Auteur : francois

  • Devez-vous vraiment mettre du sel dans votre lave-vaisselle ou dans votre adoucisseur ?

    Mais pourquoi donc mettre du sel (et pas autre chose) dans votre lave-vaisselle ou dans votre adoucisseur domestique ? Est-ce vraiment indispensable ? Réponse ci-dessous !

    Le processus d’adoucissement de l’eau, à savoir la suppression du calcaire en son sein, est rendu possible grâce à une résine spéciale qui permet d’échanger les ions calcium et magnésium en ions sodium. Pour que le travail effectué par cette résine puisse s’inscrire dans le temps, celle-ci a besoin d’être régénérée afin de préserver ses propriétés adoucissantes. Une régénération qui consiste en un nettoyage à l’aide de saumure (de l’eau salée) qui va débarrasser la résine de tous les ions calcium et magnésium accumulés lors du filtrage de l’eau « dure ».

    Les ions sodium de la saumure, présents en quantité importante grâce à l’apport régulier en sel, vont se substituer progressivement aux ions calcium et magnésium. La résine se retrouve ainsi à nouveau saturée en ions sodium et redevient du même coup efficace pour adoucir l’eau.

    C’est donc pour cette raison qu’on adoucisseur « consomme » du sel qui va assurer la fonction régénérative de votre adoucisseur domestique. L’adoucisseur de votre lave-vaisselle ou de certaines lessiveuses haut de gamme effectue exactement la même opération. Donc non, il n’est pas possible de substituer le sel par autre chose…

  • Votre bien ne se vend pas ? Voici 3 conseils pour accélérer la vente !

    Vous restez avec une maison ou un appartement sur les bras et en dépit de tous vos efforts, ce bien n’a récolté aucune offre ? Pas de panique : voici quelques conseils pour accélérer la vente !

    Surtout, ne vous affolez pas si votre bien est toujours invendu au bout de quelques jours, voire semaines, suivant la région. En effet, Bruxelles et les autres grandes villes de notre pays (que ce soit au nord ou au sud), attirent toujours plus de demandes que les petits coins reculés de nos campagnes. Au bout de quelques mois, cependant, si le compteur d’offres est toujours à zéro, posez-vous les bonnes questions. Voici comment donner un coup de boost à votre bien !

    1. Réévaluer le prix

    C’est évidemment la première chose à laquelle on pense. Un prix trop haut par rapport au marché bloquera la vente. Votre bien pourrait donc vous coûter plus cher au final, surtout si un prêt immobilier est toujours d’application à son sujet ! Pour vous faire une idée du prix de votre maison, nous vous conseillons de naviguer sur www.immovlan.be et de partir à la quête de maisons comparables situées dans votre voisinage. N’ayez surtout pas les yeux plus gros que le ventre ! L’autre solution, c’est de faire appel à quelques agents immobiliers qui seront à même de faire une expertise de votre maison.

    2. Recalibrer l’annonce et la présentation

    Des photos prises rapidement, sans éclairage, un texte trop court, une absence de description… Si ces critères ne sont pas optimaux, votre annonce a de grandes chances de ne pas passer la première sélection des acheteurs… Mais ce n’est pas tout ! Soignez aussi les visites de votre bien, restez patient, ne soyez pas trop bavard et restez à l’écoute des clients. Tâchez aussi de rester conciliant, notamment au niveau du prix de vente. Enfin, mémorisez les données essentielles de votre bien.

    3. Home-staging

    Si, en dépit de tous vos efforts, votre bien reste toujours invendu, il est peut-être temps d’investir quelque peu. On pense notamment au rafraichissement des murs, à l’entretien du jardin et à toutes ces petites choses qui dévaluent votre bien. Présentez une maison propre et évitez les souvenirs de famille, que les acheteurs puissent déjà se projeter dans votre bien !

  • Comment se prémunir de tout cambriolage durant votre absence ?

    Avant de prendre la route pour célébrer le réveillon de Noël ou de fin d’année, veillez à suivre ces quelques recommandations afin d’éviter tout risque de cambriolage durant votre absence.

    La première recommandation est la discrétion ! N’apposez jamais de mot d’absence sur votre porte d’entrée ou vos fenêtres. Annulez les éventuelles livraisons à domicile, telles que le laitier ou le boulanger. Ne faites pas non plus mention de votre absence sur votre répondeur téléphonique mais demandez plutôt à votre opérateur de dévier les appels sur votre téléphone mobile.

    Pour les fenêtres en façade, branchez une ou deux lampes sur une minuterie à horloge aléatoire, vous simulerez ainsi une présence au sein de l’habitation. Pour les appartements dénué de fenêtres visibles, placez une radio derrière la porte d’entrée et veillez à ce que le volume soit audible depuis le hall, sans pour autant qu’on l’entende dans tout l’immeuble.

    Pour les absences de longue durée, prévenez un voisin de confiance qui pourra du coup relever le courrier et éventuellement baisser et remonter vos volets ou ouvrir et fermer vos tentures par intermittence. Enfin, n’attirez pas l’attention de vos voisins lors de votre départ.

    Serrures et cadenas

    Il va de soi qu’avant votre départ, vous veillerez à fermer à clé les portes et fenêtres de votre habitation, mais également votre garage. Si elles sont dénuées de serrure, fermez les barrières et grilles à l’aide de cadenas. Rangez ensuite vos clés dans un emplacement situé à l’abri des regards ou emportez-les avec vous.

    Verrouillez également les véhicules qui ne sont pas utilisés et cadenassez à un objet fixe vos motos, vélos et autres trottinettes. Si votre maison est munie d’un soupirail, veillez à ce que celui-ci soit bien fixé à sa base. Il en va de même pour les coupoles et lucarnes en toiture. Rentrez également vos échelles ainsi que vos outils de jardin. Activez ensuite votre alarme et, si nécessaire, prévenez votre central d’alarme de votre départ.

    Les absences prolongées peuvent également être signalées auprès de votre bureau de police local. Veillez aussi à ce que votre contrat d’assurance contre le vol et l’incendie soit bel et bien valide !

  • Peut-on dimmer une ampoule ou un luminaire à LED ?

    Avec l’hiver et le froid qui s’installent, les ambiances feutrées et chaleureuses sont particulièrement recherchées dans un intérieur. Une atmosphère que l’on peut facilement recréer grâce aux variateurs d’intensité ou dimmers qui ont la faculté de pouvoir jauger l’intensité lumineuse des ampoules et luminaires. Mais est-ce également possible avec la technologie LED qui envahit nos habitations ? Oui, mais moyennant deux conditions !

    Une ampoule ou un luminaire compatible

    Toutes les ampoules LED, et particulièrement les plus anciennes, ne sont pas compatibles avec un dimmer. La première chose à tenir à l’œil est donc la compatibilité de l’ampoule avec un variateur d’intensité. Lorsqu’un luminaire LED est dimmable, les fabricants le mentionnent généralement en toutes lettres sur lemballage. Techniquement, une lampe LED n’est pas dimmable. Pour qu’elle le soit, celle-ci doit être équipée d’un driver électronique qui va lui offrir cette faculté. Sans lui, la variation de lumière est impossible !

    Un variateur compatible avec les LED

    Pour pouvoir fonctionner convenablement, les LED ont besoin d’un passage de courant constant. Malheureusement, les dimmers les plus anciens, conçus à la base pour être utilisés avec des lampes à incandescence, ne le permettent pas toujours. Cette incompatibilité impose que vous remplaciez lancien variateur par un nouveau qui peut être couplé à une lampe LED.

    Le plus simple est d’opter pour un modèle universel, généralement baptisé RLC, qui est du coup compatible avec tous les types d’ampoules LED. Fin du fin, certains modèles intègrent également un système de déparasitage, destiné à éliminer un maximum de signaux perturbateurs du réseau afin de permettre aux lampes de fonctionner de manière optimale, sans papillotement ni bourdonnement.

  • Voici pourquoi vous devriez changer de chaudière

    C’est justement parce qu’il ne fait pas encore polaire qu’il est temps de changer de chaudière ! Mais quelles sont les raisons de changer et quand faudrait-il le faire, idéalement ?

    Plus de 15 ans

    Si votre chaudière a plus de 15 ans, il existe sans aucun doute des modèles plus modernes et plus économiques sur le marché. La technologie évolue et les appareils deviennent de plus en plus efficaces. Les appareils de cet âge sont généralement assez peu efficaces et causent pas mal de pollution.

    D’ailleurs, saviez-vous que de nombreuses chaudières anciennes sont trop puissantes, surtout si vous venez de rénover ? Après tout, les maisons bien isolées n’ont pas besoin d’une chaudière très puissante. Si vous voulez faire des économies à long terme et opter pour une solution écologique, vous devriez certainement penser à remplacer votre chaudière.

    Autre problème souvent rencontré avec les chaudières plus anciennes : c’est la disponibilité des pièces de rechange. Après quelques années, celles-ci ne sont souvent plus produites et il peut être difficile de maintenir votre chaudière en état de marche.

    Si votre consommation augmente et que vous ne savez pas vraiment pourquoi, il peut également être utile de jeter un coup d’œil à votre chaudière. Une augmentation inexplicable peut indiquer un rendement inférieur de la chaudière.

    Quel combustible ?

    Si vous remplacez votre chaudière, c’est aussi le moment idéal pour évaluer votre combustible. Les énergies renouvelables gagnent en popularité et le choix sur le marché est énorme. Informez-vous auprès de plusieurs spécialistes et faites un choix tourné vers l’avenir. En principe, une chaudière est taillée pour durer des années, ce qui vous permettra de dormir sur vos deux oreilles. Si vous renouvelez votre système de chauffage, sachez aussi que vous pourriez profiter d’un certain nombre de primes. Ici aussi, assurez-vous d’être bien informé auprès de votre commune !

  • Les volets roulants sont-ils un investissement judicieux ?

    Ils sont chers, ne sont pas toujours très élégants une fois installés, mais ils valent vraiment la peine d’être considérés. On voit cela avec vous !

    Voici 7 raisons qui devraient vous inciter à acheter des volets roulants…

    • Les volets roulants dissuadent les voleurs. En effet, ils sont souvent difficiles à forcer. De plus, ils vous permettent de cacher votre chez-vous et donc vos objets de valeur.
    • Les volets roulants rendent les pièces très sombres, bien plus que les rideaux. Cela signifie souvent une meilleure nuit de sommeil.
    • Les volets ont également un effet isolant. Ils gardent l’intérieur plus frais en été et conservent la chaleur en hiver. Ainsi, vous récupérez une partie de l’investissement via votre facture d’énergie.
    • Aujourd’hui, vous pouvez même commander vos volets roulants à distance, depuis votre smartphone. Voilà qui est idéal pour donner à votre maison une impression habitée lorsque vous êtes en vacances.
    • Ils sont disponibles dans toute une gamme de couleurs. Vous pouvez donc les assortir parfaitement à votre façade et à vos fenêtres.
    • Les volets atténuent le bruit ambiant. En particulier dans les zones urbaines, les volets peuvent avoir un facteur isolant.

    Au fait, saviez-vous que si votre maison a plus de 10 ans et que vous faites installer vos volets roulants par un professionnel reconnu, vous ne payez que 6% de TVA ?

    Des inconvénients ?

    Ils ne sont pas toujours très élégants si le coffre est extérieur et coûtent chers à installer. De plus, les modèles électriques, très prisés aujourd’hui, ne peuvent être commandés que via un interrupteur. En cas de grosse coupure de courant, vous serez donc plongé dans le noir ou dans la lumière ! Un cas très rare, convenons-en…

     

  • Une infraction à l’urbanisme sur la maison que vous venez d’acheter ? Voici que faire !

    Après avoir acheté une maison, vous constatez qu’il y a une infraction à l’urbanisme. Dans ce cas, quelles mesures pouvez-vous prendre contre le vendeur ? Que pouvez-vous lui demander ? Pouvez-vous aussi faire quelque chose contre le notaire ou l’agent immobilier ?

    Quelque temps après avoir acheté une maison, vous apprenez qu’une annexe a été érigée sans permis ou que, par exemple, un bâtiment plus grand que celui qui était autorisé a été érigé. Outre la régularisation, vous pouvez également intenter une action contre le vendeur. Quels arguments pouvez-vous utiliser et que pouvez-vous lui demander de faire ?

    Vice caché

    Afin de  » tenir le vendeur pour responsable « , vous pourriez dire dans un premier temps qu’il y a un vice caché dans le bien que vous avez acheté. Cependant, dans la plupart des contrats de vente, il y a une disposition selon laquelle le vendeur ne donne aucune garantie pour les vices cachés.

    Si une telle clause est présente dans le contrat de vente, vous ne pouvez tenir le vendeur responsable des vices cachés que s’il avait connaissance du vice au moment de la vente. En tant qu’acheteur, vous devrez le prouver. Si le vendeur a construit lui-même la partie non autorisée, l’affaire sera généralement vite entendue. Au contraire, s’il a à son tour acheté le bien à quelqu’un d’autre (qui a commis l’infraction immobilière), cette preuve peut être plus difficile à fournir. Sachez que vous ne pouvez pas attendre trop longtemps pour faire une telle réclamation si vous avez découvert le problème. Une réclamation fondée sur des vices cachés doit être déposée dans un bref délai.

    Autres arguments

    On peut aussi stipuler que le vendeur vous a trompé. Pour cela, vous devez pouvoir prouver que le vendeur a utilisé des  » astuces  » pour vous amener à acheter le bien, via des mensonges ou des « oublis ».

    Un autre argument pourrait éventuellement être que vous avez cru acheter une propriété parfaitement en ordre du point de vue de l’urbanisme. N’oubliez pas que le vendeur pourrait répondre à cet argument en disant que vous auriez dû faire les recherches nécessaires par vous-même, par exemple à la commune, avant d’acheter.

    En tant qu’acheteur, vous pouvez également stipuler que le vendeur doit vous  » indemniser en cas d’expulsion « .

    Que pouvez-vous demander ?

    Selon la gravité de l’infraction, la solidité de votre dossier et vos souhaits, vous pouvez demander l’annulation ou la dissolution de la vente. Si cette demande est accordée, vous serez remboursé et vous devrez à votre tour rendre le bien au vendeur. En outre, vous pouvez également demander une indemnisation pour les dommages que vous avez subis.

    Vous pourriez également conserver le bien que vous avez acheté et demander une réduction de prix ou une compensation…

    Il est en tout cas conseillé de faire appel aux services d’un avocat. Il sera en mesure de vous informer sur les démarches et sur les chances de réussite.

  • Aménager sa salle à manger : 3 règles d’or à ne pas oublier

    Aujourd’hui, la salle à manger n’a plus une position aussi claire dans la maison que jadis. Autrefois pièce séparée qui servait aux repas familiaux, la salle à manger peut aujourd’hui prétendre à plusieurs usages : séjour, pièce de détente, voire de devoir pour les plus petits, les rôles se mélangent ! Cela impose évidemment quelques règles d’or en matière d’aménagement.

    Matelpro

    1. Pensez à toutes les fonctions que peut avoir cette pièce !

    La salle à manger n’est donc plus uniquement une pièce où l’on mange. C’est aussi la pièce où l’on aime se détendre après une rude journée de travail, un bon verre à main, un livre dans l’autre. C’est encore la pièce où l’on aide les enfants à faire leurs devoirs, sur un coin de table. Dans tous les cas, pensez à préserver une certaine mobilité autour de la table qui sera forcément centrale. On parle d’au moins un mètre ! La taille de votre table à manger doit donc être adaptée en conséquence…

    2. Ne confondez toutefois pas tout !

    Même si, aujourd’hui, les espaces se mélangent, il est important de délimiter les fonctions. Entre la salle à manger et le salon, il doit y avoir une séparation relativement claire, si ce n’est physique, au moins psychologique. Orientez donc vos fauteuils en conséquence et évitez de placer le buffet à côté du meuble télé…

    3. Optez pour des meubles sympas…

    Les logements étant de plus en plus petits, il est important de miser sur des rangements à la fois pratiques et visuellement plaisants. On pense à un vaisselier, un buffet, voire un bahut élégant. Ces meubles permettent non seulement de ranger votre vaisselle, mais de plus, ils servent de support à vos objets de décoration tout en apportant une touche de raffinement à votre salle à manger.

  • Une chambre d’enfant « verte » ? Un jeu d’enfant !

    Si vous attendez un heureux événement, on imagine que vous avez de nombreuses choses en tête. La décoration de la chambre en fait partie. C’est un endroit où votre nouveau-né passera beaucoup de temps, il est donc important que ce soit un environnement sûr et agréable ! Avec ces quelques conseils, la chambre en question sera même durable !

    Mathilde Merlin

    N’achetez pas en neuf !

    La façon la plus simple de décorer une chambre dans le respect de l’environnement est d’utiliser des articles de seconde main. Pensez aux poussettes et autres lits pour enfant, par exemple. Les brocantes et Internet sont d’excellentes pistes pour trouver ce qu’il vous faut, en ce compris les jouets !

    Matériaux durables

    Certes, on ne peut pas tout trouver d’occasion, alors optez pour des articles fabriqués à partir de matériaux durables. Recherchez des marques qui mettent l’accent sur le commerce équitable et les normes éthiques du travail. L’un des meilleurs matériaux pour vos nouveaux meubles est le bois, mais choisissez du bois qui ne provient pas d’une déforestation illégale, mais d’une sylviculture durable labellisée FSC.

    Peinture toxique

    Un coup de pinceau sur les murs fait souvent des merveilles, mais que vous peigniez votre mur ou un meuble, faites attention à la peinture que vous achetez. Optez pour une peinture écologique, exempte de composés organiques volatils ou de COV nocifs pour l’environnement et les personnes. Même certains tapis émettent des niveaux tellement élevés de COV qu’ils contribuent aux allergies ! C’est toujours bon à savoir pour une chambre d’enfant !

    Recyclez !

    Une chaise trop foncée ou une table défraichie ne doivent pas vous arrêter. Retroussez vos manches et faites ressortir votre côté créatif ! Souvent, quelques petites interventions, comme un coup de pinceau, suffisent à redonner vie à un vieux meuble ! Et vous pourrez être fier de votre travail…

    Décoration

    Inutile d’en faire des tonnes côté décoration, ou de vouloir tout redécorer tous les trois mois. Parfois, il suffit d’un pot de fleurs, d’une belle plante ou d’un agencement différent des meubles pour métamorphoser une pièce !

    Intemporel

    Pour éviter que la chambre de votre enfant ne vieillisse quand il grandit, optez donc pour des choses intemporelles. Ne prenez pas de meubles aux couleurs vives ou au design enfantin, mais utilisez de petits éléments décoratifs pour rendre la pièce accueillante pour les bébés.

    Ne jetez rien !

    Enfin, si votre enfant grandit et n’a plus besoin de certaines choses, choisissez de les donner ou de les vendre. Même si vous n’en tirerez pas beaucoup d’argent, cela vaut plus la peine que de les jeter purement et simplement. Ce n’est pas parce que quelque-chose est usé ou vieux, que personne n’en veut !

  • Une maison à rénover : le bon plan ? 4 questions pour décider !

    Sur le marché belge, de nombreuses maisons à rénover sont proposées. Mais valent-elles toutes la peine ? Comment distinguer le bon grain de l’ivraie et exploiter une maison à rénover ? Les conseils suivants peuvent vous donner un coup de main…

    Conseil 1 l Analyser le prix de manière approfondie

    Tout commence par une analyse réfléchie du prix. Il va sans dire qu’une maison à rénover doit être moins chère à l’achat qu’une maison entièrement finie. Examinez d’autres propriétés dans la région et estimez la moins-value de cette maison, du fait de son état. Cela reste évidemment très empirique, mais le rabais devrait être considérable.

    Conseil 2 l Estimez les coûts de rénovation

    Examinez attentivement la propriété à rénover et identifiez tous les points qui doivent être revus. Cela devrait vous permettre d’estimer grossièrement un budget de rénovation. Mieux vaut compter large, les coûts de rénovation étant généralement un peu plus élevés que prévu. Vous pouvez également effectuer les rénovations en plusieurs phases, afin d’étaler votre budget et ne pas avoir à tout payer en même temps.

    Outre le budget, vous devez aussi estimer le temps que vous allez y consacrer. Souvent, il s’agit de mois, voire d’années. Demandez autant de devis que possible ! Cela permet d’éviter toute frustration durant le processus de rénovation.

    Conseil 3 l Votre budget

    Respectez votre budget. Une propriété à haut potentiel peut sembler incroyablement attrayante, mais si les coûts montent en flèche et que vous êtes à court d’argent, ce n’est peut-être pas la meilleure décision. Sachez également qu’une maison bon marché peut s’avérer très chère en court de rénovation, ce qui peut vous faire regretter son achat et vous empêcher de récupérer l’investissement, du moins pas à court terme.

    Conseil 4 l Tenir compte des problèmes

    Disons-le tout de go, vous rencontrerez des difficultés. Une rénovation est quelque-chose qui ne doit pas être sous-estimé et implique souvent des difficultés et des frustrations. Il faut de la persévérance, de la patience et de la compréhension. Avant d’entreprendre une rénovation en profondeur, demandez-vous si c’est vraiment ce que vous voulez et si c’est réalisable. La réponse est oui ? Alors foncez !