutes les sources de bruit possibles. Ce type de vitrage augmente le confort acoustique dans la maison et a un meilleur effet d’absorption acoustique que le double vitrage ordinaire. De plus, ce type de vitrage présente une meilleure isolation thermique, ce qui en fait un investissement durable.

    Isoler les volets

    Si votre maison a des volets intégrés à l’intérieur, le bruit peut entrer par le coffret du volet. On peut y remédier en appliquant un produit d’étanchéité entre ce caisson et la structure de la maison. Vous pouvez aussi choisir un matériau insonorisant qui se fixe à l’intérieur ou à l’extérieur du coffret.

    Isoler les murs

    En isolant les murs de votre maison, vous économisez non seulement de l’énergie, mais vous réduisez aussi considérablement le bruit. Cela peut être particulièrement utile si vous souffrez de la pollution sonore du côté de la rue. L’isolation peut se faire à l’intérieur ou à l’extérieur des murs.

    Clôtures anti-bruit

    Les clôtures en bois ou en plastique absorbent à peine le bruit. Vous habitez près d’une route bruyante ? Dans ce cas, choisissez une clôture en noix de coco. La noix de coco a la propriété d’absorber le son et n’a pas de fissures. De plus, on y trouve une plaque isolante qui lui confère une belle insonorisation.

  • Faut-il protéger vos plantes en hiver?

    L’hiver est à nos portes et ses attaques par surprise peuvent être meurtrières pour nos chères petites plantes, exposées aux grands froids. Quelles plantes doivent faire l’objet de protections particulières ?

    Plantes caduques (chêne, platane, érable, bouleau…)

    Elles ne nécessitent que peu de protection puisqu’elles perdent leurs feuilles en hiver et qu’elles sont moins sensibles au froid. Certaines apprécieront néanmoins un paillage fait de feuilles séchées ou d’écorces.

    Plantes persistantes (plantes qui gardent leurs feuilles toute l’année)

    Leur végétation n’est que ralentie pendant l’hiver et demandent donc certains soins pour faire face aux gelées. L’eau présente dans la sève se cristallise en cas de gel et fait éclater les cellules. Pas de panique cependant, la moindre petite gelée ne va pas faire mourir votre plante, il faut en général une période de gel prolongé pour que les dégâts soient irréversibles.

    Plantes de pleine terre

    Les racines des plantes vivaces mais aussi les jeunes arbustes, nécessitent une protection contre le gel. Pour ce faire, l’utilisation d’un paillage végétal (des écorces, du paillis de lin, un tapis de feuilles mortes, quelques centimètres de compost ou de fumier) est totalement indiqué. En outre, les paillages végétaux ont un autre avantage. Lors de leur décomposition, ils auront une action fertilisante qui favorisera la repousse au printemps.

    Plantes en bacs et en pots

    Ce sont les plantes les plus exposées aux gelées car l’ensemble de la surface du pot est au contact de l’air. Il est indispensable de les disposer à l’endroit le mieux protégé du froid et du vent.

    Plantes méditerranéennes (Palmiers, oliviers, agrumes, lauriers-roses…)

    Ces plantes sont aujourd’hui plus résistantes à nos climats qu’auparavant. Le réchauffement climatique joue également un rôle, mais ce n’est pas une garantie absolue. Des coups de gel prononcés sont encore fréquents et s’avèrent destructeurs pour les plantes méditerranéennes. S’il n’est pas possible de les rentrer, utiliser au minimum un voile d’hivernage qui vous fera gagner quelques degrés. A titre d’exemple, un citronnier ou un oranger qui résiste à une température de -7° sans voile, résistera avec un voile d’hivernage à une température de -10°.

    Un emplacement adapté

    Pour passer l’hiver sans encombre, les plantes méditerranéennes devront être placées de préférence dans les endroits les plus ensoleillés, à l’abri des vents. Dans la mesure du possible, rentrez-les en hiver. L’abri doit être frais, aéré et lumineux. Sa température doit idéalement se situer entre 5 et 8°C pour la plupart des plantes, entre 10 et 12° pour les lauriers et les mimosas, bougainvilliers, jasmins… et entre 15 et 20° pour les orangers et citronniers. Si vous les rentrez dans la maison, les plantes doivent être éloignées de toutes sources de chaleur.

    Un dernier conseil: si vos plantes en pot passent l’été dehors, ne les rentrez pas brutalement dès qu’il commence à faire froid, pour éviter un choc thermique.

  • Un plafond suspendu, lequel choisir ? Et quels sont ses avantages ?

    Vous avez déjà dû entendre parler d’un plafond suspendu. Cette technique de rénovation est souvent utilisée pour rénover rapidement un plafond ancien et délabré.

    Un plafond tendu suit la forme d’un plafond existant. Un tissu élastique est tendu sous ce dernier, d’où son nom. Le résultat est homogène et agréable à l’œil. Le grand avantage des plafonds suspendus est qu’aucun trou n’a besoin d’être percé. Ils s’installent en un rien de temps et vous n’avez pas besoin de le peindre. Pratique !

    PVC ou polyester ?

    Les plafonds suspendus sont disponibles en PVC et en polyester. Outre la différence de matériau, la plus grande différence est le mode d’application. Un plafond tendu en PVC est placé contre le mur avec des profilés, visibles ou non, sur lesquels le tissu PVC est tendu. Un plafond tendu en polyester est fixé à l’aide d’une spatule. Par conséquent, contrairement au PVC, un modèle en polyester est totalement transparent. Sachez également que le modèle en polyester n’est disponible qu’en version mate, les plafonds en PVC peuvent être livrés en finition mate ou brillante. Et puis il y a une différence de prix. Les plafonds en PVC sont souvent moins chers que les plafonds tendus en polyester.

    Parfait pour votre décoration d’intérieur

    Ces plafonds ne se destinent pas seulement à une rénovation rapide d’un plafond ancien. Avec un plafond tendu, vous pouvez parfaitement intégrer des spots. Ou laissez les projecteurs briller à travers la toile pour un effet « lounge » assuré !

    Facile à entretenir et à installer

    Une entreprise spécialisée dans l’installation de plafonds tendus prépare la plupart des travaux à l’avance, afin qu’ils soient installés rapidement et proprement. De plus, ils sont faciles à entretenir car ils attirent peu de saleté. Pour le nettoyer, rien de plus simple : utilisez un chiffon doux avec de l’eau tiède et un peu de détergent et essuyez délicatement.