Auteur : francois

  • Table de salle à manger : 3 erreurs à éviter !

    Pièce sociale par excellence, la salle à manger s’articule généralement autour d’une généreuse table. Celle-ci sera peut-être le théâtre de quelques-unes de vos plus belles soirées ! Alors, autant bien la choisir…

    matelpro

    Plusieurs critères permettent de guider le choix d’une « bonne » table à manger. Tout d’abord, il conviendra de l’adapter à l’espace disponible. Certes, une grande table est généralement élégante. Mais dans les endroits exigus, elle devient surtout, vite encombrante !

    Une table trop grande !

    Dans les grandes pièces, une table massive peut se placer sans problème en plein centre. Pour les plus petites pièces, on veillera à conserver au moins 60 cm entre le bord de la table et un mur si l’on souhaite conserver un passage. Mais cette largeur n’est suffisante que si personne n’est installé de ce côté de la table !

    Sinon, vous y ajouterez encore 60 cm supplémentaires qui correspondent au recul moyen nécessaire pour se glisser sur une chaise. Dernière précaution : si vous souhaitez conserver l’usage d’une armoire une fois les convives assis, prenez votre mesure avec sa porte ouverte et/ou ses tiroirs sortis.

    Des chaises inadaptées

    Le format des chaises n’étant pas standard, adapter sa table aux chaises retenues est aussi très important. On mesurera, par exemple, combien de chaises peuvent s’adapter par côté. On veillera aussi à adapter l’épaisseur du plateau de la table à la hauteur de chaises. Des chaises un peu plus hautes que la moyenne s’accompagnent mal, en effet, d’un plateau de table épais.

    Une forme trop peu pratique

    Une fois la taille « idéale » de votre table de salle à manger arrêtée, reste encore à choisir la forme adéquate. Généralement, les tables rondes ou ovales s’adaptent mieux aux grandes pièces. Elles sont conviviales mais elles s’installent difficilement le long des murs et prennent plus de places que des tables rectangulaires équivalentes.

    Dans les grandes pièces, on privilégie dès lors encore souvent les tables rectangulaires. Elles permettent de passer facilement de 4 à 8 voire 10 convives sans devoir sortir des allonges.

    Pour les plus petites pièces, le format carré ou rectangulaire s’impose généralement (on peut plus facilement les disposer le long d’un mur) mais dans tous les cas avec des mensurations contenues. On veillera alors à s’orienter vers un modèle extensible à l’occasion via des allonges.

  • La tendance jardin : la « permaculture » ! C’est quoi ?

    Très en vogue dans nos contrées depuis une bonne dizaine d’années, la permaculture est un mode d’agriculture qui privilégie une symbiose naturelle optimale entre les différents écosystèmes. Son inspiration vient de la nature même ainsi que de son fonctionnement, mais aussi de la tradition. On vous décortique le tout !

    Made in Japan

    À l’origine, le concept de permaculture s’est inspiré du modèle d’agriculture naturelle développé par le japonais Masanobu Fukuoka. Celui-ci a ensuite été théorisé dans les années 1970 par les chercheurs australiens Bill Mollison et David Holmgren.

    De nos jours, la permaculture forme ceux qui le souhaitent à une éthique ainsi qu’à un ensemble de principes, l’objectif étant de permettre aux initiés de concevoir leur propre environnement et créer ainsi des milieux plus autonomes, plus durables et plus résilients. De quoi, in fine, atteindre une société moins dépendante des systèmes industriels de production et de distribution.

    Trois principes

    Traditionnellement, la permaculture repose sur trois principes éthiques :

    1. prendre soin de la terre,
    2. prendre soin de l’homme,
    3. partager équitablement les ressources.

    Mais au-delà de ces fondamentaux éthiques, chaque permaculteur est libre de développer son propre système de principes, pourvu qu’il garde à l’esprit ces trois grands principes. Le permaculteur verra ainsi ses méthodes évoluer au fil du temps, en fonction de la progression de ses connaissances et de ses observations. Plus ces méthodes et principes font corps avec le permaculteur, plus ils deviennent de l’ordre du réflexe et rentrent ainsi progressivement dans la culture locale, tendant du coup vers une « culture permanente ».

    En outre, qui dit observation dit une attention de tous les instants. Le permaculteur apprendra donc à libérer son regard, à observer son sol et à s’assurer que celui-ci respire convenablement. Au potager, la permaculture permet un jardinage durable qui permet d’éviter d’arroser, de labourer et de recourir à des engrais, mais aussi de récolter ses graines, d’amender le sol sans intrants ou encore de soigner les légumes avec des purins végétaux.

    En créant un potager qui reproduit un écosystème en équilibre, où les légumes et les fruits se ressèment à leur gré, le tout en mode « bio » et toute l’année, le permaculteur atteindra une satisfaction pleine et entière, créatrice de liens forts entre l’homme et la nature.

    Vous souhaitez faire évoluer votre potager vers la permaculture ? Ce ne sont pas les ouvrages qui manquent sur le sujet, ni les sites internet dédiés à cette nouvelle tendance !

  • Climatisation : faut-il un permis d’urbanisme ?

    Avec les canicules que nous avons connues ces derniers étés et que nous connaîtrons encore régulièrement, nous sommes de plus en plus nombreux à nous ruer sur les climatisations. Mais faut-il un permis d’urbanisme ?

    Si vous installez une climatisation avec une unité extérieure, vous n’avez en principe pas besoin d’un permis d’urbanisme. Renseignez-vous toutefois auprès de votre commune, car dans certains cas, une déclaration est nécessaire !

    Si vous habitez en appartement, les choses se compliquent. Tant que vous ne touchez pas aux parties communes, tout va pour le mieux êtes libre de l’installer. Dans le cas contraire, si vous devez par exemple, percer la façade commune pour installer votre unité, il vous faudra en faire la demande lors de la réunion des copropriétaires qui devra approuver aux ¾. En cas de refus, vous pouvez aller voir le juge de paix.

  • 4 conseils pour décorer votre véranda

    La véranda reste très populaire chez nous. Cette pièce prolonge souvent la cuisine et permet aussi de se relaxer, tout en offrant une belle vue sur le jardin. Mais comment bien aménager ce lieu de vie ? Il importe de bien définir l’usage que vous désirez en faire et de respecter le style général de votre maison. Les 4 conseils qui suivent vous aideront à poser les bons choix.

     

    Conseil 1 l Définissez bien l’usage que vous ferez de votre véranda

    Acheter une habitation comportant une véranda, c’est très bien, mais il importe avant tout de savoir ce que vous allez faire de cet espace. Prenez également en compte l’aménagement de la construction, afin de choisir plus efficacement les meubles que vous y placerez. Si vous faites construire une véranda après l’achat de la maison, vous pourrez bien sûr faire preuve de plus d’originalité et façonner l’espace de vos rêves, qui sera parfaitement adapté à vos souhaits.

     

    Conseil 2 l Choisissez le bon revêtement de sol

    La solution la plus simple (et aussi souvent la plus esthétique) est de prolonger dans la véranda le revêtement du reste de la maison. Mais le meilleur revêtement de sol pour une véranda, c’est le carrelage. Car il est à la fois solide, facile à entretenir et disponible dans toutes les formes et tailles. Avec le carrelage, vous pourrez rentrer du jardin sans trop vous souciez de l’état de vos pieds, car ce revêtement est très facile et rapide à nettoyer. Ce n’est bien sûr pas pareil avec une moquette ou un tapis.

     

    Conseil 3 l Optez pour un ensemble harmonieux

    Pour les coloris, choisissez idéalement des teintes qui s’harmonisent avec celles du reste de la maison : opter pour un style totalement différent est rarement une bonne idée. Si vous faites construire votre véranda, demandez au fabricant de réfléchir à la question. Et prenez aussi le temps de regarder plusieurs réalisations d’un fabricant avant de vous lancer dans l’aventure avec lui.

     

    Conseil 4 l Créer un havre de paix

    La véranda est une pièce qui sert à se détendre. L’aménagement intérieur doit donc correspondre à cet objectif. Trouver le mobilier le mieux adapté n’est pas toujours facile, mais cela vaut la peine de prendre un peu de temps pour remplir cette mission. Si c’est trop compliqué, vous pouvez vous faire aider dans cette tâche par un architecte d’intérieur.

     

  • Acheter un bien immobilier d’investissement ? Voici les aspects à prendre en compte

    Laisser votre argent à la banque ne produit aujourd’hui plus de rendement. Il est donc préférable de placer vos économies ailleurs. Par exemple en investissant dans l’immobilier. Vous possédez déjà une maison mais songez à acheter un bien d’investissement ? Dans ce cas, il faudra prendre en compte certains aspects et coûts.

     

    Conditions bancaires plus strictes     

    Si vous décidez acquérir un bien d’investissement, sachez alors qu’il vous faudra disposer de fonds propres confortables. Au début de l’année, les règles en matière d’achat de biens immobiliers ont été durcies et c’est donc bien sûr aussi le cas pour les biens d’investissement. Quiconque achète une seconde résidence pour la louer doit apporter en fonds propres 20% de la valeur du prix d’achat. Certaines banques font toutefois encore une exception et ramènent le pourcentage de fonds propres à 10%.

     

    Attention aux coûts supplémentaires

    Vous avez trouvé un bien idéal que vous désirez acquérir afin de le louer ? Très bien ! Mais, en plus du prix d’achat, n’oubliez pas de prendre en compte les frais d’enregistrement. Leur montant est un pourcentage du prix d’achat et il varie en fonction qu’il s’agisse d’un premier bien ou d’un bien secondaire. Depuis cette année, en Flandre, le coût est de 6% pour l’achat de votre première habitation. En revanche, dans cette Région, les droits d’enregistrement d’un bien d’investissement grimpent à 10%. Concrètement, si vous achetez un bâtiment pour 250.000 €, vous devrez donc payer 8.000 € de droits d’enregistrement s’il s’agit de votre première habitation, mais il faudra débourser 25.000 € dans le cas d’une seconde résidence ou d’un bien d’investissement. Et il faudra aussi tenir compte des autres coûts, comme l’assurance incendie, les rénovations, etc.

     

    N’oubliez pas les impôts

    Chaque année, vous devrez payer une taxe foncière sur votre propriété. Celle-ci est calculée en fonction du revenu cadastral du bien. Dans le cas d’un bien d’investissement, vous devez indiquer chaque année au fisc le montant de ce revenu cadastral. Le fisc va alors indexer ce montant et l’augmenter de 40%. Et si vous louez votre bien à des fins professionnelles, vous devrez déclarer les revenus locatifs nets. Ce montant s’ajoutera alors à vos autres revenus et sera imposé sur base de la tranche la plus élevée dans laquelle se situe votre revenu. Enfin, dans certaines communes et ville, vous devrez aussi payer des impôts locaux : une taxe supplémentaire est en effet prélevée sur les résidences secondaires. Ce n’est heureusement pas le cas partout.

    De bonnes nouvelles

    Lorsque vous souscrivez un prêt pour une résidence secondaire, vous pouvez heureusement toujours profiter d’une réduction d’impôt, celle liée à l’épargne à long terme, qui vous permettra de déduire jusqu’à 2.390 € de vos revenus. Mais attention : ce panier contient également les dépenses liées à l’épargne à long terme classique.

  • Conseils pour faire baisser les coûts de possession d’une maison

    Posséder sa propre maison est le rêve de beaucoup de gens. Un rêve qui se mûrit souvent pendant plusieurs années. Mais une fois le rêve réalisé, on constate que près de 9 acheteurs sur 10 n’ont pas les connaissances suffisantes pour bien estimer le coût de possession d’une maison. Souvent, les parents sont appelés à l’aide pour un avis, mais ils sont rarement experts en la matière. Or, après l’achat, certaines grosses dépenses peuvent survenir. La maison constituant l’une des plus grosses dépenses d’une vie, mieux vaut être bien préparé avant de signer pour l’achat…

    Des problèmes

    Le problème le plus courant qui se pose, c’est de découvrir de gros défauts seulement après l’achat du bien : des problèmes d’humidité, des défauts d’infrastructure, des anomalies concernant le permis de construction, etc. De nombreux acheteurs sont également confrontés à des coûts imprévus. Le grand classique, ce sont des coûts de rénovation mal estimés. Des montants supplémentaires peuvent aussi être ajoutés chez le notaire ou à la banque. Par ailleurs, plusieurs acheteurs se rendent également compte après coup qu’ils ont payé leur bien trop cher par rapport au marché. On rappellera que le prix moyen auquel un bien est vendu est d’environ 10 à 15% inférieur au prix de départ demandé. Enfin, des problèmes liés à un transfert ou une rupture de contrat peuvent aussi survenir.

     

    Voici quelques conseils qui vous éviteront les problèmes, la frustration et une perte d’argent.

     

    1.     Entourez-vous de connaisseurs avant de signer

    Réduisez le risque de vices cachés ou de rénovations indispensables en engageant un architecte ou un entrepreneur pour visiter le bien avec vous. Pour quelques centaines d’euros, vous obtiendrez alors des conseils qui pourront vous faire économiser des milliers d’euros par la suite… La vision et les conseils d’un professionnel vous permettront de voir la maison de manière plus réaliste, afin de ne pas être éblouis par vos rêves ou un coup de cœur. Et vous pourrez inclure le jugement des experts dans la négociation du prix. N’hésitez pas non plus à faire appel à d’autres experts si de nouveaux problèmes apparaissent : l’expertise d’avocats en droit immobilier et de conseillers financiers pourra par exemple vous aider à résoudre des questions de transfert ou de rupture de contrat.

    2. Calculez tous les coûts à l’avance

    Lors d’une recherche immobilière, on tombe vite dans le scénario de la maison idéale, avec jardin orienté plein sud et cuisine full équipée. Mais cela a bien sûr un prix. Assurez-vous à l’avance que vous pourrez assumer financièrement ces valeurs ajoutées. Il vaut parfois mieux postposer ce genre de dépenses.

    Gardez aussi à l’esprit qu’il y a beaucoup de frais annexes lors de l’achat d’un bien immobilier, comme les frais d’enregistrement, la taxe foncière et les frais de notaire. Incluez également les taxes supplémentaires dans votre calcul.

    Vous voulez rénover le bien ? Dans ce cas aussi, vous devrez garder une vision globale. Ne regardez pas les travaux par élément, mais par pièce, afin d’avoir une idée globale du prix. Tenez également compte du coût des réparations, des commissions et autres coûts additionnels. Et gardez une marge dans votre budget pour les coûts imprévus.

     

    3. Souscrivez une assurance revenu garanti

     La sécurité d’emploi absolue n’existe pas. Il est par contre malheureusement possible que l’on vous licencie juste après que vous ayez signé pour un bien immobilier, l’achat le plus cher d’une vie… La souscription d’une assurance revenu garanti constitue donc une option qui peut vous éviter bien des ennuis.

     

    Voilà, ces quelques conseils vous permettront de plonger plus confiant sur le grand marché de l’immobilier. Bonne recherche !

     

     

  • Refaire sa cuisine : Quel budget ?

    Avec la salle de bain, la cuisine a gagné en importance ces dernières années. De nouvelles tendances sont apparues, la cuisine se veut désormais ouverte sur le living et est devenue un véritable espace de vie. Tout cela vous fait envie ? Voici le budget à prévoir…

    Trois facteurs vont influencer le prix de la cuisine : le niveau de finition, la main d’œuvre et l’équipement.

    Niveau de finition

    Si vous désirez opter pour quelque-chose de standard, de qualité « classique » (on n’a pas dit bas de gamme !), vous pouvez parfaitement vous rendre dans les grands magasins d’ameublement. Comptez entre 250 et 500 euros le mètre carré, pose comprise. A cela, il faudra sans doute rajouter environ 2.000 euros d’électroménagers. Pour une cuisine de 10m², comptez donc environ 6.000 euros.

    Si vous désirez quelque-chose de plus « premium », avec des finitions plus soignées et des matériaux de qualité, prévoyez un supplément d’environ 20 à 40 %. Une même cuisine de 10 m² revient donc à environ 9.000 euros.

    Du sur-mesure ?

    Vous désirez des meubles s’ajustant parfaitement à votre pièce ? C’est parfaitement possible et de nombreux spécialistes sont prêts à vous y aider. Là encore, tout dépend des matériaux que vous choisissez (et de la superficie de la pièce, bien entendu), mais il semble raisonnable de tabler sur un budget de 13.000 euros (pose et électroménager compris) pour quelque chose de durable et de qualité.

    Main d’œuvre

    Si vous êtes un bricoleur confirmé, vous pouvez parfaitement vous lancer vous-même dans le montage de la cuisine. Attention toutefois : même les modèles classiques vendus en kit ne sont pas faciles à assembler et vous feront peut-être regretter votre décision. Sachez également que les professionnels mettent rarement plus d’une journée pour monter une belle cuisine !

    Equipement

    Ici, tout dépend évidemment de ce qu’il vous faut, ainsi que de ce que vous avez déjà et comptez reprendre. En partant de zéro, le budget varie entre 1.200 et 5.000 euros pour l’équipement électroménager.

  • Le style boho chez vous ? 5 conseils pour y arriver !

    Le style boho, c’est un harmonieux mélange de genres, à la fois sauvage, chic, gypsy et latin… Dans tous les cas, le style boho donne le sourire et vous plonge directement dans une ambiance typée vacances !

    1 l Choisissez des teintes « simples » comme base

    Le blanc ou le beige sont les bases idéales pour déployer ce style. Ce fond neutre met d’autant plus en évidence les éléments les plus exubérants ! Tout est donc une question de contrastes par la suite, avec des tons terreux et chauds.

    2 l Optez pour des meubles bas

    Le Boho chic est synonyme de confort. Des meubles patinés sont toutefois les bienvenus. Privilégiez les formes rondes aux formes géométriques et mélangez les motifs. Le but ? Un style décontracté au possible ! Ne fignolez donc pas trop les détails…

    3 l Des plantes !

    Ici et là, une plante placée stratégiquement donnera vie à votre intérieur tout en le purifiant.

    4 l Matériaux naturels et rustiques

    N’hésitez pas à reprendre de vieux meubles datant des années 60, c’est à la fois chic et vintage à souhait. Question matériaux, le rotin, le bois et le chanvre sont d’excellents alliés.

    5 l Jouer avec les motifs

    Que ce soit via des coussins, des tentures, des accessoires ou bien encore des luminaires, le style boho se caractérise par son mixte de motifs et de couleurs. Il est toutefois possible de respecter un fil conducteur : si vous voulez une ambiance plutôt élégante, optez pour des motifs en noir et blanc, combinés ou non à d’autres nuances sombres. En revanche, si vous désirez quelque-chose de plus pétillant ou estival, alors l’ocre, l’orange, le saumon et le jaune font bien l’affaire.

  • Voici comment nettoyer une moustiquaire !

    Barrage parfait contre les moustiques, les mouches et autres guêpes, les moustiquaires sont rapidement envahies de ces petites bêtes volantes. Mais comment les nettoyer en toute sécurité ?

    Nettoyer les rails

    Si vous avez une moustiquaire enroulable, nettoyez toujours en premier les rails qui permettent à la moustiquaire de glisser. Ces rails récoltent rapidement la saleté et la poussière : un aspirateur suffit à enlever le gros, quant aux tâches tenaces, elles peuvent être éliminées avec un chiffon en microfibre.

    Comment nettoyer l’écran ?

    La moustiquaire elle-même doit de préférence être nettoyée tous les mois. La poussière et les petits débris peuvent être aspirés, mais n’y allez pas trop brutalement, sous peine de la casser !

    Si la moustiquaire est vraiment sale et collante, un chiffon en microfibre avec un peu d’eau tiède peut faire des merveilles. Il faut faire attention aux produits de nettoyage car ils peuvent la décolorer. L’idéal, si la moustiquaire est humide et poussiéreuse, c’est de la laisser sécher et de la frotter avec un chiffon sec.

    Vous pouvez démonter les écrans et les mettre sous la douche. Il est bien sûr possible de les nettoyer au jet d’eau mais encore une fois, faites attention à ne pas la casser.

     

  • Quelle forme de tapis pour votre maison ?

    Rond, carré ou nettement plus insolite : les tapis sont aujourd’hui disponibles dans toutes les formes possibles ! Mais comment être sûr de faire le bon choix ? C’est ce que nous allons voir avec vous !

    Allo Tapis

    Les tapis carrés

    Les tapis carrés sont de plus en plus à la mode ! Ils distillent une vraie touche contemporaine à votre intérieur, tout en cassant et en apportant une touche structurée aux espaces allongés. Déjà fort présents dans les bureaux, ils s’invitent de plus en plus dans les halls d’entrée.

    Les tapis ronds

    Un tapis rond n’est généralement pas très conseillé dans les pièces étroites et longues : ils donnent alors l’impression de réduire visuellement l’espace. Mais dans une chambre d’enfant, dans une petite pièce ou encore dans une salle à manger, sous une table ronde, ils font des merveilles ! Les tapis ronds donnent une vraie touche de convivialité ! Bien évidemment, ils sont plutôt à proscrire sous les tables carrées…

    Les tapis rectangulaires

    Eux, ce sont les tapis traditionnels. N’allez cependant pas croire qu’ils sont passés de mode, car ils s’invitent de plus en plus sous les meubles et autres tables à manger. Notez que dans ce dernier cas, mieux vaut prendre un modèle dépassant de 50 centimètres les pieds de table, ce qui permet suffisamment de mouvements de chaises…

    Les tapis insolites

    Des tapis, il en existe de toutes les formes : en cœur, en fleur, en polygone… Ces tapis sont évidemment parfaitement indiqués pour les chambres d’enfant où ils apportent une note chaleureuse et ludique !