Auteur : francois

  • 5 conseils pour préparer votre terrasse ou votre jardin pour l’été !

    La préparation de votre terrasse ou de votre jardin pour l’été peut prendre pas mal de temps. Nous avons rassemblé quelques conseils pratiques pour vous aider à préparer votre terrasse, votre balcon ou votre jardin en un rien de temps.

    Conseil n°1 : En finir avec les feuilles et les rameaux morts qui traînent

    Après les mois d’hiver, votre jardin a dû endurer beaucoup de pluie, de gel et de chutes de feuilles. La première étape consiste à redonner vie à votre jardin ou à votre terrasse. Enlevez toutes les feuilles mortes, les branches qui traînent et les mauvaises herbes, afin qu’il y ait assez de place pour une nouvelle vie. N’oubliez pas d’enlever les pots de fleurs cassés.

    Conseil n°2 : Rendre la terrasse et les meubles frais et propres.

    Maintenant que votre jardin a été complètement débarrassé des feuilles mortes, des branches pourries et des pots inutilisables, vous pouvez commencer à le nettoyer. Après tout, cela n’a aucun sens de mettre de nouvelles fleurs et de nouvelles plantes sur une terrasse sale ! Des dépôts verts sur les clinkers de la terrasse ? Utilisez un nettoyeur haute pression. Passez également un coup de chiffon sur les meubles de jardin.

    Conseil 3 : Choisir les bonnes plantes et fleurs

    Maintenant que votre terrasse ou votre jardin est à nouveau présentable, il est temps de s’attaquer à la verdure. Avant de vous rendre à la jardinerie et de chercher de nouvelles plantes et de nouveaux accessoires pour le jardin, pensez d’abord à ce que vous voulez. Etes-vous à la recherche d’espaces verts pour lesquels vous n’avez pas grand-chose à faire ? Ou avez-vous les doigts verts et désirez placer d’autres plantes et fleurs ? Pensez aussi à l’agencement des couleurs des différentes plantes, pour une harmonie d’ensemble.

    Conseil 4 : Temps de plantation

    Vérifiez toujours à l’avance à quelle période vous pouvez planter les plantes, les graines et les fleurs. Et aussi où vous allez les mettre. Certaines espèces ont besoin de beaucoup ou de peu de lumière, et certaines plantes ne se marient pas bien entre elles. Choisissez une belle journée et commencez à remplir les pots de fleurs et à disposer les plantes.

    Conseil 5 : Entretenir votre jardin, même au printemps et en été

    Au printemps et en été, il est important de bien entretenir votre terrasse ou votre jardin. Assurez-vous d’avoir assez d’eau et de boutures. De cette façon, vous vous assurez que les plantes ne poussent pas trop vite ou ne meurent pas. Il est également recommandé de balayer régulièrement la terrasse, histoire de ne pas ressortir le nettoyeur haute pression.

  • Aménager son grenier : Faut-il un permis d’urbanisme ?

    C’est une démarche classique et très répandue en Belgique. Aménager son grenier permet en effet, de facilement gagner de l’espace supplémentaire. Mais avant d’entamer les travaux, il y a tout de même une procédure à suivre.

    attic renovation
    Daniel Boberg

    Oui, dans la plupart des cas, il faut un permis ! Tout dépend évidemment de la nature des travaux que vous allez entreprendre, mais dans la plupart des cas, un permis est réclamé. Il s’agit d’une question de sécurité : quid de la stabilité du bâtiment après vos travaux ? Si vous ne le faites pas, vous risquez une amende car vous commettez une infraction administrative. Alors, d’accord, le risque d’inspection est minime mais cela peut poser des problèmes en matière d’assurance, par exemple, ou lors de la vente de la maison quand le nouvel acquéreur risque de constater la non-conformité du bâtiment par rapport à l’acte notarial.

    Ceci dit, les démarches peuvent être entreprises par l’entrepreneur qui va effectuer les travaux. Si vous faites appel à une entreprise, elle devra d’ailleurs s’assurer, avant de démarrer les travaux, que le permis a bien été délivré.

  • 6 travaux de rénovation pour consommer moins d’énergie et d’eau

    Vous prévoyez de rénover votre bien immobilier ? Qu’il s’agisse d’une maison ou d’un appartement, ne négligez pas son efficacité énergétique. Vous craignez que l’investissement vous coûte cher ? Il est déjà possible de faire beaucoup avec quelques centaines d’euros…

    60% des Belges ont déjà réalisé des travaux pour consommer moins d’énergie, selon une enquête récente, menée par ENGIE. Ceux qui ne l’ont pas encore fait, seraient freinés par le coût élevé que ça pourrait représenter. Or améliorer l’efficacité énergétique de son bien immobilier a 2 grands avantages :

    • une réduction des consommations ;
    • une augmentation de la valeur du bien (que l’on peut alors vendre ou louer à meilleur prix) grâce à un meilleur score PEB.

    De plus, des travaux en vue de consommer moins, il en existe pour toutes les bourses. Sans parler du fait que beaucoup peuvent aussi être financés en partie grâce à des aides ou primes ! Alors quels travaux envisager ?

    1. Mieux isoler

    C’est le BA-b.a. pour réduire ses dépenses d’énergie. Pas étonnant que 80% des Belges classent les travaux d’isolation n°1 sur leur liste des priorités pour améliorer leur efficacité énergétique.

    On fait quoi ? On commence par quelques travaux d’isolation pas chers à réaliser soi-même : des joints aux fenêtres, des gaines isolantes autour des canalisations, des bas de porte… Cela vous coûtera quelques dizaines d’euros et vous pourrez économiser jusqu’à 15% d’énergie !

    Si vous avez un budget plus conséquent, améliorez l’isolation de votre toit. C’est le bon moment ! Isoler sa maison au printemps ou en été est une bonne idée. Isoler son toit c’est la garantie de réaliser jusqu’à 30% d’économie. Et pour financer les travaux, il existe des primes tant à Bruxelles qu’en Wallonie ou en Flandre. De quoi rentabiliser très vite votre investissement.

    2. Changer de thermostat

    Fini de chauffer quand on n’est pas à la maison… ou de consommer l’énergie et l’eau à l’aveugle. Que ce soit pour identifier les énergivores de la maison ou mieux contrôler et mesurer ses consommations d’eau et d’énergie, la technologie intelligente UP d’ENGIE vous sera d’une grande utilité. Son thermostat connecté vous informe en temps réel, permet aussi de piloter le chauffage à distance et même d’être averti en cas de fuite d’eau ! Coût de cette technologie ? C’est inclus dans votre contrat d’énergie UP ! Renseignez-vous ! Bénéfices : plusieurs centaines d’euros par an !

    3. Placer du LED, un compteur bihoraire et des appareils A+

    Vous avez encore un compteur électrique normal ? Remplacez-le par un compteur bi-horaire. Coût ? Entre 250€ et 400€ en moyenne selon votre gestionnaire de réseau. Vous ferez alors tourner vos machines la nuit, ce qui vous garantira plusieurs dizaines d’euros d’économies à la fin de l’année.

    Passez aussi définitivement et partout aux ampoules LED. Une réduction de consommation garantie entre 50% et 80 % par rapport aux halogènes ! On vous donne ici quelques astuces pour choisir vos LED.

    Quant à votre nouvelle cuisine équipée : exigez au minimum des appareils A+ auprès de votre cuisiniste.

    4. Investir dans un tonneau ou une citerne d’eau de pluie

     

    Pour faire des économies sur la facture d’eau, pensez à davantage utiliser l’eau de pluie. Savez-vous que près de 60% de la consommation dans la maison peut être alimentée par de l’eau de pluie ? Pour les chasses d’eau, le nettoyage, le lave-linge, le jardin. Vous n’avez pas de citerne ? L’installation coûte environ 5 000 €. Un investissement rentabilisé en 7 à 10 ans. Si vous ne disposez pas d’un tel budget, le système D consiste à utiliser un tonneau à placer sous votre descente d’eau. Pour arroser les plantes d’intérieur ou d’extérieur et le jardin. Ou même nettoyer. C’est déjà cela de gagner !

    Comparez aussi votre consommation d’eau à la moyenne belge pour savoir si vous êtes un gros consommateur ou pas.

    5. Passer à la chaudière à condensation

    C’est la nouvelle norme. Son prix : environ 5000 € pour une installation au gaz, 7000 € au mazout, installation comprise. Comptez que l’investissement sera rentabilisé en 7 à 10 ans. Quant aux économies d’énergie, elles s’élèveront jusqu’à 30 %. Tout comme pour l’isolation du toit, il existe des primes pour remplacer sa chaudière.

    6. Profiter du soleil

    1 Belge sur 2 estime qu’installer des panneaux solaires améliore l’efficacité énergétique des habitations. Vous hésitez, vous êtes influencé par les idées reçues qui subsistent sur les panneaux solaires ou les questions d’argent qui les entourent ? Aujourd’hui, il est déjà possible d’avoir une installation photovoltaïque pour 5000 € (TVAC). Et c’est un investissement rentabilisé en maximum 10 ans.

    Prêt(e) pour entamer vos travaux de rénovation ? Voici encore quelques points d’attention pratiques avant de se lancer.

     

  • Quelle taille d’écran choisir pour sa TV ?

    Ces dernières années, les écrans TV ne cessent de s’agrandir. Mais est-ce si important d’en avoir une « grande » après tout ? Et, surtout, comment être sûr qu’un écran XXL assurera toujours une bonne qualité de vision dans son intérieur ?

    Comment ne pas se sentir un peu perdu face au choix d’écrans plats de nos jours ? Les technologies proposées sont résumées en quelques abréviations difficiles à comprendre pour le commun des mortels. En outre, les écrans deviennent de plus en plus grands. Avant de succomber à la tentation d’un écran format XXL, il convient tout de même de prendre quelques précautions.

    Quel recul ?

    Avant de vous rendre en magasin, pensez ainsi à mesurer le recul dont vous disposez dans votre salon. Autrement dit : la longueur qui sépare l’emplacement du futur écran et la zone d’assise de votre fauteuil. Sur cette base, vous pouvez ensuite orienter plus facilement votre choix en comptant que la diagonale de l’écran idéal, exprimée en cm, est environ la moitié de cette distance. Concrètement, un écran de 32 pouces (81 cm) est idéal avec un faible recul de 1,6 m. Un écran de 49 pouces (1,25 m) peut convenir si le recul atteint environ 2,5 m. Et un écran XXL de 70 pouces (1,78 m) réclamera un vaste salon dégageant un recul de plus de 3 m.

    Qualité de l’image

    Notez tout de même que le seul critère de recul n’est pas suffisant pour choisir la taille idéale de son écran de télévision. On veillera également à tenir compte de la qualité de l’image. La résolution d’un écran est, en effet, un autre critère important de choix. On pourra ainsi s’orienter vers un écran de plus grande taille, même si l’on dispose d’un faible recul, si l’on opte pour une grande qualité d’image. Pourquoi ? Car les « défauts » de l’image seront alors moins visibles à faible distance. Concrètement, on pourra alors s’orienter vers un rapport entre la diagonale de l’écran et le recul disponible tournant autour de 1,5 pour la technologie Ultra-HD ; de 2 à 2,5 pour les écrans Full HD et plutôt de 3 à 4 pour les HD à l’image moins léchée.

    Petites astuces

    Notez que de petites astuces permettent de gagner de précieux centimètres en cas de besoin. Fixer l’écran plat directement sur le mur plutôt que de le déposer sur un gros meuble permet ainsi, par exemple, de gagner une bonne trentaine de cm de recul. Dans un petit salon, si vous souhaitez commander un grand écran, préférez alors également si possible un écran sans cadre ou aux bords les plus fins possibles. Cela permettra de le rendre moins massif visuellement. Enfin, n’oubliez pas qu’idéalement, un écran de télévision doit être situé à la hauteur des yeux. Ce qui signifie que la moitié de l’écran doit se trouver autour des 90 cm en fonction de la hauteur d’assise du fauteuil.

  • Comment rendre votre jardin irrésistible la nuit?

    Eclairer une terrasse ou un jardin est nettement moins facile qu’il n’y paraît. Comment sublimer votre espace extérieur ? On fait le point avec vous !

    Il convient de distinguer un éclairage fonctionnel d’un éclairage d’ambiance. Les endroits clés ce sont ceux où sont installés la table à manger ou le salon de jardin par exemple. Ces endroits doivent être suffisamment éclairés pour pouvoir profiter d’un bon repas… en voyant ce que l’on mange. Ceci n’empêche pas d’y ajouter un éclairage d’ambiance pour parfaire l’intimité une fois le repas fini.

    Une des premières règles à respecter !

    Concernant l’éclairage fonctionnel, la règle de base est évidemment d’éviter l’aveuglement des convives à table ! Il est donc contre-productif de braquer un simple spot sur la table : un éclairage indirect, tout en produisant suffisamment de lumière sera nettement plus agréable. Une ou plusieurs appliques sur un mur ou des objets lumineux feront parfaitement l’affaire.

    Où installer cet éclairage fonctionnel ?

    L’éclairage fonctionnel s’installera de préférence près des portes d’entrée pour un usage facilité. Il revêt également une fonction de sécurité. Ainsi, les marches ou les différences de niveaux devront être suffisamment éclairés pour éviter les chutes.

    Prévoir quand c’est possible

    Pour une nouvelle construction, pour la création d’une terrasse ou lors d’une profonde rénovation des extérieurs, il est sage de prévoir le câblage au préalable. Cela évitera de faire des saillies ou de devoir ouvrir une partie de la terrasse pour pouvoir installer l’éclairage extérieur. Prévoyez suffisamment de points lumineux, même si tous ne sont pas utilisés au départ.

    Donner de la profondeur à votre jardin

    Le jardin paraîtra plus grand si vous installez des points lumineux au fond, ceux-ci ne doivent cependant pas être trop forts sous peine de produire un effet inverse. Vous pouvez procéder de la même manière pour éclairer un sentier. Une lumière douce qui servira à guider vos pas sans occulter le reste de votre espace vert.

    Eclairer un… arbre ?

    Vous apporterez également une touche d’élégance à votre jardin une fois la nuit tombée en éclairant un arbuste, un arbre, un massif, une statue, une fontaine… La règle à respecter est identique, ce sont des lumières d’ambiance qui ne doivent pas aveugler et occulter l’ensemble. Pour une terrasse, vous pouvez songer à de petits spots encastrés, non seulement ils rempliront une fonction décorative, mais en plus ils délimiteront l’espace. Ils serviront ainsi de transition entre la terrasse et le jardin où les massifs qui la bordent.

    Jouer sur les contrastes

    Un jardin ne doit pas être éclairé de manière uniforme, c’est même plutôt le contraire.. A l’heure actuelle, les lampes LED se déclinent en de multiples supports, ils paraissent le mieux indiqués pour obtenir un résultat probant. A vous de jouer entre les zones que vous voulez mettre en valeur et celles que vous préférez voir dans la pénombre.

  • 4 accessoires durables pour votre maison

    Vous êtes à la recherche des meilleurs accessoires pour votre salon, mais sans vous sentir coupable par votre empreinte écologique ? Voici 4 exemples d’accessoires qui conviendraient parfaitement à votre maison.

    Pinterest

    Couverture en laine

    Une couverture douce est un must absolu dans chaque foyer. Cependant, toutes les couvertures ne sont pas très douces et peu de couvertures sont vraiment durables. Yumeko est reconnu pour ses produits durables et écologiques. Si vous voulez une couverture durable, ne cherchez pas beaucoup plus loin. Les moutons qui sont utilisés peuvent courir librement, dans les prairies allemandes. La pure laine vierge de mouton est de haute qualité et n’est lavée qu’avec du savon naturel.

    Lampe Kalahari

    La marque néerlandaise Good&Mojo est spécialisée dans la fabrication de lampes en bois, rotin et bambou. Ces matériaux donnent aux designers de cette entreprise, suffisamment de liberté pour créer de beaux designs ! La lampe Kalahari est faite de rotin, ce qui lui confère une atmosphère « aérienne ».

    Trash me lamp

    Contrairement à la lampe Kalahari, cette lampe n’est pas à suspendre, mais vous pouvez l’utiliser comme lampe de bureau. Elle est entièrement faite en carton. La lampe donne une lumière tamisée mais elle est assez fragile ! Comme le matériau de la lampe se compose uniquement de pulpe de bois, vous pouvez la comparer à une boîte à œufs renforcée.

    De Snaaiplank

    Un plateau de fromage appelé Snaaiplank. La marque Design by Nudu a conçu cet accessoire amusant et original. La planche est faite de bois durable. De temps en temps, le propriétaire de la marque prend l’avion pour le Suriname, à la recherche de « vieux » bois dans la jungle et le ramène chez lui. Les produits de ce label sont fabriqués à partir de ce bois, ancien.

  • En Flandre, vous avez droit à une belle prime si vous remplacez votre poêle à bois

    Si vous remplacez votre poêle à bois ou à charbon en Flandre par un poêle à gaz, vous pouvez obtenir une prime. Quelles sont les conditions pour cela et comment demander une telle prime ?

    Pour qui ?

    Pour recevoir une telle prime, votre vieux poêle doit être alimenté au charbon, aux bûches, aux pellets, aux copeaux de bois ou à d’autres formes de bois. En retour, le nouveau poêle ou foyer ne peut pas être alimenté par des combustibles solides ou liquides comme le bois, les pellets, le charbon, la tourbe, le pétrole, le mazout ou le bioéthanol.

    Le nouveau poêle ou foyer doit également avoir au moins un label énergétique européen A et doit être installé dans la même pièce que l’ancien. Les travaux doivent également être effectués par un installateur qui vous fournira les certificats nécessaires pour demander la prime.

    Combien ?

    La prime est de 25% du prix d’achat et de l’installation (frais de déplacement inclus), avec un maximum de 250 euros. La prime est portée à 50% avec un maximum de 1.000 € pour les personnes vulnérables et à faibles revenus.

    Comment demander ?

    Vous devez joindre à votre demande une copie de la facture et un certificat de l’installateur, ainsi qu’une preuve que vous remplissez les conditions pour avoir droit à la prime supérieure.

    Vous pouvez demander la prime en ligne ou envoyer le formulaire de demande par la poste ou par e-mail. Vous trouverez de plus amples informations à ce sujet sur ce site.

     

  • Comment éliminer les fourmis de votre jardin ?

    Parfois ces insectes se montrent envahissants, même s’ils ont leur utilité au jardin. Pour s’en débarrasser, vous pouvez opter pour des méthodes naturelles qui préservent le biotope ou pour des méthodes moins naturelles mais radicales.

    Éliminer toutes les fourmis au jardin est difficile et peu approprié. En effet, dans un biotope naturel, elles ont un rôle important à jouer dans la lutte contre d’autres prédateurs, les pucerons notamment, mais aussi dans la pollinisation. Il faut donc procéder avec prudence en évitant d’utiliser des produits chimiques dont on ne mesure pas toujours les effets secondaires.

    Quelques recettes naturelles

    Dans un jardin qui se veut naturel, les méthodes douces sont à privilégier. Elles demandent néanmoins de la patience car les effets ne sont pas immédiat. Au-dessus d’un nid de fourmis, pulvérisez de l’eau avec du vinaigre ou avec du jus de citron. Répétez l’opération avec constance et à plusieurs reprises. L’odeur puissante de ces substances finira par faire fuir la colonie. Il arrive fréquemment que les fourmis grimpent le long des pots. Il suffit de tracer un trait à la craie (ou avec un mélange alcool à 60° et du talc), cela créera une barrière infranchissable.

    Aux pieds des arbres et plus particulièrement au pied des arbres fruitiers, il suffit d’enrouler le bas du tronc d’une bande adhésive ou d’une bande recouverte de gomme de résine. Les premières fourmis y resteront collées et dissuaderont les suivantes de tenter l’aventure. Si les fourmis envahissent vos plants de rosiers, il suffit de placer des demi-citrons un peu moisis au pied de ceux-ci. Renouvelez régulièrement l’opération. Les coquilles d’œufs réduites en poudre et les feuilles de noyer s’avèrent également efficaces dans la lutte contre une prolifération de fourmis.

    Des méthodes plus radicales

    Certes, elles sont un peu cruelles, mais les effets sont plus immédiats. Si vous trouvez l’entrée de la fourmilière, versez de l’eau bouillante. A défaut, utilisez du marc de café humide. Les fourmis s’en gaveront et mourront peu après car le marc de café est un poison violent pour ces insectes.

    Plantez des plantes répulsives

    Les fourmis n’aiment pas l’odeur de certaines plantes qui les feront fuir naturellement. Il s’agit notamment du basilic, de la menthe poivrée, des œillets d’Inde et de la lavande.

    L’acide borique

    En utilisant les différentes méthodes douces proposées, vous évitez l’utilisation d’insecticides et d’appâts chimiques que l’on trouve dans le commerce qui peuvent s’avérer dangereux pour les êtres humains et les animaux domestiques. Le principe est assez simple, les fourmis vont introduire les produits à l’intérieur de leur nid et elles vont s’en nourrir. Une fois la colonie contaminée, elle va mourir. Il faut prendre des précautions d’usage et bien lire les notices explicatives avant d’utiliser des produits chimiques. Vous pouvez également fabriquer un produit en mélangent à doses égales de l’acide borique et du sucre, un mélange que vous placerez sur le passage des fourmis.

  • Un jardin en façade : quelque chose pour vous ?

    Vous souhaitez apporter une contribution écologique ou simplement démarquer votre façade des autres maisons de la rue ? Alors, optez pour le jardin en façade !

    Sachez toutefois qu’il y a quelques conditions et qu’un tel aménagement ne peut se faire du jour au lendemain.

    Assurez-vous d’avoir un permis

    La plupart des municipalités apprécient le fait que vous apportiez un peu de vert dans le paysage et un permis n’est dès lors pas nécessaire. Cependant, il y a encore des communes où il y a une obligation de déclaration. Mieux vaut donc s’informer afin d’éviter une amende. Ces informations peuvent se trouver sur Internet.

    Les règles de base

    Il est essentiel que les piétons ou les utilisateurs de fauteuils roulants puissent toujours circuler sans problème. La plupart des municipalités s’attendent encore à un passage d’au moins un mètre, mais il y a des exceptions. Autres conditions à prendre en compte :

    • Si vous enlevez les pavés du trottoir, gardez-les. Ils demeurent la propriété de la commune.
    • Assurez-vous d’avoir un jardin en façade bien entretenu
    • Délimitez-le clairement
    • Si des travaux dans la ruesont nécessaires, il se peut que vous deviez démolir votre jardin en façade.
    • Les plantes toxiques et les plantes à épines ne sont pas autorisées

    Le bon choix des plantes

    Vous trouverez sans aucun doute beaucoup d’inspiration sur le net, mais assurez-vous de faire un choix réfléchi de plantes et/ou de végétation. Si vous optez pour des plantes grimpantes, elles ont souvent besoin d’une aide.

    Le choix de vos plantes dépend du nombre d’heures d’ensoleillement. Les plantes d’ombre ont besoin de moins d’heures d’ensoleillement, tandis que les plantes qui aiment le soleil s’épanouissent au soleil autant que possible.

    Assurez-vous également que vos plantes reçoivent suffisamment d’eau. Un petit jardin sur la façade reste souvent sec car la façade et la gouttière bloquent l’eau de pluie. Les plantes plus âgées, en particulier, ont aussi besoin d’une fertilisation régulière.

  • Comment affûter la lame de sa tondeuse ? Voici la méthode en 5 étapes !

    Avant de débuter une nouvelle saison de tonte, avez-vous pensé à affûter la lame de votre tondeuse ? C’est une opération souvent négligée. Pourtant, votre gazon vous en remerciera !

    Que l’on utilise une tondeuse électrique ou thermique, des couteaux émoussés ne coupent plus efficacement les herbes. Ils ont plutôt tendance à les arracher ou les déchiqueter. Pour s’assurer d’un résultat optimal, pensez-donc à affûter la ou les lames de votre tondeuse. Mais comment faire ?

    1. Retirez la lame

    Avant de vous lancer dans l’opération d’affûtage, il convient bien sûr de démonter la lame de votre machine. Pour ce faire, pensez d’abord à votre sécurité et assurez-vous que votre tondeuse ne risque pas de démarrer (en retirant la prise, la batterie ou le câble de bougie en fonction du modèle dont vous disposez). Démontez ensuite la ou les lames de votre tondeuse en utilisant une clé adaptée à votre situation (généralement une clé plate ou une clé Allen). Si l’opération est compliquée, pensez à pulvériser un peu de dégrippant et assurez-vous de tourner dans le bon sens !

    2. Vérifiez son état général

    Une fois la lame démontée, observez son état général. Si la lame est très abîmée (notamment à cause de cailloux), pliée ou fissurée, ne perdez pas votre temps à essayer de l’aiguiser. Mieux vaut plutôt penser à la changer. Si vous ne notez, en revanche, que de légers petits coups et que son allure générale vous semble satisfaisante, alors vous pouvez envisager de l’affûter. Utiliser alors soit une meule, soit une meuleuse d’angle avec un accessoire adapté, soit même une lime manuelle. Bien sûr, dans tous les cas, utilisez tous les équipements de protection nécessaires pour travailler en toute sécurité.

    3. Affûtez en douceur

    Au moment d’affûter votre lame, respectez l’angle initial de la zone de coupe et ne retirez qu’un minimum de matière pour ne pas trop user votre lame. Essayez, en outre, d’être le plus symétrique possible en passant d’un côté à l’autre de la lame afin de ne pas la déséquilibrer. C’est important, sinon vous risquez de produire de nombreuses vibrations lorsque la lame tournera à grande vitesse.

    4. Vérifiez l’équilibrage

    Avant de remonter la lame sur votre tondeuse, vérifiez donc autant que possible son équilibrage. Pour ce faire, déposez la lame sur un point en son centre (en vous aidant d’une clé ou d’un tournevis, par exemple), et regardez si elle tient en équilibre. Si elle a tendance à pencher à gauche ou à droite, c’est que vous avez retiré trop de matière d’un côté. Recommencez alors à affûter le côté de la lame qui est le plus lourd afin d’arriver à l’équilibre.

    5. Nettoyez et remontez

    Une fois la lame prête, profitez-en pour nettoyer à fond le carter de coupe de votre tondeuse et l’endroit de fixation de la lame. Remontez ensuite la lame en n’omettant pas de remettre les différentes rondelles qui l’accompagnent et de la serrer fermement.