Auteur : francois

  • 3 raisons pour lesquelles un store banne est un must

    L’été approche et une protection solaire n’est certainement pas un luxe. Les étés se réchauffent et un peu d’ombre sur votre terrasse peut être une bénédiction. Voici le pour et le contre.

    Avantages d’un auvent

    La raison principale de l’installation d’un store banne est, bien sûr, la protection thermique. Les jours caniculaires, vous serez au frais sous la surface ombragée. De plus, un store banne vous protège contre les rayons aveuglants du soleil. Si votre terrasse compte des meubles, le store banne les empêchera de se décolorer.

    Attention toutefois

    Toutefois, un store banne réclame quelques précautions d’usage. Pensez, par exemple, à le manipuler et le tourner avec précaution. Ne le laissez pas non plus ouvert par vent fort ou par grêle, les conséquences peuvent être désastreuses.

    Différentes options

    Un store n’est pas l’autre. Certains modèles comprennent des bras articulés, ce qui leur permet d’être presque complètement rabattus. Un autre avantage de ce système est le prix abordable. Ce système doit être fixé au mur.

    Le store mobile, supporté par deux pieds, peut facilement être placé n’importe où. L’inconvénient de ce système est qu’il est difficile à stocker.

    La troisième option est le store à projection. C’est aussi une solution assez abordable qui offre beaucoup de protection contre le soleil. La forte pente crée beaucoup d’ombre. L’inconvénient est qu’une grande partie de votre visibilité est perdue. Esthétiquement, ce n’est pas non plus le plus beau modèle.

    Optez pour la qualité

    Si vous optez pour une solution de haute qualité, le store durera des années. C’est sans doute la meilleure des solutions, car les modèles les moins chers présentent souvent des défauts, doivent être remplacés plus souvent et résisteront nettement moins bien aux quelques caprices de la météo.

  • Créer un jardin accueillant pour les papillons ? C’est possible avec ces quelques gestes simples !

    Quoi de plus beau que des papillons virevoltant dans un jardin ? Alors sachez que grâce à ces quelques gestes simples, il est possible de rendre votre espace vert nettement plus accueillant pour les papillons !

    À chaque été, les papillons deviennent de moins en moins nombreux dans nos villes et campagnes. Il est toutefois possible de rendre nos jardins, généralement trop aseptisés, à nouveau accueillants pour ces petites bêtes aux ailes généralement colorées. Pour y arriver, l’association de protection de la nature Natagora rappelle ainsi quelques petits gestes utiles.

    Zones favorables

    En premier lieu, on notera l’importance de laisser quelques zones « sauvages » dans son jardin. Les papillons étant des insectes dits à métamorphose complète, il faudra veiller à laisser des zones accueillantes pour chacun des stades d’évolution des papillons. Autrement dit des zones favorables pour l’éclosion des œufs mais également des milieux adaptés aux chenilles et, plus tard, à l’émergence des papillons hors des chrysalides. Pour ce faire, Natagora conseille de diversifier autant que possible les différents milieux dans son jardin.

    Haies et près fleuris

    Pensez donc à laisser une place pour les haies d’espèces indigènes mais également les orties, des plantes grimpantes, des herbes folles voire si possible un pré fleuri et des plantes aromatiques précisent les spécialistes de Natagora. En outre, en compostant vos déchets verts plutôt que de les brûler ou de les évacuer, vous laisserez davantage de chances aux chenilles de se développer et se transformer en beaux papillons.

    Tas de bois

    Notez qu’il est également possible de favoriser la présence de papillons dans son jardin en conservant de vieux arbres à cavités plutôt que de les abattre. Il est aussi possible d’aménager un mur en pierres sèches, voire de laisser un tas de bois ou de feuilles mortes dans une zone reculée de son jardin. Si possible, prévoyez également une mare avec des pierres affleurantes. Une attention qui permettra aux papillons de se désaltérer. Et, bien sûr, bannissez autant que possible les produits chimiques de votre jardin !

  • Toilette suspendue : quels avantages, quels inconvénients, quel prix ?

    Votre toilette aussi a le droit de se montrer coquette ! La toilette suspendue est d’ailleurs tellement à la mode qu’elle a quasiment fait oublier le modèle classique. Que pour de bonnes raisons ?

    La toilette suspendue, on la choisit principalement parce qu’elle apporte une touche esthétique et contemporaine. Les maniaques rétorqueront également qu’elle présente certains aspects pratiques comme un sol bien plus facile à nettoyer. Notez également que parce que le bac d’eau et le système de chasse sont encastrés, vous dégagez de l’espace pour des rangements et vous isolez les bruits de chasse. Et n’allez pas croire que parce que la toilette est suspendue et non fixée au sol, qu’elle s’en retrouve fragilisée. Une toilette suspendue peut en effet supporter jusqu’à plusieurs centaines de kilos de charge !

    Inconvénients ?

    Tout n’est pas rose pour autant. Le modèle suspendu est généralement un peu plus cher qu’un modèle sur pied. Mais surtout, les coûts de placement sont plus élevés car elle demande notamment d’encastrer l’évacuation vers l’égout. De préférence, faites installer votre toilette par un professionnel, pour vous assurer d’une étanchéité parfaite. C’est un autre défaut du modèle : en cas de fuite, vous ne le remarquez que trop tard et, suivant le montage, il faudra peut-être casser le mur et le carrelage pour avoir accès à tout.

    Quel prix ?

    On en trouve à tous les prix, allant d’une grosse centaine d’euros à près de 1.000 euros, la moyenne se situant aux alentours de 200 euros. Tout compris, comptez un tarif démarrant aux alentours d’un demi-millier d’euros.

  • CO : attention au « tueur silencieux » dans vos maisons

    Le saviez-vous ? L’intoxication au CO est la plus importante cause d’intoxication mortelle en Belgique. Mais comment prévenir l’intoxication au CO dans nos maisons ?

    Le monoxyde de carbone, soit le CO, est un gaz incolore et inodore. Il est d’ailleurs souvent baptisé le « tueur silencieux ». Lorsqu’il s’accumule dans un espace clos, il présente un danger d’explosion. Mais cela ne se produit qu’à une concentration plusieurs fois mortelle rappelle le Centre Antipoissons qui souligne, en outre, que l’intoxication au CO reste la plus importante cause d’intoxication mortelle en Belgique.

    Sources ?

    Les appareils de chauffage ainsi que de production d’eau chaude sont les principales sources du CO dans les habitations. Mais aussi les appareils de chauffage mobiles ou les poêles dont la cheminée serait défectueuse.

    Symptômes ?

    On l’a dit, il est difficile de détecter la présence de CO. On sera toutefois très attentif à ces symptômes : maux de tête, vertiges, nausées, vomissements voire malaises. Surtout si ces symptômes se manifestent sur plusieurs personnes qui se trouvent dans un même endroit et qu’ils disparaissent une fois à l’air libre. Il faudra alors réagir rapidement, car une intoxication au CO peut mener à des lésions cérébrales voire au décès.

    Détecteur

    Pour limiter les risques, on veillera à placer des détecteurs de CO dans son habitation, surtout à proximité des appareils potentiellement émetteurs de CO. Ces détecteurs sont prévus pour surveiller en permanence la concentration de CO dans l’air et donner l’alerte quand un certain seuil est dépassé. Pour un modèle domestique, il faut compter entre 40 et 60€.

  • Ne pas tailler sa haie : risquez-vous une amende ?

    Patricia Lebon, bourgmestre de Rixensart, ne lésine pas avec les incivilités environnementales. Votre haie est mal taillée ? Cela peut vous coûter cher ! Cela vaut aussi pour toutes les communes de Belgique !

    Nous sommes d’accord avec vous, tailler sa haie peut être un exercice aussi épuisant que fastidieux. Pourtant, cet exercice est important : quasiment tous les règlements de police imposent une taille régulière de la haie (une fois par an au minimum). Pourquoi ? Tout simplement pour éviter que la haie n’empiète sur la voie publique en devenant trop invasive. Ainsi, certains trottoirs en deviennent inaccessibles, des panneaux de signalisation sont invisibles et la haie peut parfois obstruer la vue à l’approche de priorités de droite.

    Combien ?

    Toutefois, soyez rassuré, l’amende n’est pas immédiate. En effet, une lettre est d’abord envoyée aux contrevenants pour leur demander de « mettre de l’ordre dans leurs haies ». Si le nécessaire n’est pas fait endéans un certain délai, une amende pouvant aller jusqu’à 350 euros peut tomber. Patricia Lebon explique à Sudpresse que durant les semaines à venir, débutera les phases de contrôles, notamment via des patrouilles régulières.

    Jetez donc un œil à votre haie, quelle que soit la zone où vous habitez : celle-ci ne peut en effet, envahir l’espace public.

  • RoundUp : « Le glyphosate est moins cancérogène que la charcuterie »

    Cette nouvelle enquête parlementaire fera très certainement parler d’elle… Alors, ce glyphosate, nocif ou pas ?

    C’est un rapport qui sera rendu au sénat français et qui parle de la dangerosité du glyphosate, le désherbant chimique interdit en Belgique depuis 2018. Ce rapport remet tout en question, caractérisant le glyphosate comme « moins cancérogène que la charcuterie ou la viande rouge ». Du côté des verts, on s’insurge contre ce rapport. Jan Bové parlait d’ailleurs d’un « enfumage de Monsanto » au micro de RTL, Monsanto étant le groupe responsable du RoundUp, le désherbant chimique faisant usage du glyphosate.

    Alors, où est donc la vérité ? Pour l’instant, il n’y a pas vraiment d’harmonie du côté des études scientifiques, parlant tantôt d’un cancérogène probable, tantôt le déclarant comme inoffensif. Cette interdiction, est-elle le fruit d’un constat scientifique ou d’un climat de crainte ? Le sénateur français Pierre Médevielle dénonce quant à lui, un « climat d’hystérie collective » au journal « La Dépêche ». Les verts, eux, hallucinent : Jan Bové se demande d’ailleurs « si les parlementaires ont été approchés », relate Sudpresse.

  • Comment créer la pièce idéale pour travailler à la maison ?

    De plus en plus de personnes travaillent régulièrement à domicile et cette tendance va certainement s’accentuer dans les années à venir… On voit avec vous comment créer un espace agréable et propice à la productivité.

    De préférence, vous devriez placer votre bureau dans une pièce séparée afin de pouvoir travailler en toute tranquillité. Nous vous donnons ici un certain nombre de conseils faciles à appliquer.

    Organisation et polyvalence

    Pour travailler de manière productive, l’organisation et la polyvalence sont les mots d’ordre. La taille de votre espace de travail est moins importante. Il est beaucoup plus important de pouvoir ranger facilement ses affaires et de les retrouver facilement. Après tout, le désordre réduit votre productivité.

    Comment diviser l’espace ?

    L’aménagement de votre lieu de travail dépend d’un certain nombre de facteurs :

    • Combien de personnes y travaillent ?
    • Combien de temps y passez-vous et quelle est la fonction de votre espace ? Si vous recevez aussi des clients, s’il y a une imprimante…
    • Combien de temps y passez-vous ?
    • Avez-vous également besoin d’espaces de rangement ?

    Si vous passez beaucoup de temps dans cette pièce, assurez-vous de pouvoir vous y détendre. Un canapé confortable avec un coin salon peut faire des merveilles. Prévoyez des plantes et quelques tableaux.

    L’éclairage est important

    Prévoir différents points lumineux. Une bonne lampe de bureau est importante, mais d’autres lampes sont également nécessaires. Optez de préférence pour la lumière naturelle, mais ce n’est bien sûr pas toujours possible.

    Investissez dans une bonne chaise de bureau

    Votre bureau est important et contribue à votre productivité. Mais une bonne chaise de bureau est essentielle. Calculez combien d’heures vous allez passer assis dessus. Veillez à ce que cette chaise offre un soutien suffisant.

    Dans la mesure du possible, essayez d’utiliser des meubles multifonctionnels et assurez-vous de pouvoir vous déplacer avec aisance.

     

  • Plinthes : 3 conseils pour magnifier son intérieur !

    Elément de finition avant tout, une plinthe peut néanmoins aussi servir à magnifier la décoration de son intérieur. Ou même à le rendre plus fonctionnel et confortable ! Après ces 3 conseils, vous ne verrez plus jamais vos plinthes comme avant !

    Techniquement, une plinthe sert avant tout à cacher la jonction entre le revêtement du sol et les murs ainsi qu’à protéger les pieds de murs des chocs (aspirateur, pied de chaises, etc.). Mais on peut aussi les mettre à profit pour embellir son intérieur ou le rendre plus fonctionnel !

    1. La plinthe colorée

    Jouer sur la couleur de ses plinthes permet, par exemple, d’influencer l’impression d’espace dans les pièces. Dans les pièces dont le plafond est bas, mieux vaut ainsi utiliser une plinthe dont la couleur est identique à celle des murs. Cela permet d’étirer visuellement la hauteur des murs. Dans les autres pièces, on peut en revanche utiliser la plinthe comme une couleur accent. Elles peuvent ainsi venir subtilement donner du « pep » à un intérieur plus neutre via une touche de couleur rappelée par certains autres accessoires.

    2. La plinthe moderne

    Plutôt que d’opter pour du PVC, du bois ou d’associer classiquement ses plinthes au carrelage de son revêtement de son sol, on peut aussi utiliser des matériaux plus modernes. Dans une cuisine, par exemple, une plinthe en inox permet ainsi de rappeler certains éléments (électroménager, poignées des meubles, plan de travail…) et/ou d’y conférer un aspect industriel chic. La plinthe miroir est également à la mode. En plus d’être moderne, elle contribue également à agrandir visuellement les pièces.

    3. La plinthe technique

    En plus de ses qualités décoratives, une plinthe peut aussi être fonctionnelle. On peut, par exemple, l’utiliser pour cacher des câbles de son installation audio ou TV. Avec l’avènement des rubans LED, on peut également y intégrer une lumière de balisage afin de créer une atmosphère « high-tech » ou chaleureuse en fonction de la température de lumière retenue. Enfin, sachez qu’il existe des plinthes chauffantes. Assez méconnues, ces dernières, fonctionnant soit à l’électricité soit via l’eau chaude de son chauffage central, permettent alors d’apporter localement un appoint de chaleur appréciable de manière très discrète.

  • Entretien du jardin : 4 mythes trop répandus !

    Sur le web ou dans les livres sont diffusées des méthodes naturelles qui ne sont pas forcément de bonnes solutions. En général, elles ne résistent pas un examen plus approfondi et présentent souvent des désavantages insoupçonnés.

    Désherber avec du sel

    Pour éviter d’utiliser des produits chimiques, extrêmement nocifs, pour désherber vos allées ou votre terrasse, un vieux truc de grand-mère consiste à utiliser du sel. Il est indéniable que le sel est efficace pour désherber, mais il provoque aussi des effets indésirables. En effet, si le sel fera disparaître les mauvaises herbes, il tuera également une grande partie des micro-organismes présents dans le sol. Il faut y ajouter que plus rien ne poussera sur une terre traité au sel pendant des mois et même des années si le dosage était trop important. Même sur une allée cela peut s’avérer néfaste car les eaux de ruissellement propageront le sel là où vous ne le souhaitez pas. Il vaut donc mieux s’abstenir d’utiliser du sel pour désherber en lui préférant une méthode beaucoup plus douce, même si elle est fastidieuse, à savoir l’arrachage manuel.

    L’introduction de coccinelles

    Ces insectes sont des alliés efficaces dans la lutte contre les pucerons, le fait est avéré. Ils se vendent en jardinerie, parfois sous forme de larve. Le problème est que ces coccinelles sont généralement d’origine asiatique. Ces espèces s’adaptent très bien à nos climats, mais elles se reproduisent très vite au détriment des espèces indigènes au point de devenir rapidement envahissantes. Pour éviter la croissance anarchique de coccinelles asiatiques, il y a une évidence: il faut éviter de les introduire dans nos jardins. Si vous souhaitez néanmoins en acheter, assures-vous auprès des jardineries qu’ils vendent des coccinelles de nos régions. Deux alternatives sont possibles: d’une part, favoriser l’installation naturelle de coccinelles bien de chez nous en favorisant la biodiversité végétale ou d’en capturer dans la nature.

    Alléger du sol avec du sable

    Cette méthode est souvent conseillée pour alléger un sol argileux, mais c’est une fausse bonne idée. En effet, le sable et l’argile ne se mélangent pas bien et contribuent à déstructurer le sol. A la moindre pluie un peu soutenue, une couche très dure se formera en surface. La vie aura très difficile de s’y développer. La culture d’engrais verts, des apports réguliers de compost ainsi qu’une couverture permanente du sol sont des solutions plus appropriées.

    Pièges à bière pour les limaces

    La bière attire les limaces et elles se noient dans les récipients disposés près des plantes à protéger. Il s’agit donc d’un piège efficace, mais qui induit cependant un effet non souhaité. En effet, l’attirance pour la bière est tellement forte que des limaces venant de très loin et qui ne seraient jamais venues dans votre jardin, feront le déplacement pour goûter au divin breuvage. Il vaut donc mieux utiliser d’autres méthodes douces comme celle d’une barrière de coquilles d’œufs écrasés par exemple.

  • Une haie artificielle plutôt que naturelle ? Voici 5 avantages !

    Une haie naturelle est évidemment très séduisante mais elle impose également de nombreuses contraintes. Entre son entretien fastidieux, sa pose complexe et sa densité inégale selon les saisons, vous êtes nombreux à vous orienter vers un modèle artificiel.

    Tout d’abord, une bonne nouvelle : les haies artificielles d’aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec les modèles d’autrefois. Comprenez qu’elles sont nettement plus élégantes et qu’elles trompent même les jardiniers experts !

    1. Une pose facile et rapide

    Inutile de creuser dans le sol, d’arroser abondamment, d’attendre que ça pouce et de pester contre les éléments mort-nés : la haie artificielle se pose en rouleau directement sur le grillage de votre clôture. En un tournemain, l’affaire est réglée, avec l’aide d’un peu de fil de fer pour fixer le tout.

    2. Idéal pour un balcon

    Pour une terrasse ou un balcon d’appartement, il s’agit quasiment du seul choix possible. On vous imagine en effet, mal tailler votre haie naturelle sur un balcon de 3 m² situé au sixième étage ! Voilà en tous cas, un brise-vue efficace et élégant.

    3. Endurante

    Contrairement à ce que l’on croit, la haie artificielle est nettement plus résistante que le modèle naturel. Ne serait-ce qu’en termes de protection contre les incendies. Les « feuilles » sont de plus, traitées contre les UV pour un rendu identique au fil des saisons et des années.

    4. Anti-insectes

    Contrairement à une haie naturelle, un modèle artificiel n’attire pas les insectes, ce qui est tout bénéfice pour vos soirées d’été…

    5. Entretien simplifié

    Enfin, le plus gros avantage : le PVC ne pousse évidemment pas et vous pourrez donc vous débarrassez de votre taille-haie ! De plus, il n’attrape jamais de maladies…