Auteur : francois

  • Machine à laver : « Laver à 30 degrés est une erreur ! »

    Bon pour l’environnement, le portefeuille et les vêtements, le lavage à 30 degrés a de plus en plus la cote en Belgique… Toutefois, les médecins mettent en garde ! Sudpresse a mené l’enquête…

    Manifestement, ce lavage n’est pas suffisant pour une hygiène idéale : « Laver à 30ºC n’est pas assez chaud pour tuer les microbes présents sur les vêtements. Par conséquent, si vous êtes malade et que vous lavez ensuite vos habits à une basse température, vous risquez de rattraper la même maladie ou de contaminer votre entourage », explique un généraliste à Sudpresse.

    60 degrés au minimum !

    L’Université d’Aston au Royaume-Uni a pour sa part mené une enquête mettant en garde contre le mode « Eco » : « Il faut que la température atteigne au moins 60 ºC pour tuer les germes responsables de maladies potentiellement mortelles »… Sudpresse tempère toutefois en indiquant qu’un lavage à 40 degrés avec un produit à base d’eau de Javel. Pour les personnes malades, âgées, les femmes enceintes, voire les nourrissons, il est donc préférable d’éviter le lavage à 30 degrés…

  • Comment réduire sa facture de mazout ?

    Vous vous chauffez au mazout et votre citerne se vide rapidement avec cette vague de froid ? Alors pour économiser de précieux euros, voici quelques conseils à prendre en considération avant de passer votre prochaine commande !

    De nombreuses solutions existent pour économiser de l’énergie, et donc de l’argent, au moment de chauffer son habitation. On pensera, par exemple, à installer un thermostat d’ambiance intelligent mais aussi à faire entretenir (voir remplacer si elle est très ancienne) sa chaudière ou encore à régler la température de manière optimale dans son habitation. Mais ce n’est pas tout : les propriétaires d’une chaudière au mazout disposent aussi d’autres leviers qui permettent de réduire légèrement leurs factures de chauffage.

    Vérifiez le cours !

    Contrairement au gaz de ville ou à l’électricité, on peut choisir le moment idéal pour passer sa commande de mazout. Ce qui peut déjà permettre d’économiser quelques précieux euros. Depuis peu, le système de calcul du prix maximal du mazout a en effet été modifié en Belgique. Il n’est plus adapté sur base d’une moyenne de sept jours, mais quotidiennement. On peut donc, en attendant trois ou quatre jours (tout en veillant à ne pas descendre trop bas dans le fond de sa citerne), bénéficier d’un prix plus intéressant en suivant l’évolution du prix maximal sur internet.

    Faites jouer la concurrence !

    Changer de fournisseur d’énergie quand on a signé un contrat de distribution de gaz ou d’électricité peut être décourageant. Mais avec le mazout, il suffit de passer quelques coups de téléphone pour comparer les prix des fournisseurs de sa région. Une « corvée » bien vite oubliée une fois les euros potentiellement économisés en quelques minutes !

    N’oubliez pas la réduction pour plus de 2.000 litres

    Enfin, n’oubliez pas qu’une réduction de prix est prévue pour les clients qui commandent plus de 2.000 l de mazout en une fois. Cela peut être intéressant d’en profiter, si en outre le prix du mazout est déjà bas à cette période. Notez que si vous ne souhaitez pas dépenser autant d’argent en une livraison, pensez à éventuellement vous arranger avec un voisin. La réduction peut aussi être valable, avec l’accord du livreur, si le camion peut effectuer deux livraisons de 1.000l en un seul déplacement. C’est toujours cela d’économisé !

  • 5 alternatives au forage dans le mur

    Vous n’avez pas envie de faire des trous dans les murs de l’appartement que vous louez ? Sachez qu’il y a heureusement de nombreuses alternatives au forage. Vos murs ne doivent pas forcément ressembler à un gruyère !

    1. Ruban adhésif ou velcro

    Une alternative évidente. Le ruban double face peut offrir une alternative au perçage pour les objets légers. Ce n’est donc pas adapté aux objets plus lourds ! De plus, sachez aussi que ce ruban peut endommager votre peinture, voire plus. Réfléchissez bien à ce que vous comptez en faire.

    2. Crochets adhésifs

    Très efficace pour pendre un essuie, les crochets peuvent présenter les mêmes problèmes que le ruban adhésif. Il laisse des résidus lors du décapage et peut endommager votre peinture/papier peint.

    3. Cadre autoportant

    C’est parfait pour des posters, mais n’allez pas y pendre quoique ce soit de lourd où cela vous tombera de suite sur les pieds !

    4. Systèmes magnétiques

    Un système magnétique fonctionne très bien, sauf qu’en pratique, il n’y a pas beaucoup de murs sur lesquels il est possible d’appliquer ce système. Souvent, il s’avère que votre tableau est trop lourd pour utiliser un tel système.

    5. Crochet existant

    Un crochet existant où vous y fixez une corde est une alternative. Cette méthode fonctionne avec des articles plus légers, mais une fois de plus, évitez ce qui est trop lourd…

    Astuce

    Attache flexible

    Ce système permet de ne forer qu’une seule fois, mais ce trou unique permet une grande flexibilité en permettant de déplacer le cadre où bon vous semble, via un système de rails ou autre.

     

     

  • Radiateurs à inertie : le chauffage électrique idéal ?

    Après vous avoir dressé la liste des avantages et des inconvénients des radiateurs à accumulation, attaquons maintenant ceux à inertie. Souvent confondus, ces derniers sont pourtant fort différents et profitent d’une nouvelle technologie.

    Cdiscount

    Le principe est globalement similaire : ces radiateurs accumulent l’énergie produite par une résistance électrique et la redistribue par la suite. Ces radiateurs à inertie sont divisés en deux catégories : à inertie fluide ou à inertie sèche

    Inertie fluide

    Comme son nom l’indique, le radiateur à inertie fluide contient un liquide qui va se charger de diffuser le rayonnement. Ce liquide est généralement une huile (minérale ou végétale) étudiée pour ne pas surchauffer. Dans certains cas, ce type de chauffage peut être sujet à des fuites.

    Inertie sèche

    Dans le cas des radiateurs à inertie sèche, ce sont généralement des pierres d’un type bien spécifique (volcanique, stéatite, ollaire…) qui font office d’accumulateur. Le radiateur en lui-même est conçu pour diffuser la chaleur de la manière la plus douce et homogène possible.

    La différence avec un radiateur à accumulation ?

    Si le principe de fonctionnement entre ces deux radiateurs est fort similaire, il ne faut toutefois pas les confondre tous les deux. En effet, le radiateur à inertie est d’une technologie bien plus récente, lui permettant d’afficher un rapport performances/encombrement/poids bien plus avantageux. De plus, son fonctionnement permet un réglage précis de la température dans une pièce.

    Faites le bon calcul !

    Dans tous les cas, avant de passer à l’acte, calculez bien la puissance dont vous avez besoin, sachant qu’un radiateur d’une puissance de 1000 Watts peut chauffer une pièce bien isolée d’environ 15 m². Les prix sont compris entre 200 et 1000 €. Face à un chauffage électrique traditionnel, ils permettent de diviser la facture de 20 à 50 %!

  • Panneaux solaires : Combien coûte une installation ?

    Le bal des certificats verts et autres primes à gogo est désormais révolu ! Pire : des taxes sur l’utilisation du réseau pointent déjà le bout de leur nez ! Mais bonne nouvelle, une installation est aujourd’hui nettement moins chère…

    En Flandre, une taxe de 300 euros est imposée à tous les propriétaires de maisons dotées de panneaux photovoltaïques. Celle-ci compense l’utilisation du réseau lorsque vous y réinjectez de l’électricité, en cas de pic de production. A Bruxelles, la méthode diffère, mais la volonté est identique : le compteur intelligent, devenu obligatoire, permettra de « racheter » l’électricité produite à un tarif inférieur. En Wallonie, on en sait désormais plus, une taxe de 400 euros sera imposée à tous les détenteurs d’une installation postérieure au 1er juillet 2019.

    De combien de panneaux avez-vous besoin ?

    Pour cela, il faut faire quelques calculs. D’abord et avant tout, il faut connaître la consommation de son ménage. Ensuite, sachez qu’un panneau solaire produit en moyenne 270 Watt-crête (Wp). Il faut multiplier cette valeur par un coefficient de 0,88. Ensuite, il faudra diviser la consommation par le produit de la puissance d’un panneau et du coefficient. Exemple : une famille de 4 personnes consomme en moyenne 3.900 kWh par an. Le calcul donne donc : 3.900/(270 x 0,88), soit un peu plus de 16. Il vous faudra donc au moins 16 panneaux photovoltaïques.

    Quel prix ?

    Pour une installation de 16 panneaux, comptez environ 8.000 euros, tout compris. Une personne vivant seule peut se contenter de 8 panneaux, soit moins de 5.000 euros. Pour un ménage de deux personnes, soit une dizaine de panneaux, le prix sera inférieur à 6.000 €. Ceci est une moyenne, bien entendu, et tout dépend de votre consommation d’électricité ! Un ménage vivant dans une vaste maison mal isolée se chauffant à l’électricité consommera infiniment plus et devra sans doute, pour être autonome, requérir à… une trentaine de panneaux ! Le prix d’une telle installation dépasse largement les 15.000 €.

    L’amortissement d’une telle installation ne se fait donc pas du jour au lendemain, surtout si les taxes s’en mêlent. Les panneaux photovoltaïques ne s’adressent donc pas à tout le monde. Mais dans la majorité des cas, taxes comprises, une telle installation est amortie après 10 ans.

  • Comment intégrer au mieux les jeux d’extérieur pour enfants ?

    D’accord, en ce moment il fait peut-être un peu froid, mais bientôt les enfants voudront retourner dans le jardin. Vous n’êtes pas un fan des toboggans et autres maisonnettes colorées ? Voici comment vous y prendre, sans que les enfants n’en pâtissent…

    Un jardin propre ne signifie pas nécessairement que vous devez bannir tous les jeux. Après tout, vos enfants doivent pouvoir eux aussi, s’y amuser, sinon vous n’aurez jamais la paix ! Notez également que ces jeux sont temporaires. Une fois qu’ils atteignent un certain âge, les enfants ne sont plus intéressés par les toboggans et autres trampolines et vous devriez pouvoir les enlever facilement, sans affecter votre jardin.

    Garantir une parfaite intégration des appareils

    Si vous intégrez bien les jouets dans votre jardin, vous ne les verrez pas du tout comme dérangeants. Un trampoline que vous avez soigneusement caché derrière les plantes ou un bac à sable qui s’intègre à votre terrasse et qui peut être fermé, ne sont que quelques exemples. L’astuce consiste à cacher les jeux pour qu’ils ne dominent pas votre jardin et ne se remarquent pas. Si vous utilisez des matériaux naturels pour vos jouets, ils seront de toute façon moins visibles.

    Quelques conseils concrets

    Voici quelques conseils pratiques pour vous aider :

    • Intégrer le bac à sable dans un meuble sur votre terrasse
    • Cachez votre trampoline derrière une haie ou d’autres plantes hautes
    • Une maisonnette pour enfants n’a pas besoin d’être colorée, vous en trouverez facilement de couleur sombre pour une intégration optimale !
    • Un arbre peut parfaitement servir de support pour une cabane…
    • … Ou à une balançoire !

     

  • Travaux de peinture ? Ne nettoyez pas votre rouleau !

    Laver son rouleau entre deux couches de latex prend du temps et fait surtout gaspiller de la peinture. Mais savez-vous que cette étape n’est pas nécessaire ?

    Nettoyer correctement son rouleau entre deux couches de latex est une corvée assez fastidieuse. Sans compter que durant ce nettoyage intermédiaire, on gaspille pas mal de sa « chère » peinture.

    Enroulez… le rouleau !

    Pour éviter que le rouleau ne sèche entre deux couches de latex, il suffit toutefois de l’enrouler dans un morceau de papier aluminium ou dans un film fraicheur. Attention : il faut veiller à ce que le rouleau soit parfaitement recouvert. Ne coupez donc pas l’aluminium ou le film fraicheur trop court ! Mais en l’emballant bien, vous pourrez alors conserver votre rouleau imbibé de peinture sans problème durant plusieurs heures. Au moins durant le temps que la première couche soit bien sèche.

    Double sécurité

    Pour être certain que le rouleau ne sèche pas d’un jour à l’autre si l’on envisage de passer la seconde couche après une bonne nuit de repos, on peut encore l’emballer en plus dans un sac plastique. Sac que l’on refermera le plus fermement possible avec un élastique. Le but est, bien sûr, d’éviter que l’air ambiant ne vienne faire durcir la peinture restée sur le rouleau pendant la nuit. Avec cette astuce, vous pourrez sans problème conserver votre rouleau prêt à l’emploi pour la seconde couche.

    Pas pour toutes les peintures

    Mais attention, si cette astuce fonctionne parfaitement avec du latex, elle ne convient pas à tous les types de peinture. Des peintures de type époxy, par exemple, durcissent irrémédiablement en quelques heures. Autant le savoir…

  • Comment prévenir le vol par ruse?

    Les personnes âgées sont des proies faciles pour les voleurs qui opèrent souvent par ruse. Il n’existe pas vraiment de définition légale.

    On pourrait cependant dire qu’il s’agit de l’agissement d’une personne qui usurpe l’identité professionnelle ou utilise de faux documents pour obtenir, ou essayer d’obtenir, l’accès à une habitation pour y commettre un vol ou de soustraire une somme d’argent disproportionnée par rapport à la valeur réelle d’un bien ou d’un service.

    Mais comment les voleurs procèdent-ils : « Même si cela semble tout droit sorti d’un film policier, un exemple très fréquent est qu’une personne se fait passer pour un employé de la SWDE ou d’une compagnie de fourniture d’électricité. Il pénètre chez vous vous sous prétexte de relever un compteur. Quelques minutes plus tard arrivent d’autres personnes se faisant passer pour des policiers venus arrêter le faux employé. Les faux policiers demandent alors où la personne garde son argent et ses objets de valeur pour vérifier que rien n’a été emporté. Celle-ci, en confiance, montre et constate le vol quand la bande a quitté le logement » explique Nicolas, policier.  Du démarchage à domicile est également une technique employée. Des personnes proposent de démousser votre toiture. Elles travaillent 2 ou 3 heures en promettant de repasser dans la semaine étendre un produit. Elles vous soutirent plusieurs milliers d’euros que vous payez en toute confiance.

    Qui sont les auteurs et les victimes ?

    La grande majorité des victimes sont des personnes de plus de 70 ans, vivant seules ou en couple et habitant des quartiers résidentiels ou semi-résidentiels. Les auteurs agissent en général en semaine et en journée (entre 9h et 17h et souvent entre 10h et 13h). Les auteurs sont souvent 2 ou 3, parlent bien français, présentent bien et sont très calmes. Ils ont l’art de mettre les personnes en confiance qui ne vont pas se méfier le moins du monde.

    Quelques précautions

    Les zones de police ont édité des brochures qui donnent de précieux conseils aux habitants. « Le premier conseil que je peux donner est de toujours identifier la personne qui se présente chez vous. Si vous savez les garder en dehors de votre logement, c’est une bonne chose. Si le visiteur se présente comme représentant d’une société, demandez-lui sa carte et examinez-la minutieusement. Un uniforme n’est pas une preuve.  Si toutefois, vous décidez de faire entrer la personne, refermez la porte à clé pour ne pas laisser entrer d’éventuels complices. Ne faites pas croire non plus que vous êtes seul chez vous. En cas de doute, n’ouvrez pas. S’il s’agit effectivement d’un employé qui relève les compteurs, il laissera une trace de son passage et vous préviendra du jour où il repassera ».

    Il faut aussi éviter de garder d’importantes sommes d’argent chez vous et de dévoiler où sont vos objets de valeur. N’inscrivez pas non plus vos codes de cartes bancaires à des endroits visibles. En cas de doute, vous pouvez toujours former le numéro d’urgence ou appeler le bureau de police de votre entité. « En cas de vol, appelez immédiatement la police et ne touchez à rien. Il est possible que les malfaiteurs aient laissé des traces qui permettront peut-être de les identifier. N’opposez pas de résistance pour éviter de prendre un mauvais coup ».

  • Comment percer des trous sans salir son intérieur ?

    Pour accrocher un cadre, un tableau, un lustre ou un autre objet de décoration, il est nécessaire de percer des trous dans ses murs ou ses plafonds. Mais comment s’y prendre pour éviter de salir son intérieur ?

    Utiliser une perceuse à percussion dans son intérieur peut produire beaucoup de poussières. Mais quelques petites astuces permettent de les limiter drastiquement.

    Aspirateur

    La première astuce la plus évidente est d’utiliser un aspirateur. Tenir l’embout de l’aspirateur juste en-dessous du trou pendant l’opération permet d’aspirer la très grande majorité de la poussière produite directement. Et donc d’éviter de salir le mur jusqu’à la plinthe. Evidemment, cela impose d’être au moins deux.

    Feuille de papier

    Si l’on est seul, on peut néanmoins utiliser la technique de la feuille de papier. Il suffit de fixer sur le mur, juste en-dessous du trou à réaliser, une feuille de papier avec un peu de ruban de masquage (voire un post-it) et de plier cette feuille en « V ». On peut aussi utiliser une enveloppe entrebâillée. La feuille pliée permettra de récupérer les poussières produites en perçant le trou. Il ne restera plus qu’à la décoller délicatement et la jeter à la poubelle.

    Gobelet en plastique

    Evidemment cette astuce ne fonctionne pas si l’on doit réaliser un trou au plafond. Mais pas de problème, il existe un autre truc pour limiter la production de poussière dans ces situations. Il suffit d’enfoncer le fond d’un gobelet en plastique découpé (ou une balle de tennis coupée en deux) sur sa mèche avant de percer. Ce réceptacle de fortune récupérera alors la grande majorité de la poussière produite.

  • 5 erreurs archi classiques à éviter dans votre salle de bain

    Avec la cuisine, la salle de bain est devenue la pièce la plus soignée de l’habitation ! Aujourd’hui, il n’est pas rare de voir des maisons comptant 1,5 chambre par salle de bain, alors qu’il y a à peine 20 ans, des maisons comptant deux salles d’eau étaient assez rares sur le marché !

    Gagnant de plus en plus d’importance avec les années, la salle de bain se doit donc d’être habillée sans faute de goût, tout comme votre salon… Il n’est pas seulement question d’esthétique : une salle d’eau aménagée avec soin sera également plus pratique à l’usage comme à l’entretien.

    1. La position du WC

    Erreur classique : planter la toilette juste en face de la douche ou de la porte de la salle de bain. Dans le premier cas, le glamour et la… concentration risquent d’être compromis si deux personnes sont présentes et dans le deuxième cas, l’intimité réclame de toujours fermer la porte. Le bon plan, c’est de mettre la cuvette dans un coin de la pièce.

    2. Le sens d’ouverture de la porte

    La salle de bain est rarement la pièce la plus grande de la maison. Ne serait-ce que pour des raisons d’économie : une petite pièce étant plus vite chaude qu’une grande… Raison de plus pour optimiser au maximum l’espace disponible. Et cela commence par la… porte ! Une porte s’ouvrant vers l’intérieur de la salle de bain entraine des contraintes et vous empêche d’y disposer autant de rangements que vous ne le souhaiteriez. Bien sûr, ce n’est pas toujours possible de faire autrement, mais si votre salle d’eau est petite et que vous comptez la refaire, évitez d’avoir une porte s’ouvrant contre un mur intérieur. Cela limiterait le mobilier.

    3. Une ventilation costaude

    Qu’une salle d’eau soit humide, cela relève évidemment d’une logique implacable. Mais pour éviter une détérioration accélérée, il est très facile d’y remédier : une aération poussée est souvent la clé. Si la pièce ne comporte aucune fenêtre, il n’est pas inutile d’opter en plus du système d’aération, pour un déshumidificateur, éventuellement électrique. Vous pouvez alors programmer le pourcentage d’humidité dans l’air que vous désirez et l’eau présente dans l’atmosphère sera alors récupérée dans un bac.

    4. L’éclairage !!!

    L’ambiance d’une pièce peut facilement être plombée ou magnifiée par un éclairage de qualité. Evitez autant les néons surpuissants, les LED aveuglants, que les loupiotes souffreteuses ou les « petites lumières tamisées » qui n’éclairent en fait, rien du tout. Pour vous préparer idéalement, le mieux est encore d’avoir un éclairage aussi naturel que possible, idéalement via une fenêtre donnant sur l’extérieur. Sinon, les spots classiques dans le plafond et les miroirs éclairant (mais pas trop), sont de bonnes solutions.

    5. Pour que la douche reste un moment agréable

    En matière de douche, il faut que la paroi fasse son effet. Comprenez que si elle est trop petite, vous serez contraint et forcé de mesurer vos gestes sous la douche, sous peine de voir votre panache inonder votre salle de bain ! Quant aux cabines de douche, petit conseil en passant : sachez que leur entretien peut être fastidieux et qu’il vaut mieux ne pas opter pour du matériel bas de gamme. Enfin, dernier détail non négligeable : même si votre salle de bain est petite, évitez les espaces trop étriqués. Tablez sur un minimum de 90×90 pour un moment agréable… Selon corpulence, cela va sans dire…