Auteur : francois

  • 5 types de biens immobiliers parfaits pour un investissement !

    Il est sage d’investir dans l’immobilier. C’est un investissement relativement sûr et vous pouvez protéger votre investissement avec diverses assurances. Les 5 types de biens immobiliers énumérés ci-dessous ont fait leurs preuves au fil des ans.

    Maisons avec locataires de longue date

    Vous désirez être sûr de votre investissement ? L’achat d’une propriété louée depuis longtemps à des locataires fiables, est toujours une excellente chose. Vous n’avez pas à faire d’efforts pour trouver des locataires, les revenus entrent et les coûts sont limités. Parlez aux locataires pour vous présenter, écouter leurs besoins et renseignez-vous sur la durée qu’ils comptent encore rester.

    Complexes d’appartements

    En termes de répartition des risques, il est préférable d’avoir plusieurs appartements qu’un seul. Bien sûr, cela coûte pas mal d’argent, mais si vous pouvez le gérer financièrement, c’est un investissement raisonnable. De plus, ces dernières années, les prix des appartements ont augmenté et la tendance ne semble pas faiblir.

    L’immobilier dans les quartiers à faible taux d’inoccupation

    Non, les maisons situées dans les quartiers où le taux d’inoccupation est faible, ne sont pas bon marché, mais elles offrent aussi une sécurité. Une propriété dans un quartier populaire est plus chère à l’achat, mais elle vous assure un revenu.

    Propriété en très bon état

    Bien sûr, une rénovation est toujours envisageable, mais cela prend du temps et un budget supplémentaire. Souvent, l’opération est plus chère que ce à quoi vous vous attendiez. Une propriété en parfait état, livrée dès le 1er jour de location, est idéale. De plus, il est plus facile d’obtenir un prêt pour une maison en parfait état que pour une maison à rénover.

    L’immobilier dans les quartiers émergents

    Nous l’admettons, c’est un risque, car certains quartiers s’effondrent et d’autres restent au statuquo pendant des années. Un quartier avec du potentiel, cependant, contient généralement un certain nombre de maisons qui, après une petite rénovation, peuvent valoir beaucoup plus.

  • Radiateur à accumulation : Quels avantages et inconvénients ?

    Vous avez froid ou vous n’en pouvez plus ? Les radiateurs à accumulation peuvent être une solution… Mais attention, cette dernière n’est certainement pas « miraculeuse » !

    Comment ça fonctionne ?

    Un chauffage à accumulation, comme son nom l’indique, repose sur le principe du stockage de la chaleur. En gros, le chauffage utilise l’électricité pour la transformer en chaleur durant les heures creuses, la stocke et la restitue durant les heures pleines. Un principe évidemment parfaitement indiqué pour ceux qui possèdent un compteur bi horaire… Le stockage est généralement matérialisé sous la forme de pierres, de briques, voire d’une fonte. Bien évidemment, en cas de pièce très froide, le système peut toujours basculer en mode « consommation » pour assurer un confort optimal.

    Avantages

    Le gros avantage évidemment, c’est l’économie réalisée. En effet, le système n’utilise l’électricité que durant les heures creuses et chauffe ensuite quasi gratuitement durant les heures pleines. La chaleur est de plus très agréable, car rayonnante et particulièrement homogène.

    Inconvénients

    Pour autant, tout n’est pas rose. En effet, le plus gros problème vient de l’inertie qu’un tel chauffage réclame : si vous désirez un coup de chaud rapide, ce n’est certes pas le système idéal car il faut attendre que le système se recharge. Toutefois, certains systèmes avec ventilateurs existent et permettent de se chauffer plus rapidement. Notons également qu’un tel chauffage est lourd, encombrant et… pas bon marché, les prix oscillant généralement entre 700 et 2.500 € ! Enfin, bien évidemment, si vous n’avez pas de compteur bi horaire, un tel investissement ne vaut pas vraiment la peine…

  • Comment déneiger efficacement devant chez soi ?

    Dégainer directement son sac de gros sel n’est pas la méthode la plus efficace ni surtout la plus écologique pour dégager son trottoir en cas d’offensive hivernale !

    Dans la quasi-totalité des communes belges, il est obligatoire de « rendre son trottoir non glissant ». D’accord. Mais, en pratique, comment faire ?

    Dégagez mécaniquement d’abord

    Dans un premier temps, il faut dégager au maximum la couche de neige. Une grosse couche de neige impose, en effet, d’utiliser beaucoup plus de sel de déneigement ce qui n’est vraiment pas écologique. En outre, faire simplement fondre une grosse couche de neige avec du sel peut, dans certaines conditions, conduire à reformer une couche de glace. Utilisez donc d’abord des moyens mécaniques pour retirer la neige. Pour ce faire, rien de tel qu’une pelle à neige. Mais si vous n’en disposez pas, sachez qu’une brosse de rue aux poils bien durs pourra aussi convenir. Du moins si vous dégagez rapidement la neige quand elle est fraiche. Les traces de pas (qui tassent la neige en la transformant en glace) sont plus compliquées à dégager avec une brosse.

    Répandez ensuite

    Ce n’est qu’une fois la neige dégagée mécaniquement que l’on peut s’atteler à rendre la surface de son trottoir moins glissante avec d’autres méthodes. Pour plus de facilité, on peut utiliser avec parcimonie du gros sel. Mais d’autres solutions plus écologiques existent : copeaux de bois, sciure, sable, cendre et même marc de café par exemple. Ils permettent d’offrir une accroche aux chaussures tout en respectant l’environnement.

  • 7 conseils pour aider les vieilles personnes à rester plus longtemps à la maison

    Beaucoup de personnes âgées ont leur propre maison, qui doit à un moment donné être adaptée à leurs nouveaux besoins. Monter un escalier n’est plus si facile, la douche n’est pas pratique : ce sont des inconvénients auxquels on est confronté à un âge plus avancé.

    Ces 7 adaptations peuvent rendre le déménagement inutile et vous permettre de rester plus longtemps dans votre maison -.

    Systèmes d’appel

    Il existe de nombreux systèmes d’alarme personnels et des plateformes en ligne, qui permettent de vivre plus longtemps de façon autonome à la maison. D’une simple pression sur un bouton ou d’un coup de fil, vous obtenez souvent l’aide dont vous avez besoin.

    Douche à l’italienne

    Un problème courant est la douche. Souvent, ce n’est pas aussi accessible en raison du rebord. Cependant, on ne s’en rend compte qu’à un âge plus avancé ! Une salle de bain devrait être à l’épreuve des personnes âgées et une douche à l’italienne est souvent la première étape. Prévoyez également des supports et la possibilité de s’asseoir dans la douche

    Monte-escalier

    Les escaliers sont une torture à un âge plus avancé, mais un ascenseur dans une maison n’est bien sûr pas évident. Avec un monte-escalier, vous pouvez encore facilement monter et remonter les escaliers.

    Sols antidérapants

    Tomber dans la maison est un problème courant quand on vieillit. Les planchers antidérapants réduisent les risques de chute. Un sol antidérapant n’est pas seulement utile dans les pièces humides comme la salle de bains et la cuisine, mais peut être étendu dans toute votre maison !

    Réglage en hauteur de la cuisine

    Si vous voulez continuer à cuisiner plus tard, il peut être utile de choisir une cuisine réglable en hauteur. De cette façon, vous pouvez même cuisiner assis.

    Toilettes

    Si vous ne voulez pas transformer une visite aux toilettes en chemin de croix, alors une toilette surélevée, avec ou sans supports muraux, peut être une solution.

    Chambre à coucher

    Se lever du lit semble facile, mais à un âge plus avancé, ce n’est plus aussi évident. Un support triangulaire au plafond permet de sortir plus facilement du lit. Si vous devez souvent sortir du lit la nuit, l’éclairage peut prévenir les chutes. Une toilette supplémentaire dans la chambre à coucher n’est pas un luxe inutile à long terme.

  • Réparer une fissure dans un mur en 5 étapes

    Réparer des fissures dans un mur plafonné avant une remise en peinture est à la portée d’un bricoleur novice. Voici comment y arriver en 5 étapes simples.

    Pas de panique : l’apparition de petites fissures dans le plafonnage d’un mur n’a rien d’anormal dans la majorité des cas. Bien sûr, s’il s’agit de lézardes très importantes, consultez un spécialiste en stabilité. Mais si vous souhaitez simplement réparer des petites fissures, des coups ou d’anciens trous dans un mur avant de lui offrir une nouvelle peinture, voici comment procéder en 5 étapes simples.

    1. Agrandissez !

    Cela peut paraître surprenant, mais dans un premier temps, pour réparer une fissure, il faut l’agrandir. Tapotez autour de la fissure et arrachez toute la zone qui sonne creux. Si le plafonnage ne sonne pas creux, contentez-vous de gratter la fissure à l’aide d’un grattoir voire d’une spatule pour l’élargir généreusement. N’oubliez pas d’effectuer une petite incision transversale au début et à la fin de la fissure pour l’« arrêter ».

    2. Aspirez

    Il faudra ensuite bien aspirer la zone grattée pour enlever la poussière. C’est important, sinon l’enduit de rebouchage n’accrochera pas correctement.

    3. Humidifiez

    À l’aide d’un petit vaporisateur, humidifiez ensuite la zone à réparer. Cette étape aussi est importante : si le support est trop sec, il va pomper rapidement l’humidité de l’enduit de rebouchage qui risque, à son tour, de se fissurer.

    4. Rebouchez

    Utilisez ensuite soit un enduit de rebouchage tout prêt, soit du plâtre à mélanger vous-même pour reboucher la zone. Pour ce faire, utilisez une spatule et remplissez généreusement le trou. Mieux vaut que l’enduit déborde légèrement que l’inverse.

    5. Poncez

    Une fois l’enduit bien sec (lisez bien la notice explicative car le délai de séchage peut varier de quelques heures à plus d’un jour en fonction du produit utilisé), il faudra encore le poncer légèrement. Utilisez une grille de ponçage (du papier de verre peut également être utilisé pour des petites surfaces, mais il se bouche beaucoup plus vite au contact du plâtre). Si vous souhaitez atteindre un résultat optimal, un enduit de finition peut ensuite être appliqué pour peaufiner le travail avant une mise en peinture. Mais cette étape n’est pas nécessaire si vous comptez poser du papier peint. Surtout du papier intissé qui gomme davantage les imperfections.

  • Etes-vous obligé de rendre votre trottoir « non glissant » ?

    Le général Hiver a enfin pris les armes et les températures tombent régulièrement sous la fatidique barre du zéro. Votre trottoir ? Une patinoire ! Etes-vous légalement tenu de le déneiger ou du moins, de le rendre non glissant ?

    En effet, dans la quasi-totalité des communes belges, il est obligatoire de « rendre son trottoir non glissant ». Et si vous ne le faites pas, vous vous exposez à une amende pouvant aller jusqu’à 125 € (suivant les communes). Mais qui doit s’en occuper ? Dans le cas d’une maison unifamiliale, la question ne se pose évidemment pas, c’est aux occupants de s’en charger.

    Quid dans le cas d’un immeuble ?

    En revanche, dans le cas d’un immeuble, la question mérite en effet d’être posée. Il s’agit de l’occupant du rez-de-chaussée ou, si personne n’y habite, du premier étage. Si l’immeuble compte un concierge, c’est à ce dernier d’effectuer les opérations nécessaires. Sachez également que si l’immeuble compte plusieurs appartements au rez-de-chaussée, chaque occupant doit déblayer devant son appartement. Enfin, dans le cas d’une entreprise, c’est cette dernière qui est tenue responsable.

    Pas toujours responsable ?

    Toutefois, il existe des exceptions. Par exemple, si de fortes chutes de neige sont annoncées alors que vous êtes en vacances ou au travail, il vous est évidemment impossible de faire le nécessaire. Sachez également que le propriétaire de la maison située devant un trottoir glissant, n’est pas toujours rendu responsable au cas où un piéton glisse sur ce dernier ! En effet, s’il est prouvé le piéton manquait de prudence (parce qu’il courrait ou s’amusait à faire des glissades…), il y a de fortes probabilités que ce soit le piéton qui soit tenu pour responsable.

    Qui paye ?

    En cas d’incident et si un piéton est blessé, c’est l’assurance en Responsabilité Civile (familiale) de l’occupant de la maison en question qui interviendra dans le dédommagement des frais médicaux et autres. Si vous n’avez pas d’assurance RC, alors c’est de votre poche qu’il faudra dédommager la victime. Et sachez que les frais peuvent très vite grimper !

  • Entretien de la chaudière : tous les 1, 2 ou 3 ans ?

    Avec les grands froids que nous connaissons votre chaudière se rappelle à votre bon souvenir. Mais a-t-elle été bien entretenue ? Une chaudière bien entretenue sera plus efficace et donc plus économique. Mais c’est aussi une obligation légale !

    L’hiver, tous les plombiers sont submergés par des appels d’urgence. Souvent par défaut d’entretien, d’ailleurs. A ce propos, l’entretien, à quelle échéance faut-il le faire ?

    En Flandre : comme dans la Belgique toute entière, en Flandre, un entretien annuel est obligatoire pour toutes les chaudières à mazout. Pour les chaudières au gaz, l’entretien est obligatoire tous les deux ans. Seul un technicien agréé peut bien entendu effectuer cette opération.

    En Wallonie : les chaudières à mazout doivent être contrôlées annuellement, de même que celles à bois, pellet et charbon. Celles fonctionnant au gaz doivent être contrôlées tous les 3 ans (puissance inférieure à 100kW) ou tous les deux ans (puissance supérieure à 100 kW).  Un audit est également obligatoire pour les installations de chauffage supérieures à 20 kW, âgées de 15 ans ou plus, pour tous les types de combustible.

    A Bruxelles, les propriétaires d’une chaudière doivent faire contrôler leur chaudière régulièrement : tous les trois ans (si elle fonctionne au gaz) ou tous les ans (si elle fonctionne au mazout ou un carburant solide).

    De plus, chaque chaudière âgée de 15 ans doit faire l’objet d’un diagnostic dans l’année qui précède ou qui suit.

  • TOP 10 des conseils pour dissuader les voleurs

    Bien que le nombre de cambriolages en Belgique ait diminué ces dernières années, il y a encore plus de 144 cambriolages par jour.

    Les mois d’hiver sont particulièrement concernés : il est très tentant pour les cambrioleurs de frapper dans l’obscurité ! Un cambriolage se fait le plus souvent via la porte avant, l’arrière et la fenêtre de la cuisine. Beaucoup de cambrioleurs n’ont pas de plan préconçu, mais ils vérifient d’abord s’ils peuvent facilement entrer quelque part. Avec ces 10 conseils, vous pouvez éviter autant que possible les visiteurs indésirables.

    Conseil 1 | Assurez-vous que votre maison est bien visible

    Installez un bon éclairage intérieur et extérieur et évitez un jardin trop luxuriant devant.

    Conseil 2 | Volets roulants

    Les volets roulants protègent votre maison des regards curieux et sont une excellente mesure contre l’effraction. Mais il y a aussi un inconvénient… Lorsque les volets roulants sont ouverts ou fermés pendant plusieurs jours consécutifs, cela indique que vous n’êtes pas chez vous. Avec des volets à commande électronique ou un voisin qui les actionne, c’est facile à résoudre.

    Conseil 3 | N’aidez pas le cambrioleur !

    Assurez-vous que les échelles et les outils sont bien rangés dans la maison. Vous avez un abri de jardin avec des outils ? Fermez le tout correctement : vous vous assurez ainsi que vous n’aidez pas le cambrioleur en lui fournissant les matériaux pour le cambriolage.

    Conseil 4 | Placez les objets de valeur hors de vue

    Ordinateur portable, bijoux, tablettes, smartphones… Assurez-vous que vos objets de valeur ne sont jamais en vue. Par mesure de précaution, il est préférable de prendre une photo de chaque pièce et de noter le numéro de série de vos appareils, ce qui est utile si vous devez le signaler à la police après un cambriolage.

    Conseil 5 | Laissez croire que votre maison est habitée en cas d’absence prolongée

    En vacances ? Évitez de trop remplir votre boîte aux lettres, faites allumer régulièrement la lumière et les volets avec une minuterie ou un détecteur de mouvement et prenez de bonnes dispositions avec vos voisins… L’art de simuler une présence !

    Conseil 6 | Garez une voiture dans l’allée lorsque vous êtes en congé !

    Une voiture dans l’allée donne une impression de maison habitée. Si vous n’avez pas de deuxième voiture, vous pouvez demander aux voisins de se garer dans l’allée.

    Conseil 7 | Ne jamais laisser entrer une personne inconnue

    Demandez d’abord l’identité d’une personne avant de la laisser entrer chez vous. Pour un immeuble d’appartements, il vaut mieux ne pas laisser entrer une personne inconnue.

    Conseil 8 | Mettez vos clés et vos badges en lieu sûr

    Il vaut mieux ne pas cacher une clé sous le paillasson ou dans un pot de fleurs à côté de la porte. Mieux vaut la donner aux voisins ou de penser à une meilleure cachette !

    Conseil 9 | Verrouillez toujours la porte lorsque vous vous endormez ou lorsque vous n’êtes pas à la maison

    Pour certains, une habitude, pour d’autres, un oubli. Quoi qu’il en soit, lorsque vous allez au lit ou que vous partez, il est bien sûr obligatoire de verrouiller correctement toutes les portes extérieures de votre maison. Les portes à l’arrière et sur le côté d’une maison sont particulièrement populaires auprès des cambrioleurs.

    Conseil 10 | Signalez tout cambriolage à la police

    Certaines personnes ne prennent pas la peine de signaler un cambriolage à la police. C’est dommage, parce que beaucoup de communes en Belgique proposent de le faire en ligne. Faites également savoir à vos voisins que vous avez été victime d’un cambriolage afin qu’ils redoublent de vigilence.

     

  • Comment poser un nouveau joint pour votre salle de bain en 6 étapes

    Avec le temps, les joints en silicone doivent être remplacés. Et, bien sûr, impossible de faire déplacer un professionnel pour si peu… Mais pas de panique : voici comment poser proprement un joint en silicone en 5 étapes simples !

    Les joints en silicone sont indispensables dans nos maisons. Tant autour des éviers, que des douches, des baignoires, des châssis etc. Ils permettent d’éviter les infiltrations d’eau. Mais avec le temps, ils peuvent se dégrader et perdre de leur efficacité. Il est alors primordial de les remplacer. Mais comment ?

    1. Retirez l’ancien joint

    Avant de poser un nouveau joint, il faut d’abord bien sûr commencer par retirer le précédent !

    2. Nettoyez parfaitement la zone

    Pour que le nouveau joint adhère au support et qu’il assure parfaitement son rôle de barrière étanche, il est indispensable de nettoyer parfaitement la zone appelée à le recevoir. Insistez, au besoin, avec un peu d’alcool pour dégraisser le support.

    3. Posez un ruban de masquage

    Cette étape n’est pas indispensable. Mais si vous n’êtes pas sûr de vous, vous pouvez poser un ruban de masquage autour de la zone destinée à recevoir le joint. Cela permettra d’avoir un rendu plus régulier au cas ou votre lissage ne serait pas optimal.

    4. Coupez l’embout en biais

    Installez la cartouche de silicone dans le pistolet adéquat. Et coupez l’embout fourni avec la cartouche. Pour s’assurer d’un résultat optimal, coupez l’embout en biais. En outre : adaptez la largeur de l’ouverture en fonction du type de joint que vous devez réaliser. Un petit trou, pour un joint fin (autour d’un évier de cuisine, par exemple). Un grand trou pour un joint épais (autour de la baignoire, par exemple).

    5. Appliquez de manière régulière le silicone

    Une des clés du succès d’un joint propre réside dans la pose régulière du silicone. Veillez donc à avancer lentement le pistolet tout en actionnant la gâchette sans à-coup. Le mieux est de travailler en tirant le pistolet vers vous.

    6. Pensez au savon !

    Vient le temps, tant redouté par les novices, du lissage du joint. Pour ce faire, préparez un bol contenant du liquide vaisselle ou du savon liquide légèrement dilué avec un peu d’eau. Trempez votre doigt dedans pour qu’il glisse facilement sur le joint frais. Pour s’assurer d’un résultat optimal, le geste doit ici aussi être régulier et effectué sans à-coup. Ramenez également votre doigt vers vous plutôt que de le pousser.

    Si vous préférez, vous pouvez également utiliser un « lisseur de joint » plutôt que votre doigt. Mais cet accessoire de bricolage doit aussi être badigeonné de savon pour s’assurer d’un résultat parfait. Dernier conseil : respectez bien le temps de séchage indiqué sur la cartouche de silicone avant la première utilisation.

  • Chauffage par le sol : les 5 avantages qui pourraient vous convaincre !

    Le chauffage par le sol, c’est la grande tendance du moment. Après avoir dressé la liste de ses inconvénients, nous nous penchons aujourd’hui sur les raisons de son succès.

    1. Esthétique et gain de place

    Avec le chauffage par le sol, il n’y a pas de radiateurs pour « encombrer » la pièce, ni de tuyauterie apparente, puisque tout est enterré. Le gain de place est donc conséquent pour circuler et aménager votre intérieur comme vous l’entendez !

    2. Plus de confort

    La chaleur rayonne en douceur et uniformément depuis toute la surface du sol. Le bas des pièces est donc plus chaud tandis que le plafond est plus frais. De plus, c’est bien plus agréable pour les pieds nus.

    3. Meilleur pour la santé et la sécurité

    Le chauffage par le sol n’induit aucune circulation d’air ou sensation de courant d’air, contrairement aux radiateurs et convecteurs. Il limite ainsi le déplacement de poussières et combat efficacement l’humidité de l’air dans la pièce chauffée. De plus, c’est un système entièrement sécurisé vis-à-vis des enfants, qui ne risquent pas de se brûler à un radiateur ou aux tuyauteries.

    Le temps bien lointain où le chauffage au sol était décrié car il provoquait des jambes lourdes appartient au passé : la technique de diffusion de la chaleur a été simplifiée et l’eau qui circule est moins chaude qu’avant (35-40°, contre 60° à l’époque).

    4. Plus économique à l’usage

    Le chauffage par le sol consomme moins : la chaleur étant uniformément répartie, la chaudière peut être réglée à un niveau plus bas, ce qui permet d’économiser jusqu’à 12% d’énergie. Une fois la température voulue atteinte, la consommation est minimale. Le coût légèrement plus élevé de l’installation de chauffage par le sol est donc finalement amorti.

    5. Plus pratique à l’usage

    Contrairement à un chauffage classique, le chauffage par le sol ne nécessite pas d’entretien particulier (hormis la chaudière) et ne doit pas être dépoussiéré. Le système peut même être utilisé en été pour faire circuler de l’eau froide afin de rafraîchir les pièces. Enfin, il fonctionne aussi efficacement avec une chaudière, qu’une pompe à chaleur ou des panneaux solaires, pour autant qu’un bon dimensionnement soit envisagé. Ces systèmes peuvent donc être combinés en fonction des besoins.

    François Piette