Auteur : francois

  • 5 plantes qui contribuent à diminuer l’humidité dans la maison

    L’humidité dans les maisons est une problématique archi-courante dans nos contrées. Toutefois, si le problème n’est pas trop grave et avant d’investir lourdement, sachez qu’il existe quelques solutions naturelles pour enrayer l’humidité de votre logement !

    cactus
    Mikkel Bech

    Murs froids et moites, apparition de moisissures ou encore odeurs d’humidité sont autant de signaux qui doivent résonner comme un signal d’alarme : votre habitation souffre vraisemblablement de problèmes d’humidité. Une hygrométrie excessive peut rendre votre logement insalubre mais également avoir un impact très nocif pour la santé de ses occupants ! Un taux d’humidité supérieur à 50 % favorise en effet le développement de moisissures et d’acariens, ce qui concourt à stimuler les allergies, l’asthme, les rhinites, les bronchites et les irritations oculaires. Tout un programme !

    Mais savez-vous que certaines plantes permettent de diminuer le taux d’humidité dans l’air, agissant un peu comme un déshumidificateur ? Comment ? Tout simplement en absorbant les particules d’eau présentes dans l’air par leurs feuilles. Voici les plus performantes en la matière !

    Spathiphyllum

    Le spathiphyllum est un véritable aspirateur d’humidité. Facile d’entretien, il a aussi besoin de peu de lumière pour croître. En outre, cette plante a également pour faculté de purifier l’air grâce à des propriétés dépolluantes et détoxifiantes. Elle est idéale pour les pièces peu lumineuses et contribue efficacement à assainir l’environnement intérieur.

    Fougère de Boston

    Autre incontournable en la matière : la fougère de Boston. Fan des conditions climatiques humides où elle prospère en abondance, cette fougère absorbe elle aussi naturellement l’humidité. À l’intérieur, elle sera heureuse avec un substrat humide et peu de lumière directe. Elle sera parfaitement à son aise dans la salle de bain ou la buanderie ! Cette plante est également connue pour ses propriétés dépolluantes, aidant à éliminer les toxines de l’air.

    Palmier

    Les palmiers vous aideront eux aussi dans votre lutte contre une atmosphère humide. Qu’il s’agisse d’un palmier dame, bambou, arec ou encore roseau, l’un comme l’autre se révèlent excellents pour diminuer l’hygrométrie d’une pièce mais aussi pour lutter contre les polluants qui envahissent l’air intérieur. Cerise sur le gâteau, ils sont faciles d’entretien ! En plus de réguler l’humidité, les palmiers ajoutent une touche exotique et élégante à votre décoration intérieure.

    Tillandsia

    Plus particulière, la tillandsia, elle, apprécie beaucoup la lumière. Elle peut donc être placée sur le rebord d’une fenêtre. Particulièrement gourmande en eau, elle nécessite deux à trois arrosages par semaine en été et est à même d’absorber de grandes quantités d’humidité. Les tillandsias, également appelées plantes aériennes, n’ont pas besoin de terre pour pousser, ce qui en fait un choix flexible et décoratif pour divers espaces de votre maison.

    Cactus

    Enfin, habitués aux environnements les plus arides, les cactus ont la faculté de capturer la moindre goutte d’eau qu’ils trouvent. Ils sont donc aussi à même d’absorber une partie de l’humidité présente dans l’atmosphère. Les cactus nécessitent peu d’entretien et peuvent survivre dans des conditions de faible luminosité, ce qui en fait une option pratique pour les personnes ayant peu de temps à consacrer aux soins des plantes.

  • Comment choisir la bonne batterie domestique pour sa maison ?

    Les batteries domestiques permettent de stocker l’énergie produite par vos panneaux solaires pour une utilisation ultérieure. Mais comment choisir le bon modèle et la bonne capacité ?

    battery

    Le premier point est évidemment la capacité. Concrètement, plusieurs formules existent pour déterminer quelle capacité serait idéale pour vous. En ce qui nous concerne, nous optons pour une formule qui est directement dépendante de votre installation solaire, sachant qu’une batterie devrait idéalement avoir une capacité un peu supérieure (ou à tout le moins, égale), à votre production d’énergie solaire. En clair, pour une installation de 4 kWc, optez pour une batterie de minimum 4 kWh, voire idéalement de 6 kWh, le rapport de 1,5 étant idéal.

    En effet, une batterie trop grande vous coûtera beaucoup d’argent inutilement et une batterie trop petite ne pourra digérer votre production d’électricité verte. Avant d’opter pour un modèle, lorgnez également sur le rendement de la batterie (minimum 90%), sur ses dimensions et sa masse (pour une installation plus facile), sur le nombre de cycles de recharge possibles (minimum 7.000, pour une durée de vie supérieure à 15 ans) et sur l’intégration ou non, d’un onduleur dans l’installation ou directement dans la batterie.

    Production variable !

    Notez également que la production solaire est très variable et dépend fortement de l’ensoleillement. Ce printemps, nous n’aurons en effet pas été particulièrement gâtés… En été, vous pouvez atteindre une production optimale, mais en hiver, la production peut chuter drastiquement, au point de rendre votre batterie quasiment inutilisée, votre production d’énergie verte n’arrivant pas toujours à s’aligner sur votre consommation. Et c’est bien entendu l’hiver que les besoins en énergie sont les plus importants !

  • Mythe ou réalité : « les logements neufs sont toujours plus petits »

    Et bien c’est… faux, à une exception près ! Non, la superficie des logements neufs ne suit pas une tendance à la baisse, sauf dans une région…

    building

    Au cours des cinq dernières années, la surface habitable des maisons neuves a connu une augmentation notable en Belgique, selon les dernières données de Matexi et Realo. En Wallonie, cette augmentation est de 7 m², tandis qu’en Flandre, elle atteint 11 m².

    Contrairement à la Wallonie et la Flandre, Bruxelles affiche une diminution de la superficie médiane des maisons neuves, passant de 215 m² en 2014 à 174 m² en 2024. Cela s’explique aisément, les espaces étant toujours plus restreints dans la capitale.

    Les appartements : une offre stable

    La superficie médiane des appartements neufs reste stable à travers le pays. Les appartements deux chambres dominent le marché, avec une superficie moyenne d’environ 95 m² à Bruxelles, 96 m² en Flandre, et 94 m² en Wallonie.

    Disparités des prix et des superficies par région

    Les communes comme Alost, Hasselt et Louvain offrent les appartements neufs les plus spacieux. À l’opposé, Knokke-Heist présente les plus petites superficies mais reste la commune la plus chère pour l’achat d’un appartement.

  • Bardage en PVC : différents types, avantages, inconvénients et budget

    Le bardage en PVC gagne sans cesse en popularité : jugé plus facile à la pose et à l’entretien que le bois est-il vraiment la solution idéale ? On voit cela avec vous !

    pvc

    Quel type ?

    • Bardage en PVC traditionnel

    C’est le modèle classique, disponible dans une gamme de couleurs et de finitions très élargies. Il offre une bonne protection et un entretien minimal.

    • Bardage en PVC structuré

    Le bardage en PVC structuré, pour sa part imite l’apparence du bois avec des textures et des reliefs qui ajoutent du caractère à votre façade. Il offre l’esthétique du bois sans les inconvénients d’entretien !

    • Bardage en PVC double peau

    Le bardage en pvc double peau est doté d’une double couche pour une isolation renforcée et une meilleure protection contre les intempéries.

    Dans tous les cas, privilégiez une pose sur une structure, pour assurer la ventilation et ainsi, diminuer les risques d’humidité.

    Avantages

    • Résistance aux intempéries

    Le PVC résiste aux UV, à la pluie, et aux variations de température sans se déformer ni se décolorer.

    • Entretien minimal

    Contrairement au bois, le PVC ne nécessite ni peinture ni traitement régulier. Un simple nettoyage à l’eau suffit.

    • Durabilité

    Le PVC est un matériau robuste qui peut durer des décennies sans montrer de signes de vieillissement. Attention toutefois au modèle que vous convoitez, car un PVC n’est pas l’autre !

    Inconvénients

    • Aspect esthétique

    Bien que les finitions se soient améliorées, certains trouvent que le PVC n’a pas le cachet du bois. Certains modèles s’en approchent très fort, mais attention au prix !

    • Impact environnemental

    En matière de production et de recyclage, le PVC est évidemment nettement moins vertueux que le bois ou la pierre…

    • Expansion thermique

    Le PVC peut se dilater ou se contracter légèrement avec les variations de température : lors de l’installation, anticipez ce phénomène en calculant pas les lattes au plus juste ! Un joint de dilatation d’environ 1 millimètre par mètre est impératif !

    Budget ?

    Le coût du bardage en PVC varie en fonction de plusieurs facteurs :

    • Matériau

    Les prix du PVC varient entre 10 et 40 euros par mètre carré, selon la qualité et la finition.

    • Installation

    Faire appel à un professionnel coûte entre 20 et 50 euros par mètre carré, mais cela garantit une installation correcte et durable.

    • Entretien

    Les coûts d’entretien sont minimes, se limitant à un nettoyage périodique.

  • 6 conseils pour empêcher les araignées d’entrer dans la maison

    Si vous voyez de temps à autres des araignées dans votre maison, sachez qu’il ne s’agit probablement que d’un très petit pourcentage de toutes celles qui sont effectivement présentes…

    Eviter les araignées dans la maison
    Pixabay

    Le reste de ces arachnides est très probablement caché dans les coins, les fissures, les trous et derrière vos meubles. A l’approche de l’automne, les araignées sortent à nouveau de leurs cachettes. Les mâles deviennent plus actifs parce qu’ils recherchent une femelle, alors ils quittent leur toile… Vous serez certainement amené à les croiser plus fréquemment. Cependant, beaucoup de gens ont peur des araignées. En fait, à tort, car les araignées se nourrissent d’insectes que nous préférons ne pas avoir dans la maison, comme les mouches notamment. Vous devriez donc être plutôt reconnaissants envers ces araignées… Voici toutefois quelques conseils pour les empêcher d’entrer dans la maison.

    Bouchez les trous

    Les araignées préfèrent se cacher dans les coins, les recoins et les fissures de votre maison. Il est donc conseillé de remplir ou de boucher les trous et les fissures, évitant ainsi de leur fournie une cachette.

    Évitez les autres insectes

    Pour éloigner les araignées, il faut éloigner leurs proies. Les araignées se nourrissent d’insectes, alors assurez-vous d’attirer le moins d’insectes possible. Évitez les mouches en gardant vos fruits et légumes couverts et évitez de laisser les fenêtres ouvertes la nuit, lorsque toutes vos lumières intérieures sont allumées !

    Gardez votre maison propre

    Un intérieur propre est un autre moyen de dissuasion. Passez l’aspirateur régulièrement, enlevez les aliments insectivores, et les araignées auront moins de raison de s’installer chez vous. En l’absence de proies, elles seront moins enclines à rester.

    Préparez des vaporisateurs

    Au citron

    Citron, oranges et autres agrumes : les araignées n’en sont pas friandes du tout ! Alors, faites votre propre spray maison avec du jus de citron et de l’eau… Il ne vous reste plus qu’à vaporiser le tout un peu partout et en insistant surtout aux diverses entrées.

    Au vinaigre blanc

    Le vinaigre blanc est un produit ménager polyvalent qui peut également aider à dissuader les araignées. Mélangez une solution de vinaigre blanc et d’eau dans un vaporisateur et pulvérisez les zones propices à l’infestation. Le vinaigre blanc agit comme un répulsif naturel tout en laissant votre maison avec une odeur fraîche et propre.

    Aux essences d’huiles essentielles

    Les araignées détestent certaines essences d’huiles essentielles. Utilisez des huiles telles que la menthe poivrée, l’arbre à thé ou la citronnelle. Mélangez quelques gouttes avec de l’eau dans un vaporisateur et pulvérisez les rebords de fenêtres, les seuils de portes et les autres endroits où les araignées pourraient entrer. Non seulement cela éloignera les araignées, mais cela laissera également une agréable odeur fraîche dans votre maison.

    Plantes répulsives

    Introduire des plantes répulsives dans votre maison peut être une solution naturelle pour éloigner les araignées. Certaines plantes, comme la menthe, la lavande, et l’eucalyptus, ont des propriétés répulsives pour les arachnides. Placez des pots de ces plantes près des fenêtres, portes et autres points d’entrée potentiels est un autre moyen de créer une barrière olfactive dissuasive.

    Maintenez une humidité équilibrée

    Les araignées sont fortement attirées par des environnements humides. En maintenant un niveau d’humidité équilibré dans votre maison, vous réduisez les chances d’infestation. Utilisez un déshumidificateur dans les zones sujettes à l’humidité excessive, comme les sous-sols. Veillez également à bien aérer votre maison pour éviter les coins humides, très propices à la toile des araignées.

  • Le nouveau stade de l’Union Saint-Gilloise soulève de nombreuses critiques !

    L’ASBL bruxelloise We Are Nature s’oppose fermement au projet de nouveau stade de l’Union saint-gilloise sur le site du Bempt à Forest et milite pour un moratoire sur les permis de bâtir dans les dernières zones naturelles de Bruxelles.

    Selon We Are Nature, « le projet de méga-stade sur le Bempt, d’une capacité de 15 000 places, est avancé sans étude sérieuse des alternatives. Il est incompatible avec les obligations climatiques de la Région, et contraire aux engagements sociétaux de l’Union saint-gilloise« . L’association soutient qu’il est possible d’augmenter la capacité du stade Marien actuel tout en respectant les normes de l’UEFA, comme l’affirme une étude d’Urban.

    De plus, l’association souligne que la construction d’un méga-stade privé dégraderait les conditions de vie du quartier, aggraverait les inondations et augmenterait la pollution sonore, affectant particulièrement les habitants des logements sociaux.

    Le projet est également critiqué pour son bilan carbone, jugé incompatible avec les obligations régionales de réduction des gaz à effet de serre et à des années-lumière des positions de l’Union saint-gilloise en faveur de la durabilité et de la solidarité.

    Reste à voir ce que décidera la commune, par ailleurs critiquée pour son immobilisme par l’Union Saint-Gilloise.

  • Multipropriétaires en Belgique : 5 chiffres clés!

    Le nombre de multipropriétaires belges a grimpé de 7% entre 2022 et 2023, atteignant 1,15 million, soit 10% de la population. Un chiffre pour le moins stupéfiant, lorsque l’on connait le refroidissement du marché immobilier actuel !

    Antwerpen
    Thomas Konings

    1. 221.000 : le nombre de Belges avec une résidence secondaire à l’étranger

    Selon les données de BNP Paribas Fortis (BNPPF)et du SPF Finances, le nombre de Belges possédant plusieurs biens immobiliers continue d’augmenter. Parmi ces multipropriétaires, 221.000 détiennent au moins une résidence secondaire à l’étranger, tandis que 931.000 possèdent plusieurs biens en Belgique.

    2. 36 % : la baisse des octrois de crédit dans ce segment

    Le marché immobilier belge a connu un refroidissement en 2023, en raison de la hausse des taux d’intérêt. L’octroi de crédits hypothécaires a chuté de 30%, une baisse particulièrement marquée dans le secteur des secondes résidences. BNP Paribas Fortis a observé une diminution de 36% des transactions dans ce segment.

    3. 219.700 euros : le montant moyen emprunté

    Pour la première fois en cinq ans, le montant emprunté pour financer l’achat d’une résidence secondaire a diminué, passant de 236.700 euros en 2022 à 219.700 euros en 2023, soit une baisse de 7%.

    4. 66 % : la part des investissements locatifs

    Le profil des investissements a également évolué. En 2023, deux tiers (66%) des résidences secondaires financées par BNP Paribas Fortis étaient des investissements, contre 56% en 2019.

    5. 1,15 million

    Si le marché se refroidit, un Belge sur 10 est néanmoins multipropriétaire (soit, 1,15 million de Belges). Cela représente une augmentation de 7% entre 2022 et 2023.

  • Wifi : Faut-il l’éteindre la nuit ?

    Plus que jamais dans l’histoire de l’humanité, l’homme est confronté à une kyrielle d’ondes et de champs magnétiques. Indispensable dans notre quotidien, le wifi peut pourtant présenter un certain danger pour notre santé, et plus particulièrement pour les enfants.

    modem wifi
    Compare Fibre UDC7

    Le wifi, pour échanger des flux d’informations avec nos accessoires électroniques, utilise des ondes d’une fréquence tournant autour de 2,4 GHz et 5 GHz, en fonction des routeurs. Deux fréquences qui sont proches de celles émises par les fours à micro-ondes ! Celles-ci ont la particularité d’être à même d’agiter les molécules d’eau pour les réchauffer. Et notre corps est justement composé de quelque 75 % d’eau !

    D’un point de vue biologique, tout cela n’est ni sain ni recommandé pour la santé de tout un chacun, et surtout des enfants dont le corps est composé d’une proportion encore plus importante en eau. Il est aujourd’hui prouvé que le cerveau est confronté à une légère montée en chaleur lorsqu’il est exposé à ces ondes.

    Les effets sur la santé

    Des études ont montré que l’exposition prolongée aux ondes wifi pourrait entraîner des effets négatifs sur le système nerveux et immunitaire. Les enfants, en raison de leur croissance et de leur composition corporelle riche en eau, sont particulièrement vulnérables. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, des troubles du sommeil, et une diminution de la concentration.

    Limitons notre exposition !

    Au vu de ces différentes conclusions et observations, il convient donc de limiter notre exposition au wifi ainsi qu’aux ondes en général. Comment ? En éloignant tout simplement les sources d’émissions (les modems, routeurs et autres répétiteurs) des pièces dans lesquelles vous passez du temps, comme un bureau, un salon ou encore une chambre à coucher.

    Si vous avez du mal à isoler ou à éloigner ces appareils, débranchez-les quand vous ne les utilisez pas, en particulier la nuit ! Il en va de même pour les appareils gourmands en ondes, comme un laptop, une tablette ou un smartphone. Limitez le temps d’utilisation et ne les posez surtout pas sur votre table de chevet durant la nuit, à moins de mettre le tout en mode avion !

    Quelques conseils supplémentaires

    Voici quelques astuces supplémentaires pour réduire votre exposition :

    • Utilisez des connexions filaires lorsque cela est possible.
    • Préférez les appareils à faible émission d’ondes.
    • Adoptez des solutions anti-ondes, comme du papier peint neutraliseur d’ondes.
  • Innovation : des poubelles connectées à… ChatGPT !

    L’intelligence artificielle transforme rapidement nos métiers et même nos objets du quotidien… On en veut pour preuve les aspirateurs, les tondeuses et même… les poubelles ! Pour Binit, ChatGPT peut en effet largement nous simplifier le tri des déchets domestiques !

     
     
     
     
     
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    Une publication partagée par Binit Technologies (@binit.world)

    La start-up Binit a mis au point un dispositif intelligent pour aider les ménages à trier leurs déchets efficacement. Utilisant l’intelligence artificielle de ChatGPT, ce système scanne les emballages et fournit des instructions de tri précises, réduisant ainsi les erreurs courantes et améliorant le recyclage. Bref, c’est bon pour la planète !

    Concrètement, il s’agit d’un boîtier à installer dans la cuisine. Grâce à la vision intelligente et à l’IA, il reconnaît les matériaux des déchets et indique la bonne poubelle à utiliser. Notez que Binit est actuellement en phase de projet, ce qui pourrait bientôt déboucher sur une application commerciale.

  • Le marché immobilier belge en chute ?

    Les transactions immobilières continuent de baisser en Belgique : 3,9% de moins au premier semestre 2024 par rapport à l’année dernière.

    young couple buys house

    Le marché immobilier belge connaît des turbulences. Le dernier baromètre immobilier des notaires révèle une nouvelle baisse de 3,9% des transactions immobilières au premier semestre 2024 par rapport à la même période en 2023. La tendance à la baisse, déjà observée l’an dernier, se confirme donc !

    A noter que le marché wallon connaitra sans doute un nouveau souffle à la rentrée, avec l’annonce faite par le nouveau gouvernement de droits d’enregistrement réduits à 3%.

    Des prix en légère baisse

    Les prix des maisons et des appartements suivent la même dynamique. En tenant compte de l’inflation, les prix ont diminué de 1,7%. Le prix moyen d’une maison s’établit à 325.204 euros (+0,8% sans inflation). Cependant, seule la Flandre a vu ses prix augmenter légèrement (+1,1%), tandis que Bruxelles et la Wallonie ont enregistré des baisses respectives de 1,5% et 1,8%.

    Du côté des appartements…

    Pour les appartements, le prix moyen national a atteint 266.941 euros. En Wallonie, les prix ont baissé de 1,9% (195.285 euros), alors qu’à Bruxelles, ils ont augmenté de 1,5% (284.775 euros), et en Flandre, de 0,7% (278.520 euros).

    Moins de nouveaux appartements sur le marché

    La part des appartements neufs vendus a également diminué, représentant seulement 10,3% des transactions nationales contre 14,8% l’an dernier et plus de 22% en 2019.