Auteur : francois

  • Jardinage : 5 conseils pour que votre jardin retrouve sa superbe au printemps !

    Le printemps est déjà entamé, c’est donc le moment idéal pour mettre de l’ordre dans le jardin. La bêche, la pelle et la tondeuse à gazon sont donc de sortie !

    Avec ces conseils, vous pouvez transformer votre jardin en un merveilleux endroit pour les mois d’été. On y va ?

    Restauration de la pelouse

    Votre pelouse a été fortement agressée, surtout pendant les mois d’hiver. Heureusement, le printemps est la saison idéale pour lui redonner vie. En guise de préparation, tondez d’abord le gazon. Enlevez ensuite les mauvaises herbes et la mousse, et passez avec un scarificateur. La dernière étape consiste à remplir les trous et les inégalités avec de la terre de rempotage.

    Escargots pressés de se reproduire

    Les escargots pondent leurs œufs en avril. Vous pouvez les faire disparaître de votre jardin pour éviter qu’ils n’infestent votre jardin par la suite. Mettez du marc de café autour des plantes dans le jardin. De cette façon, les escargots n’iront pas pondre dans vos plantes.

    Nettoyage de la terrasse

    Vous souhaitez profiter pleinement de votre terrasse en été ? Au printemps, prenez le temps de la nettoyer en profondeur. Diluer du vinaigre dans un peu d’eau et vaporisez le dépôt. Laissez-le s’imbiber pendant un certain temps, puis frottez la saleté. En un rien de temps, votre terrasse est retrouve ses couleurs !

    Boutures de plantes

    Avez-vous des plantes vivaces dans votre jardin depuis plusieurs années ? Il est alors conseillé de les sortir du sol une fois tous les trois ans et de les couper. Les jeunes pouces que vous avez coupées peuvent ensuite être replantées. Vous pourrez ainsi profiter plus longtemps de vos plantes !

    Préparation du potager

    Vous avez la main verte et souhaitez créer un potager ? Dans ce cas, il est préférable de le préparer au printemps. Vous pouvez commencer à semer à partir de mars et avril. N’oubliez pas que le potager a besoin d’un entretien hebdomadaire. Vous devriez enlever les mauvaises herbes chaque semaine et arroser les plantes.

  • Mobilier de jardin : quelles erreurs éviter et quel budget prévoir ?

    Avec le retour des beaux jours, la terrasse se voit forcément au centre de toutes les attentions. Mais comment bien choisir son mobilier de jardin ? Quelles sont les tendances du moment et quelles sont les erreurs à éviter ?

    Nous avons demandé à Anne-Laure Gauthier, spécialiste du mobilier de jardin chez Leroy-Gauthier à Noville (près de Bastogne) de nous en dire un peu plus sur le sujet. Et manifestement, la tendance du moment, c’est le mobilier fonctionnel, pratique à l’usage.

    Le teck

    « Dans un passé récent, on vendait pas mal de mobilier en teck. C’est beaucoup moins le cas, même s’il y a toujours des adeptes. Le teck nécessite d’être huilé une à deux fois par an, et ça les gens sont devenus réfractaires. Ils veulent un mobilier qui nécessite peu ou pas d’entretien, qui puisse rester tout l’hiver dehors. Qu’il suffit de donner un coup de chiffon pour lui redonner tout son éclat et son côté fonctionnel. Donc, le plastique, l’aluminium, l’inox, fonctionnent très bien. Ce dernier est très résistant aux frimas de l’hiver et plus solide que l’aluminium… mais c’est un autre budget. »

    Les meubles sophistiqués

    En termes de design, les goûts évoluent également. Le prix est évidemment un facteur décisif. « En général, les meubles en résine tressée, bien que de haute qualité et très design, remportent moins de succès qu’avant. Par contre, les tables toutes simples, rectangulaires, fonctionnent très bien, car elles sont faciles à ranger, notamment. »

    Ne négligez pas le budget !

    Pour un ensemble table-chaises de jardin de qualité mais simple, on peut en trouver à partir de 500 ou 600€. Au niveau des salons de jardin, le coût peut varier de 1.000 à 5.000 ou 6.000€, selon le design, les matériaux.

  • Laver son lave-vaisselle en 5 étapes

    Les lave-vaisselles font tellement partie de notre quotidien qu’on en oublie presque leur présence… Jusqu’au jour où ils laissent des dépôts et autres saletés sur nos verres et assiettes. Mais comment s’en prémunir ?

    Les lave-vaisselles peuvent, avec le temps, laisser apparaître des dépôts blanchâtres ou graisseux, des traces d’aliments ainsi que des odeurs plutôt désagréables. Quelques actions simples peuvent toutefois limiter ces inconvénients.

    1. Ceci n’est pas une poubelle !

    La première étape pour conserver un lave-vaisselle propre consiste à ne pas le considérer comme une poubelle ménagère ! Pensez à retirer tous les résidus des assiettes et des casseroles. Si besoin, rincez-les avant de les mettre dans le lave-vaisselle. Bien sûr, les dépôts graisseux qui se trouvent dans le fond des casseroles et autres poêles ne sont pas non plus les bienvenus dans le lave-vaisselle !

    2. Cycle de nettoyage régulier

    Pensez à effectuer régulièrement un cycle de nettoyage à vide de votre lave-vaisselle avec un produit adapté. En tous les cas, au moins deux fois par an. Cela permet d’éliminer les dépôts graisseux qui s’accumulent avec le temps. Si vous préférez, il est possible d’utiliser des produits naturels plutôt que des nettoyants vendus dans le commerce. Mettez par exemple du bicarbonate de soude dans le réceptacle destiné à recevoir la poudre de lavage. Vous pouvez aussi verser du vinaigre blanc dans le fond de la cuve et/ou presser un demi-citron.

    3. Nettoyez les bras

    Occasionnellement, retirez toutes les parties amovibles de votre lave-vaisselle et lavez-les. Vérifiez également qu’aucun résidu de nourriture n’est coincé dans les bras de lavage quand vous les nettoyez. Ils risqueraient d’obstruer les petits trous qui permettent de projeter l’eau. Et donc de réduire l’efficacité du lavage.

    4. Nettoyez le filtre

    Pensez également à retirer le filtre qui se trouve, généralement, dans le fond de la cuve. Récurez-le à l’aide d’une petite brosse aux poils durs, voire d’une vieille brosse à dents, en utilisant de l’eau chaude. Idéalement, le filtre doit être lavé tous les mois.

    5. Pensez aux joints

    Enfin, pensez à passer une éponge ou un linge humide, voire légèrement imbibé de vinaigre blanc, le long des joints de la porte. Des moisissures peuvent s’y développer avec le temps, laissant apparaître de mauvaises odeurs.

  • 5 dégâts des eaux qu’on ne voudrait pas avoir chez soi

    À la première place des sinistres dans les maisons en Belgique : les dégâts des eaux. On en recense plus de 120 000 par an, selon Assuralia ! Plus étonnant encore : 30% des Belges ont une fuite d’eau et ne le savent pas. Or une simple fuite peut être à l’origine de dégâts très importants. À l’image des 5 cas que l’on va vous présenter en image et que, franchement, on ne voudrait pas avoir chez soi…

    Une douche plus vraiment étanche ?

     

    Oui, les dégâts des eaux peuvent aller jusque-là ! Manifestement, les joints d’étanchéité de cette douche ne remplissaient plus leur fonction. S’ils deviennent poreux, l’eau peut s’infiltrer petit à petit dans le sol, jusqu’à pourrir le plancher sur lequel repose le sol. Vue l’étendue des dégâts, l’origine pourrait aussi être une fissure dans une canalisation. Au moindre signe, un carrelage qui se fissure, une tache d’humidité, un revêtement de sol qui gondole, adoptez une de ces astuces pour détecter les fuites d’eau à temps.

    Des fuites dans les murs ?

    Le papier peint qui pourrit, les tâches d’humidité qui se multiplient, autant d’indices d’une infiltration d’eau. Pour éviter d’en arriver là, on vous livre 8 tuyaux pour dire stop aux dégâts des eaux dans la maison.

    L’annonce d’une fuite à l’horizon…

    L’eau qui coule de vos robinets arbore une horrible couleur brunâtre ? Vous êtes proche d’une catastrophe ! Pas de doute, vous avez de la rouille dans vos canalisations. Un signe annonciateur d’une fuite. La fuite est peut-être même déjà là sans que vous ne vous en soyez aperçu. Il est donc temps de surveiller votre compteur et de contrôler votre consommation d’eau.

    Un boiler mal en point

    Les boilers ne sont pas à l’abri d’une fuite. Le ballon d’eau peut se percer, le joint d’étanchéité se déplacer, les raccords ne plus être étanches, la soupape de sécurité rencontrer un problème. Un amas de calcaire peut aussi être à l’origine d’une fuite. Faites entretenir votre appareil régulièrement.

    Un électroménager qui se répand…

    Votre lave-vaisselle ou votre lave-linge ne sont pas munis d’un système Aquastop, qui détecte une fuite sur le tuyau d’alimentation et coupe l’arrivée d’eau en cas de problème ? Vous n’êtes pas à l’abri d’une inondation si les tuyaux lâchent. Solution ? La technologie intelligente UP, par exemple, grâce à un capteur placé sur votre compteur d’eau, détecte une consommation anormale et le système vous avertit par e-mail et SMS de l’existence d’une fuite pour pouvoir agir le plus rapidement possible.

    Vous suspectez une fuite chez vous ? Voici les bons réflexes à adopter en cas de fuite.

     

  • Comment arroser efficacement ses jardinières ?

    Avec le printemps vient doucement le temps de préparer ses jardinières et autres pots pour garnir terrasses et balcons. Ainsi que les premiers arrosages pour en assurer un bon (re)démarrage. Mais savez-vous comment « bien arroser » des jardinières ?

    Les plantes qui se trouvent dans des pots ou des jardinières nécessitent une attention particulière. Elles doivent, en effet, être arrosées plus souvent que des plantes évoluant en pleine terre. C’est surtout le cas quand le soleil commence à briller généreusement dans le ciel : les pots chauffent et accélèrent l’évaporation de l’eau contenue dans la terre.

    Quand arroser ?

    Attention tout de même à ne pas noyer vos plantes ! Pour savoir si une plante a soif, il suffit d’abord de l’observer. Généralement, elle aura alors tendance à laisser pendre ses feuilles. Pour être certain, vous pouvez également enfoncer votre doigt de quelques centimètres dans la terre : si la terre est humide et un peu collante, inutile d’arroser ! En revanche, si la terre est sèche, il est temps de donner à boire à vos plantes.

    Comment arroser ?

    La technique la plus courante pour arroser les plantes dans les jardinières ou les pots est celle dite « du dessus ». C’est la méthode classique qui consiste à verser de l’eau avec un arrosoir sur le dessus- de la terre par opposition avec la méthode dite « du bassinage ». Cette dernière consiste à tremper les pots/jardinières dans un grand bac d’eau pour que la terre s’humidifie par le dessous via les trous de drainage. Une technique plus contraignante à l’usage à réserver plutôt à certains types de plantes plus fragiles.

    Si possible le soir

    Arrosez préférablement le soir, quand la température diminue. Cela permet à la plante d’absorber plus efficacement l’eau avant qu’elle ne s’évapore. Dans tous les cas, évitez de mouiller les feuilles. Les gouttes d’eau peuvent soit brûler les feuilles si le soleil brille encore, soit favoriser le développement de maladies le soir ou durant la nuit. Sur de la terre très sèche, arrosez en deux fois : d’abord une première fois légèrement pour humidifier la terre. Ensuite, repassez un peu plus tard plus généreusement. Enfin, pensez à arroser de manière régulière autour de la plante, et pas seulement d’un seul côté. Sans quoi, vous favoriseriez un développement inégal des racines qui pourrait nuire à la croissance de la plante.

  • Voici la meilleure façon de nettoyer votre façade !

    Vous voulez donner une nouvelle jeunesse à votre maison ? Nettoyer la façade suffit souvent à donner l’impression d’avoir une nouvelle maison. Voici comment la débarrasser de toutes ces saletés accumulées !

    Pour commencer

    Vous désirez le faire vous-même ? C’est évidemment possible, mais c’est un boulot assez désagréable. De plus, vous devrez probablement travailler en hauteur, ce qui comporte des risques. Si vous employez des produits chimiques, sachez qu’ils peuvent être nocifs. Il est souvent plus sage de faire appel à une entreprise professionnelle. De toutes manières, pour toutes les saletés qui ne sont pas superficielles, il faudra employer un nettoyeur haute pression.

    Comment traiter ?

    D’abord et avant tout, analysez comment votre façade est polluée. S’il s’agit d’algues et/ou de mousse, un nettoyage à la vapeur peut suffire. Les dépôts noirs peuvent être traités avec des agents chimiques. Si vous avez des zones grises, le sablage peut être la solution.

    Voyez quel produit convient à votre façade. Toutes les surfaces ne sont pas adaptées à tous les produits. Le béton et la brique peuvent en tolérer un certain nombre, contrairement au stuc et à la brique silico-calcaire.

    Lorsque vous commencerez à nettoyer, essayez d’abord une petite pièce. Si vous utilisez un nettoyeur haute pression, essayez d’abord avec peu de pression et augmentez-la si nécessaire.

    Les différentes façons de nettoyer en un mot

    Nettoyage à sec

    Il existe de nombreux produits sur le marché. Définissez le problème auquel vous êtes confronté et demandez au magasin la bonne solution. Une eau savonneuse peut également être utilisée pour les algues et les mousses moins persistantes.

    Frottez votre façade à l’aide du produit et d’une brosse et rincez la façade avec un tuyau d’arrosage.

    Nettoyage à haute pression

    Les saletés superficielles peuvent être parfaitement éliminées avec un nettoyeur haute pression. Assurez-vous de ne pas endommager vos châssis et les montants de porte. Évitez également d’exercer une pression directement sur les joints.

    Nettoyage à la vapeur

    Chauffez l’eau du nettoyeur haute pression à 140°C. La combinaison de la chaleur et de la pression permet à la saleté de se détacher. Cette méthode est recommandée pour le calcaire et le stuc, principalement sur les vieux bâtiments.

    Sablage

    Cette méthode agressive est la dernière option. Des grains de sable sont projetés avec une grande force contre la façade et rongent la saleté. Malheureusement, cela enlève généralement aussi des morceaux de pierre et des joints. Vous devrez probablement reconstruire votre façade par la suite.

     

     

  • Comment réparer les « zones nues » de son gazon ?

    Les premiers jours du printemps sont idéaux pour regarnir les zones « nues » de son gazon afin de jouir d’un beau tapis vert durant l’été. Mais comment procéder ?

    Pour différentes raisons (mauvaise exposition, gel intensif durant l’hiver, passage récurrent…), certaines zones de la pelouse peuvent se dégarnir au fil du temps. Le printemps et l’automne sont des périodes idéales pour y remédier. En plus de soigner l’aspect esthétique de votre pelouse, cela évitera surtout aux mauvaises herbes d’en profiter pour se développer dans ces zones. Mais comment faire ?

    Tondez et arrachez

    Commencez par tondre l’entièreté de votre pelouse. Arrachez ensuite les mauvaises herbes dans les zones à traiter. Sauf si vous avez scarifié votre pelouse juste avant, il est aussi utile de passer un coup de râteau pour arracher les mousses et retrier le feutrage superficiel de la pelouse restante.

    Égalisez

    Après avoir passé le râteau, profitez-en pour combler les éventuels trous ou déformations dans le terrain en ajoutant de la terre ou du terreau. Pensez également à amender le sol grâce à des sacs spécifiques vendus en jardinerie. Cela aidera la nouvelle pelouse à redémarrer plus rapidement.

    Semez et ratissez

    Semez ensuite les graines de pelouse. Veillez à conserver la même variété que celle utilisée pour le reste de votre pelouse. Et utilisez de préférence des graines spéciales destinées à la réparation de gazon, elles germent plus rapidement. Une fois les graines semées, passez ensuite un léger coup de râteau et damez le sol.

    Arrosez

    Il ne reste plus qu’à attendre que la pelouse pousse à nouveau aux endroits réparés. Veillez toutefois à ce que le sol ne devienne pas trop sec. Surtout au début. Pensez alors à arroser régulièrement, mais en « pluie fine » pour éviter de voir les graines être emportées par l’eau. Si possible, évitez de marcher sur les zones réparées durant les premières semaines et attendez que la pelouse atteigne au moins une dizaine de centimètres avant de recommencer à tondre ces zones réparées.

  • Habiller ses murs de liège : quels avantages ?

    Ce n’est peut-être pas le matériau auquel on pense en premier pour habiller ses murs. Pourtant le liège présente de nombreux avantages en application murale. Lesquels ?

    Thurston Reed

    Le liège est un matériau naturel que l’on ne présente plus. Produit à partir de l’écorce du chêne-liège, son application la plus connue reste bien sûr celle des bouchons pour les bouteilles de vin. Mais le liège est aussi apprécié lors de la construction ou de la rénovation comme isolant. Et ce tant dans le domaine thermique qu’acoustique. S’il est tombé un peu en désuétude dans le domaine de la décoration, le liège revient également sur les devants de la scène dans ce domaine ces dernières années. Notamment car le liège existe maintenant dans une grande quantité de finitions différentes rendant son apparence soit traditionnelle et authentique, soit colorée et plus moderne.

    Chaleureux et insonorisant

    Si on peut utiliser le liège comme revêtement de sol, ce matériau naturel peut également habiller les murs. On l’apprécie alors généralement d’abord pour son côté chaleureux. On peut soit l’utiliser pour habiller tous les murs d’une petite pièce (un hall ou une toilette). Mais généralement, le liège apporte surtout une touche moderne quand il habille un seul pan de mur dans une grande pièce. Voire même en plus petite touche (une bande verticale ou horizontale). Il permet alors de capter le regard grâce à sa structure en relief. À l’usage, on appréciera en outre son côté insonorisant qui participe à créer une ambiance plus feutrée en évitant la répercussion des bruits.

    Imperméable

    Ce que l’on ne sait pas toujours, c’est que les panneaux de liège sont résistants à l’humidité. Le liège est en effet naturellement imperméable. Les panneaux de liège, qui sont en outre parfois recouverts de vernis, sont donc également conseillés pour les salles de bain ou la cuisine. On peut d’ailleurs alors profiter de sa souplesse pour l’utiliser comme un « tableau » sur lequel on vient punaiser des petits mots !

    En panneau ou en rouleau

    Traditionnellement, le liège mural se présente sous la forme de dalles à coller. Mais en trouve maintenant aussi sous la forme de rouleaux. On le place alors comme un simple papier peint. Différentes épaisseurs existent, allant de quelques millimètres à plus d’un centimètre. Les prix varient, quant à eux, en fonction du style souhaité d’un peu moins de 15 € le m² à plus de 100 € le m². Comptez en moyenne autour de 45 €/m² pour des dalles au look naturel traditionnel et autour de 55 €/m² pour des dalles colorées plus modernes.

  • Vous en avez marre des déchets verts ? Voici une toute belle solution !

    Tout jardinier le sait, les végétaux cela pousse et cela se taille. En toute saison, des déchets végétaux s’accumulent et il n’est pas toujours simple de les éliminer. Un broyeur de végétaux semble donc tout indiqué pour faire disparaître ces déchets.

    Le broyeur vous évite de devoir vous rendre dans un parc à container avec les déchets verts du jardin. Il peut déchiqueter les branches, les rameaux, les arbustes et tous les déchets végétaux qui s’accumulent dans un jardin au fil de son entretien.

    Recyclage naturel

    Un des autres avantages du broyeur est qu’il permet une utilisation des déchets broyés, soit pour alimenter le compost, soit pour pailler les plantes pour éviter la repousse des mauvaises herbes, de garder l’humidité en cas de fortes chaleurs… La décomposition des déchets broyés nourrissent également le sol en leur apportant des éléments nutritifs. Les déchets broyés doivent cependant être sains : des plantes malades ou des branches entachées ne peuvent se mélanger sous peine de propager les maladies. Tout est donc recyclé au plus grand bénéfice de vos plantations diverses, qu’elles soient ornementales ou potagères.

    Electrique ou thermique ?

    Deux grands types de broyeurs existent sur le marché: les électriques et les thermiques. Ce qui les distingue fondamentalement, c’est leur largeur de coupe. Il ne faut de toutes façons pas imaginer broyer des troncs d’arbres, mais plutôt les petites branches issues de la taille des haies, les branches de rosiers ou les plus petits rameaux que vous coupez par souci esthétique.

  • Comment se constituer sa boîte à outils idéale

    Vous comptez acheter une maison à rénover. Ou vous avez décidé de faire quelques travaux vous-même dans votre habitation. Même si vous n’êtes pas le pro du bricolage, c’est important d’avoir une boîte à outils digne de ce nom, pour être paré à toute éventualité. Quand on répare ou qu’on bricole, mieux vaut avoir le bon outil à portée de main. Vous gagnerez du temps et éviterez bien des frustrations.

    Pour vous aider à constituer la boîte à outils idéale, on a dressé la liste des indispensables. Histoire d’éviter les dépenses et achats inutiles.

    J’imprime la check-list de la boîte à outils idéale

    1. Les outils de base

    Même si vous n’êtes pas bricoleur professionnel, privilégiez toujours des outils de bricolage de qualité. Ils seront plus solides, plus précis, plus sûrs, ne rouilleront pas et vous les garderez de nombreuses années. Qualité rime donc aussi avec durabilité. Que trouve-t-on parmi les basiques d’un kit à outils ?

    • Un marteau d’établi
    • Un petit marteau léger
    • Un marteau à panne fendue pour arracher les clous
    • Des tournevis plats et cruciformes
    • Une scie à bois
    • Une scie à métaux
    • Un mètre enrouleur, un mètre pliant, une équerre
    • Un cutter (Stanley)
    • Une pince crocodile
    • Un niveau à bulle
    • Des ciseaux
    • Une clé à molette
    • Une tenaille
    • Un jeu de clés plates
    • Des clés à douille
    • Un jeu de clés Allen® (de 1 à 10 mm) pour tout visser ou dévisser
    • Un crayon à papier
    • Une perceuse et des mèches
    • Des clous, des chevilles, des vis, des écrous de taille et diamètres divers

    2. Les outils pour l’électricité, la plomberie et la menuiserie

    Les basiques ne suffisent pas si l’on souhaite s’engager dans des travaux de rénovation plus complexes. Ou si le bricolage devient votre passe-temps favori. Les travaux d’électricité ou de plomberie, par exemple, nécessitent des outils spécifiques. Parmi les must-have, on retiendra :

    • Un marteau de charpentier, idéal pour planter les clous sans abîmer le bois
    • Un chasse-clou, pour enfoncer les têtes de clou dans le bois
    • Une pince coupante
    • Un pied à coulisse
    • Une pince à dénuder
    • Un niveau laser
    • Un fer à souder
    • Une disqueuse
    • Un multimètre
    • Un rabot
    • Une lime
    • Un pointeau
    • Une scie circulaire
    • Une scie sauteuse
    • Une perceuse à percussion
    • Un aspirateur d’atelier

    3. N’oubliez pas votre sécurité

    Bricoler sans protection est dangereux. Dans votre coffret à outils, veillez donc toujours à avoir :

    • Des lunettes de protection
    • Une paire de gants
    • Un masque
    • Une salopette avec protection (en cas de contact avec des lames)
    • Des chaussures de sécurité
    • Des protège-bras et protège-jambes (si vous utilisez disqueuse et autre grosses machines à scier)

    Bricolez aussi au maximum sur un établi !

    4. Et pour tout ranger ?

    Investir dans des bacs à tiroirs pour ranger clous, vis et petits outils est très pratique. Sinon, rangez la majorité de vos outils dans une caisse à outils prévues à cet effet. Il en existe de plusieurs tailles. Au moment de choisir, réfléchissez à l’évolution de votre outillage. Vous pouvez aussi consacrer une boîte de rangement par types d’outils : outils à bois, outils de base, outils pour l’électricité, etc. En métal, elles sont plus durables. A roulettes, très pratiques.

    Téléchargez ici notre fiche complète des outils pour se constituer la boîte !

    Et si malgré tout, vous avez des travaux à effectuer qui nécessitent un pro – chauffage, électricité, fuites d’eau ou de gaz – on vous livre nos conseils pour trouver un bon réparateur !