Auteur : francois

  • Voici comment prolonger la vie de votre machine à laver

    Le « balourd » est l’une des principales hantises des fabricants de machines à laver. Lorsque ce phénomène se produit trop souvent, il peut endommager le tambour et réduire drastiquement la durée de vie du moteur.

    Depuis son invention, le principe mécanique d’un lave-linge a peu évolué : un tambour, dont une partie est immergée dans l’eau, tourne autour d’un axe de rotation à l’aide d’un moteur électrique. Pour que la machine à laver fonctionne sans encombre, le tambour doit être équilibré autour de son axe. Mais le tout peut être mis en péril par ce qu’on appelle un balourd, une masse de linge qui finit par former une grosse boule au fur et à mesure des rotations du tambour. De quoi déséquilibrer toute la machine sous l’effet de la force centrifuge.

    Un mot un seul : équilibre !

    En toutes circonstances, il faut veiller à ce que votre lave-linge soit parfaitement équilibré. Cela commence par mettre l’appareil à niveau lorsqu’on l’installe pour la première fois. Un service qui est généralement assuré par les vendeurs d’électroménagers.

    Ensuite, à l’usage, le tambour de la lessiveuse doit lui aussi être équilibré. Si un balourd se forme, le tambour va effectuer des rotations irrégulières ce qui se manifestera par des vibrations anormales, particulièrement durant la phase d’essorage. Des balourds trop réguliers peuvent irrémédiablement endommager la durée de vie du moteur de la lessiveuse.

    Quelques règles d’or !

    La répartition du linge dans le tambour est donc une opération très importante puisque c’est à ce moment là que vous allez garantir ou altérer l’équilibre de votre machine. De manière générale, on évitera de laver une grande pièce de linge avec une multitude de petites. Laver un grand drap de lit avec une série de chaussettes risque à tous les coups de produire un balourd. Le drap va en effet « emballer » ces dernières et ainsi générer une boule qui se jettera d’un côté à l’autre du tambour. Le plus simple est dès lors de trier votre linge en mettant d’un côté les draps de lit et les serviettes et de l’autre les éléments les plus petits comme les chaussettes, les sous-vêtements et les t-shirts.

    En faisant deux lessives différentes, avec des éléments qui ont plus ou moins la même taille et le même poids, vous éviterez la formation de ces balourds que nos machines à laver redoutent tant !

  • Le propriétaire a-t-il le droit de faire des travaux dans son bien lorsqu’il est loué ?

    Vous êtes propriétaire d’un bien que vous avez mis en location et vous souhaitez effectuer des travaux alors que le bien est occupé par votre locataire ? Vous pouvez le faire mais, au préalable, vous devez en demander l’autorisation à l’occupant du bien.

    Ne pas déranger

    Ça tombe sous le sens, le locataire a bien entendu le droit de jouir du bien qu’il loue sans être dérangé. Néanmoins, en cas de travaux de réparation urgents (une toiture arrachée après une tempête, une canalisation qui a cédé à la cave…), qui ne peuvent attendre la fin du contrat de bail sans endommager le bien, le propriétaire a le droit d’effectuer lesdits travaux, et ce même si le locataire refuse et même si une partie du logement devient inutilisable.

    Réduction de loyer?

    La législation prévoit que vous ne devrez accorder une réduction de loyer (ou une indemnité à votre locataire) que si les travaux durent plus de 40 jours (en Wallonie et à Bruxelles) ou 30 jours (en Flandre). Au delà de cette durée, une indemnité sera calculée en fonction de la durée des travaux ainsi que par rapport à la proportion du logement qui est rendue inutilisable par les travaux.

    Enfin, si le logement n’est plus du tout utilisable, votre locataire a le droit d’exiger la résiliation du bail. Si litige il y a entre le bailleur et son locataire, c’est le juge de paix qui est compétent pour arbitrer.

  • 3 conseils pour bien choisir un tapis pour la chambre de votre enfant

    Elément central dans la chambre d’enfant, le tapis apporte douceur et chaleur, ainsi qu’un petit côté ludique. Toutefois, il n’est pas forcément facile de s’y retrouver entre les différentes matières et les différents modèles !

    Allo tapis

    Des tapis pour enfant, il en existe à tous les prix, d’une grosse dizaine d’euros à une grosse centaine d’euros. L’ambiance du moment nous pousse à vous conseiller un modèle le plus durable possible, quitte à le revendre par la suite si vous désirez changer la déco. Si le tapis est de qualité, il pourra se revendre à bon prix ! En effet, et à condition de l’entretenir, un tapis peut tenir plusieurs années sans vieillir.

    Quel motif choisir ?

    Des tapis enfant, vous en trouverez de toutes les couleurs et de tous les motifs. Toujours dans cet esprit de durabilité, optez plutôt pour un modèle à la teinte unie et assez sobre dans son design. Vous vous en lasserez moins rapidement et il pourra être plus facilement réutilisé si vous décidez de revoir toute la décoration de la chambre de votre petit chérubin !

    Quelle matière choisir ?

    Ici, on vous l’accorde, le choix peut se révéler un peu complexe. Tout dépend des goûts, mais aussi des allergies de votre enfant. Un modèle synthétique est une solution, car il est non seulement assez abordable, mais il est aussi plus facilement lavable que les autres modèles. Evitez les tapis en laine, confortables, certes, mais peu faciles à nettoyer. En revanche, les modèle en coton et en polyester sont particulièrement faciles d’entretien.

    Quelle taille choisir ?

    Un tapis dans une chambre d’enfant se doit avant tout d’être fonctionnel. Nous vous suggérons donc de délaisser les formes rondes et originales : un tapis rectangulaire (en 120×160 cm, par exemple), placé au pied du lit, sera plus à même d’apporter du confort et… d’amortir le bruit des objets tombant au sol ! De plus, une fois hors du lit, votre enfant aura les pieds sur le tapis et non sur le carrelage, ce qui est un véritable atout en matière de confort thermique.

    Quid de l’entretien ?

    Un tapis, surtout dans une pièce de passage ou de jeu, cela s’aspire en moyenne deux fois par semaine. Pensez également à bien aérer la pièce et ce, quotidiennement.

  • 3 conseils pour chauffer sa piscine pour vraiment pas cher !

    Petit-à-petit, l’été nous quitte et emporte avec lui les grosses canicules. Cela signifie-t-il la fin de la saison pour votre piscine ? Pas forcément, voici 3 astuces pour profiter d’une eau chaude à tout petit prix !

    Alors bien sûr, il existe de multiples solutions efficaces comme une pompe à chaleur ou un chauffage solaire. Mais ce que nous vous proposons n’impose pas de gros investissements !

    1.    Une bâche

    Cela tombe évidemment sous le sens. Une bâche permet de limiter à la fois le rafraichissement de l’eau, mais aussi son évaporation. Pour de meilleures performances, vous pouvez opter pour une bâche à bulles qui emmagasine la chaleur du soleil la journée et limite donc le refroidissement de l’eau la nuit.

    2.    Un tapis solaire chauffant

    Ces petits tapis noirs ne coûtent généralement qu’une petite trentaine d’euros, voire moins, mais peuvent faire une jolie différence ! Relié au système de filtration de la piscine, ce tapis fait serpenter l’eau pour la réchauffer. Si la piscine est grande, n’espérez pas gagner beaucoup, mais pour une petite piscine, vous pourrez facilement gagner quelques degrés.

    Vous voulez une solution encore moins chère ? Prenez un flexible en PVC, noir de préférence, et raccordez-le à la pompe. Le tuyau, bien chaud, fera chauffer l’eau qui le traverse.

    3.    Des anneaux solaires

    Non, il ne s’agit pas d’un accessoire coquin, mais d’un système permettant de réchauffer l’eau. Ces anneaux recueillent la chaleur du soleil pour ensuite faire chauffer l’eau… Ces « Solar Sun Rings » ne coûtent pas une fortune, mais leur efficacité n’est pas non plus époustouflante. Toutefois, la différence « entre avant et après » est sensible !

  • Nos 5 astuces pour un home cinéma idéal !

    Le cinéma vous manque et vous désirez profiter d’une expérience immersive pour regarder vos films ? Le home cinéma est une solution de plus en plus populaire ! Faut-il forcément disposer de moyens colossaux ? Pas du tout ! On vous explique tout !

    Choisissez l’écran idéal

    La partie la plus importante de votre installation ? L’écran ! Il existe plusieurs options. Vous pouvez opter pour un projecteur si vous désirez une très grande image. Il faut pour cela avoir un mur plat et débarrassé de cadres. Un grand écran est souvent une meilleure option : la qualité de l’image y est bien meilleure.

    Une assise confortable

    Votre canapé peut évidemment parfaitement faire l’affaire. Si vous voulez jouer les perfectionnistes, vous pouvez chercher de véritables sièges de cinéma sur Internet ! Bien entendu, une pièce séparée est l’idéal… Mais soyons réalistes, nous sommes bien peu à pouvoir profiter de ce luxe !

    Sombre !

    Evidemment, il faut rendre les lieux aussi sombres que possible. Choisissez donc de préférence une pièce sans fenêtre ou dotée de volets. Votre sous-sol est bien entendu l’endroit idéal !

    Mais pensez à l’éclairage aussi !

    Pour l’entracte ou avant (ou après) le film, pensez à installer une lumière tamisée et/ou indirecte (comme derrière la télévision par exemple).

    Quelques beaux accessoires pour compléter le tout…

    La pièce est sombre, sobrement éclairée et vous disposez d’un large écran, ainsi que d’un fauteuil confortable. Comment compléter le tout ? Par un frigo, voire une machine à pop-corn, bien sûr !

  • Mettre sa maison en location : le faire soi-même ou engager un pro?

    Vous venez d’acheter une nouvelle maison et comptez louer votre bien actuel? Plusieurs possibilités s’offrent à vous et il peut être tentant de le faire soi-même… On voit avec vous les éléments à considérer…

    Sachez dans quoi vous vous engagez …

    Si vous décidez de vous occuper de tout, réalisez dans quoi vous vous engagez ! Outre l’aspect administratif qui peut être laborieux, il faut tout de même avoir quelques notions légales. Régulièrement modifiée, la législation doit être suivie de près ! Du certificat PEB au contrat de location, les contraintes sont nombreuses. Quant au montant du loyer, c’est finalement presque la partie la plus facile : il vous faudra faire une fine analyse du marché, en lorgnant sur les biens similaires à louer des alentours…

    Un travail de longue haleine

    Ne sous-estimez pas le temps que peut prendre la location d’une propriété. Si vous êtes déjà fort occupé, cela pourrait être la goutte qui fait déborder le vase, surtout si vous avez plusieurs propriétés !

    Vous désirez déléguer un agent immobilier ? 

    De plus en plus de personnes se tournent vers un agent immobilier pour louer leur(s) propriété(s). Ces professionnels connaissent parfaitement la législation et sauront vous guider, vous conseiller. Grâce à leur connaissance du marché, ils peuvent vous assurer des revenus locatifs et vous décharger de l’aspect administratif. Il va sans dire que cela a un prix, mais vous serez pris en charge. 

    De plus, la plupart des agents immobiliers ont déjà une certaine expérience en la matière, notamment avec les mauvais payeurs. Ils savent donc comment traiter ces dossiers. Il va sans dire qu’un agent immobilier recherche aussi activement des locataires potentiels. La promotion de votre (vos) maison(s) est également incluse dans le forfait. 

    A vous de voir

    Choisir un professionnel ou le faire soi-même ? Dans les deux cas, il y a des avantages et des inconvénients. Notez toutefois que se lancer soi-même dans ce genre d’aventure peut rapidement mener à d’amères déceptions et frustrations, si l’expérience vous manque.

  • Jardin : 5 choses à faire dès maintenant !

    Nous avons été nombreux à profiter du confinement pour remettre de l’ordre dans notre jardin. Hélas, la sécheresse du mois d’août n’a pas été tendre avec nos pelouses et nos plantes. Voici 5 actions à entreprendre pour redonner vie à vos étendues vertes !

    1.    Cueillir les fruits

    Les pommes et poires tombent des arbres. Il est temps de ramasser les fruits morts et de cueillir les fruits arrivés à maturités. Attention, ceux-ci doivent se détacher naturellement, sans forcer. Sachez aussi que le fruit se conservera mieux s’il a toujours sa queue.

    2.    Scarifier

    Les pelouses ont beaucoup souffert de la sécheresse. Taches brunes, apparition de mauvaises herbes et de mousse sont des phénomènes courants. Quelles solutions ? Scarifier ! C’est aussi le bon moment pour semer !

    3.    Vous avez du basilic, de la sauge ou de la ciboulette ?

    Concernant les plantes vivaces, sachez que septembre est le mois où il faut les tailler à ras. Vous pouvez aussi en planter de nouvelles pour l’année prochaine !

    4.    Semer

    Septembre est un bon mois pour semer, qu’il s’agisse de légumes, de fleurs, voire de votre pelouse !

    5.    Mauvaises herbes

    Les mauvaises herbes sont de retour, il va falloir se retrousser les manches ! Dans le cas contraire, vous risquez d’être fort envahi l’année prochaine…

  • Quel type de kot étudiant choisir pour la rentrée ?

    La chasse aux kots est lancée ! Pour la rentrée académique prochaine, il est temps de choisir son logement. Mais quel kot choisir ? L’habitant, le studio, la colocation et tutti quanti, possèdent des avantages et des inconvénients. Voici nos conseils pour choisir le logement étudiant qui vous convient le mieux. 

    La colocation

    Ce type de logement est très apprécié des étudiants. En effet, il va permettre de réduire le loyer de la maison ou de l’appartement. Il faudra aussi partager les espaces communs avec 3 à 5 personnes maximum (cuisine, salle de bain, buanderie, etc.). Petit conseil : privilégiez une colocation avec une bande de copains que vous connaissez bien et avec qui vous vous entendez bien.

    Chez l’habitant

    Idéal pour ceux qui ont besoin de calme, le kot chez l’habitant se caractérise ainsi, car le propriétaire habite le logement. En cas de pépin, le bailleur est directement accessible. Par contre, il faudra vous arranger avec le propriétaire pour ce qui est des visites et des soirées.

    Le logement communautaire

    Chacun possède sa chambre, mais tous les espaces sont à partager. Contrairement à la colocation, le kot communautaire accueille une dizaine de petites chambres meublées. En général, il y a plusieurs douches et WC.

    Le studio

    Pour les étudiants en quête de calme et d’un lieu privé, le studio sera le logement par excellence. Généralement spacieux, il possède une cuisine, une salle de bain, une toilette et une pièce de vie qui séduira les couples ou les étudiants studieux. Malheureusement, ce type de bien est plus cher.

     

  • Une piscine… « écolo » ? 4 alternatives au chlore !

    En attendant la mise en place de normes environnementales strictes au niveau européen, il est d’ores et déjà possible de rendre sa piscine plus éco-responsable grâce à tout un panel de nouvelles solutions.

    Le chlore, non merci

    Le chlore est le produit désinfectant le plus couramment utilisé par les propriétaires de piscine. Bon marché, il permet d’éliminer les bactéries et les micro-organismes présents dans l’eau du bassin. Inodore, il se transforme au contact de l’eau et crée du chlore actif, du chlore potentiel ainsi que de la chloramine.

    C’est cette chloramine qui apparaît au contact de la sueur, des résidus de peaux et des cheveux présents dans l’eau et qui va dégager une odeur forte que l’on associe à l’odeur du chlore. Plus l’eau de votre piscine contient de la chloramine, plus elle est contaminée et plus elle sent le chlore… En outre, plus l’eau de votre piscine contient de la chloramine et moins elle contient de chlore actif (agent désinfectant). Ce qui signifie un sous-dosage de chlore et une inefficacité de celui-ci.

    Outre la difficulté à trouver un bon équilibre entre les trois composés évoqués ci-dessus, le chlore peut aussi être source d’irritations voire de troubles respiratoires et ainsi impacter l’environnement lors d’éclaboussures autour de la piscine. De nouvelles alternatives plus vertes sont donc développées afin de réduire autant que possible l’utilisation de ces produits chimiques.

    L’ozone

    La stérilisation à l’ozone est utilisée depuis plusieurs années pour traiter l’eau de distribution. Ce système a pour propriété de directement détruire les micro-organismes et les parasites. Il s’agit d’un procédé qui a un impact quasiment nul sur l’environnement et qui, au contraire du chlore, ne crée aucun dérivé néfaste.

    L’électrolyse de sel

    Autre procédé respectueux de l’environnement et à faible consommation énergétique : l’électrolyse de sel. Cette dernière crée automatiquement l’agent chimique qui va traiter l’eau. Vous n’avez donc plus besoin de stocker des produits toxiques tandis, qu’ici aussi, aucun sous-produit toxique n’est généré.

    Les rayons ultra-violets

    Tout comme l’ozone, les rayons UV sont utilisés pour traiter l’eau de distribution. De puissantes lampes UV-C agissent directement sur l’ADN des micro-organismes afin d’interrompre leur développement. De quoi ici aussi réduire la consommation des autres produits chimiques traditionnels, à hauteur de 80 à 90 % !

    L’oxygène actif

    Dernière alternative : l’oxygène actif. Totalement inoffensif pour la peau et les muqueuses, ce traitement utilise une molécule naturelle qui va se dissoudre dans l’eau du bassin en rejetant une grande quantité d’oxygène. L’effet est immédiat mais non rémanent, ce qui veut dire qu’il doit être utilisé en complément d’un autre traitement.

  • Que faire si votre propriétaire n’intervient pas en cas de dégâts ?

    En plein hiver, la chaudière du logement que vous louez tombe en panne et vous vous retrouvez sans chauffage ni eau chaude. Ce cas de figure incombe au propriétaire de proposer une solution dès que possible, la chaudière étant considérée comme faisant partie intégrante d’un bien mis en location.

    Seulement voilà, malgré plusieurs coups de fil et SMS, votre propriétaire tarde à réagir. Que faire ?

    Évitez l’agressivité et les menaces

    Dans un premier temps, si vous entretenez une bonne relation avec votre bailleur, optez pour les canaux de communication conventionnels, tels que le téléphone, le SMS ou encore l’e-mail. Expliquez brièvement le problème rencontré et les tracas que celui-ci occasionne au quotidien. N’hésitez pas à d’ores et déjà communiquer vos disponibilités afin que votre propriétaire puisse revenir vers vous, éventuellement accompagné d’un professionnel.

    S’il ne réagit pas à vos différents appels, envoyez-lui un courrier recommandé dans lequel vous le mettez en demeure de procéder aux réparations dans un délai raisonnable. Vous disposerez ainsi d’une preuve écrite en cas de litige futur. Inutile d’utiliser un ton menaçant ou agressif, restez toujours neutre dans vos différents échanges écrits.

    Si malgré la lettre recommandée votre propriétaire ne prend toujours aucune mesure appropriée, il vous reste alors deux possibilités :

    • Vous optez pour une procédure de conciliation devant le juge de paix. Inconvénient : pour qu’il puisse y avoir « réconciliation des parties » et parvenir à un accord, le propriétaire doit être présent lors de l’entrevue avec le juge,
    • Vous pouvez également porter l’affaire devant le juge de paix via une requête ou une assignation. Dans ce cas, il s’agit d’un procès et le juge de paix peut statuer même en l’absence du propriétaire. Vous pouvez y demander l’autorisation de faire effectuer les travaux vous-même (en présentant un devis), exiger des dommages et intérêts voire la dissolution du contrat de bail.

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