Auteur : francois

Au milieu du siècle dernier, bon nombre de jeunes filles appelées à devenir mères de famille se dirigeaient vers l’école ménagère. Un enseignement certes stéréotypé, qui formaient à devenir de bonnes mères et de bonnes épouses sachant cuisiner, calculer et éduquer, mais qui apprenaient aussi à maintenir une hygiène irréprochable au sein du ménage.

C’est ainsi qu’outre la lessive (les machines à laver se sont généralisées durant la seconde moitié du 20e siècle), les élèves apprenaient également d’autres techniques visant à hygiéniser la maison. Parmi celles-ci, le repassage tenait une place prépondérante. En effet, on pense souvent qu’un petit tour dans la lessiveuse suffit à nettoyer le linge en profondeur. Mais si les taches et autres salissures s’évanouissent, ce n’est pas pour autant que bactéries et parasites ont été éliminées des tissus. En fait, seule la chaleur peut en venir à bout.

Et si de nos jours il est possible d’avoir recours au lavage à haute température, avec des machines qui peuvent monter jusqu’à 90°, le hic c’est que cette solution ne s’applique pas à tous les vêtements. En effet, certains matériaux ne supportent pas les températures qui excèdent les 40° au lavage. C’est notamment le cas de bon nombre de sous-vêtements qu’il est pourtant indispensable de maintenir propres et sans bactérie !

À vos fers !

L’une des meilleures alternatives est dès lors de repasser le linge après chaque lessive. Et histoire d’être certain de ne pas brûler l’un ou l’autre tissu, on optera pour une centrale vapeur dont le fer à proprement parler ne chauffe pas. Ce type de fer convient à tous les types de tissus et vous garantit d’exterminer jusqu’à 99 % des bactéries, des levures, des champignons et des parasites présents sur votre linge. En outre, grâce au pouvoir de la vapeur, vos vêtements et sous-vêtements seront débarrassés des mauvaises odeurs.

Les centrales vapeur ont d’autres avantages. Très faciles d’utilisation, elles redonnent de l’éclat à vos vêtements, ce qui n’est pas le cas du fer à repasser traditionnel qui a tendance à ternir les couleurs et à écraser les fibres textiles.

Enfin, une centrale vapeur permet aussi de réduire les risques d’allergies et de démangeaisons pour les peaux sensibles. Un investissement à clairement considérer si vous devez remplacer votre fer à repasser !

Des vents violents et des feuilles mortes : la combinaison est radicale pour encombrer, surtout dans les régions boisées. Mais comment nettoyer votre gouttière et combien de fois par an faut-il le faire ?

Vous vivez dans une zone boisée ?

Il va sans dire que dans une zone boisée, il s’agira de nettoyer sa gouttière davantage que dans un centre-ville. S’il y a de nombreux arbres dans votre région, il est préférable de nettoyer votre gouttière à la fin du mois de novembre de chaque année. À ce moment-là, la plupart des feuilles sont tombées. Il est préférable d’enlever les branches et la mousse en période de sécheresse, donc nettoyer votre gouttière à la fin du printemps n’est certainement pas une mauvaise idée. Il vaut mieux le faire trop que trop peu, car cela permet d’éviter les blocages. Si vous vivez dans un centre-ville ou dans un village sans beaucoup de verdure, vous pouvez vous en tenir à un nettoyage annuel.

Attention à la sécurité

Vu que vous devrez travailler en hauteur, prenez toutes les précautions nécessaires. Utilisez une échelle solide et posez-la dans la position la plus stable possible. De préférence, gardez quelqu’un à proximité.

Les gouttières des toits plats sont les plus menacées

Les gouttières des toits plats étant souvent constituées d’une toiture intérieure, des fissures peuvent apparaître au bout d’un certain temps. Si, après un orage, l’eau de pluie commence à s’écouler le long de la façade, c’est le signe que quelque chose ne va pas dans votre gouttière. Il existe deux solutions pour s’attaquer à ce problème. Une temporaire et une plus permanente.

Dans le premier cas, traitez la gouttière avec du goudron. Ainsi, c’est une réparation qui peut tenir plusieurs années. Si vous désirez quelque chose de plus durable, disons au moins vingt ans, une nouvelle couche imperméable est la solution. En principe, le premier traitement est à la portée de tous, mais il est préférable de laisser la deuxième option à un spécialiste.