Auteur : francois

  • Lavabo suspendu : Voici pourquoi les Belges en raffolent !

    C’est devenu le dernier élément à la mode, dans la salle de bain et les sanitaires : le lavabo suspendu. Sa présence est devenue indispensable dans toutes les dernières constructions à la mode. Mais n’a-t-il que des avantages ?

     

    Le lavabo suspendu rencontre il est vrai, un grand succès, surtout dans les toilettes confinées. En effet, de par sa nature, il permet de libérer de l’espace au sol, ce qui donne non seulement plus de place pour les jambes mais facilite également l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite. Cet espace supplémentaire peut également permettre l’installation d’un petit meuble ou d’une poubelle et donc, de gagner pas mal de place ! Enfin, vous pouvez vous-même choisir la hauteur du lavabo !

    Ces raisons expliquent largement son succès, d’autant que les maisons étant de plus en plus petites, l’exploitation du dernier mètre carré est devenue indispensable. Sachez toutefois qu’il vaut mieux avoir un mur solide pour son installation et que de par sa nature, un lavabo suspendu ne peut masquer les tuyauteries pour l’évacuation des eaux. Bien peu de choses, en somme…

  • Un mur en gabion : avantages, inconvénients, prix ?

    L’entretien d’une haie vous effraye ? Les palissades en bois ne vous semblent ni très solides, ni très esthétique ? Voilà un type de clôture qui pourrait parfaitement répondre à vos attentes.

    Avantages

    C’est une solution durable dans le temps, résistante au vent et aux intempéries. Les grossistes vendent une multitude de pierres dans de larges coloris pour s’intégrer à tous les environnements, d’autant que les murs en gabion existent en différentes épaisseurs et hauteurs. Les possibilités de personnalisation sont donc très larges ! L’entretien d’un mur en gabion est par ailleurs, quasi nul. Notez également que le mur préserve une intimité parfaite quelle que soit la saison. Enfin, l’installation d’un tel mur est très simple et ne nécessite pas de fondation.

    Inconvénients

    Un mur en gabion ne convient pas forcément à tous les styles de maison. C’est une question d’esthétique, mais réfléchissez-y avant de vous lancer… Sachez aussi que le mur doit avoir une épaisseur minimale, ce qui peut poser un problème dans le cas d’une petite cour intérieure.

    Prix

    C’est probablement le plus gros défaut du mur en gabion. Pour la cage, comptez environ 150 € pour une cage de 50x20x100 cm. Et à cela, il faut rajouter les pierres décoratives : tablez sur un prix de 50 à 100 € pour un volume de 0,1 m³.

  • Donnez un vrai coup de jeune à votre maison en remplaçant les poignées de porte !

    Il suffit parfois de pas grand-chose pour donner un vrai coup de jeune à votre maison ! Comme changer les poignées de porte…

    Vous pensez que changer vos poignées de porte est une simple formalité ? Ce n’est finalement pas aussi simple que cela car il faut voir ce que vous devez (ou allez) changer : « Tout dépend, si votre poignée est ronde, à béquille, équipée ou non d’une serrure à clé ou à verrou de fermeture. Vous l’aurez compris, il s’agit avant tout d’identifier convenablement le modèle qui convient à votre porte » confie Christophe, responsable d’un magasin de bricolage.

    En effet, le plus simple est de monter une poignée identique à l’ancienne de manière à ce qu’elle s’insère parfaitement dans votre porte. « Il faut aussi choisir la bonne taille d’entraxe de serrure. Il s’agit de la distance entre le carré de la poignée et le trou de la serrure ou du cylindre. Vous devez également veiller à l’entraxe de fixation [distance entre les vis de fixation haute et basse, ndlr]. Il vous reste à déterminer le sens de pose en fonction de la porte à équiper. Certaines poignées sont à double sens d’ouverture. Pour changer le sens de la poignée, une pince à déclipser servira à sortir les circlips de l’arrière de la poignée » ajoute Christophe. Voilà des conseils simples pour un changement « simple ». Bien entendu, si vos portes sont vraiment anciennes et encore équipées de poignées « à bouton », l’affaire est nettement plus complexe. Mais nous reviendrons plus tard à ce sujet.

  • Quand devez-vous changer votre matelas ?

    Le lit est l’objet que l’on utilise le plus dans notre vie quotidienne mais on ne pense pas assez que pour un sommeil de qualité, il faut une literie adaptée.

    Quand on sait à quel point une bonne nuit de sommeil est importante pour la santé, la productivité et la vitalité, il est parfois curieux de constater que des gens dépensent plus pour 14 jours de vacances que pour 14 années de sommeil (moyenne du temps gardé pour un matelas chez nous) !

    Beaucoup de vendeurs vous conseilleront de changer de literie tous les 7 ans, « mais il faut relativiser ce chiffre, leur but est de vendre et pas de vous conseiller », indiquent des membres de la société Générale Française de Literie. « Nous considérons qu’il faut changer sa literie tous les 8 à 10 ans en fonction de son degré d’usure. Bien sûr, si votre lit vous donne mal au dos, n’attendez pas pour en changer, il y a une réelle relation entre literie et problèmes de dos ».

    Que dit votre matelas ?

    « Un matelas a une durée de vie d’environ 10 ans, soit près de 30.000 heures d’utilisation », confirme Bultex. « Mais observez-le : s’il conserve la forme de votre corps au lever ou s’il a tendance à se creuser, il ne vous assure plus un soutien efficace ». A savoir : un matelas neuf utilisé avec un sommier ancien perd la plus grande partie des avantages qu’il est susceptible d’offrir. Il vaut donc mieux changer le sommier en même temps que le matelas pour un résultat optimal, sinon, c’est un peu comme changer les pneus de sa voiture alors que les amortisseurs ne sont plus bons…

    Ajoutons qu’il est d’usage de choisir des marques identiques pour le sommier et le matelas : les fabricants travaillent sur la complémentarité des ensembles.

  • Prenez soin de vos pierres naturelles en un geste simple

    Si les rayons de produits dédiés à lentretien des pierres naturelles débordent dalternatives, il suffit pourtant dutiliser un seul et même ingrédient pour prendre soin de celles-ci !

    Spray, baume, liquide rénovateur ou encore décapant, les produits commercialisés en vue de prendre soin des pierres naturelles sont légion. Pourtant, un seul et même produit d’origine naturelle permet à la fois de nettoyer mais aussi de protéger les marbres et pierres. Il s’agit de la bonne vieille huile de lin !

    Huile végétale popularisée au 16e siècle, celle-ci a connu un nombre considérable d’usages, à commencer par la peinture à l’huile et le célèbre linoleum utilisé après la Seconde Guerre mondiale pour recouvrir les planchers et parquets. Elle entre aussi dans la composition de nombreux produits pour le ménages, à commencer par la mousse de lin, popularisée dans les années cinquante par l’entreprise mouscronnoise Vandeputte. La mousse de lin (ou savon mou) est obtenue en chauffant l’huile à une température bien définie, qui libère alors de la glycérine.

    Multiusage

    L’avantage de l’huile de lin, c’est qu’elle est disponible à l’état pur, mais aussi dans des produits dérivés. Dans le cas du marbre et de la pierre bleue par exemple, elle pourra être utilisée à l’état brut pour faire briller la pierre. Il suffit de mettre quelques gouttes sur un chiffon doux ou une microfibre et de lustrer la pierre jusqu’à ce qu’elle ne soit plus poisseuse. La pierre qui aura absorbé l’huile bénéficiera alors d’une fine couche de protection au fini brillant.

    L’huile de lin peut aussi être utilisée pour nettoyer la pierre tout en la nourrissant, mais moins qu’avec de l’huile utilisée pure. Pour ce faire, il suffit de diluer de la mousse de lin ou un liquide de nettoyage contenant de l’huile de lin dans de l’eau tiède et de nettoyer la pierre à l’aide d’une serpillère. Les pierres adoucies voire polies préféreront une microfibre dénuée de toute poussière ou particule qui pourrait altérer voire rayer le rendu brillant du matériau. Cerise sur le gâteau : les produits contenant de l’huile de lin dégagent un agréable parfum qui font écho à la propreté de la pièce qui vient d’être nettoyée !

    François Piette

     

  • 5 conseils pour bien choisir votre chauffage de terrasse

    Profiter du soleil sur votre terrasse est évidemment fantastique mais le soir, cela peut tout de même être fort frisquet…

    Un chauffage de terrasse est donc toujours le bienvenu si vous voulez prolonger les soirées. Voici 5 conseils pour choisir le bon modèle pour votre terrasse.

    Conseil 1 : Adaptez votre chauffage au type de votre terrasse

    Avez-vous une terrasse ouverte ou vivez-vous dans un appartement avec une terrasse couverte ? Le type de terrasse que vous avez, joue un rôle dans le choix du chauffage. Avec une terrasse entièrement fermée, les radiateurs à ondes longues fonctionnent mieux. Dans un espace ouvert, il est préférable de choisir des chauffages de terrasse au gaz ou électriques qui émettent de la chaleur rayonnante.

    Conseil 2 : Fixe ou mobile

    Si vous avez une terrasse fixe et un endroit précis où vous vous asseyez souvent, alors un chauffage de terrasse fixe peut offrir une solution. Un chauffage mobile est parfait si vous avez plusieurs terrasses et/ou moins de places assises à l’extérieur. Avec un chauffage au gaz, vous avez une certaine flexibilité.

    Conseil 3 : Pensez à l’avance à votre type de chauffage

    Selon que vous désiriez un chauffage au gaz, à l’électricité ou d’encore un autre type, il est bon d’y penser avant de construire ou de rénover. On pense notamment au renforcement du circuit électrique extérieur ou à l’installation d’une conduite de gaz.

    Conseil 4 : Le gaz est moins cher

    Si vous comptez bien, un modèle au gaz sera toujours moins cher qu’un modèle à l’électricité. Mais les coûts d’installation sont souvent plus élevés pour une installation au gaz. En clair, comprenez qui si vous ne comptez pas l’utiliser souvent, un modèle électrique sera souvent moins cher.

    Conseil 5 : Placez plusieurs modèles

    Si vous avez une grande terrasse, il est souvent plus intéressant de prévoir plusieurs chauffages au lieu d’un seul très puissant.

    Quelques conseils rapides :

    • Placez-les à l’abri du vent, de sorte que la chaleur persiste plus longtemps.
    • Si le modèle est haut, assurez-vous de sa stabilité
    • Une télécommande peut être très utile.
  • Top 5 des plantes pour le bureau

    Ces cinq plantes permettent une productivité en hausse et un stress en baisse. Vous ny croyez pas ? Lisez tout-de-même ce qui suit, vous serez peut-être convaincu !

    Que votre bureau soit situé en entreprise, que vous soyez un adepte du télétravail ou encore indépendant basé à la maison, les plantes ont tendance à stimuler la productivité et à réduire le stress dans tout espace de travail. S’ajoute à cela les plantes qui ont des propriétés dépolluantes, ce qui est particulièrement le bienvenu lorsqu’on travaille dans un bureau climatisé. Enfin, qui dit bureau dit espace restreint souvent peu voire pas éclairé. Les plantes à privilégier devront donc être compactes et peu exigeantes en lumière.

    Dracaena marginata

    C’est la plante parfaite pour un espace de travail. Peu exigeante, elle s’accommode parfaitement d’arrosages irréguliers, tout en purifiant l’air. Et puisqu’elle pousse tout en hauteur, elle occupe peu d’espace grâce à la finesse de son tronc. Placée à mi-ombre, elle vous gratifiera d’un feuillage généreux et élégant.

    Peperomia metallica

    Avec son feuillage compact et tout en rondeur, la peperomia metallica procure un bel effet décoratif une fois placée sur un bureau ou un meuble. Point fort, elle tolère très bien la lumière générée par les tubes fluorescents ainsi que par les sources de lumière LED. De quoi faire d’elle une des reines dans les espaces de travail !

    Sansevieria cylindrica

    Encore une plante particulièrement facile à vivre ! Elle doit son intérêt à la forme cylindrique de ses feuilles qui se dressent tels des doigts sortant d’un pot. Peu exigeante en eau, elle peut rester deux à trois semaines sans être arrosée. Enfin, elle se plaît un peu partout, supportant les courants d’air tout comme l’air sec, mais aussi la lumière vive comme une source d’éclairage artificiel.

    Dracaena sanderiana

    Celle qui est aussi dénommée « canne chinoise » est couramment utilisée dans le feng shui. Elle peut être cultivée dans du terreau mais également directement dans de l’eau distillée ou filtrée, cette plante étant sensible aux substances chimiques. Si elle exige pas mal de lumière (mais pas de soleil direct), elle a par contre horreur des courants d’air et des variations de température brutales.

    Neoregelia carolinae

    Avec son joli feuillage qui rougit juste avant la floraison, la néorégélia est facile à cultiver et gagne à être présentée en suspension. La température de la pièce doit être comprise entre 5 et 24°, la chaleur étant indispensable à la floraison de la plante. La néorégélia apprécie une lumière vive mais pas le soleil direct.

  • Lampes LED : les experts mettent en garde !

    L’arrivée des lampes LED a complètement transformé le marché des luminaires. Economiques et durables, elles ont très rapidement envahi nos vies… Mais il y a un hic, comme l’a révélé l’agence de sécurité sanitaire française (ANSES) dans un récent rapport.

    Ce rapport interpelle en mettant en garde contre les risques sur la santé et l’environnement. En effet, certaines lampes LED pourraient endommager la rétine et perturber le sommeil. Outre la fatigue, ces lampes seraient donc responsables d’une baisse de la vue, notamment chez les plus de 50 ans.

    Pas de panique !

    Inutile cependant d’aller rechercher vos anciennes ampoules halogènes, toutes les lampes LED ne sont pas incriminées. Les ampoules domestiques diffusant une lumière chaude sont généralement sans danger. En revanche, les LED de couleur « froide » (bleutée) sont plus sujettes à caution. On pense notamment aux lampes d’extérieur, aux écrans de smartphone, d’ordinateur, aux phares de voitures…

    L’Anses conseille donc de diminuer l’exposition des jeunes face aux écrans, surtout le soir et de privilégier des lampes chaudes pour l’intérieur.

    François Piette

  • Aménager dans un petit logement : 3 erreurs classiques à éviter

    Avec le prix du mètre carré en hausse quasi constante, nous sommes de plus en plus nombreux à ne plus pouvoir nous permettre l’achat ou la location d’un vaste logement. Cela dit, une surface généreuse n’est pas toujours indispensable : même avec un petit logement, il est possible de vivre agréablement, pour ne pas dire confortablement… Si l’on évite ces erreurs-ci !

    Ne songer qu’aux rangements classiques

    La plus classique des erreurs, c’est de récupérer la vieille commode de votre grand-mère et vouloir à tout prix l’installer dans votre habitation ! Non, ce qu’il faut à un petit logement, ce sont des rangements adaptés et… nombreux ! Il ne faut surtout pas encombrer l’espace, mais combler les vides : pensez à des tiroirs sous le lit ou des marches éventuelles, à des étagères au-dessus des portes, des rangements suspendus…

    Oublier l’espace en hauteur

    Vous habitez une maison de maître avec une belle hauteur sous plafond ? Pourquoi ne pas songer y installer une mezzanine. Certes, il sera sans doute difficile de s’y tenir debout, mais pour une petite chambre, c’est parfait !

    Peindre son appartement dans une couleur sombre

    Le défi, avec un appartement, ce n’est pas seulement de libérer de l’espace, c’est aussi d’y inviter la lumière. Favorisez donc les tons clairs sur les murs et tant qu’à faire, essayez de recourir au maximum à des armoires fermées. Cela permet non seulement d’harmoniser la teinte de l’ensemble, mais aussi de ne pas créer de sensation de désordre. Cela dit, ne prenez pas trop ce conseil au pied de la lettre : une petite teinte vive pourra joyeusement égayer l’ensemble !

  • Comment entretenir sa terrasse en béton ? 5 conseils faciles !

    Une belle terrasse en béton, ça s’entretient. Quelques gestes simples permettent de préserver la couleur et la texture de celle-ci pour les années à venir.

    On reproche souvent au béton d’être sensible aux taches. Or, les sols et le mobilier réalisés en béton résistent bien à l’usure, aux graisses et aux détergents s’ils sont mis en œuvre correctement. Ils sont en effet faciles à entretenir à condition de respecter certaines règles.

    Le béton présente toujours une certaine porosité. C’est pourquoi il est nécessaire de le protéger et de l’entretenir. Au moment de la pose, après durcissement complet, la surface du béton doit recevoir un traitement de protection choisi par l’entrepreneur en fonction de l’usage de la surface.

    Nourrir son sol

    Ensuite, plusieurs produits s’offrent au particulier pour « nourrir » et protéger son sol : la cire d’abeille, l’huile de lin ou encore le savon pur. Ce qui est important, c’est de bien saturer les pores du béton avec ces produits pour empêcher les tâches d’y pénétrer. Ces produits ont l’avantage de conserver la texture naturelle du béton. Généralement, ce genre d’entretien doit être réalisé une fois par an.

    Pour l’entretien courant…

    Un simple produit de nettoyage non mordant (détergent doux à base d’huile de lin, par exemple) suffit tout en évitant une eau trop chaude. Enfin, si votre béton est amené à être fréquemment exposé à des produits agressifs, il est possible de le protéger par l’application d’une résine. Celle-ci forme alors une pellicule imperméable qui empêche totalement l’imprégnation des tâches dans le béton.

    5 conseils

    • Nourrissez votre sol à l’aide d’un produit à base d’huile de lin ou de cire d’abeilles
    • N’utilisez jamais d’eau de javel.
    • Eliminez immédiatement les taches éventuelles
    • Soyez surtout vigilants avec les produits et substances acides telles que le citron ou le vinaigre.
    • En cas de contact accidentel avec un acide, rincez abondamment avec de l’eau pure.