Vous avez des haut-le-cœur chaque fois que vous récurez vos toilettes ? Vous n’en pouvez plus de ces brosses à poils qui sont tout, sauf hygiéniques et sympa ? Eh bien sachez que des personnes se sont penchées sur cette problématique et proposent une solution assez bien torchée !
La start-up CLOOUBRUSH a lancé un projet sur Kickstarter : un balai de WC sans poils, conçu pour être plus hygiénique et sans les désagréments des modèles traditionnels. Cet accessoire offre une solution sans coulures ni porte-brosse, réduisant ainsi les risques de contamination et les mauvaises odeurs. Et pour en rajouter une louche, le fabricant promet Spray désodorisant intégré et une absence de goutte sur la lunette, une fois l’opération fraicheur opérée.
Comment ça fonctionne ?
Si CLOOUBRUSH ne dévoile pas ses secrets de fabrication, nous savons néanmoins que seule de l’eau sous pression est utilisée pour nettoyer la cuvette. En outre, le dispositif serait produit à base de plastique recyclé.
Pour reporter un niveau sur une grande distance, l’usage d’un petit niveau à bulle peut se révéler compliqué. Mais l’achat d’un niveau laser, plus onéreux, n’est pas toujours justifié. Rien de tel, dès lors, qu’un bon vieux niveau à eau ! Un allié d’une précision « naturelle » que l’on peut réaliser facilement ! C’est le principe des vases communicants…
Même un bricoleur occasionnel possède au moins un petit niveau à bulle dans sa trousse à outils. Un accessoire incontournable, très pratique au quotidien, par exemple pour fixer un cadre droit. Mais comment faire si l’on souhaite reporter un niveau sur de grandes distances, voire d’une pièce à l’autre ? Reporter des points avec son petit niveau, éventuellement avec l’aide d’une latte plus longue, risque de mener à une certaine imprécision après plusieurs reports.
Laser, oui mais…
Reste alors la solution du niveau laser. Un équipement maintenant relativement répandu, mais qui reste assez onéreux pour un bricoleur occasionnel. De plus, dans sa version la plus simple uniquement équipée d’une lumière laser sans système d’émetteur/récepteur, il ne permet pas toujours une utilisation en pleine lumière ou sans ouverture directe entre les pièces.
Simpleetefficace !
Reste alors la solution d’opter pour un niveau à eau. Soit en achetant un kit bon marché, très simple, dans un magasin de bricolage, soit en le fabriquant soi-même. Il suffit, en effet, de disposer d’un simple tuyau transparent ou même d’un bout de tuyau d’arrosage sur lequel on adaptera aux extrémités des demi-bouteilles d’eau coupées. Ensuite, il suffit de remplir le tuyau d’eau, en s’assurant qu’il ne reste aucune bulle d’air à l’intérieur. Le niveaude l’eau de chaque côté du tuyau (à condition que les deux extrémités soient bien ouvertes, attention !) sera alors toujours très exactement à la même hauteur. Cette technique des vases communicants permet de contourner facilement un angle de mur, de passer à travers une porte, etc. Vous pourrez alors reporter un niveau avec une grande précision, même sur de très grandes distances.
Les batteries domestiques peinent à convaincre les ménages en Belgique. Quels sont les obstacles qui empêchent leur adoption massive ?
Coût élevé de l’installation
L’un des principaux freins à l’adoption des batteries domestiques en Belgique est leur coût initial. Le prix d’achat et d’installation d’une batterie domestique peut facilement dépasser les 8 000 €. Un montant en baisse, mais qui reste toujours fort élevé. A noter que plus la batterie présente une forte capacité, plus son prix est intéressant. En ce qui concerne les primes, plus aucune région du pays n’en propose.
Rentabilité incertaine
La rentabilité des batteries domestiques est un sujet de débat. Bien que les partisans affirment qu’elles permettent de maximiser l’autoconsommation et de réduire la dépendance au réseau, les économies réelles peuvent varier. Pour Test-Achats, le retour sur investissement peut tourner aux alentours de 10 ans, voire plus… Hors, cela coïncide presque avec le point suivant !
Durabilité et recyclage
La durabilité des batteries est une autre préoccupation majeure. Une batterie a une durée de vie limitée, généralement 15 ans, parfois 20 ans. Ensuite, vient alors le problème du recyclage, peu d’usines étant capables de recycler les batteries, ce qui n’est pas sans causer des problèmes environnementaux.
Autoconsommation
La meilleure des solutions ? C’est encore de consommer lorsque vos panneaux photovoltaïques produisent de l’électricité. A noter qu’une autre formule intéressante pourrait être répandue, à savoir la fonction V2H des voitures électriques.
Une femme risque jusqu’à 20 ans de prison pour avoir tenté de s’emparer de Graceland, la légendaire propriété d’Elvis Presley.
Une escroquerie bien ficelée
Le ministère de la Justice des États-Unis a annoncé l’arrestation de Lisa Jeanine Findley, 53 ans, accusée d’une tentative audacieuse d’extorsion pour s’emparer de la propriété mythique de Graceland. Cette tentative visait à déposséder la famille d’Elvis Presley, en particulier sa fille défunte, Lisa Marie Presley.
Faux documents et signatures imitées
Selon les autorités, Findley aurait usurpé l’identité de la fille d’Elvis en fabriquant de faux documents et en imitant des signatures, notamment celles d’un notaire de Floride. Elle aurait monté une histoire autour d’un prêt de 3,8 millions de dollars non remboursé, prétendument contracté par Lisa Marie Presley en mettant Graceland en caution. Le plan visait à organiser une vente aux enchères de la propriété, stoppée in extremis par un juge du Tennessee.
Justice et héritage
L’affaire a été portée devant la justice par Riley Keough, la fille de Lisa Marie Presley, qui a réussi à bloquer la vente. Graceland reste donc le musée et un lieu de pèlerinage pour les fans du King !
Vous êtes « prosumer » et avez récemment changé de fournisseur ? Relisez attentivement le contrat, vous pourriez y voir une désagréable surprise…
Les prosumers (producteurs-consommateurs) optent souvent pour le tarif simple (prix unique pour l’électricité), notamment ceux qui parviennent à compenser leur consommation par leur production. Pour ces derniers, passer au tarif bihoraire peut alourdir considérablement la facture ! Hors, de nombreux prosumers se sont plaints d’un passage non consenti du tarif simple au tarif double précise l’ASBL BeProsumer.
Pourquoi ce problème survient-il ?
Ce passage au tarif double sans accord explicite se produit généralement lors du changement de fournisseur. Les données peuvent être mal transmises, ou le nouveau fournisseur peut appliquer un tarif par défaut sans en informer les clients. Ces erreurs de gestion des informations entre le fournisseur et le gestionnaire de réseau (GRD) peuvent causer de sacrées déconvenus, notamment au niveau du tarif !
Quels sont les recours possibles ?
Les consommateurs doivent immédiatement signaler cette erreur à leur fournisseur et au GRD pour exiger une correction rétroactive. En cas de refus, l’envoi d’une mise en demeure peut s’avérer nécessaire, avec la possibilité de saisir le Service Régional de Médiation pour l’Énergie (SRME) si la situation persiste.
Alain Delon, titan du cinéma français, s’en est allé le 18 août 2024. C’est dans son château de Douchy (Loiret, France), son havre de paix, qu’Alain Delon s’en est allé…
Alain Delon et le Vexin Français 😍
Il a joué dans près de 90 films dont quelques-uns tournés dans le Parc naturel régional du Vexin français.
En 1967, Alain Delon est dans notre #vexin. Il incarne un homme amnésique dans Diaboliquement vôtre, tourné au château de Théméricourt. pic.twitter.com/cbbtPMdpcT
Le château de Douchy, également connu comme le château de la Brûlerie, est la résidence où l’acteur a choisi de vivre ses dernières années. Situé dans le Loiret, ce château du XIXe siècle, acquis voici plus d’un demi-siècle par Alain Delon, a été bien plus qu’une simple demeure pour Delon : il représentait un sanctuaire personnel, loin de l’agitation médiatique. Ce refuge isolé est par ailleurs, entouré de 75hectares de forêt (les chiffres varient selon les sources) ! Le domaine comprend en outre deux piscines (intérieure et extérieure), ainsi qu’un lac et… une chapelle.
L’intérieur était, selon les rumeurs, particulièrement impressionnant avec de nombreuses œuvres d’art. Notez toutefois que l’acteur s’est séparé de la majorité de ses biens de luxe (montres, vins, œuvres, voitures) durant les dernières années de sa vie, souhaitant léguer un héritage financier plutôt que mobilier. Le château comprenait, outre les pièces « classiques », une salle de sport, une salle de cinéma, une salle de poker et bien entendu un bureau aux nombreux souvenirs.
Les fours à micro-ondes sont-ils vraiment dangereux pour notre santé ? C’est ce que nous allons découvrir…
Quan Jing
Un micro-ondes, ça fonctionne comment ?
Le four à micro-ondes utilise des ondes courtes similaires aux ondes radio pour chauffer les aliments en agitant les molécules d’eau qu’ils contiennent. Cette méthode permet un réchauffement rapide et efficace.
La cuisson au micro-ondes préserve davantage les nutriments que d’autres modes de cuisson plus longs, car elle réduit le temps d’exposition à la chaleur. Les vitamines, notamment la vitamine C, sont mieux conservées.
Sécurité des ondes
Les ondes du micro-ondes ne sont pas dangereuses tant qu’elles restent à l’intérieur de l’appareil. Notez que les appareils actuels sont nettement plus sûrs que ceux produits voici 30 ou 40 ans ! Bref, à part les risques de brûlure en sortant un plat chaud hors du four, vous ne risquez rien. Toutefois, si vous constatez une fissure ou une cassure, consultez un spécialiste ou changez-le : dans ce cas, des radiations peuvent-être émises hors du four ! A l’usage, bien entendu, n’utilisez que des contenants spécialement conçus pour le micro-ondes.
Quel rififi autour de ces primes « Renolution » ! Ces primes auront finalement pris fin de la même manière qu’elles auront vécu : avec beaucoup de turbulences ! On vous refait un petit topo…
Avec le projet « Renolution », le gouvernement bruxellois voulait révolutionner le bâti régional par la rénovation. Et Dieu sait s’il en a besoin, la plupart des maisons de la capitale étant de vraies passoires énergétiques ! Ces primes, costaudes (pouvant couvrir 90 % des dépenses liées à la rénovation énergétique, avec un plafond à 50.000 euros), devaient donc motiver les propriétaires bruxellois à isoler leur(s) bien(s). Sauf que tout ne s’est pas déroulé comme prévu : victime de son succès, le projet Renolution a dû faire face, et à deux reprises, à un budget épuisé. La patience des propriétaires ayant déjà déboursé de grosses sommes pour leurs travaux, fut donc mise à rude épreuve !
Le 16 août, c’est fini !
Le bouquet final, il est tombé fin juillet, lorsqu’Alain Maron (Ecolo et à l’initiative du projet) avait annoncé que « suite à l’augmentation considérable des demandes introduites, les autorités régionales sont dans l’obligation de suspendre dès le 16 août la possibilité d’introduire de nouvelles demandes de primes Renolution ». Autant dire que ce fut un uppercut de première catégorie pour de nombreux propriétaires, le dossier pour les primes ne pouvant être complet qu’avec la facture du solde des travaux et cette annonce tombant en plein… pendant les congés du bâtiment ! Ce fut néanmoins le rush durant les derniers jours « possibles », avec des files interminables aux guichets de Homegrade (le relais physique pour les primes) et un nombre de dossiers qui a été multiplié par 5 chez Urban.Brussels, rapporte le journal Le Soir.
Ces primes seront-elles payées ? Y aura-t-il une suite ?
La question est évidemment de savoir si ces ultimes demandes seront bien honorées et si ces primes seront reconduites ! En ce qui concerne la première question, une certaine appréhension peut être légitime, mais les cabinets des ministres Vervoort (PS) et Maron assurent, selon Le Soir, que les paiements devraient reprendre à partir du 1er janvier 2025. Il n’en reste pas moins que le gouvernement bruxellois actuel est en affaires courantes et que le MR, actuellement à la manœuvre pour former un nouveau gouvernement, n’est pas très friand (et c’est peu de le dire) du système de primes, préférant des prêts à taux zéro… Voilà, en tous cas, qui apporte un gros élément de réponse à la deuxième question… et qui ne rassurera sans doute pas ceux qui attendent avec impatience le remboursement des travaux payés !
Votre façade mériterait bien un petit coup de frais, mais vous craignez de devoir vendre un rein dans le processus ? On voit avec vous…
Bien entendu, les prix d’un ravalement de façade dépendent largement de plusieurs : comptez-vous céder la tâche à un professionnel, voulez-vous louer le matériel et effectuer le ravalement vous-même ? Ou bien encore, avez-vous décidé d’en profiter pour rejointoyer la façade, voire l’isoler et lui mettre un nouveau bardage ? Selon l’option que vous considérez, le prix peut complètement s’envoler !
Nettoyage
Si vous comptez tout simplement nettoyer votre façade, vous pouvez parfaitement vous en tirer pour 5 €/m², voire moins, armé d’un nettoyeur haute pression et d’un produit ad-hoc. Bien entendu, il existe des traitements nettement plus efficaces, que ce soit à la vapeur, chimiques, voire carrément le sablage si votre façade est dans un triste état. Les prix peuvent alors grimper jusqu’à plus de 100 €/m², notamment si vous optez pour un traitement hydrofuge qui lui permettra de mieux traverser les années, ce que nous vous conseillons.
Votre façade doit être rejointoyée ?
Dans ce cas, les prix peuvent également s’envoler : tout dépend de l’état de votre façade. Il convient d’abord de retirer les joints poreux. Suivant le joint choisi et le travail de préparation, les prix sont compris entre 40 et 200 €/m².
Votre façade doit être isolée ?
Là évidemment, nous sommes sur un tout autre budget, mais qui sera certainement rentable sur le long terme, les murs pouvant laisser passer de 20 à 25 % de la chaleur voire de la fraîcheur en été. Comptez jusqu’à 300 €/m², voire bien plus, si l’on compte le nouveau revêtement de façade. En revanche, et à moins d’effectuer les travaux soi-même, ce qui, soit dit en passant, n’a rien d’insurmontable pour un bon bricoleur, il sera difficile de descendre sous les 130 €/m².
Ce qui déterminera le prix, c’est évidemment le choix du bardage, ainsi que celui de l’isolant. A ce dernier sujet, sachez qu’il existe des primes pour vous soulager : renseignez-vous auprès de votre commune ! Dans tous les cas, et à moins d’effectuer des travaux sur un bâtiment qui n’est pas destiné à être habité, nous vous conseillons de toujours isoler avant de placer un nouveau bardage.
Portofino, cette perle de la Méditerranée, est bien plus qu’un village pittoresque. Connu pour ses résidents fortunés et ses villas luxueuses, le village fait aujourd’hui face à une controverse inattendue : l’installation de climatisations non autorisées.
Peter Thomas
On pourrait croire que les habitants de Portofino, ce bijou de la Riviera italienne, sont tous portés par le charme des maisons typiques en bord de mer, et vivent dans une atmosphère paisible et détendue, sans doute bercés par le doux froufrou de l’eau leur rappelant qu’ils font partie des « happy few » de ce monde. Mais la réalité, à en croire Il Corriere della Sera, est bien différente : depuis quelques temps maintenant, les habitants se livrent une guerre à la délation, faisant suite à la prolifération de climatisations illégales !
Pas joli joli !
Longtemps interdites, les modules extérieurs des climatisations ont fini par être tolérés par le règlement communal, sous la pression des habitants surchauffés en été… A la condition toutefois que ces derniers soient le plus discret possible ! Hors de question en effet, de dénaturer le charme pittoresque de ce village mondialement connu !
Des autorités plus sages que la mêlée ?
Et c’est là tout le problème, les voisins se dénoncent entre eux et, à en croire le journal italien, vont même jusqu’à se faire inviter pour un apéro, histoire de prendre des photos en douce des modules extérieurs illicites ! Il faut dire que l’amende potentielle est costaude : 43.000 euros ! Notez que si tout cela ressemble à une pathétique guéguerre, les autorités ont néanmoins précisé qu’aucune amende officielle n’était tombée !