Auteur : francois

  • Vous voulez acheter un kot étudiant ? Voici ce qu’il faut savoir !

    Dans peu de temps, les étudiants retourneront à l’école ou à l’université. Nombre d’entre eux auront besoin d’un logement près de leur lieu d’étude… Et ce n’est pas un secret : le marché des kots peut être assez rentable ! Mais que faut-il savoir avant de se lancer ?

    Quel est le coût de la location ?

    Les études coûtent cher, surtout si les enfants vont en kot. Des études de 5 ans coûtent vite 22.000 euros. Si vous avez plus d’un enfant, les prix deviennent évidemment vite élevés. Si vous voulez donner un peu plus de confort à vos enfants, ce budget peut grimper à 30.000 euros. Beaucoup de gens envisagent dès lors d’acheter un kot, puis de le louer par la suite.

    Combien coûte un kot étudiant ?

    Il y a deux options possibles : soit vous achetez un immeuble avec plusieurs kots, soit vous achetez un kot individuel. Gardez à l’esprit que la première option implique de nombreuses conséquences. Il faut entretenir le bâtiment, louer les chambres et rédiger toutes sortes de contrats. Si vous choisissez un kot individuel, vous aurez moins de soucis et vous pouvez compter sur un prix d’achat moyen d’environ 115.000 €.

    De quoi faut-il tenir compte lors de l’achat d’un kot ?

    De plus en plus de kots sont proposés sur le marché, qu’ils soient ou non offerts directement par l’université ou la haute école. Certes, certains kots en mauvais état restent vacants. Si vous ne louez pas votre kot avant septembre, il y a de fortes chances qu’il reste vacant pendant une année entière.

    L’emplacement de votre kot est crucial. Plus vous vous rapprochez de l’école, plus vous avez de chances d’obtenir un locataire.

    Gardez à l’esprit la partie fiscale !

    Si vous louez un kot non meublé, le revenu cadastral de la chambre sera augmenté de 40% et vous serez imposé. Si vous avez emprunté, vous pouvez réduire votre revenu imposable avec les intérêts de ce prêt. Si vous louez votre kot meublé, vous payez encore plus cher. 40% des revenus sont considérés comme des revenus mobiliers. Vous pouvez toutefois déduire 50 % de ce montant à titre de déduction des frais, puis payer 15 % d’impôt sur ce montant. À cela s’ajoute la taxe communale.

    Frais annexes

    N’oubliez pas que vous devez aussi payer les frais de notaire et les droits d’enregistrement. Ces droits sont de 10% en Flandre et de 12,5% à Bruxelles/Wallonie.

    Ça en vaut la peine ?

    Réfléchissez à deux fois avant d’acheter un kot. Ça peut rapporter de l’argent, mais il faut bien faire les choses. Sachez aussi que les étudiants ne prennent pas toujours soin de leur kot…

  • Voici comment couvrir votre entrée à tout petit prix !

    C’est classique : une fois arrivé devant votre porte, vous cherchez longuement vos clés et pendant ce temps, les éléments se déchaînent. Vous finissez alors, selon la saison, détrempé, gelé ou rôti ! Voici comment apporter une solution toute simple !

    Un auvent vitré, une marquise pour être plus précis, ne coûte que quelques dizaines d’euros et pourtant, au quotidien, elle change vraiment la vie. C’en est fini d’avoir les courses détrempées pendant que vous cherchez vos clés ! Facile à installer, elle ne coûte de plus, que quelques dizaines d’euros. Les prix s’envolent à près de 400 euros pour les modèles les plus élaborés, avec châssis en aluminium. Le toit, généralement en polycarbonate, doit être suffisamment solide que pour résister à de fortes chutes de neige. Jetez donc un œil attentif aux caractéristiques du modèle convoité avant de jeter votre dévolu sur lui, surtout s’il est affiché à un prix plancher !

  • Baignoire ou douche : qu’est-ce qui donne le plus de valeur à votre maison ?

    Que ce soit avec un objectif de revente ou de mise en location, il s’agit d’une question assez récurrente : qu’est-ce qui donnera le plus de valeur à votre maison, une baignoire ou une douche ? Eh bien… ça dépend !

    En effet, tout dépend de la taille de votre bien. On imagine qu’un bien comportant 3 chambres se destine de préférence aux familles. Et pour elles, surtout si elles sont de jeunes enfants, la baignoire reste un gros atout. D’autant qu’une douche, prenant par définition nettement moins de place, peut être facilement installée dans la même salle de bain si celle-ci est suffisamment grande, voire dans l’une des chambres, moyennant quelques travaux plus conséquents, comme l’arrivée et l’évacuation de l’eau. Notez également qu’il est aujourd’hui, parfaitement possible d’aménager une baignoire pour y prendre des douches ! Certes, l’accès n’est pas aussi aisé ce qui exclus la location ou la vente à des personnes plus âgées…

    En revanche, si le bien en question est un studio ou un petit appartement comptant une, voire deux petites chambres, alors une douche sera sans doute plus indiquée. Si vous n’imaginez pas une famille avec enfants débarquer dans votre bien, une douche est la solution. Pourquoi ? Parce qu’elle est plus sécurisante pour les personnes âgées et qu’elle est plus tendance pour les jeunes adultes sans enfant au train de vie agité ! Et dans ce cas, on préférera de loin une douche aux dimensions copieuses à une baignoire traditionnelle. Et si en plus elle est à l’italienne, c’est encore mieux !

  • Une piscine aussi pure qu’un lac de montagne : cette invention belge est révolutionnaire !

    A l’heure du bio, il est tout de même curieux de constater que les piscines doivent être entretenues avec du chlore et des produits chimiques… Ce n’est plus le cas aujourd’hui ! Une invention belge propose la filtration bio-minérale ! Sudpresse nous explique le tout dans le détail

    C’est à la société Aquatic Science, installée à Herstal, à côté de Liège, que l’on doit cette première. « Notre fil conducteur, c’est de reproduire un lac de montagne » explique son patron, Frédéric Luizi. Certes, la filtration bio n’est pas une première en soi, certaines piscines confiant leur filtration au lagunage, soit via des bactéries et des végétaux. Mais ce système montre aujourd’hui ses limites, « notamment parce qu’on ne peut pas demander aux plantes de s’adapter au nombre de baigneurs » explique Frédéric Luizi.

    A vrai dire, c’est un système de filtration pour bassin avec poissons qui a séduit les propriétaires de piscine, étonné de l’eau généralement plus pure que celle de leur propre piscine. Ils ont alors convaincu la société de développer un système similaire pour leurs piscines ! L’action de filtration se passe en deux phases : diminuer les déchets organiques (via des bactéries) et enrichir l’eau en minéraux (magnésium, calcium et carbonate). Les ajustements sont automatiques et le contrôle de la qualité de l’eau se fait depuis une application.

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  • Sécheresse : voici comment sauver votre potager !

    En période de sécheresse, les potagers nécessitent un arrosage important. Mais sachez qu’un paillage efficace permettra de réduire considérablement la quantité d’eau nécessaire pour le développement de vos légumes !

    Pailler son potager consiste à recouvrir le sol autour de ses plants de légume d’une couche de protection (si possible) végétale. Ce paillis peut être réalisé à partir de nombreux éléments différents : foin, paille, feuilles mortes, fougères, copeaux de bois, écorces décomposées, tondes de pelouses (une fois les herbes préalablement bien séchées au soleil), etc.

    Avantages indéniables

    En fonction de la saison, le paillage comporte de nombreux avantages comme limiter la prolifération des mauvaises herbes, isoler la terre du froid, enrichir le sol grâce à la lente décomposition du paillage. En cette période estivale, le paillage présente aussi un autre avantage intéressant : limiter l’évaporation de l’eau.

    Economie d’eau

    Protégeant la terre des rayons directs du soleil, le paillage va en effet limiter considérablement l’évaporation de l’eau contenue dans le sol. Une zone paillée va donc rester humide plus longtemps et les cultures qui y sont plantées auront alors moins besoin d’arrosage. Surtout si vous optez pour un paillis épais (une bonne couche de 10 à 15 cm de foin par exemple). De plus, un sol nu forme une croute en surface en cas de sécheresse. Croute qui empêche, ensuite, une bonne absorption de l’eau lors d’un arrosage ultérieur. L’eau y ruissellera en surface et ne pénètrera pas profondément dans le sol. A l’inverse, un sol paillé absorbe mieux l’eau lors des arrosages. On peut donc limiter drastiquement la quantité d’eau utilisée.

  • Vous désirez construire une piscine ? Voici les règles !

    Avec la chaleur que nous connaissons en ce moment, vous êtes nombreux à songer à l’installation d’une piscine. Avant de commencer une construction à la hâte, il faut tenir compte de la loi. Nous vous donnons un aperçu des règles les plus importantes.

    Un permis n’est pas toujours requis

    Vous voulez construire une piscine, mais une demande de permis vous semble fastidieuse ? Sachez que les règles diffèrent selon la région. En Wallonie, votre piscine doit être installée parallèlement à la maison et doit couvrir une surface inférieure à 50 m2. Toutefois, si votre maison n’est pas parallèle à la route, vous aurez besoin d’un permis simplifié. Pour ce faire, nous vous conseillons de vous informer auprès de votre commune.

    En Flandre, d’autres règles prévalent. Pour être exempté de permis, il est par exemple nécessaire que la construction se situe à plus d’un mètre de votre clôture, que la piscine soit également située à moins de 30 mètres de votre maison, qu’elle ne se situe pas en zone sensible, ni au bord d’une rivière… La règle la plus importante est que le total de vos constructions non couvertes ne doit pas dépasser 80m2. Concrètement, cela signifie que vous devez également tenir compte de votre terrasse ou d’un étang d’agrément, par exemple, ce qui signifie que vous pouvez atteindre 80m2 assez rapidement.

    Demandez à votre commune

    Si vous envisagez une piscine, veuillez toujours contacter la commune qui saura vous aiguiller. De plus, dans certaines communes, il y a toujours une obligation de déclaration ! Si vous faites appel à un entrepreneur, il saura certainement vous aider avec la partie administrative.

     

  • Quel frigo choisir : no frost ou froid statique ?

    Depuis quelques années, les réfrigérateurs no frost ont envahi les rayons des enseignes spécialisées en électroménagers. La panacée par rapport aux modèles qui privilégient le froid statique ? On vous explique les différences.

    Le petit monde des frigos a connu de belles évolutions au cours des dix dernières années. Froid statique, froid brassé, no frost (voire total no frost) ou encore no frost bio, ce ne sont pas les alternatives qui manquent sur le marché. L’occasion de faire le point, en fonction de vos besoins !

    No frost et total no frost

    Ces modèles présentent l’avantage de ne pas nécessiter un dégivrage du congélateur, tout en limitant la formation de moisissures ou de mauvaises odeurs à l’intérieur du réfrigérateur grâce à un évaporateur motorisé ainsi qu’à un système de ventilation qui se charge du traitement de l’air. En captant la condensation générée par les aliments, ce réfrégirateur prévient également la formation de givre.

    Du coup, comme ce système privilégie un environnement sec au sein du frigo, cela peut entraîner le dessèchement des aliments frais comme les fruits et les légumes. Il est donc recommandé de conserver ceux-ci dans un sachet en plastique avant de les placer au réfrigérateur.

    Froid statique : le grand classique

    C’est la technologie la plus commune et la plus ancienne. Celle-ci se caractérise par la présence d’un moteur, avec un circuit réfrigérant spécifique au frigo et un second au congélateur (si l’appareil en est doté). Le processus de refroidissement s’opère grâce à un gaz réfrigérant qui se déplace dans les différentes zones froides de l’appareil jusqu’à ce que la température souhaitée soit atteinte.

    Les modèles à froid brassé exploitent exactement la même technique mais ils sont dotés d’un ventilateur placé dans le compartiment du réfrigérateur qui permet d’uniformiser la répartition du froid. Ce qui permet de mieux conserver les aliments.

    L’un comme l’autre nécessitent un dégivrage manuel lorsque cela s’impose, c’est à dire au moins deux fois par an tout en sachant que l’apparition de givre est causée par le gel de la condensation qui provient des aliments mais aussi de l’air qui entre à chaque ouverture de la porte du frigo.

    No frost bio : la nouvelle tendance

    Le no frost bio (appelé aussi no frost partiel) constitue la dernière technologie en matière de réfrigération. Celle-ci combine les caractéristiques d’un réfrigérateur à froid statique avec celles du no frost. Concrètement, la partie réfrigérante est à froid statique ou brassé (elle ne dessèche donc pas les aliments) tandis que le congélateur est pour sa part de type no frost, ce qui évite du coup de devoir le dégivrer manuellement. De quoi combiner les avantages des deux technologies !

    Enfin, petite recommandation pour un réfrigérateur en pleine forme : le givre accumulé dans le congélateur doit être retiré dès que son épaisseur atteint 2 mm sous peine d’endommager le moteur de l’appareil à long terme !

  • 5 conseils pour dormir au frais, sans climatisation !

    La température idéale pour dormir est d’environ 18 degrés. Mais en cette période de canicule, nous serons bien peu nombreux à profiter d’une température aussi fraîche dans la chambre à coucher ! Comment, dès lors, s’assurer un sommeil de qualité ? Voici 5 conseils pour vous « maintenir au frais » !

    1. Descendez d’un étage !

    C’est bien connu, l’air chaud monte. Rapprochez-vous donc du plancher, en déposant votre matelas à même le sol.

    2. Virez vos tapis !

    Tapis, couvertures, coussins et autres retiennent généralement la chaleur. Vous pouvez toujours placer quelques plantes qui viendront dépolluer l’atmosphère.

    3. Ouvrez fenêtres et rideaux au bon moment

    La nuit, la température est généralement plus fraîche dehors que dedans. Ouvrez donc les fenêtres en grand et laissez les rideaux ou les volets ouverts, de manière à favoriser la circulation de l’air. En revanche, la journée, fermez tout !

    4. Vos draps au frais !

    L’astuce du siècle ? Placez vos draps et housses dans un sac hermétique et expédiez celui-ci au congélateur !

    5. Éteignez vos appareils électriques

    Même lorsqu’il est en mode veille, un appareil électrique émet de la chaleur. La solution ? Les éteindre complètement, voire retirer la prise !

  • Toit en chaume : avantages et inconvénients

    Le chaume est utilisé pour couvrir des toitures depuis plus de 2000 ans. Un artisanat qui a bien évolué et qui offre aujourdhui les couvertures de toit les plus esthétiques et décoratives qui soient.  

     

    C’est un des matériaux les plus écologiques dans le secteur de la construction. Le toit de chaume est généralement constitué de pailles de blé et de seigle, mais également de tiges de roseaux (ou de sagne) ainsi que de genêts et de bruyères. Son utilisation était très répandue jusqu’à la fin du 19e siècle en raison du faible coût du matériau ainsi que pour l’excellente isolation thermique qu’il procurait. Très présent dans les campagnes d’alors, mais aussi parfois en ville, il a donné naissance au terme de chaumière, pour désigner une maison dont le toit est recouvert de chaume. Voici quels sont les avantages et inconvénients d’une telle toiture.

    Points forts

    Le chaume est un matériau issu d’une ressource renouvelable. Naturel et durable, il offre aujourd’hui à une toiture bien entretenue une durée de vie de 50 ans ! Il opère son grand retour grâce à ses qualités disolant thermique (RC = 1,25 et supérieur) mais aussi phonique, tout en offrant charme, authenticité et caractère. Plus que tout autre matériau, le chaume dégage un certain charisme ce qui n’est pas sans apporter une plus-value au bien qu’il recouvre.

    Excellent isolant, il concourt à faire diminuer le montant de votre facture énergétique. Dans la même veine, le chaume, au contraire des tuiles, prévient des courants dair ainsi que de la condensation dans les combles. Il assure aussi une ventilation optimale de la toiture. Flexible, un toit de chaume permet d’être créatif au niveau des formes, de quoi notamment jouer sur les courbes, chose impossible avec des tuiles ou de l’ardoise. Léger (environ 40 kg par mètre carré), le chaume ne nécessite pas de forte charpente.

    Points faibles

    Les techniques de pose actuelles permettent d’optimaliser la sécurité incendie des toits de chaume. Ce matériau naturel, s’il n’est pas posé dans les règles de l’art, demeure inflammable même si la présentation en paquets est nettement moins susceptibles de prendre feu. C’est aussi le cas de la technique de construction en toiture fermée qui limite tout risque d’incendie et qui diminue donc le coût de votre assurance habitation.

    Le chaume exige un entretien régulier, c’est donc un coût supplémentaire à prendre en compte dans votre calcul initial. Par contre, les toits en chaume contemporains présentent une durée de vie d’un demi siècle, ce qui est supérieur à l’ardoise par exemple. L’entretien ne prend que quelques heures et offre un aspect « comme neuf » à la toiture une fois celui-ci effectué.

    La pose du chaume doit être effectuée par un professionnel. De quoi, outre les risques d’incendie, également limiter l’apparition d’araignées, de guêpes et de poussière sous le toit. Et, étant donné qu’on ne se déplace pas sur un toit en chaume comme sur une toiture en tuile, il est vivement déconseillé de s’y rendre s’il est recouvert de chaume.

    Enfin, la qualité du roseau utilisé est primordiale. Les professionnels recommandent le roseau d’eau douce de premier choix, provenant du nord des Pays-Bas, le berceau des toits de chaume, car celui-ci jouit de la durée de vie la plus longue.

  • Vacances : 5 conseils pour éviter les cambriolages !

    Sudpresse s’est entretenu avec Cédric Le Blévennec, expert en sécurité, pour connaître les bons conseils à adopter avant de partir en vacances. En voici quelques-uns :

    1. Ne chargez pas en pleine rue

    Bien évidemment, c’est un conseil qui sera difficilement applicable pour ceux qui n’ont pas de garage… Mais si vous en avez un, n’hésitez pas !

    2. Préservez vos habitudes

    Cédric Le Blévennec explique : «  Les voleurs surveillent votre maison de près avant de commettre leur crime. Par conséquent, ils remarquent que les lumières s’allument et s’éteignent toujours au même moment ou ils voient si votre courrier est récupéré ou pas. » D’où l’intérêt de demander aux voisins ou à la famille de récupérer votre courrier ou de simuler une présence, en allumant les lumières par exemple, voire en tirant les rideaux. Une maison intelligente peut aussi vous y aider.

    3. Branchez votre alarme

    Cela semble tomber sous le sens, mais dans la précipitation ou l’enthousiasme, on peut vite oublier ce geste habituel. Toutefois, Cédric Le Blévennec prévient : « cela ne signifie pas [que le cambrioleur] ne tentera pas de pénétrer dans le logement ».

    4. Faites le ménage sur votre terrasse et dans votre jardin

    « Les voleurs utilisent souvent des objets qui traînent aux alentours d’une maison pour commettre leurs crimes. C’est pourquoi il est crucial de laisser le moins de choses possibles sans verrou ou sans attache. » L’expert en sécurité pointe notamment les pierres et nains de jardin qui peuvent servir à briser les vitres !

    5. Demandez à votre voisin de se garer devant chez vous

    Si vous avez une allée, le bon réflexe est de demander à votre voisin de se garer de temps à autre devant chez vous. Si vous laissez un véhicule devant chez vous, demandez à quelqu’un de le déplacer, pour simuler une présence.

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