Auteur : francois

  • Quel vitrage choisir pour votre maison ? On fait le point avec vous !

    Opter pour des fenêtres en double voire en triple vitrage offre de nombreux avantages, notamment en termes disolation thermique et phonique. Mais le verre ne se limite plus qu’à une simple histoire de couches, que du contraire !

    Grâce au retour des baies vitrées intérieures, que cela soit pour ouvrir une cuisine vers la pièce à vivre ou une salle de bain vers la chambre à coucher, le simple vitrage est toujours bel et bien d’actualité. Du moins dans nos intérieurs. En effet, trop peu isolant, il n’est plus plébiscité que dans ces cas bien particuliers, mais plus pour une fenêtre donnant sur l’extérieur de la maison. Et quand on sait que les fenêtres représentent quelque 20 % de la déperdition de la chaleur dans une habitation, mieux vaut opter pour un vitrage le plus isolant possible !

    De nos jours, dans plus de 95 % des cas, il est conseillé d’opter pour du double vitrage, à savoir une vitre composée de deux lames de verre séparées entre elles par une lame d’air ou, mieux, de gaz rares comme l’argon ou le krypton qui font office d’isolants thermiques et phoniques naturels. Chaque lame de verre est généralement épaisse de 4 mm, tandis que la lame d’air l’est de 12 à 16 mm.

    Plus cest mieux !

    Dans le cas d’une maison passive ou à énergie positive, on optera pour le triple vitrage. Celui-ci assurera une parfaite isolation, et limitera donc les déperditions énergétiques dans le logement. Celui-ci a pour principe l’assemblage de trois couches de verre, elles aussi remplies de gaz isolant. Une structure particulière qui permet de créer un espace hermétique qui ralentira les déplacements gazeux et bloquera les variations thermiques. Certains facteurs peuvent néanmoins atténuer la qualité de l’isolation de ce type de vitrage, à l’image de la qualité de la menuiserie du châssis, de l’étanchéité, de l’orientation de la fenêtre ou encore de la localisation de la maison.

    Le verre dans tous ses états

    Outre les double et triple vitrages, les fabricants de verre ont également mis au point d’autres alternatives, à l’image du verre Securit, qui retarde les effractions jusqu’à 30 minutes ou le verre antibruit, plus épais, qui est recommandé dans les quartiers qui subissent de nombreuses nuisances sonores. Pour une exposition plein sud, il peut être utile d’opter pour un vitrage doté d’un traitement solaire qui, en renvoyant les rayons du soleil, évitera la surchauffe de vos pièces tout en atténuant les risques de décoloration de vos murs et textiles domestiques. Le verre autonettoyant pour sa part est à privilégier pour les fenêtres difficiles d’accès ou les vérandas. Enfin, petit bijou de technologie, le verre électrostatique s’opacifie sur commande grâce au passage d’un faible courant électrique.

  • Comment arroser votre jardin sans gaspiller ?

    Précieux, lor bleu doit être utilisé à bon escient dans le jardin. Un geste qui sera apprécié par Dame Nature mais qui sera également synonyme d’économies et de gain de temps.

    La base, quand cela est possible, est de récupérer l’eau de pluie. Celle-ci présente une faible minéralisation ainsi qu’un pH légèrement acide apprécié des plantes et fleurs du jardin. Cette eau non potable peut également être utilisée à la maison, notamment pour alimenter chasse d’eau, machine à laver, voire lave-vaisselle. On peut trouver dans le commerce des cuves d’une capacité allant de 200 à 2.000 litres, qui suffiront pour les travaux de jardinage, tandis qu’une contenance plus importante, pouvant grimper à 10.000 litres, sera privilégiée pour un usage hybride, combinant maison et jardin. Dans ce dernier cas, il faudra équiper votre cuve d’une pompe électrique.

    Autre alternative : le pompage de l’eau d’un puit, d’un étang voire d’une rivière. Des pompes spéciales « prêtes à l’emploi », à la fois compactes, efficaces et souvent munies d’une poignée de transport vous permettront de vous alimenter à différents endroits. Les plus modernes d’entre elles disposent d’un filtre, d’un capteur de pression et d’un arrêt automatique en cas de manque d’eau. Pour les puits, privilégiez les modèles submersibles.

    Quelques trucs

    Pratiquez l’arrosage de votre jardin en soirée, à l’aide d’ustensiles adaptés. Ces derniers sont à présent compacts, ce qui permet de les ranger plus facilement, ergonomiques pour une meilleure maniabilité et optimisés pour des réglages plus précis. Ils sont aussi plus économes, avec une pulvérisation réduite, ce qui permet d’économiser jusqu’à 20 % d’eau !

    Micro-irrigation

    Ce qu’on appelle la micro-irrigation ou le goutte-à-goutte n’est pas à négliger. Une technique qui offre un gain de temps et des économies substantielles et qui associe un réseau de tuyaux à des goutteurs qui acheminent l’eau directement au pied de la plante et ce, sans perte par évaporation ou ruissellement. Un système modulable qui s’adapte aux jardins de taille moyenne ainsi qu’aux potagers, aux haies voire aux terrasses et balcons.

    Arrosage automatique

    Enfin, l’arrosage automatique a quant à lui fait l’objet de belles évolutions au cours de ces dernières années, ici aussi dans un souci d’économie et de facilité d’utilisation. Des pompes basse tension, associées à des réservoirs d’eau représentent la solution idéale. Le tout peut être automatisé grâce à un programmateur connecté à l’alimentation d’eau, voire à une sonde d’humidité ou à un pluviomètre.

  • Climat : Voici des mesures envisagées qui pourraient aussi soulager votre portefeuille !

    « Avec la mobilité, nous sommes l’industrie qui fait partie de la solution dans la lutte en faveur du climat », a indiqué Robert de Mûelenaere, administrateur délégué de la Confédération Construction. Il a détaillé plusieurs mesures qui doivent permettre de rendre les bâtiments moins énergivores… Et qui pourraient aussi profiter au portefeuille des particuliers !

     

    Toutes ces propositions ne sont pas neuves, à l’instar de la demande de généralisation de la baisse de la TVA sur la démolition-reconstruction. Actuellement, la TVA est de 21% en Belgique sauf dans 32 centres urbains où le taux a été revu à 6%. La Cour des comptes estime le coût d’une généralisation 6% à 100 millions d’euros.

    Un revenu cadastral inchangé ?

    Une personne qui a effectué des rénovations à son logement pour en améliorer l’efficacité énergétique ne doit pas être pénalisée fiscalement, en voyant son revenu cadastral à la hausse par exemple.

    Des emprunts verts facilités

    La Confédération demande l’application des taux d’intérêt verts afin d’augmenter la capacité d’emprunt des acheteurs et à intégrer l’impact de la facture énergétique dans la capacité de remboursement. L’intervention d’un tiers investisseur est aussi évoquée. Un propriétaire pourrait ainsi financer des travaux de rénovation avec l’aide d’un tiers à condition de jouir d’une rentabilité suffisante.

    La Belgique est le pays en Europe où le rattrapage énergétique à faire sur les bâtiments est le plus important. Les logements et bâtiments y représentent 40% des émissions de CO2 et trois quarts des logements datent d’avant 1985, lorsque sont apparues les premières réglementations thermiques.

     

  • Sauna, hammam ou jacuzzi, que choisir ?

    Trouver un peu de temps pour soi malgré un quotidien particulièrement chargé, voilà qui relève parfois du miracle. À ce titre, une pièce de la maison peut être convertie en une véritable « zone de bien-être ».

    Très tendance, la cabine de douche-hammam est idéale car elle cumule les côtés pratiques d’une douche et le plaisir d’un hammam conventionnel. La vapeur générée par le hammam délasse en profondeur tout en détoxifiant votre organisme. En fin de séance, la douche vous permet quant à elle, de vous rafraîchir pour une véritable « expérience globale ».

    Des cabines tout-en-un sont bien entendu proposées sur le marché mais des solutions sur-mesure peuvent aussi être commandées auprès des spécialistes du secteur. Notez que le hammam nécessite une arrivée d’eau courante, une évacuation ainsi qu’un raccord à l’électricité avec un minimum de 16 ampères. Il ne peut donc pas être installé dans n’importe quelle pièce de la maison.

    Les alternatives

    Différent, puisqu’il génère une chaleur sèche, le sauna est complémentaire au hammam. Il détend les muscles et les articulations et est idéal après un jogging ou une séance de sport. Il exerce également une action purifiante sur les pores de la peau en procurant un effet déstressant. Au contraire du hammam, le sauna ne nécessite qu’une installation électrique. Il peut donc être logé sur une terrasse, dans un garage voire sous un toit.

    Autre option : le bain à remous, plus communément appelé jacuzzi. Moyennant une série d’adaptations, dont le renfort et la stabilisation du sol dans certains cas, l’installation d’un extracteur d’air et une alimentation électrique à proximité, le jacuzzi peut être installé à l’intérieur comme à l’extérieur. La capacité du bain peut varier de 2 à près de 10 personnes tandis qu’en fonction du modèle, vous pouvez opter pour un remplissage et une vidange automatiques à condition que le jacuzzi soit équipé et raccordé en conséquence. Plus simple et moins onéreux : une baignoire de taille standard, équipée de jets massants et/ou d’un compresseur qui génère un flux de bulles d’air.

  • Vous changez vos châssis : avez-vous besoin d’un permis d’urbanisme ?

    Vous décidez de remplacer vos vieux châssis par des modèles plus performants. Avez-vous besoin d’un permis d’urbanisme ? Une fois de plus, tout dépend de la région où vous habitez !

    Certaines communes étant plus tatillonnes que d’autres, nous vous conseillons de vous adresser au département urbanisme de votre commune.

    Bruxelles

    C’est à Bruxelles que les règles sont les plus contraignantes. En effet, vous avez besoin d’un permis d’urbanisme si vous changez vos châssis. Il existe toutefois une exception si vous les remplacez par des modèles parfaitement identiques ! Comme c’est rarement le cas, disons qu’il existe une certaine tolérance si les changements sont en apparence mineurs et si l’homogénéité d’ensemble est préservée.

    Wallonie

    En Wallonie, généralement, un permis n’est pas nécessaire. L’idée est en effet de faciliter au maximum l’installation de châssis performants. Attention toutefois, certaines communes sont plus sensibles sur ce sujet que d’autres, notamment lorsqu’il est question d’harmonie d’ensemble.

    Flandre

    En Flandre, les règles sont assez similaires à la Wallonie. Un permis n’est généralement pas demandé, sauf, bien entendu, s’il s’agit de nouvelles fenêtres et qu’un mur doit être percé. Dans ce dernier cas, il faut un permis, quelle que soit la région !

  • 5 conseils pour créer une atmosphère de plage dans votre maison

    Les beaux jours, la plage est sans doute l’endroit idéal pour passer du bon temps… Mais que faire si vous êtes coincé chez vous ? Il vous suffit de ramener la plage chez vous ! Voici comment donner une petite atmosphère marine à la maison, sans les grains de sable qui s’infiltrent partout !

    Palette de couleurs

    Beige, bleu azur… Les couleurs de la côte sont magnifiques et avec les bons accessoires, il est assez facile d’amener la côte chez vous ! Si vous voulez rester subtil, tenez-vous en à une seule couleur. D’ailleurs, avec des bâtonnets parfumés, vous pouvez apporter la typique odeur salée de la mer dans votre maison.

    Accessoires de plage

    Vous allez bientôt à la mer? Dans ce cas, ramenez des souvenirs ! Des coquillages, des pots de sable ou quoique ce soit d’autre… Mais vous pouvez tout aussi bien faire une jolie photo de famille et l’encadrer.

    Matériaux naturels

    Quand vous parlez de plage, vous parlez aussi de matériaux naturels comme le bois, le roseau et le lin. Des sièges en bois et une lampe en osier complètent le tableau.

    Lumière

    Des bougies peuvent créer une ambiance typée sur votre terrasse le soir. Les abat-jours en matériaux naturels sont également les bienvenus.

    Un filet

    Un filet de pêche, plus ou moins posé sur le mur de manière négligée, sur lequel vous accrochez quelques souvenirs, comme des photos, sera parfaitement dans le ton !

  • Pensez à retourner votre matelas !

    Retourner régulièrement son matelas permet non seulement de prolonger sa durée de vie. Mais aussi, au cas où vous ne le sauriez pas, d’assurer son confort climatique puisque de nombreux matelas présentent une face hiver et une face été !

    La durée moyenne de vie d’un matelas est d’environ 8 à 10 ans. Mais pour pouvoir garder son matelas au top de « sa forme » durant cette longue période, il convient néanmoins de le retourner régulièrement.

    Usure plus régulière

    Cette manœuvre permettra en effet de lisser l’usure de son matelas et d’éviter que certaines zones, plus sollicitées, ne s’affaissent plus rapidement. Surtout pour un matelas à deux places, puisqu’il est assez rare que les deux « dormeurs » présentent exactement le même poids et la même morphologie…

    Solution hygiénique

    Retourner régulièrement son matelas permet également de lui assurer une meilleure aération tout en limitant l’accumulation d’acariens aux mêmes endroits. D’autant plus si on profite de l’occasion pour passer un bon coup d’aspirateur sur son matelas.

    Confort climatique

    Au cas où vous ne le sauriez pas, de très nombreux matelas présentent une double face : été/hiver. On veillera alors à mettre la face hiver, en laine, vers le dessus durant les mois les plus froids. Cette surface permettra alors de mieux conserver la chaleur « sous sa couette ». À l’inverse, on mettra la face été, en lin ou en coton, vers le dessus durant les mois les plus chauds de l’année. Cette surface rendra alors le contact avec le matelas plus frais.

    4 fois par an

    Idéalement, on retournera au moins son matelas 4 fois par an. On alternera la face supérieure avec la face inférieure au début de l’hiver et au début de l’été (en le manipulant à deux pour éviter de se faire mal au dos !). On permutera ensuite le haut du matelas (le côté de la tête) avec le bas (le côté des pieds) chaque fois au milieu de ces deux saisons.

  • Douche à l’italienne : les 4 inconvénients qui incitent les Belges à la délaisser

    C’est la grande tendance du moment. En matière de salle de bain, on ne parle plus que de la douche à l’italienne. Elle envahit à une vitesse faramineuse les maisons et les appartements les plus chics et a d’un coup, démodé les cabines.

    Pourtant, ce type de douche n’est pas dénué d’inconvénient, loin de là. Cela explique d’ailleurs pourquoi la douche à l’italienne ne perce pas partout…

    Mais d’abord, un petit rappel. Une douche à l’italienne, c’est quoi ?

    Une douche à l’italienne se caractérise par son… sol. En effet, ce dernier est au même niveau que celui de la salle d’eau.

    Installation complexe

    Contrairement à une cabine, l’installation d’une douche à l’italienne requiert des professionnels. En effet, pour avoir un sol à hauteur égale, il faut soit relever le sol de la salle de bain, soit creuser là où la douche sera installée. Il faudra également soigner l’écoulement de l’eau, avec une pente de 1 à 3 cm/m vers le drain. L’étanchéité est également primordiale, car une fuite d’eau entrainera des coûts conséquents !

    Attention, ça glisse !

    Attention à bien choisir le carrelage : optez pour un modèle antidérapant, sous peine d’effectuer quelques pirouettes aussi spectaculaires que dangereuses. N’oubliez pas non plus que vous retrouverez le même carrelage dans toute la salle de bain.

    En cas de problème…

    L’évacuation pose un problème ? Il y a des fuites ? Dans ce cas, les solutions ne sont hélas pas très réjouissantes. Il s’agira en effet de tout casser ! Pour éviter ce type de « désagrément », vous pouvez toujours installer un bac receveur de douche. Ce ne sera plus tout-à-fait une vraie douche à l’italienne (petite marche oblige), l’esthétique y perd un peu, mais vous gagnerez (un peu) en facilité de démontage.

    Coût

    On l’a vu, l’installation complexe d’une douche à l’italienne exige de faire appel à un professionnel… Qui devra faire face à des travaux plus ou moins lourds ! En clair, tout ceci a un coût et la note ne sera en effet pas légère.

  • Votre parasol est en piteux état ? Voici une solution magique en 3 étapes !

    En prévision des beaux jours, il est temps de lorgner sur votre mobilier de jardin. Comme nombre d’entre nous, vous constatez avec effroi que votre parasol n’est absolument pas présentable pour la belle saison qui s’annonce ? Voici une recette magique pour lui redonner vie !

    Un parasol entreposé dans une cave ou dans un garage peut être victime de nombreuses agressions et dégradations. Nous pensons par exemple, aux traces de moisissure, aux toiles d’araignée, aux insectes accrochés et à toutes les taches possibles imaginables !

    Première étape : dépoussiérez !

    Prenez d’abord le temps d’ôter toute la poussière qui le recouvre, que ce soit avec un plumeau, une lavette en microfibre, voire un aspirateur.

    Deuxième étape : la potion magique !

    Dans un litre d’eau chaude, versez environ 200 ml de cristaux de soude. Ces derniers ont un gros pouvoir dégraissant. Munissez-vous de gants et d’une brosse, frottez assez énergiquement la toile et ensuite, rincez abondamment à l’eau claire, idéalement via un flexible à une pression modérée.

    Troisième étape : séchage

    Il ne vous reste maintenant plus qu’à laisser sécher le parasol, idéalement au soleil, mais toujours bien ouvert. Ne le refermez que lorsqu’il est parfaitement sec !

  • Comment entretenir ses rosiers ?

    Les roses, ce sont les reines du jardin, déclinées en de multiples couleurs, agréables à la vue et à l’odorat. Pour obtenir une bonne floraison, il vous faudra l’entretenir tout au cours de l’année.

    En effet, l’entretien des rosiers diffère de saison en saison. Ce sont des gestes très simples, mais qui demandent une attention soutenue. Du mois de mars au mois de septembre, il faut biner mensuellement pour briser les gros blocs de terre qui empêchent la pénétration de l’eau d’arrosage. De plus, pour protéger les plants d’une éventuelle contamination, les mauvaises herbes doivent être continuellement enlevées.

    Comme toutes les plantes, les rosiers ont besoin d’éléments nutritifs pour s’épanouir. L’apport d’un engrais liquide ou sous forme de granulés stimulera la pousse et la floraison, même pour les rosiers anciens. Dès l’apparition de taches brunes ou jaunes, il faut agir en traitant les plants avec un fongicide à raison d’une pulvérisation tous les 20 jours.

    La présence d’insectes (fourmis, pucerons, chenilles) doit également vous alerter. Pour prolonger la floraison et stimuler la repousse, il est conseillé de couper les fleurs fanées et d’éliminer systématiquement les gourmands. En suivant ces quelques conseils très simples, vous profiterez longuement de vos rosiers.