Auteur : francois

  • 4 styles pour votre salle de bains !

    A l’instar des salons, les salles de bains peuvent elles aussi, afficher un style bien défini. Vous ne savez pas lequel choisir ? On fait le tour des 4 tendances les plus populaires du moment.

    Le style intemporel

     

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    C’est probablement le style plus courant. Ce qui est finalement assez logique car il ne se démode jamais. La règle de base ? Des couleurs neutres et des meubles sans trop de fioritures : on pense à des meubles blancs, noirs ou en bois, ainsi qu’à des robinets chromés. Pour afficher une touche personnelle, il faut donc jouer sur les accessoires, plus ou moins audacieux, selon votre caractère.

    Le style minimaliste

     

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    Less is more ! Ici, on joue principalement sur des tons noirs, beiges et gris. En variant les matériaux et les textures, vous pouvez éviter une ambiance trop fade… On pense par exemple à du bois et à de la pierre naturelle. Ici encore, ce sont les accessoires qui feront la différence.

    Le style industriel

     

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    Ici, il faudra privilégier des matériaux bruts, comme de l’acier ou du béton, ainsi que des teintes monochromes. Vous pouvez égayer l’ambiance avec du bois, du roseau ou un autre matériau naturel. En ce qui concerne la palette de couleurs, il faudra partir sur des tons terreux.

    Le style hôtel-boutique

     

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    Vous aimeriez que votre salle de bains vous rappelle de prestigieux hôtels ? Employez alors des couleurs chaudes et des matériaux premium. Si vous avez l’espace et le budget, une baignoire à bulles ou un sauna sont parfaits ! Décorez abondamment mais avec goût. Choisissez du marbre, éventuellement du velours, pensez à des nuances pastel et n’oubliez pas les vases colorés pour égayer l’ensemble. Un robinet doré et brillant peut être le parfait couronnement de votre salle de bains !

     

  • Vous rêvez d’un dressing, mais votre logement est trop petit ? Voici nos conseils !

    Un dressing bien pensé permet d’accueillir tous vos vêtements et de les organiser au mieux. Encore faut-il définir ses besoins avant de passer commande !

     

    C’est le fantasme de bon nombre de ménages. Qui n’a jamais souhaité disposer d’un espace de rangement où tout trouverait sa juste place ? L’importance prise par les dressings dans nos habitations est telle qu’ils sont devenus un argument qui ne laisse personne indifférent lors de la vente ou de la location d’une maison ou d’un appartement. Le dressing a en effet tendance à valoriser un bien !

    Inutile d’avoir un palace !

    En outre, sachez qu’il ne faut pas renoncer à installer un dressing sous prétexte que vous manquez d’espace. Celui-ci peut en effet se contenter d’un volume restreint, avec environ deux mètres linéaires nécessaires pour accueillir la garde-robe d’une personne adulte.

    Par contre, si vous pouvez l’installer dans une pièce dédiée, comptez un minimum de 4 m2 pour une personne et plutôt 6 m2 si vous envisagez de vous y changer et de vous y habiller. Un dressing peut être conçu en L, en U ou encore en I, en fonction de la configuration de la pièce. Et si la chambre ou ses abords est l’endroit idéal, un couloir assez large voire un hall d’entrée peuvent aussi faire l’affaire !

    Définissez vos besoins

    Le choix d’un dressing dépend bien entendu de ce qu’on aura à y ranger et de ce qu’on en attend. Avant de passer commande, commencez par définir le volume nécessaire. Pour ce faire, un bon réflexe consiste à opérer un grand tri, en écartant les vêtements et chaussures que vous ne portez plus depuis un bon moment.

    Quelles dimensions ?

    Aussi, ce choix se fera en fonction de la manière donc vous rangez vos vêtements. En effet, les vêtements pliés n’occupent pas le même espace que des vêtements suspendus à des cintres. En règle générale, il faut compter de 30 à 40 cm de largeur et 60 cm de profondeur pour 50 cm de hauteur pour une étagère à même d’accueillir une pile de vêtements. Du côté de la penderie, comptez une hauteur de 110 cm pour des pantalons suspendus, 130 cm pour des robes voire 170 cm pour des manteaux. Enfin, pour ce qui est des chaussures, il faut compter un mètre linéaire pour ranger cinq paires côte à côte.

    Restera ensuite à opter pour des portes, des rideaux voire pour un dressing ouvert et vous n’aurez plus qu’à en profiter !

     

     

     

  • Linge de lit : à quelle fréquence faut-il le laver ?

    Une quantité non négligeable de peaux mortes, cheveux, poils, bactéries et autres microbes microscopiques s’accumulent chaque nuit dans nos lits. Il est donc primordial de régulièrement changer ses draps, taies d’oreillers et housse de couette !

    bed dog
    Claudia Manas

    On l’a tous constaté : trois ou quatre jours suffisent pour que notre linge de lit ne sente plus aussi bon et ne soit plus aussi doux au toucher qu’au premier jour. Cela s’explique par le fait que des milliers de particules microscopiques se déposent sur les draps durant la nuit, prolifèrent et finissent donc par passer les nuits qui suivent en notre compagnie.

    Ces éléments extérieurs sont légion : peaux mortes, cheveux, poils, résidus de maquillage et de produits capillaires, poussières, pollen ou encore bactéries… Tout ce petit monde termine sa course dans nos lits, que cela soit dans nos draps ou sur le matelas ce qui fait de la literie un véritable nid à infections. Il faut en outre ajouter à cela la transpiration voire les fluides corporels. En effet, une personne adulte sécrète en moyenne 100 litres de sueur chaque année dans son lit !

    A vos machines !

    Pour limiter tout risque de développement de bactéries et de champignons, il n’y a qu’une seule solution : changer régulièrement ses draps et taies, soit une fois par semaine en été (car on transpire davantage durant les mois chauds) et, au minimum, une fois toutes les deux semaines en hiver. C’est là le temps qu’exigent microbes et allergènes pour s’accumuler et se développer au cœur des fibres du linge de lit. Cette fréquence devra être revue à la hausse si vous avez l’habitude de dormir nu, la peau étant alors directement en contact avec les draps.

    Dans la mesure du possible, optez toujours pour une température de lavage de 60° assortie d’un détergent ad-hoc, d’autant plus si vous faites sécher votre linge à l’air libre. Si ce dernier passe au séchoir, une température de lavage de 40° est suffisante.

    Et les couettes et oreillers ?

    Vous vous en doutez, tant votre couette que vos oreillers ne sont pas en reste dans ce processus de « contamination » nocturne. Il convient donc d’également les laver, au minimum deux fois par an et, ici aussi, à 60° si le matériau le permet. En outre, les couettes et oreillers que l’on stocke durant l’été ou l’hiver, en attendant le changement de saison, doivent eux aussi être lavés deux fois par an, soit avant d’entrer dans le placard mais également à leur sortie de celui-ci. De quoi limiter la formation de moisissures et, du même coup, de taches disgracieuses.

    Stocker toujours votre linge de lit dans un endroit propre, sec et dépourvu d’odeurs. Placez le tout dans des housses spécifiques que vous pourrez trouver dans le commerce.

  • Matelas à eau : plutôt pour ou contre ?

    On aime ou on n’aime pas : les lits à eau ont de fervents partisans et… tout autant de fervents opposants. Ces dernières années, ils ont perdu une partie de leur popularité, mais cela ne change rien au fait qu’un matelas à eau présente certaines qualités.

    Dormir dans la bonne position

    Bien que tous les spécialistes ne soient pas d’accord, la majorité des voix consent à dire que vous avez une meilleure position. Logique, après tout, parce que tout votre corps est soutenu. L’eau suit vos mouvements et veille à ce que vous ayez toujours la posture idéale. Ainsi, vous dormez mieux et profitez d’une bonne nuit de sommeil. Evidemment, cela demande tout de même un peu d’habitude…

    Parfaitement ajustable

    La température de l’eau peut être ajustée selon vos préférences. Ainsi, vous dormez bien au chaud en hiver et au frais en été. De plus, les matelas doubles peuvent être équipés de 2 matelas séparés et donc de 2 côtés réglables séparément.

    Hygiénique

    Les matelas sont des lieux de reproduction privilégiés pour les bactéries. Rien de tel ici. Adieu poussière, sueur, bactéries et acariens ! D’ailleurs, l’eau reste fraîche grâce à un additif, ce qui empêche la prolifération d’algues dans le matelas !

    Durabilité

    En moyenne, un matelas à eau de qualité dure environ 17 ans. Un matelas classique doit être remplacé bien plus tôt !

    Les inconvénients

    Comme pour les autres lits, il y a aussi quelques points d’attention avec un lit à eau. Par exemple, il y a toujours un petit risque de fuite : il faut donc faire attention aux objets pointus. Il va sans dire que le risque de fuites est plus faible avec un modèle de qualité. Il est également important de savoir que ce genre de matelas est extrêmement lourd. Vérifiez donc toujours si votre sommier et votre plancher peuvent supporter une telle charge…

    Enfin, mentionnons également qu’il existe des différences en matière de stabilité. Optez toujours pour un matelas stabilisé, au risque d’éprouver de désagréables sensations. Enfin, le chauffage peut coûter une petite fortune !

  • Voici comment remplacer un vieux tube néon par un tube LED !

    Vous voulez réduire le montant de votre facture d’électricité et vous vous demandez s’il est possible de remplacer un tube néon par un tube LED ? La réponse est oui !

    Bien plus économique que les tubes fluorescents (communément appelés néon), les tubes LED sont une solution à sérieusement envisager lorsqu’un tube d’ancienne génération rend l’âme. Leur luminosité est idéale pour travailler avec confort et précision, spécialement dans un atelier, un garage ou un entrepôt.

    Que des avantages

    Contrairement à ses homologues traditionnels, le tube LED est à la fois économique et écologique. Avec une durée de vie qui oscille entre 30.000 et 50.000 heures, ce tube de nouvelle génération vous permet de profiter très longtemps d’un système d’éclairage performant. Vous ne devrez donc plus changer vos tubes aussi souvent et, par conséquent, vous gagnez du temps et de l’argent tout en conservant une luminosité constante dans votre pièce de vie ou votre espace de travail.

    En outre, conçus dans un plastique costaud qui résiste aux chocs, les nouveaux tubes LED sont du coup nettement moins susceptibles d’être cassés durant leur transport ou leur manipulation que leurs homologues à néon, qui sont eux constitués de verre.

    Le remplacement d’un tube néon par un tube LED permet aussi de réaliser de grosses économies d’énergie, avec des dépenses en électricité qui sont bien souvent divisées par deux ! Enfin, opter pour un tube LED aide à préserver l’environnement puisque le support d’éclairage LED ne contient pas de mercure et peut être recyclé !

    Adieu starter, bonjour “pont de liaison”

    Au contraire d’une ampoule qu’il suffit de dévisser pour la remplacer par une nouvelle embarquant la technologie LED, le remplacement d’un tube néon par un tube LED est un peu plus complexe.

    Les tubes néon sont en effet liés à un starter sans lequel ils ne peuvent démarrer. Les tubes LED, eux, n’ont pas besoin de ce starter. Un “pont de liaison” (ou starter LED) sera par contre nécessaire pour assurer le bon fonctionnement du nouveau tube LED. Il convient donc de remplacer l’un par l’autre ce qui est chose aisée vu qu’ils présentent la même morphologie.

    Pour ce faire, commencez par couper l’électricité en disjonctant l’installation à partir du tableau électrique. Ensuite, ôtez délicatement le néon en le faisant tourner sur lui-même puis faites de même avec son starter. Posez le nouveau starter LED et par après le tube LED. Relevez le fusible concerné et le tour est joué ! En cas de doute, n’hésitez pas à vous renseigner auprès d’un professionnel !

    Lors du choix de votre nouveau tube LED, renseignez-vous sur les températures de lumière disponibles. Les tubes néon dégagent en effet une lumière froide, tournant autour de 4.000 K. En optant pour un éclairage LED, vous pouvez en profiter pour revoir la température de l’éclairage de la pièce et opter pour une lumière plus chaude (soit plus proche du jaune que du bleu), tournant cette fois autour de 2.500 K. Pour ce point aussi les professionnels du secteur sont là pour vous orienter et vous renseigner !

  • Plutôt peinture ou papier peint pour vos murs ?

    Envie de redonner un coup de neuf à votre maison ? Rafraîchir les murs peut se faire de deux manières : la peinture ou le papier-peint. Mais quelle solution adopter ?

    Papier peint : quels avantages ?

    Votre truc à vous, ce sont les motifs ? Dans ce cas, le papier peint tombe sous le sens… Aujourd’hui, il existe d’ailleurs quantité de modèles avec des choix infinis en matière de couleurs, motifs, structures… De plus, le papier peint est plus chaleureux et accueillant.

    Papier peint : quels inconvénients ?

    Pas forcément simple, ni rapide à poser, il réclame de la patience, voire… des professionnels. De plus, il n’est généralement pas bon marché. Cela dit, une fois en place, le papier peint est à l’épreuve des années…

    Peindre : quels avantages ?

    Vous choisissez la couleur, achetez le pot de peinture et c’est parti ! Toutefois, pour un joli résultat, il faut s’assurer que la surface soit lisse et dégraissée. Les préparatifs sont donc limités et si vous n’aimez pas la couleur, il est très facile de changer !

    Peindre : quels inconvénients ?

    Des pots de peinture, il en existe à tous les prix, mais si vous recherchez la qualité, les tarifs peuvent vite grimper ! Une fois le pot ouvert, la peinture a une durée de vie limitée. Ainsi, si vous voulez repeindre votre mur après quelques années, vous devrez acheter de nouveaux pots. En pratique, les peintures s’avèrent souvent presque aussi chères, voire plus chères que le papier peint.

    Outre la couleur, les possibilités sont également assez limitées, sauf si vous maîtrisez des techniques de peinture spéciales. Bien sûr, vous pouvez aussi engager un professionnel, mais les coûts augmentent alors en flèche ! Dans tous les cas, optez pour une peinture de haute qualité : en effet, les modèles bon marché exigent plusieurs couches, donc vous payez plus de pots…

  • Installer un feu ouvert chez vous ? Voici les conseils d’un pro !

    Quoi de plus agréable que de disposer d’un feu ouvert au cœur de la maison ? C’est d’autant plus vrai lorsqu’il est placé au centre d’une pièce, offrant alors une vue périphérique sur les flammes du foyer. Eric, un pro, nous donne quelques conseils…

    Intégrer un foyer au sein de la maison est une plus-value indéniable. Outre la disposition classique le long d’un mur, il est aussi possible de suspendre une cheminée au beau milieu d’une pièce ou encore de remplacer un mur non porteur par une cheminée à double vitrage afin de séparer, ne fût-ce que visuellement, deux pièces de la maison. Une telle installation ne s’improvise néanmoins pas et exige l’intervention de professionnels !

    Partir d’un conduit existant

    Pour Eric, deux scénarios sont envisageables : « le premier consiste à partir d’un conduit de cheminée existant. C’est souvent le cas dans les maisons plus anciennes qui comptent généralement plusieurs conduits. Commencez par vérifier si la pièce à équiper dispose bel et bien de celui-ci. » C’est le cas ? « Alors faites venir un installateur spécialisé afin de vérifier si le conduit est aux normes et s’il est utilisable pour y raccorder un foyer. Notez que l’installation de feux placés au centre d’une pièce nécessite bien souvent un conduit plus large que pour une cheminée classique. Ils oscillent en général autour de trente centimètres. » Si l’évacuation est trop étroite, il faudra en créer une plus large ou opter pour un autre emplacement.

    Créer un nouveau conduit

    Second scénario : en l’absence d’un conduit existant, il convient de vérifier s’il est envisageable d’en installer un nouveau. « Dans ce cas, explique Eric, il faut bien entendu respecter les contraintes techniques imposées par la pièce. On pense notamment aux distances de sécurité à envisager autour du foyer, au nombre maximum de coudes dans le conduit ou encore à l’obligation de dépasser le faîtage de plusieurs dizaines de centimètres. » Vous l’aurez compris, c’est un boulot pour un installateur agréé. Ce dernier sera à même de vous renseigner quant à ces différentes contraintes.

    Les critères dont il faut tenir compte

    Eric rappelle quelques règles de base : « un foyer placé au centre d’une pièce impose certaines règles, à commencer par une surface minimum au sol de 60 x 100 cm. En outre, si le conduit traverse une pièce supérieure, ce dernier devra être calfeutré dans un caisson d’une vingtaine de centimètres d’épaisseur. Pour contourner cet écueil, il est possible de faire passer l’évacuation dans un placard aménagé pour l’occasion, mais une telle disposition n’est pas toujours envisageable. »

    Arrivée d’air !

    « Enfin, poursuit Eric, vous devez créer une arrivée d’air frais dans la pièce occupée par la cheminée. Cela peut se faire soit par l’intermédiaire d’une grille d’aération percée dans le mur, soit via le sol où l’on placera un conduit ignifuge relié à l’extérieur. » Notez que pour un foyer suspendu, si votre sol est constitué de bois ou recouvert d’une moquette, une protection spécifique devra être placée directement sous la cheminée !

  • Installer un poêle à pellets : combien ça coûte ?

    Vous êtes de plus en plus nombreux à être séduits par les poêles à pellets ! Economiques, assez écologiques, performants et faciles à utiliser, ils se présentent comme des chauffages d’appoint (ou principaux) de choix. Certains, à l’instar votre serviteur, en font même leur source principale de chauffage ! Mais combien coûte une installation ?

    La fourchette est énorme : elle démarre à un gros millier d’euros si vous optez pour un poêle à convection naturelle dans une petite pièce et peut culminer à plus de 15.000 euros pour le fin du fin technologique. On décortique tout ça avec vous !

    Quel type de poêle ?

    Tout d’abord, il faut savoir vers quel type de poêle vous orienter.

    • L’entrée de gamme, c’est le poêle à convection naturelle. Celui-ci chauffe l’air par rayonnement, sans l’aide de ventilateur. Cela le rend silencieux, mais en revanche, il ne chauffera que ce qui est directement près de lui. On en trouve de quelques centaines d’euros à plus de 3.000 euros pour un modèle connecté et au design sophistiqué.
    • Le poêle ventilé: ce modèle possède une soufflerie qui lui permet de chauffer plus et mieux. Son gros avantage, c’est de pouvoir chauffer rapidement une pièce à une température donnée ! Son gros inconvénient, c’est d’être bruyant. Comptez un gros millier d’euros pour un modèle d’entrée de gamme à plus de 5.000 euros pour le fin du fin.
    • Le poêle canalisable: ici, la technologie n’est pas vraiment dans le poêle. Ils sont d’ailleurs souvent affichés au même prix que les poêles ventilés. En revanche, l’installation est plus complexe : ces poêles redistribuent l’air chaud dans des gaines murales. Ce type de poêle permet donc de chauffer l’ensemble de votre habitation ! Evidemment, les premières pièces desservies par les gaines seront les plus chaudes. A méditer lorsque vous songerez à l’emplacement de votre poêle.
    • Le poêle hydraulique: celui-ci, c’est quasiment une chaudière à pellets ! En effet, il peut être raccordé au circuit d’eau et remplacer votre chaudière traditionnel. A réserver aux amateurs d’esthétisme car il est moins performant qu’une chaudière… Entre 2.000 et 5.000 euros.
    • Le poêle de masse: lui, c’est le nec plus ultra. Ses matériaux exotiques (stéatite ou brique) permettent un rayonnement important de la chaleur. Une flamme le matin et il rayonnera pour le reste de la journée ! Très économique à l’usage donc, mais pas vraiment à l’achat : comptez entre 2.000 et plus de 10.000 euros !

    Quelle puissance ?

    • Si vous comptez simplement chauffer une petite pièce de moins de 30 m², un poêle de moins de 3 kW sera suffisant.
    • Pour un appartement à la surface comprise entre 50 et 100 m², misez sur un poêle d’une petite dizaine de kW.
    • Pour une maison classique de 150 m², il faudra plutôt s’orienter vers un modèle de 15 kW.

    Bien entendu, ces puissances s’entendent pour une maison isolée. Avant d’envisager l’installation d’un poêle, nous vous conseillons donc d’isoler au mieux votre habitation, notamment par l’extérieur.

    Quid de l’installation ?

    Ici encore, tout dépend d’où vous partez :

    • Si vous avez déjà un poêle et qu’il s’agit simplement de le changer, comptez entre 200 et 600 euros.
    • Si vous n’avez pas encore de poêle mais déjà une cheminée (éventuellement tubée), pour moins de 1.000 euros, vous devriez vous en sortir.
    • Dans tous les autres cas, le budget sera forcément supérieur à 1.000, voire 1.500 euros.

    Quel prix ?

    Vous l’aurez compris, tout dépend donc de l’utilisation que vous comptez en faire, de l’espace que le poêle doit chauffer, de vos préférence en matière de design… Le prix peut donc varier de 1.000 à 15.000 euros !

  • Voilages qui grisonnent ? Voici comment leur rendre leur éclat initial !

    Avec les années qui passent, les voilages ont tendance à jaunir ou à grisonner en fonction de leur exposition au soleil, ainsi qu’à la poussière et à la pollution. Leur rendre leur blancheur d’origine n’a pourtant rien de compliqué !

     

    Les voilages sont particulièrement pratiques. Tout en laissant passer la lumière, ils permettent de jouir d’une totale intimité, masquant discrètement l’intérieur des pièces qui donnent sur la rue ou souffrent d’un vis-à-vis. Par contre, le temps qui passe ne leur est généralement pas bénéfique. En effet, entre les rayons du soleil, la poussière, la fumée de cigarette et la pollution qui provient de l’extérieur, les voilages ont tendance à jaunir ou à grisonner.

    Une solution… gonflée

    Pour leur rendre leur éclat d’origine, inutile pourtant d’investir dans de coûteux produits. Avant toute chose, il convient de vérifier si vos rideaux peuvent être lavés en machine et à quelle température. Si c’est le cas, il suffit de préalablement les faire tremper dans une baignoire remplie d’eau tiède, dans laquelle vous aurez versé et dilué un sachet de levure chimique. Laissez agir durant une heure. Ensuite, placez vos rideaux dans le tambour de votre lessiveuse, sans trop le charger. Grâce au prélavage à la levure chimique, un simple programme délicat à 30° suffit généralement pour décrasser totalement vos voilages.

    Si vous êtes du genre expéditif et que vous préférez zapper l’épisode de la baignoire, vous pouvez directement mettre vos rideaux à la machine et recourir cette fois à du bicarbonate de soude doublé de citron. Ajoutez un peu de produit lessiviel et effectuez un programme classique à 40°.

    Pour éviter les plis, pensez à directement sortir vos rideaux de la machine une fois le programme terminé. Suspendez-les quand ils sont encore humides ! Grâce au poids supplémentaire dû à l’eau contenue dans les rideaux, les plis disparaîtront tout en séchant. Il n’est du coup généralement pas nécessaire de passer par la case fer à repasser !

  • Literie : avantages et inconvénients des mousses à mémoire de forme

    Dans le petit monde de la literie, qu’il s’agisse des matelas ou des oreillers, la mousse à mémoire de forme est une découverte qui a bouleversé le secteur. Souvent considérée comme un produit de luxe, est-elle pour autant un bon investissement ?

     

    La mousse à mémoire de forme utilisée en literie n’est rien d’autre qu’une mousse très spécifique qui porte le nom de mousse viscoélastique. Celle-ci est principalement composée de polyuréthane qui réagit au contact de la chaleur dégagée par le corps humain. Elle est donc thermosensible.

    Merci la NASA !

    A l’origine, la mousse à mémoire de forme a été développée par les ingénieurs de la NASA. Ceux-ci cherchaient alors à concevoir des sièges composés d’un matériau susceptible de limiter les points de pression subis par les astronautes lors des décollages et des atterrissages des navettes spatiales. Il aura ensuite fallu près de trois décennies pour que la mémoire de forme pénètre lentement mais sûrement le marché de la literie, générant une vraie révolution au tournant du millénaire.

     

    Si la mémoire de forme est très ferme au toucher, elle devient très rapidement molle une fois qu’elle entre en contact avec la chaleur corporelle. Le matelas ou l’oreiller composé de cette mousse high-tech s’adapte donc à la forme du corps ou de la nuque, assurant du même coup une relaxation optimale et, in fine, un sommeil de meilleure qualité. Par ailleurs, lorsque la personne installée sur le matelas change de position durant son sommeil, les parties non chauffées reviennent automatiquement à leur forme initiale. Matelas et oreiller s’adaptent donc instantanément en suivant fidèlement les contours du corps et de la nuque de l’utilisateur.

    Inconvénients

    Au rayon des désavantages, puisque la mousse viscoélastique est thermosensible, elle peut être à déconseiller pour les personnes qui génèrent beaucoup de chaleur durant leur sommeil, tout comme pour celles qui transpirent au-delà de la moyenne. Un écueil qui peut rapidement se révéler problématique, surtout lorsqu’il fait chaud. La mousse aura alors tendance à se déformer plus qu’il ne faut. Par contre, au contraire des idées reçues, ce type de matelas et d’oreiller ne donnent pas chaud, la mousse étant conçue pour pouvoir « respirer ».

    De la même façon, certains matelas en mousse à mémoire de forme peuvent durcir lorsqu’il fait froid. Elle est alors moins adhérente et prend un peu plus de temps pour épouser convenablement les formes du corps. Allumer le chauffage quelques minutes avant de se coucher est souvent suffisant pour atténuer ce point négatif.

    Avantages

    Pour ce qui est des avantages, ils sont particulièrement nombreux. Citons notamment un confort exceptionnel, grâce à une technologie qui épouse parfaitement la forme du corps, une parfaite distribution des points d’appui qui a tendance à limiter voire éliminer les douleurs aux hanches lors du réveil, la réduction des points de compression, bénéfique pour celles et ceux qui souffrent de maux de dos, un meilleur alignement du corps en position couchée ou encore une indépendance totale du couchage, la mousse absorbant tous les mouvements.

    Il ne sera donc pas nécessaire d’acheter deux matelas individuels pour les personnes qui dorment à deux dans le même lit. Cerise sur le gâteau, la mousse à mémoire de forme est généralement traitée contre les acariens, les moisissures et les bactéries, ce qui en fait un allié idéal des personnes souffrant d’allergies !